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Agriculteur | S20 Payer mes dettes

4 | Nos langues – Le récit de Lecourt.

Lorsque Julien est venu m'inviter à déjeuner, j'ai accepté avec empressement car je suis, ces jours derniers, opportunément seul dans la grande maison, me réjouissant de le retrouver à nouveau joyeux et plein d'allant, fidèle à celui que j'ai toujours connu.

Aussi est-ce avec un entrain sans partage que je pousse la porte de la longère qui est maintenant la sienne, accueilli par un puissant arôme de pot-au feu qui me met aussitôt l'eau à la bouche.

Mais la première personne que j'entrevois n'est autre que Jérôme, sa silhouette rablée, sa chevelure frisée et sa barbe mordorée immédiatement reconnaissables ; l'impression de densité qui émane de lui, celle d'une puissance contenue à grand peine, me renvoie aussitôt à ce jour où il a déboulé dans le bureau en quête d'un Julien ... absent. Une bonne fortune que nous avons su saisir pour mon, "notre" je crois, plus grand plaisir mais qui ne s'est jamais représentée.

Il y a longtemps que je ne l'ai aperçu aux Chênaies mais je sais qu'il y est revenu pour soutenir Julien ces derniers temps.

Julien qui s'interpose.

- "Te souviens-tu de Jérôme ? Tu l'as croisé ici même, il y a quatre ou cinq ans et ... vous aviez entamé une conversation, euh, torride ... à laquelle je m'étais d'ailleurs ensuite mêlé ..."

Mais enfin, Julien, quelles sont ces manières ! Je ne te reconnais plus, là ! Où est passée la finesse de tes allusions qui confine parfois au persifflage ? Quelle est cette intervention avec de gros sabots de lourdaud qui va nous mettre tous mal à l'aise ? Je l'empoigne vivement par le coude, tends l'autre bras dans la direction de Jérôme pour l'inviter à approcher et, aussitôt le saisis pareillement, pour nous réunir étroitement. Puis je tente de couper court à cette présentation mal engagée.

- "Mais je me souviens PARFAITEMENT de ce charmant Jérôme avec qui j'ai eu l'occasion de reprendre cette conversation comme tu dis."

J'appuie mon intervention d'une lourde oeillade à un Jérôme qui en parait presque gêné et me retourne ensuite vers Julien, espérant que mon intervention va nous permettre de reprendre sur un ton plus détendu et convivial. Or, je le découvre ... pétrifié. Non! Je rêve ? Une irrépressible quinte de rire me soulève alors en saccades. A le voir, lui, Julien! ainsi estomaqué, je me surprends à vouloir enfoncer le clou, non sans une certaine délectation.

- "Le sais-tu bien, Julien, en la matière, ton entremise n'est pas toujours indispensable ! Jérôme et moi avons su profiter de circonstances, qui ne se sont d'ailleurs pas renouvelées, pour partager à deux un très agréable moment."

Je me sens aussi à l'aise qu'il semble embarrassé, je me tourne alors à nouveau vers Jérôme.

- "Enfin j'espère que le souvenir qu'en a gardé Jérôme est tout aussi plaisant que le mien."

Mais voilà que je le découvre rougissant, l'oeil fuyant, assombri par ce qui ressemblerait à un reproche ; une défection que je regarde comme incongrue de la part d'un homme qui s'est tout récemment émancipé de ses obligations familiales. Mais probablement est-ce qu'il ne s'était pas ouvert de cet épisode auprès de Julien.

Julien qui, face à lui, reste interloqué, les yeux agrandis et la bouche entrouverte comme un benêt et j'exulte, mon rire redouble devant cet incroyable et apparent désarroi, je suis étonné, mais non sans un zeste de fierté, je dois en convenir, d'en remontrer aujourd'hui à celui dont la liberté et la désinvolture en ce domaine m'ont si souvent bousculé, je devrais dire "ont si heureusement bousculé" les conventions immémoriales héritées de mon milieu prude et rigoriste où tout plaisir était regardé comme suspect.

Malgré l'agréable surprise que constitue cet inattendu renversement de situation, je souhaite couper court à ce flottement entre nous trois, empêcher qu'il ne se prolonge au risque de compromettre une rencontre qu'à l'évidence, Julien a préméditée ; je devrais d'ailleurs parler de "retrouvailles". J'adopte alors un ton bon enfant, un modeste profil bas, espérant ainsi désamorcer la situation et revenir à la joyeuse licence qui règne habituellement sous ce toit.

- "Mais enfin, les garçons, il me semble que vous avez pris du bon temps tous les deux, que vous continuez à bien vous entendre ; pourquoi devrais-je être réduit à n'être que l'éternel remplaçant, celui qui reste en recours sur le banc de touche, à qui on ne fait appel qu'en supplétif ? Ne puis-je être, moi aussi, parfois à l'initiative, non ?"

D'un coup, Julien s'ébroue et retrouve son large sourire, comme par magie. Ouf ! Je le retrouve tel qu'il me plaît. D'une brusque détente de ressort, il s'essaie même à m'embrasser fugitivement au coin des lèvres. Je sursaute, me recule en protestant des deux mains, pourtant je ne peux contenir cette hilarité qui agite mon ventre et que son regard fixe ne fait qu'attiser.

Puis, le front bas, l'air sombre, il se tourne vers Jérôme qui pâlit. Un instant, je redoute l'incident et d'avoir irrémédiablement compromis leur belle entente.

Un instant ! Car, rapidement, sa sévérité se déforme, se dissout, ses pommettes remontent irrépressiblement, ses prunelles scintillent et il pouffe en l'attirant à lui dans une chaleureuse brassée fraternelle, lui murmurant à l'oreille quelques mots qui m'échappent. Puis il se retourne et poursuit, souriant à la cantonade.

- "A présent, si personne n'a plus rien d'urgent à confesser, sans doute pourrions-nous passer à table !"

Or je suis curieux de voir ce que ce démon de Julien aura fait de cette référence de la cuisine ménagère qu'est le pot-au-feu. Le dîner débute par une assiette de bouillon délicieusement parfumé et relevé juste à propos. Une fois avalée, nous faisons chabrot en la rinçant d'une lampée d'un judicieux Reuilly que nous dégustons à l'ancienne, buvant à même la faience, sans cuiller, comme le veulent nos traditions rustiques. Pourtant je doute que Julien se soit conformé aux usages sans y apporter sa touche personnelle, je connais trop la fertilité de son imagination.

Alors Jérôme et moi venons l'entourer, cette proximité faisant courir un frisson sur mon échine, alors que, penché sur le faitout, il en retire d'abord les divers morceaux de viande de boeuf, associant le moelleux, le gélatineux au plus gras, pour équilibrer les textures. Mais ce sont surtout les légumes qui apportent leur parfum à ce plat ! Non seulement, Julien n'a oublié aucun des piliers : oignons, poireaux, carottes, navets et céleris-raves, mais il y a joint panais et rutabagas, ces "vieux légumes" que mes parents avaient chassés de notre assiette pour avoir dû trop souvent s'en contenter pendant la guerre, et aussi la nouveauté du méridionnal fenouil au goût anisé.

Je soupçonne son bouquet garni, outre le laurier, le thym, le persil et l'ail de compter romarin et coriandre et qu'à la girofle cloutant l'oignon, se voient associés l'habituelle muscade, quelques poivres mais aussi le cumin et un soupçon de piment pour relever le bouillon.

Enfin, il extrait les tronçons d'os à moelle de la marmite, me dédiant un sourire satisfait comme pour confirmer "non, tu vois, je n'ai pas oublié cet indispensable ingrédient".

Voilà bien "mon" Julien, à la fois respecteux de pratiques mûries par l'expérience de générations et inventif, décalé, ingénieux. Ses pas de côté ont souvent apporté une fraîcheur inouie à nos vies.

Mais il sait rester mesuré, également.

Bien sûr, il est attentif aux "progrès", ceux qui améliorent, soulagent, jusqu'à guérir parfois, mais il reste lucide, n'adopte pas une machine simplement pour elle-même, n'y voit pas systématiquement une "solution" en adorateur inconditionnel des avancées techniques. Pour lui, il n'est pas obligatoire de se ranger à tout ce que la technique a,aujourd'hui, rendu possible, pas avant de s'être interrogé sur les finalités de cette nouveauté, les objectifs qu'elle va servir, de faire le bilan entre les bénéfices qu'elle apporte et ses inconvénients, ses charges.

A quoi bon s'échiner à produire plus de maïs en épuisant les ressources en eau pour le transformer en agrocarburant s'il n'est destiné qu'à propulser toujours plus vite et encore plus loin des véhicules particuliers sans cesse plus lourds et amplifier la gigantesque destruction du vivant que l'homme met quotidiennement à l'oeuvre, remplacer sans relâche plus de terres agricoles, de forêts, d'espaces naturels par des parkings et les labyrinthes d'immenses centres commerciaux où, sous des lumières artificielles, nous consommons sans vergogne des biens superflus alors que nos prélèvements dépassent déjà largement les ressources de la planète ? Peut-on longtemps continuer à vivre ainsi, toujours plus nombreux, en refusant toute limitation, tout frein à la satisfaction de nos désirs individuels ?

Or l'atmosphère que cultive Julien est, à rebours de cet engrenage d'avidités, toute entière d'attentions, de plaisirs réconfortants mais simples et frugaux privilégiant, avant tout, l'humanité.

Ce n'est pas un hasard s'il nous a réunis autour de cette viande et de ces légumes fondants, de ce bouquet d'épices et d'aromates dont les fumets nous tournent les sens à tous les trois. Plus que les compliments au cuisinier, ce sont les regards entre nous qui disent la douce langueur qui nous envahit lentement à ainsi partager la nourriture qui régale et le vin qui euphorise ; les ravissements du palais répandent en nous une sensation de bien-être et d'harmonie nous conduisant inéluctablement ... à un relâchement des tensions, une douce émolience. Nous voilà poussant de petits soupirs d'aise, échangeant en complices des sourires alanguis, les paupières mi-closes sur des pupilles qui se font veloutées.

Considérer celui-là, à ma gauche, en puissant sorcier de la caresse qui, d'un impalpable effleurement de la pulpe de ses doigts parvient à faire courir sur ma peau mille frissons telluriques et chavire toujours autant mon coeur, puis, m'interroger sur cet autre, à ma droite, qui me regarde de ses yeux clairs par dessous le trait de ses épais sourcils blonds : a-t-il toujours ces hésitations, ces précautions charmantes, prudents reliefs d'une timidité, qui, une fois débordés, ouvrent à la suffocante impétuosité de sa belle nature de fonceur ? Le ciel m'est témoin que je ne suis pas un de ces voltigeurs, jamais rassasiés, qui courent sans cesse de conquête en conquête mais ce barbu exerce sur moi, presque malgré moi, un puissant attrait, un irrépressible désir indéniablement charnel qui me trouble.

Alors je regarde leurs mains, leurs doigts manier agilement couteau et fourchette, puis porter quelque morceau choisi à leur lèvres qui s'entrouvrent sur l'émail de leurs dents. C'est alors sur moi que je les sens se refermer ; leurs yeux rejoignant alors les miens en un éclair de communion implicite, une promesse de volupté, qui devient peu à peu un dû.

Mon esprit peut alors s'enflammer librement : je me vois tendre le bras, les doigts jusqu'à frôler leur peau, leurs poils, sentir rouler ces muscles, écouter battre leur sang, me convaincre de leur réalité tangible, de leur capacité à étreindre, à vibrer. Avec moi.

Je pouffe, bêtement, comme déjà rassasié par cette certitude qui n'est pourtant encore qu'illusion, les visions d'un mélange improbable d'enlacements aiguisent mon appétit d'y surseoir encore, de différer dans une attente délicieuse. Avec, un instant, derrière mes paupières, l'image de nos langues, grasses, chargées, arômatiques mais tout autant agiles, véloces, emmêlées, de nos souffles courts, de ...

Et soudain ...

Je marche le long d'une large allée piétonne, les yeux au sol, perdu dans mes pensées quand, brusquement, allez savoir pourquoi ?- je m'arrête et relève les yeux.

D'un coup, je ne sais plus où je suis !

Abasourdi, je regarde autour de moi ; cet environnement m'est connu, familier même, mais ... non, décidément, je ne parviens pas à l'identifier, ni à le nommer. Je ne sais plus OÙ je me trouve, non plus que ce que je suis venu y faire qui pourrait m'orienter alors que TOUT m'échappe, que chaque coup d'oeil, chaque main lancée se referme sur du vide.

Ma gorge s'assèche, mes jambes qui, un instant plus tôt, me portaient allègrement, soudain flageolent et je dois m'adosser au tronc de cet arbre proche dont le solide soutien est le bienvenu, la lumière m'écrase et la sueur perle à mon front. Je pourrais appeler à l'aide mais il me semble que même ma parole va se noyer en un salmigondis de bafouillis postillonnants.

La panique monte en moi comme une eau froide et je me redresse pour déglutir avec, derrière mes paupières, la vision de ma pauvre mère raidie par une attaque, les yeux figés, exhorbités par la stupeur et la bouche ouverte sur un cri muet qui décroche sa mandibule.

Est-ce ainsi que la mort nous cueille, traitreusement, après que l'âge nous a insidieusement grignoté ?

J'ai maintenant solidement entamé la soixantaine et, il y a deux jours, en serrant Julien dans mes bras, je me félicitais de la persistance de ma verdeur ; un leurre, dérisoire quand, le matin suivant, un vent glacial suffit à me balayer, impalpable comme une feuille morte, dans une confusion totale ...

Heureusement, je ne tarde pas à rassembler mes esprits. Mais c'est hagard que je me hâte de rejoindre le lieu de mon rendez-vous à grands pas, une fuite vers un abri sûr où va se desserrer, je n'en doute pas, le noeud qui étreint encore mon ventre à en crier.

Pourtant, grace à l'extraordinaire volatilité de sa mémoire qui permet à l'homme d'oublier, aussitôt qu'il a pointé son nez, le moindre rappel de sa finitude, la succession d'un quotidien confortable a chassé de ma mémoire jusqu'à la moindre trace de ce moment de grand trouble.

Mais la nuit suivante me voit brusquement me redresser assis sur mon lit dans l'obscurité, le souffle coupé par une inquiétude qui m'étreint : j'avais, j'en suis certain, une chose TRES importante à faire, essentielle même, que je redoute soudain de l'avoir zappée, et je sens se durcir une certitude : oui, elle est bien "sortie de mon esprit" et j'ai assurement "oublié" de la traiter, oubli qui me précipite dans une vertigineuse chute verticale.

Je ne sais plus ni de quel dossier il s'agit, ni quelle exploitation il concerne, ni ... je suis uniquement centré sur cette angoissante question : ai-je bien, oui ou non, tenu mes engagements, restant intimement persuadé que non ! Je suis défait.

Suis-je encore "à la hauteur" ?

La réalité semble s'effriter alentour de moi et mes doigts échouent à retenir la poussière qui s'échappe et m'ensevelit lentement. Je suis distancé, dépassé, englouti ... Impuissant.

Me lever, boire un verre d'eau, m'asperger le visage et la nuque, contrôler ma respiration pour l'apaiser, rien ne me permettra de dissiper ce malaise, de retrouver vraiment le sommeil et le check up rapide que je fais avec ma secrétaire, cueillie dés son arrivée matinale au bureau, bien que rassurant, n'effacera pas le poids de ce manquement, cette certitude d'une faillite honteuse. Ni cette boule glacée et dure qui a fait son nid dans mon ventre.

Une conviction se fait jour : j'ai fait mon temps et, plutôt qu'attendre le faux pas qui me vaudra d'être jeté dehors sans ménagements, le moment approche de lâcher prise progressivement, de me détacher sans aigreur de ce qui m'a porté ces dernières années, de passer les commandes à d'autres, de nouvelles têtes qui sauront prendre le relais.

Dés lors, que fais-je en compagnie de ces deux hommes qui sont, eux, à l'âge d'une pleine possession de leurs moyens ? Ils flirtent en souriant et je prétendais faire jeu égal avec eux, il y a encore quoi ... quelques minutes ?

Soulevé par une inspiration soudaine, je me redresse et ma chaise recule dans un raclement grêle sur les tomettes.

- "Je crois que je vais m'en tenir là et vous laisser terminer la soirée entre vous, m'attarder davantage ne serait pas raisonnable après un si bon repas et de si délicieux flacons. Je crains aussi que mon âge ne m'autorise plus les fredaines vers lesquelles je vous vois vous diriger en louvoyant."

Ma tête pivote à cent quatre-vingts degrés, distribuant généreusement et à eux deux un large sourire empreint d'affection, censé éteindre toute protestation.

- " De ça, il ne saurait être question, André Lecourt !"

En 1971, dans ce texte écrit sur une musique de Cris Carol, « Malgré le cœur qui perd le nord / au vent d’amour qui souffle encore / et qui parfois encore nous grise / Marcel Mouloudji nous murmure « faut vivre »

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