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Chapitre -10
Un cycle de chimie étant terminé, j'invite les lycéens à emporter leurs blouses pour les nettoyer. Et c'est alors qu'une des déclarations de Charles m'est revenue à l'esprit. Il fantasmait de me voir nu sous ma blouse. Voilà bien un jeu érotique qui pourrait nous amuser sans désagrément.
Le vendredi soir, je rentre toujours avant Charles, alors j'en profite pour préparer la chambre, et passe sous la douche pour une toilette poussée. Une fois séché et parfumé, je n'enfile que ma blouse blanche en coton. Cette préparation m'a tout excité : j'attends mon mec avec impatience curieux de sa réaction.
J'occupe mon attente en faisant quelques tâches ménagères, et c'est l'aspirateur en main que Charles me découvre dans le salon. Dès qu'il me voit, il lâche son sac et me couve d'un sourire coquin. Il a bien compris le message, puisqu'il se dirige vers moi, me plaque contre le mur et m'embrasse, me dévore plutôt, avec une fougue assez rare chez lui, plutôt doux de nature.
Sa main se glisse sous la blouse et se fait baladeuse. Après m'avoir bien pétrit la bite et les couilles, ses caresses manquant pour le coup d'un peu de délicatesse, Charles, déterminé, me retourne avec autorité face au mur, remonte la blouse pour me dégager le fessier et s'agenouille, cannibale. Sa barbe me chatouille pendant que sa langue me besogne. Je me cabre pour lui faciliter l'accès et me voue à ce plaisir humide.
Il se relève, me claque les fesses
- Viens !
Il m'entraîne vers notre lit où il me pousse sans ménagement. Il me chevauche la poitrine et alors que je ne peux me lever il m'ordonne de le dévêtir. Mes mains glissent sous son pull et touchent
sa peau. Le pull s'envole bientôt. Je dégrafe son pantalon et libère le monstre qui s'y cache. Je le masturbe ne pouvant le dégager davantage.
- Suce- moi !
J'obéis. Le jeu de la blouse révèle chez Charles un caractère dominant que je ne lui connaissais pas encore. Il se lève et m'intime l'ordre :
- A quatre pattes.
Soumis à son plaisir je me positionne, prêt à l'accueillir en moi.
C'est alors qu'il me remonte les pans de la blouse au dessus de la tête et que je me retrouve comme emprisonné dans un fourreau de coton blanc. Il tire ma queue raidie vers lui et se mets à la lécher de bout en bout, gobant mes couilles au passage, l'une après l'autre. Simultanément, Charles me met un doigt direct et stimule la prostate. Soudain c'est sa queue que je sens me labourer les reins alors que ses couilles butent en cadence contre mon cul. Il s'active avec fougue.
Je perds tout contrôle et lui tend mon cul et m'efforce de masser sa bite pour lui procurer le plus de plaisir et il me rend bien en me touchant de toute part. Mon visage s'enfonce dans le lit tandis qu'il me pilonne vaillamment, me faisant ressentit toute la vigueur de ses 19 ans et combien il est un amant accompli dans ce rôle dominant. Je lui appartiens corps et âme. Je jouis bientôt sur les draps sans avoir eu besoin de me toucher tant ses caresses sont expertes, un fourmillement s'empare de mon antre et une onde se propage jusqu'à mon diaphragme, je crois m'évanouir mon cerveau explore de plaisir et je m'y abîme en m'allongeant à plat ventre sur le lit que j'ai souillé de ma semence.
Charles s'allonge sur moi et tendu sur ses avants bras il entame une série les va-et-vient puissants, je suis hors limite, comateux, le temps est comme suspendu. Je ressens au bout d'un temps que je ne saurais évaluer, son liquide intime m'envahir, sa chaleur se répandre en moi. Je réaliserai plus tard seulement qu'il n'a pas mis de capote.
Charles, vaincu, s'allonge à mes côtés, me file une claque sur la fesse me dit :
_ enlève moi ça. En secouant violemment le coton blanc de la blouse innocente.
_ Je ne pensais pas te faire un tel effet, lui confié-je sur l'oreiller.
_ Mais c'est que j'en ai tellement souvent rêvé, je me suis si souvent imaginé te baiser dans ta blouse que je me suis vite gonflé à bloc. Au final, j'accepterais bien une ou deux fessées pour des lendemains comme celui-là ! Dire que Rémi pense que c'est toujours moi qui me fais sauter. J'en ai parfois assez de ses sous-entendus lourdingues.
_ Tu pourras en partie l'en dissuader, mais en partie seulement, j'aime trop ton petit cul pour m'en passer totalement. Mais pas au point d'en oublier la capote.
_ Oh merde !
_ Je te propose faire des tests sanguins dès demain et comme si je le devine s'ils sont négatifs ; ça n'aura pas de conséquences. Mais promet moi à l'avenir de ne plus jamais l'oublier.
_ Je vais faire attention, et à son ton je retrouve le petit garçon timide pris en faute.
_ D'autres fantasmes à réaliser ? je ne t'ai pas reconnu ce soir. !
_ Je sais pas trop. Mais je vais y réfléchir. Au lycée peu être ?
_ Alors là tu peux toujours te brosser ! Je ne mélange jamais vie privée et vie professionnelle. A une exception près en fait !
_ A oui, laquelle ?
_ Toi, idiot !
Kawiteau
Autres histoires de l'auteur : Jean | Charles et Julien