Mon gros membre 2

Mon gros membre

Chapitre 2

Salut à tous,

Je m’appelle Nico, j’ai 32 ans et j’ai ouvert il y a quelques années un groupe d’aide aux personnes dans le genre alcoolique anonyme. Mais ce n’est pas un problème d’alcool qu’ont les participants à ce groupe. Ils ont des problèmes liés à leur grosse verge. Certains ont des problèmes de poids, certains ont des problèmes d’addiction... comme certains ont des complexes ou des ennuis à cause de ce qu’ils ont entre les jambes. Dans le premier chapitre, je vous ai raconté comment Tom m’a donné l’idée de commencer ce groupe qui s’appelle « Mon gros membre » et où les mecs viennent parler de leurs problèmes ainsi que de leurs traumatismes...

Tom m’a aidé à créer ce groupe dans les locaux d’une association de quartier. Le premier mois, nous nous sommes retrouvés à deux, nous n’avions pas de succès, et à défaut d’aider des gens, on a baisé ensemble.

Mais un soir, alors que on était en train de désespérer de ne voir personne, je commence à sucer Tom. Je me suis fait à sa bite de 24 cm que j’arrive désormais à avaler en entier. Au moment où je lui fais une gorge profonde, la porte s’ouvre, alors je me relève immédiatement et Tom se rhabille. Le nouveau venu se tient devant nous, un peu surpris, choqué et prêt à rebrousser chemin. On le met alors en confiance, on lui dit de rester, on lui explique tout et finalement, il s’assoit.

Il dit qu’il s’appelle Jonathan. Il est assez petit (1,65m), il mince, brun, les cheveux courts. Il porte une barbe. Tom et moi le mettons à l’aise et je lui demande s’il aimerait se présenter et de raconter ce qu’il fait. Il est hétéro, il a une femme et deux enfants. Et il déprime car il ne trouve pas de job et... en partie à cause de sa queue. Tom ne le comprend pas.

Jonathan se lance :

- Vous savez, la plupart des mecs aimeraient avoir une queue plus grosse, plus longue. C’est confirmé par des études. Je fais partie des 1% de la population qui a un « super pénis ». Mais pour moi, c’est un enfer depuis que je suis ado. Il suffit que je porte un jean un peu serré pour que les gens fixent ma bosse dans la rue. Certains me disent : « Vous pourriez cacher votre truc », « Vous n’avez pas honte ? », « Faites quelque chose ! »

J’observe alors que Jonathan porte un pantalon de jogging et en effet, je remarque son membre le long de sa cuisse avec un gland bien dessiné. Il continue :

- Mais quoi que je fasse en fait, on peut voir ma queue à travers chaque vêtement.

J’admire son membre qui est bien moulé par le tissu. Sa bite est longue, avec un gros gland. Au repos, elle est plus longue que sa main. Je dirais 18 cm.

- Si je porte un caleçon, j’ai l’air d’avoir un hamburger dans le pantalon. Si je n’en porte pas, j’ai l’air d’avoir une trompe d’éléphant le long de ma cuisse. J’ai trouvé une solution plus ou moins bonne... Je dois acheter des caleçons spéciaux... car sinon ma bite tombe le long de ma jambe... Ces caleçons me coutent cher... et ce sont des caleçons qui sont plus ample au milieu pour que j’y glisse ma bite comme dans une poche.

Ce qu’il dit me fait l’effet ... j’essaie de cacher mon début d’érection...

- Tout a commencé quand j’étais jeune à l’école à l’adolescence... un de gars de ma classe est venu vers moi et m’a dit : « C’est vraiment dégueu ! Range ta teub ! ». Et peu après, s’en sont suivis des rumeurs dans l’école, tout le monde voulait participer à la devinette qui était : savoir quelle taille mon engin avait. Dans les douches, j’entendais : « J’avais raison ! », « Putain, il est plus gros que ce que j’ai parié ». Je suis petit et ma bite fait 15% de ma taille. Quand je bande, ma queue est plus grosse que mon avant-bras ! Ça a toujours fait peur à toutes les meufs ! Beaucoup de femmes ont refusé de coucher avec moi. J’ai eu ma première fois assez tard ! Vous savez, je peux passer la main autour de mon poignet... mais pas autour de ma bite...

Je calcule dans ma tête, sa queue doit faire 25 cm. Ma bite a une demi-érection que j’essaie de cacher.

- Quand je vais au sport, dans les douches, les mecs pensent que je bande ! Mais non ! Ma queue est bien au repos, dis-je. Même si la moitié de ma bite, qui est plaquée contre mes boules, pend verticalement. Je ne peux pas cacher mon morceau ni ma bosse dans mon caleçon.

Je m’imagine la scène... et là, on voit carrément ma bite tendue dans mon jean. Je croise les jambes, essayant de cacher tout ça. Jonathan ne semble rien avoir remarqué.

- Et voilà mon dernier problème en date... A la fin d’un entretien d’embauche, on m’a signalé que je n’aurai pas le poste en raison de « mon comportement inapproprié ». Je me suis demandé pendant un moment ce qu’elle voulait dire... et j’ai fini par appeler pour comprendre... j’ai alors appris que les recruteurs ont pensé que je bandais pendant tout l’entretien car ils ont pu voir ma queue tout le temps.

Tom et moi écoutons et nous parlons avec lui. Tom raconte son expérience et je pense que nous parvenons à aider Jonathan. Il reviendra en tout cas à toutes les prochaines séances.

Un mois plus tard, il me prend à part à la fin d’une séance.

- J’ai vu le premier jour où je suis arrivé que tu taillais une pipe à Tom. Sa queue avait l’air bien grosse aussi. Et depuis, cette image ne peut pas quitter mon esprit.

- Je suis désolé, Jonathan, je ne voulais pas... mais Tom m’excitait bien, tu le sais, c’est comme ça que m’est venu l’idée de former ce groupe d’entraide.

- Oui, je sais. Mais tu es arrivé à lui faire une gorge profonde... avec ses 24 cm, c’est ça ?

- Oui, en effet.

- J’ai envie de la même chose...

Je le regarde, surpris, voir même excité... mais je dois rester professionnel...

- Ecoute, tu es mignon... mais ce n’est pas le but de ce groupe. Désolé.

- Je pense que ça pourrait m’aider à aller mieux.

- Comment ça ?

- J’aimerais qu’on me prenne ma queue entièrement en bouche. Ça ne m’est jamais arrivé et je pense que ça pourrait m’aider à aller mieux.

Je me dis que c’est une excuse bidon...

- Tu sais, j’ai bien vu que mon récit t’a excité à notre première réunion... tu bandais.

Sans attendre, il sort sa bite de son pantalon. Et comme je m’en doutais, c’est une massue de bien 18 cm qui se trouve dans ses mains. Sa queue est molle et semble bien lourde. Le gland a l’air super gros, enfermé dans un long prépuce.

Jonathan se met à caresser son anaconda qui s’allonge et qui gonfle. Il a bien 25 cm entre les jambes. Sa bite est incroyable, veinée, large. Comme hypnotisé, je me mets entre ses cuisses et je saisis délicatement son monstre. Je ne le prendre qu’à deux mains pour en faire le tour complet. Jonathan se déshabille alors. Il est maigre, sans un poil sur le torse. Il a quelques poils noirs sur son pubis. Ses boules sont grosses et semblent bien pleines.

J’approche mes lèvres de son morceau et son gland glisse dans ma bouche. J’enfonce ensuite sa bite plus loin dans ma bouche. Ça bloque, ma mâchoire est ouverte en grand. Je n’ai qu’un tiers de son anaconda en bouche !

Je vais des va-et-vient et finalement, une plus grosse partie de sa queue s’enfonce. Et après de longues minutes, je me retrouve avec le nez dans son pubis et sa queue entièrement dans ma gorge. Je m’étouffe presque. Je ressors et je répète l’opération. Et je me mets à monter et descendre sur sa teub. Je m'applique mais ce n’est pas facile. J’essaie de ne pas le blesser avec mes dents. Mes mains caressent ses grosses couilles poilues. Jonathan, lui, ferme les yeux et il soupire de plaisir.

Ensuite, il se penche sur moi et il introduit un doigt dans mon anus qui mouille déjà bien.

- Je ne pense pas que ça rentrera, dis-je avant de reprendre ma suce.

Il prend un tube de gel de sa poche (le petit coquin a tout prévu) et il me doigte immédiatement avec plusieurs doigts. Puis, il approche sa grosse bite de mon trou en m’écartant bien les fesses. Son énorme gland entre en moi, sans capote. Il a du mal à passer, je gémis très fort, je sens déjà mon trou bien rempli... Il se met à donner de petits coups de reins, faisant lentement entrer sa queue en moi. Je serre les dents mais j’essaie de me détendre. Son monstre de chair entre de plus en plus en moi mais je ressens quand même de la douleur. Il y va très doucement. Son gland écarte mes sphincters. Centimètre après centimètre, son anaconda s’enfonce en moi, ouvrant mon cul en grand. J'imagine cette queue énorme disparaissant lentement dans mon trou dilaté. Je pourrais presque jouir rien qu’à cette pensée.

La descente me paraît interminable ... mais au bout de quelques minutes, je m’étonne que son anaconda soit complètement en moi. Il reste pendant plusieurs minutes ainsi, attendant que ma douleur passe et que mon trou s’habitue à son morceau... avant de se mettre à faire de petits va-et-vient.

- Ton trou est trop bon... Je le désire depuis que je t’ai vu la première fois sucer Tom.

- T’es pas hétéro ?

- Si... mais tu as l’air vraiment trop doué pour ne pas t’essayer.

Il me baise ainsi pendant de longues minutes. Parfois, il sort complètement sa queue de mon cul qui ressent un grand vide. Puis, il me renfonce sa queue en entier, violemment. N’en pouvant plus, je lui dis :

- Baise-moi à fond ! Je veux sentir ta grosse bite en moi !

Jonathan sourit. Il n’a pas souvent entendu ce genre de phrases. Ses lents mouvements font place à des va-et-vient plus sauvages et rapides. Je gémis à chaque aller-retour. Ma prostate se fait percuter à chaque coup de queue. Je ne souffre plus, je ne ressens plus que du bonheur sous les assauts de son énorme queue. S’ensuit un pilonnage de mon anus qui est maintenant bien ouvert. Ses grosses couilles me fouettent les cuisses. La sensation est démente. Je me sens déchiré, dévasté. Son gros morceau me masse la prostate à fond. Son gros gland me pilonne le fond de mon cul.

Il continue de me baiser pendant 30 minutes, martelant le fond de mon cul toujours plus vite. Au bout d’un moment, ma prostate n’en peut plus de se faire défoncer et je jouis sans les mains. Ma bite laisse échapper 5 jets de sperme qui atterrissent sur bruyamment sur le sol. Les contractions de mon cul précipitent sa jouissance. Il hurle :

- Je vais te féconder...

Il se bloque dans mon cul et je sens alors son sperme chaud envahir mes entrailles. Je le sens sortir de sa bite en grandes giclées et monter vers la sortie de mon anus. Au bout de quelques giclées, son jus abondant sort en explosant tel un volcan hors de mon cul.

Jonathan ressort de mon anus. J’ai cru qu’il n’allait jamais s’arrêter de me remplir. Mon trou est béant, complètement explosé et le jus en coule telle une fontaine. Je peux à peine tenir sur mes jambes. Nous nous rhabillons et Jonathan me sourit avec un sourire malicieux. On sort, je sens encore mon trou grand ouvert. Il se penche sur moi et me dit avant de partir :

- Je crois qu’on va baiser souvent ensemble.

Il s’enfuit par la porte après m’avoir embrassé sur la joue.

A suivre...

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