Mon demi-frère me surprend

Chapitre 8

Salut,

Comme je vous l’ai raconté dans le premier chapitre, Cédric, le fils du nouveau compagnon de ma mère, m’a pris en flag en train de me branler. Quelques jours plus tard, en plein confinement, je l’ai retrouvé sur mon lit, nu, où il m’a demandé de le sucer. De fil en aiguille, il m’a sodomisé. Et je dois avouer que j’ai beaucoup aimé... et je peux vous dire que depuis, j’en profite. On baise sans arrêt. Un jour, il a même amené son mec et on a baisé ensemble. Un autre jour, nous avons baisé avec son pote Ibrahim. Mais j’ai remarqué qu’avec le retour des beaux jours, Cédric sortait beaucoup. Je me doutais qu’il devait beaucoup baiser avec d’autres mecs. Et un jour, je l’ai surpris en train de se faire baiser par un black... ce qui m’a bizarrement chamboulé et je me suis mis à pleurer. J’ai alors compris que j’étais amoureux de Cédric, mon demi-frère, une grosse chaudasse qui baisait avec tout ce qui bougeait... J’ai donc décidé de me faire une raison et de reprendre mes plans. Après m’être fait baiser par un beau black, Cédric s’est montré jaloux... et j’ai compris qu’il était aussi amoureux de moi. On s’est embrassé... et depuis il est comme métamorphosé... Il est très câlin et il me promet de quitter son copain actuel. Cependant, il m’a fait une révélation qui m’a un peu chamboulé : il baise régulièrement avec mon père. Il a tenu à me raconter comment il en est venu à ça... Son récit m’a rendu jaloux... et fou de rage. J’ai immédiatement quitté la maison : je voulais noyer mon chagrin. Dans un bar, un mec m’a dragué et j’aurais presque succombé à son charme si Cédric n’était pas arrivé pour m’avouer son amour et me promettre d’arrêter de coucher à droite et à gauche.

Cela fait deux mois que je suis vraiment en couple avec Cédric. Nous avons dit à ma mère et son beau-père que Cédric et moi emménagions ensemble. Par contre, pas en tant que couple. Cédric a surmonté sa flemme légendaire et il s’est trouvé un petit boulot, tout comme moi. Je crois que ma mère est contente de ne plus avoir son beau-fils dans les pattes... elle ne l’apprécie pas vraiment.

Mais un jour, je vois que Cédric prend son téléphone et qu’il ferme vite le message reçu. En colère, je lui demande de me le montrer. Il me le passe, confus. Je vois que c’est un message de mon père qui aimerait revoir mon amoureux. Je me dis alors qu’il est temps de clarifier les choses.

Le week-end suivant, je dis à mon père que je passe le voir. Il est surpris de voir apparaitre Cédric à mes côtés quand il m’ouvre la porte d’entrée. Il nous fait entrer.

- Je ne savais pas que ton demi-frère venait. Je pense pas avoir assez cuisiné.

- Papa, il faut qu’on parle.

On s’assoit alors sur le canapé dans le salon et démonstrativement, je prends Cédric dans mes bras et je lui roule une grosse pelle ... très longue. Je sens déjà ma queue frémir. Nos lèvres finissent par se quitter et je lui dis :

- Arrête d’envoyer des messages à Cédric ! On est ensemble !

- Quoi ?

- Oui !

- Je savais pas que tu étais gay, Nico...

- Et je ne le savais pas non plus de toi.

- Comment ?

- Cédric m’a tout raconté ! Et j’ai vu tes derniers messages !

- Ah !... Et ça fait longtemps que vous êtes ensemble ?

- Depuis presque 2 mois.

- Ah, je comprends mieux pourquoi Cédric ne répondait plus à mes messages.

Il le regarde d’un air attristé.

- Oui ! Il ne veut plus de toi ! Donc, maintenant arrête de le harceler.

- Eh ! Mon fils ! Parle-moi mieux que ça !

- Cédric est à moi. Accepte-le !

- C’est bon ! Nico, je l’accepte ! Ne me soûle pas ! Et arrête de parler de Cédric comme si c’était ton trophée !

La confrontation dure un petit moment. Puis, on se calme tous et finalement, je demande :

- Depuis quand tu es PD ?

- J’ai toujours eu ces pulsions. Mais par conformité, j’ai choisi d’épouser ta mère... ce que je ne regrette pas ! Mais certaines choses et certaines personnes (il regarde Cédric) m’ont fait comprendre que je veux vivre mes pulsions. Ça n’a pas plus à ta mère bien sûr.

- Elle est au courant !?

- Oui.

- Elle ne m’a rien dit ! Et c’est pour ça que vous avez divorcé ?

- En partie. Mais y a pas que ça... Et toi alors ?

- Moi, j’ai toujours su que j’étais homo. Déjà petit, je fantasmais sur Éric.

Éric était un ami de mes parents, policier, super bien gaulé, que je matais sans arrêt, surtout quand on allait à la plage ensemble.

Mon père et moi parlons ainsi ouvertement, ce qui me fait du bien, faisant ainsi éloigner cette colère que j’avais.

Cédric et moi rentrons finalement à l’appartement... et une envie s’empare de moi. Je prends les joues de Cédric dans mes mains et je lui dis :

- Tu m’appartiens, ma petite salope !

Et c’est comme si un lion rugissait en moi ! Je ne me sens plus. Je le jette sur le lit, je me précipite sur lui et je le déshabille. Je vois son magnifique corps devant mes yeux.

Cédric a 23 ans, il est mince, musclé sec. Il a des épaules assez larges avec des biceps bien développés. Il a un corps en V, avec un torse musclé : ses pectoraux sont bien apparents ainsi que ses tablettes de chocolat. Il a une coupe de cheveux à l’iroquoise : ses cheveux, châtains, sont rasés sur les côtés et sur le dessus, il a une touffe. Il a des tatouages sur le torse, les avant-bras, le ventre, les mollets. Sa queue de 18 cm et ses couilles sont assez foncées. Ces-dernières sont grosses. Les poils de son pubis et de ses couilles sont bien entretenus : ses couilles sont rasées et son pubis a un léger duvet, tout comme son ventre. Il a des cuisses bien musclées ainsi que des mollets et des pieds imposants. Des poils drus et épais recouvrent toutes ses jambes.

Je lui roule une pelle torride tandis que je branle sa belle teub avec furie. Je me mets ensuite debout, au-dessus de sa bouche où j’enfonce ma bite. Je lui fais faire une gorge profonde puis j’entame des mouvements rapides. Je lui démonte la bouche. Je sens mes couilles lui frapper son menton, j’adore le bruit.

J’attrape sa tête dans mes mains et je m’en sers comme d’un jouet sexuel. Il subit mes assauts comme une chienne. Je lui pilonne la bouche, je lui enfonce mes 17 cm bien profondément dans sa gorge. Je l’attrape par les cheveux et j’augmente la vitesse, enfonçant ma bite le plus loin possible dans sa gorge. Cédric me regarde droit dans les yeux où je peux lire son plaisir, il aime cette façon macho que j’ai de le traiter.
Je quitte ensuite sa bouche et je lui mets une grosse fessée en disant :

- Mets-toi à quatre pattes !

Je crache sur son trou et j’y enfonce ma bave avec mon gland. Et je lui enfonce ma queue au plus profond de ses entrailles. Puis, je saisis ses hanches et je demande :

- Tu veux que je te défonce ?

- Oui, mon amour !

- Dis que tu veux ma queue !

- Je veux ta queue, Nico !

Je commence des allers-retours profonds et violents.

Au bout d’un moment, je lui saisis ses cheveux et je le défonce en l’embrassant dans le cou.

- Tu es à moi, hein, ma petite pute ?

- Oui, Nico, je t’appartiens.

Cette révélation me ravit et je le défonce avec plus de vigueur. Cédric gémit fort. Je le ramone pendant bien 10 minutes comme un bourrin. Je lui impose mon désir et mon envie de possession. J’adore lui donner de grands coups de bite ou de grandes fessées pour marquer mon plaisir et mon envie de dominance. J’adore entendre mes grosses couilles retentir contre le cul musclé de mon demi-frère.

Je le pilonne sans pitié. Je me rends compte alors que je me sers de mon amoureux comme d’un trou sur patte... et ça m’excite grandement. Ma queue entre et sort de son anus. Je donne des coups de queue super forts, sortant complètement de son cul pour y revenir violemment, plantant ma bite jusqu’à la garde. Je le baise très vite, avec des petits mouvements saccadés.

Finalement, je jouis une bonne quantité de sperme dans ses entrailles. Ma queue restant dure, je tasse mon jus qui déborde hors de son anus. Je finis par en ressortir, la bite blanche de sperme. Je la lui donne à bouffer et il la nettoie. Essoufflé, je lui dis :

- Tu m’appartiens, mon petit Cédric !

- Oui, mon amour !

Je me couche sur le lit, épuisé et Cédric vient se blottir dans mes bras. Je suis satisfait. Je me sens bien, rassuré d’avoir parlé à mon père et d’avoir marqué mon territoire.

Quelques instants plus tard, Cédric me dit :

- Tu as été un peu dur avec ton père...

- Tu trouves ?

- Oui, tu aurais pu faire preuve de plus de délicatesse.

- C’est vrai, tu as raison..., dis-je avec mauvaise conscience.

Le lendemain, je décide de rendre visite à mon père pour m’excuser pour mon manque de tact. Vu que j’ai la clé de la maison, je ne réfléchis pas et je rentre dans la maison sans me poser de questions... C’est là que j’entends des bruits bizarres au premier. Je monte et j’entrouvre la porte et je vois alors mon père sur le dos, les jambes relevées, en train de se faire prendre ! Il est en train de se faire baiser par un mec ! Mais attends ! Il est certes de dos, mais il me semble le reconnaitre. Je sursaute de surprise quand je me rends compte de qui baise mon père...
A suivre...

Merci à David pour ses idées.

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