Ça reste entre pote

Chapitre 5

Salut à tous et merci pour vos nombreux retours sur les premiers chapitres de cette histoire.

Comme je vous le racontais, Yohann, mon voisin et ami d’enfance, que je pensais 100% hétéro, m’a charmé et persuadé, sous l’effet de la beuh, de le branler. Après cette branlette mutuelle, un facial de son coloc et une bonne séance de suce, je l’ai fait jouir comme jamais. Et depuis, Yohann et moi ne perdons pas une occasion pour nous branler mutuellement. Je le suce même de temps en temps. Je suis devenu accroc à ses 23 cm. Quand je le peux, je lèche tout le sperme qu’il éjacule, ce qui le fait sourire. Mais il y a peu, nos expériences sont allées plus loin : nous nous sommes branlés mutuellement dans un fleshlight, nous avons baisé un faux-cul ensemble, nos bites plaquées l’une contre l’autre (voir chapitre 2). Dans le chapitre 3, on a fait le concours du cookie et il a perdu : il a dû manger le cookie dégoulinant de sperme. Un autre jour, on est allés sur une plage nudiste et après l’y avoir branlé, il m’a demandé de me faire baiser sous ses yeux par deux gays, ce que j’ai fait avec plaisir (voir le chapitre 4). En rentrant, il m’a dit qu’il aimait me voir me faire baiser sous ses yeux. Il a même ajouté que je devais avoir un bon trou car les mecs l’ont apprécié sur la plage. Je suis impatient de voir comment va évoluer tout ça...

Une semaine après la petite aventure sur la plage nudiste, Yohann me fait venir chez lui. Quand j’arrive, il est déjà sur le canapé en train de se branler d’une main tandis qu’il tient un pétard de l’autre. Je l’observe avec un regard bien pervers : sa grosse queue de 23 cm, bien lourde, courbée et très épaisse est tendue devant son pubis poilu. Ses énormes couilles sont posées sur le canapé, bien pendantes. Sa queue mouille bien.

Yohann me fait signe de m’assoir à côté de lui, ce que je fais. Il pose son bras autour de mon cou et il m’attire vers lui. J’ouvre mon pantalon et je sors ma queue. Je me mets aussi à me branler. Il regarde un porno hétéro mais c’est surtout sa belle bite qui me fait de l’effet. J’admire sa main aller de haut en bas sur cette magnifique teub qui est dressée devant son ventre. Les mouvements de branle entrainent aussi ses couilles vers le haut puis vers le bas. Quelle magnifique scène. Je ne peux résister et je prends sa bite en main. Je ressens enfin de nouveau la sensation de cette belle bite tendue, chaude, dure. Ma main la branle lentement puis accélère le rythme. Il m’attire sur son torse, j’y pose ma tête et lui me caresse. Il y dépose même un baiser léger et furtif, un truc nouveau qu’il a aussi fait la dernière fois qu’on s’est vu. Au bout de 5 minutes, il me dit :

- Lève-toi et mets-toi en face de moi.

Je me lève, lui aussi et nous nous faisons face. Je reprends ma branle tandis qu’il s’empare de ma queue et se met à l’activer aussi. Je devine ce qui va suivre : nous allons nous jouir mutuellement sur le corps. Quelle bonne idée !

Je sens le jus monter dans mes couilles quand Yohann se met à gueuler et s’avance vers moi. Un premier jet sort de sa queue et atterrit sur mon torse. Les trois suivants fusent comme s’ils sortaient d’une mitraillette et ils fouettent mon corps et mon menton. Les bruits de sperme qui tombent sur ma peau me rappellent le bruit de grosses gouttes de pluie qui s’abattent sur un toit. Il ne m’en faut pas plus pour jouir. Je gémis fort et deux jets atterrissent sur son torse. Nous jutons en tirs croisés. Nos queues mitraillent le corps de l’autre. Yohann jute encore 4 jets qui sortent comme une pluie de sperme et qui viennent me recouvrir mon corps en entier. Certaines gouttes passent même derrière mon épaule. Il continue de me branler et un autre jet énorme, plus puissant que les autres, fusent au-dessus de son épaule et va se perdre dans le salon. Deux autres jets tombent sur son pubis. Je finis de jouir alors que du sperme sort toujours de sa queue et il m’arrose copieusement le torse, le ventre et la bite. Au bout de 10 secondes, sa source se tarit et j’arrête de le branler.

Nous nous regardons et nous rigolons. Le sperme dégouline de partout. Nos deux corps sont vraiment mouillés de ce nectar blanchâtre. Il va me chercher une serviette dans la salle de bain et je m’essuie tandis qu’il va se doucher. Puis c’est mon tour.

Il me dit de rester jusqu’au repas. On joue à un jeu vidéo, nus. Puis nous commandons à manger. Le livreur est choqué de nous voir lui ouvrir la porte complètement nus Il prend notre argent et disparait très vite. Nous rigolons et fermons la porte. Nous mangeons.

Nous regardons un film puis après le repas, il se rallume un pet. Il me prend alors le bras et il me pose ma tête sur son torse. On regarde le film tandis que sa main se balade sur mon torse et sur mes épaules. Moi, je lui caresse sa cuisse musclée et sa jambe. Je savoure alors ce moment sensuel. Ce n’est pas souvent qu’il est si câlin, donc je veux en profiter. Ma queue commence même à gonfler. Sa main passe maintenant dans mes cheveux et me caresse. Cependant, il reste toujours bien concentré sur le film. Une envoie soudaine de m’occuper de lui me prend. Comme s’il lisait dans mes pensées, il attrape sa queue de sa main restée libre et il la secoue un peu. Elle se met immédiatement à gonfler.

Ma main descend automatiquement vers son morceau et il le lâche. Je prends la suite. Je commence à caresser sa bite et ses couilles. Il a toujours le regard dirigé vers la télé. Mais il prend la télécommande et il met un porno. Sa queue est maintenant gonflée à bloc, dressée au maximum. Je le branle tandis que je me branle de l’autre main. Au bout de quelques minutes, il me dit :

- Suce-moi...

Il pose ses pieds par terre, restant assis sur le canapé. Je me place entre ses genoux, je le regarde avec les yeux d’un soumis qui obéit à son maître. Je prends alors sa queue en bouche.

- Oui, voilà, lentement. Utilise bien ta main.

Ma langue tournoie autour de son gland, joue avec son frein tandis que ma main branle sa bonne bite. Je lui fais de temps en temps des gorges profondes. Depuis que je le suce, je suis presque devenu un expert et ses 23 cm glissent dans ma gorge comme dans du beurre. De ma main restée libre, je lui caresse ses grosses couilles poilues que je lèche parfois tout en le branlant toujours, avant de renfoncer sa grosse teub dans ma bouche. Je me délecte de cet engin.

Au bout de 10 minutes, il me relève et sans un mot, il m’emmène dans sa chambre. Le faux-cul qu’on a déjà baisé une fois, ensemble, est là et il n’attend plus que nous. Je me couche sur le lit et j’enfonce ma bite dans la chatte du jouet. Yohann place son gland à l’entrée de l’anus et il s’y introduit. La sensation est dingue ! Je sens sa queue coulisser le long de la mienne. Seule une mince membrane de plastique sépare nos deux bites. J’en jouirai presque, rien que d’y penser. Il se met à donner des coups de reins et la sensation devient démente. Puis il ressort de l’anus et il présente sa queue dans la chatte du jouet. Il l’y enfonce et sa bite chaude et douce coulisse le long de la mienne. Il commence à donner des coups de reins violents. Une sensation nouvelle s’empare de moi. Je sens la teub de Yohann coulisser contre la mienne, la presser. Sa bite durcit et je sens qu’elle pourrait presque jouir. Mais il se retire et il enlève le jouet.

Il se laisse tomber sur moi et il se retrouve au-dessus de moi, sa grosse queue plaquée contre la mienne. Il me regarde droit dans les yeux et je sens alors comme un courant électrique passer entre nous. Ne pouvant plus résister, je me dirige vers lui et mes lèvres appuient sur les siennes. Je l’embrasse alors comme un dément. D’abord ses lèvres ne semblent pas bouger... puis il répond à mes baisers. Il m’embrasse comme un dieu. Ça semble lui plaire car sa bite frémit et durcit. J’embrasse mon pote hétéro... qui se laisse faire !

D’un coup de reins, il me fait rouler au-dessus de lui. Je me retrouve couché sur son torse et je continue de l’embrasser. J’écarte un peu les jambes et je sens alors sa queue qui frotte contre mon anus. Ça m’électrise. Lentement, je commence à faire des mouvements de va-et-vient sur sa bite qui se frotte le long de ma raie. On continue de s’embrasser. Lorsque son gland se retrouve à titiller ma rosette, d’un mouvement habile, je l’enfonce dans mon anus, sans capote. Il ne dit rien, il continue de m’embrasser. Prenant ça comme un consentement, je m’enfonce et sa queue commence à rentrer en moi. Bizarrement, il me fait tellement de l’effet que je sens que mon cul mouille bien car ses 23 cm me pénètrent sans douleur et écartent mes chairs sous leur passage, ce qui me ferait presque jouir. Son gros membre me masse la prostate comme jamais une bite ne me l’a fait. Quand je sens que ça a du mal à passer, je ressors le monstre de quelques centimètres de mon cul puis je me renfonce de nouveau dessus. Les trois quarts de la queue dans le cul, je me mets à aller et venir sur son chibre, afin de mieux préparer mon fion aux derniers centimètres. Et finalement, j’arrive à m’assoir entièrement sur sa teub. Je sens les poils de son pubis me chatouiller les fesses. Quelle merveilleuse sensation !

J’arrête de l’embrasser et je me mets à faire des va-et-vient sur sa teub. Il ferme les yeux et souffle bruyamment. Moi, je me concentre sur cette bite qui m’ouvre tellement bien les entrailles. Je dois me retenir plusieurs fois de ne pas jouir sur le coup. Je le chevauche et il se laisse faire. Je monte lentement, sa queue sortant presque entièrement de moi, puis je me la replonge dans mon cul. J’adopte un rythme lent et régulier. Yohann ferme les yeux afin d’apprécier l’instant. Au bout de 5 minutes, je décide d’accélérer la cadence. Je me cale sur sa bite et je la chevauche. Je monte et je descends dessus pour bien le branler. Je sens sa grosse bien palpiter en moi. Je me baise moi-même sur ses 23 cm. Je rebondis sur ses cuisses ce qui augmente mon rythme. Ses couilles rebondissent aussi contre mon cul.

Et tout d’un coup, je me rends compte que je me fais sodomiser par mon pote hétéro. Rien que cette pensée et son gros morceau qui me masse la prostate, je sens que ma purée monte comme jamais, je me sens envahi par des vagues de chaleur dans tous les corps et soudain, ma queue se contracte et jute de nombreux jets sur son torse... et sur son visage. Mon sperme n’en finit pas de fuser hors de ma teub. Yohann ouvre alors les yeux et me regarde, surpris. Je lui souris et je vois alors que sa langue passe discrètement sur sa lèvre qui ramasse quelques gouttes de mon sperme. Je l’observe bien : il avale mon jus ! Et alors, il me dit :

- Je crois que je vais jouir.

J’accélère alors mes allers-retours et au moment où il se met à gueuler, il attrape mes fesses et les agrippe. Je sens sa queue se contracter et son jus envahit mes entrailles. Je me sens inondé par mon étalon hétéro qui met enceinte sa jument. Son orgasme dure de longues secondes et quand il arrête de gémir, je me couche sur son torse, épuisé. Au bout de quelques secondes, sa queue ramollit et sort de mes entrailles, suivie d’un torrent de sperme qui se précipite hors de mon anus. Sa queue et ses boules nagent dans son jus.

Je me laisse glisser à ses côtés et je reprends ma respiration. Ça a été vraiment du sport ! Je suis épuisé. Je lui demande alors :

- Ça t’a plu ?

- Putain, oui ! C’était une de mes meilleures baises de toute ma vie. Ton trou est bien serré, il a bien enveloppé ma queue. C'était trop bon !

- Oui, c’était trop bon ! Ta queue est géniale !

Après quelques minutes de silence pendant lesquelles nous savourons en silence notre orgasme passé, il me dit :

- Tu veux te doucher ?

- Oui...

- Ok, vas-y. J’irai après.

Je prends ma douche puis c’est son tour. Il s’allume un pétard et le fume. Quand je vois qu’il est presque 23h, je lui dis :

- Il faut que j’y aille sinon je vais rater le dernier bus.

- Tu ne peux pas rester cette nuit ?

Il me pose la question de but en blanc. Je le regard, bouche bée. Je ne m’attendais pas à cette question.

- Hm... oui, bien sûr. Pourquoi pas... mais je veux pas m’imposer.

- Dis pas de conneries. Viens plus près.

Yohann, mon pote hétéro, avec qui je me branle depuis quelques semaines déjà et que j’ai sucé quelques fois, me propose, après m’avoir sodomisé, que je passe la nuit avec lui. Je n’en reviens pas. La situation évolue super vite, ça m’en donne presque le vertige. Après quelques secondes, j'arrive à lui dire :

- Avec plaisir...

- Cool. On va dans le lit, déshabille-toi.

Il est lui aussi tout nu, je le rejoins après avoir ôté mes vêtements. Il me donne un baiser tendre sur la bouche et il me prend dans ses bras. Nous nous mettons en position de cuillère, lui derrière moi. Nous nous endormons comme ça, rapidement. Le sommeil m’emporte alors que je sens son gros morceau au repos plaqué contre ma raie... Ce que je ne sais pas encore, c’est que la nuit n’est pas finie...

A suivre...

J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire réelle. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).