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HISTOIRE

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Trop

Chapitre-1

Découverte.

J’avais planté ma tente sur un petit tertre dominant la plage qui s’étendait sur environ 400 mètres. Arrivé tardivement, et étant un peu fatigué de mon voyage, je réchauffai rapidement une quiche sur mon petit butane puis me déshabillai et me couchai sur mon sac de couchage car, malgré le temps couvert, la température était encore clémente.

Je commençais à lire un roman à la lueur de ma lampe de poche quand, distrait par un bruit, j’arrêtai ma lecture. Je restais ainsi, aux aguets mais comme rien ne se passait, je posai mon livre et éteignis la lumière. Tout en commençant à somnoler, je me mis à penser à Sophie que j’espérais bien revoir l’année prochaine à la fac. Je me mis à l’imaginer nue, dans les toilettes de la piscine municipale, se masturbant doucement devant moi. Mon sexe se mis à se tendre et je l’empoignai fermement de ma main droite, la main gauche frottant le bout de mon sexe. Je m’imaginais devant elle, me masturbant également. Je jouis vite, éjaculant un beau foutre blanc sur mon sexe et ma poitrine. Comme toujours, je n’aimais pas rester ainsi. Je pris un kleenex et m’essuyai du mieux que je pu et m’endormis.

Je me réveillais vers 9 heures du matin et sorti de ma tente, encore nu, pour découvrir un ciel un peu grisâtre. Après avoir pris un café je décidai, malgré le temps, de descendre sur la plage pour me baigner et continuer mes lectures.

Pour me protéger du vent, je me posai dans une anfractuosité de la petite falaise, sur un sable encore légèrement humide. J’y étalai ma serviette et, étant alors seul sur la plage, je me déshabillai avant de passer tranquillement mon maillot de bain. Il n’y avait toujours personne sur cette petite plage, encadrée de rochers. Je marchai le long de l’eau trouvant cet endroit un peu triste. Je me mis à penser à m’installer ailleurs, dans un endroit plus accueillant. Je m’allongeai alors sur ma serviette et repris la lecture de la veille. Plongé dans ce roman, je n’entendis pas les pas près de moi. Mais sentant une présence je levai la tête et me trouvai nez à nez devant un sexe en érection, à près de deux mètres de moi. Ce fut un choc très particulier, pas désagréable. Je n’avais vu un sexe de garçon si près de moi en érection même si j’avais déjà vu à la piscine le sexe de mes camarades de classe en train de se déshabiller. Mais cette vue ne m’avait pas particulièrement excité.

Sans m’adresser la parole le garçon se rapprocha plus encore de moi et colla son sexe à quelques centimètres de ma bouche. Ma seule réaction fut la fascination : mon sexe se tendit instantanément dans mon slip alors qu’en même temps je reçu une giclée d’urine sur mon visage et sur tout mon corps. La sensation de ce liquide chaud et odorant sur mon corps fut une surprise totale. Je fus alors saisi du désir de mettre son sexe dans ma bouche, ce que je fis alors que de l’urine en sortait encore. J’étais au bord de l’explosion, je commençai à le sucer avec délice, ma bouche débordant de pisse. C’était vraiment extraordinaire, une première inoubliable. Ma main s'était posée sur son sexe et je lui caressai de l’autre main les couilles qu’il avait glabres. Il vint rapidement et, pour la première fois de ma vie, je goutai au sperme blanc et onctueux qui gicla dans ma bouche. Une partie en coula sur mon ventre car j’étais à genoux devant lui. Je n’en revenais pas ! Je retirai alors mon maillot de bain, bandant comme un fou.

Toujours sans m’adresser la parole, Claude s’allongea à mes côtés, sur le sable, et me fit un signe que j’interprétai comme une invite à pisser sur lui. Je me mis au-dessus de lui et m’efforçais de pisser sur lui. Il me fallut une bonne minute pour y arriver : un jet chaud jaune clair sortit doucement puis de plus en plus rapidement de mon sexe, arrosant copieusement son corps d’ado. Alors que je l’arrosais il se mit à genoux et avala mon sexe et mes couilles dégoulinantes de pisse. Je ne résistai pas longtemps et éjaculai une masse de sperme comme jamais je ne l’avais fait. En en gardant dans la bouche, comme je l’avais fait moi-même précédemment il recracha mon sperme sur mon visage et mon corps. Mouillé de sperme et de pisse, je massai de nouveau mon sexe avec passion. Devenu dingue de plaisir, je me couchai sur son sexe et commençai à lécher son corps couvert de pisse et de foutre. Mon sexe, comme le sien était déjà en érection. Claude se mit également à me lécher et repris mon sexe dans sa bouche. Assez naturellement, toujours sans avoir échangé un mot, je pris son sexe dans ma bouche. Cette fois-ci, nous n’éjaculâmes pas si rapidement. Je lui léchai les couilles, le reprenais dans ma bouche, lui léchai les tétons et revenais à son sexe. Dieu que tout cela était bon ! Nous éjaculâmes simultanément sans pouvoir retenir de petits cris de plaisir. Le sperme nouveau se mélangeait à l’ancien et la douce odeur de pisse envahissait nos sens.

Tout cela s’était passé en quelques minutes. Je ne revenais pas de ce qui m’arrivais et j’avais encore tous les sens émoustillés par cette incroyable expérience. C’est alors que je pris le temps de regarder Claude : il avait dans 21 ans, grand, les cheveux bouclés mi-longs et bruns, un corps musclé mais sans plus. Je n’avais jamais pensé à une telle débauche car, jusqu’alors, seules les filles m’avaient attiré même si mes contacts avec elles n’avais été que de simples baisers bien platoniques.

Alors que je relevais la tête je vis avec effroi un jeune homme nu, perché sur un rocher à quelques mètres de nous qui se masturbait violemment. Son sperme gicla abondamment sur ses jambes. Claude sourit à ce moment, me faisant signe qu’il n’y avait pas de problème ! Encore sous ce second choc, je m’apprêtais à remettre mon maillot de bain pour aller me laver dans la mer quand, pour la première fois Claude m’adressa la parole pour me dire que nous étions sur une plage naturiste et qu’il n’y avait pas lieu de mettre un maillot.

La plage était toujours déserte. Un peu gêné et honteux, car c’était une première pour moi, je me relevai et, accompagné de Claude, nous allâmes nous baigner dans l’eau fraiche. Alors que nous remontions vers nos serviettes, Claude me dit que l’homme qui nous avait regardé nous branler et pisser était son frère de 24 ans, Pascal. Claude me dit que c’était la troisième fois qu’il avait une relation sexuelle et qu’il rêvait de répéter cette expérience avec d’autres garçons et filles de son âge.

Nous nous séchâmes au soleil qui revenait lentement. Je goutais au plaisir d’être nu, le vent caressant doucement mon ventre, mon sexe et mes couilles.

Plusieurs personnes arrivèrent sur la plage, en majorité des hommes autour de la quarantaine qui jetaient de discrets regards sur nous en passant. Je découvris alors des corps nus, des sexes petits, gros, certains presque turgescents, des culs de toutes les tailles et formes.

Pascal s’était allongé entre nous, et s’était mis à nous branler doucement et discrètement. Mais pas suffisamment pour quelques-uns de ces hommes passent et repassent lentement devant nous, à quelques mètres, avec des bites qui s’allongeaient ! Je découvrais à ce moment-là le plaisir d’être regardé par d’autres hommes et de les voir bander.

Quelle journée ! Le soleil avait disparu et une fine pluie se mit à tomber. Nous quittâmes la plage avec regret pour aller nous réfugier dans une buvette à quelques centaines de mètres de la plage. J’avais toujours le gout de la pisse et du sperme dans ma bouche et regrettai de le perdre en buvant un verre. Pascal sentait encore le sperme car lui ne s’était pas baigné. Et moi, je bandais de nouveau comme un fou furieux à tel point que je jouis dans mon slip dès que je posai ma main sur celui de Claude.

Mes deux compagnons étant attendus pour déjeuner, nous nous quittâmes pour nous donner rendez-vous le lendemain sur la plage. J’aurais voulu qu’ils restent, que nous passions l’après-midi ensemble pour jouer de nouveau…

Je rejoignais ma tente et encore tout excité, je me masturbais plusieurs fois avec frénésie en reniflant mon slip encore humide de sperme. A la suite de quoi, épuisé, couvert de mon sperme (je ne voulais plus me laver pour jouir encore du souvenir de cette première merveilleuse expérience) je m’endormis pour me réveiller en fin de journée. Je préparais mon modeste diner quand, vers 20h un jeune homme que j’avais vu passer devant nous alors que nous nous faisions masturber se pointa à côté de moi et me sourit. Faisant semblant d’ignorer qu’il nous avait vu, nous commençâmes à discuter de choses et d’autres. Je lui proposai de partager un verre avec moi, ce qu’il accepta immédiatement. Je commençais de nouveau à bander et ma bite se tendit rapidement dans mon slip. C’est alors que Frédéric le vit et se colla près de moi et commença de me caresser le sexe à travers l’étoffe de mon short. Frédéric était blond, svelte, âgé d’environ une vingtaine d’année.

La pluie se mit à tomber et j’invitai Frédéric à me suivre sous la tente. A peine entrés, nous nous déshabillâmes et commençâmes à nous sucer avec frénésie. Alors que nous étions au bord du plaisir, Frédéric s’arrêta et se mit à califourchon. Il ouvrit la bouche pour me dire : « encule-moi ». Je n’étais pas surpris par sa demande car j’avais souvent pensé à ça en me masturbant. Mais je pensais que c’était moi qui serais enculé et non l’inverse. Le sexe en complète érection, je l’approchai de ses fesses et commençait á effleurer son anus. A ce moment-là, Fred se tourna vers moi et me dit : « tu ne vas pas m’enculer à sec ! Si tu n’as pas de lubrifiant, lèche-moi bien le cul avant ». J’eu une pensée de révolte car je n’avais jamais imaginé que cela se faisait. Je n’étais pas très certain de vouloir le faire. Mais ne voulant pas passer pour un idiot, je me penchai sur ces fesses, commençant par lécher le pourtour de son trou tout en caressant son sexe et ses couilles comme si j’avais déjà fait ça cent fois ! Finalement, je commençais à lécher son trou en y introduisant d’abord un doigt puis ma langue. Cela ne sentait rien si ce n’est que le parfum du liquide qui suintait de sa queue en érection. Je prenais gout à ce mélange et mon sexe se tendit encore plus. N’y tenant plus, je conduisis mon sexe vers son trou et pénétrais doucement dans son anus. J’eu beaucoup de mal à ne pas éjaculer immédiatement et commençais tout doucement à le pomper. Mais, n’y tenant plus, j’éclatais en masse dans son cul. Je me retirai et mon sperme commença à couler de son anus. Je me baissai et commençai à lécher ce sperme et à m’en barbouiller la figure. Jamais je n’avais imaginé dans mes fantasmes masturbatoires une telle débauche des sens.

Mais Frédéric n’était pas rassasié… Il commença par me sucer pour que ma bite présente un aspect « correcte ». Puis, mettant ses deux genoux autour de ma tête, il mit son sexe dans ma bouche. Je le suçais avec passion jusqu’à ce que son liquide n’éclate dans ma bouche. Son sperme était doux, un peu pâteux et avec un gout de sel. Je pris tout dans ma bouche puis le recrachai dans ma main pour m’en enduire le corps. Frédéric me demanda s’il pouvait dormir avec moi cette nuit. J’acceptai avec plaisir et rassasié, crevé, je m’endormis rapidement.

Au réveil, le temps n’était toujours pas au beau. Après un petit déjeuner léger mais arrosé avec beaucoup de café, nous descendîmes sur la plage pour nous allonger nus dans mon coin discret, si l’on peut dire. Quelques minutes plus tard, Pascal et Claude arrivèrent et commencèrent à se déshabiller, montrant déjà un début d’érection. Je présentai Fred aux deux frères sans m’appesantir sur notre soirée de la veille.

Il n’y avait encore personne à la ronde. Pascal se leva et commença sans rien dire à nous arroser d’une pisse claire et chaude. Nos trois langues aspiraient le liquide et nos trois bouches se bataillaient pour son sexe et ses couilles. Fred ne fut pas surpris et fut le suivant à nous arroser. Puis ce fut le tour de Claude. Nous étions trempés, de la tête au pied, la bouche dégoulinant de pisse, nos bites dures comme du fer. J’avais envie d’être couvert de leur sperme. Je m’allongeai et leur demandai alors de se masturber sur moi. Le premier à venir fut Claude qui m’envoya une giclée sur ma figure et mon torse. Frédéric vint rapidement après, m’envoyant son sperme sur mon visage. Enfin Pascal frotta son sexe sur mon ventre et lança un long jet de sperme créant un contact onctueux entre nos deux corps. Quel pied ! J’étais couvert sur tout le haut de mon corps d’un mélange délicieux de pisse et de sperme. Comme j’aurais voulu me lécher tout le corps et me tailler une pipe ! Mais Pascal en voulait plus. Il me demanda de me mettre à genoux et d’écarter les fesses. J’eu un peu peur d’avoir mal mais la tentation était grande. Pascal commença à lécher ma rondelle avant d’introduire sa langue puis son doigt dans mon trou. Il sentit bien que ce serait une première pour moi et éjacula sur l’entrée de mon trou, répartissant son foutre avec son doigt autour et dans mon cul. Frédéric, comprenant que c’était pour me lubrifier enduit son sexe du reste de sperme et commença sa lente pénétration. Claude, de son côté, approcha sa bite de ma bouche. Je l’avalais avec joie et commençait à le sucer doucement. Du côté de mon cul, Fred avait introduit délicatement l’entièreté de son sexe dans mon trou. Pascal se mit sous moi et commença à me sucer.

Tous mes sens étaient affolés. Mon cul s’ouvrait progressivement et la bite de Fred coulissait comme un doux piston dans mon anus. La pisse et le sperme qui me couvraient encore, ma bite dans la bouche de Claude, la mienne dans celle de Pascal. Quel feu d’artifice ! Synchronisés, nous éjaculâmes tous ensemble. Du sperme dans ma bouche, du sperme dans mon cul alors que j’éjaculais dans la bouche de Pascal. Du sperme et de la pisse suintaient de tous nos corps d’ado. Nous nous léchâmes les uns les autres, tripotant le sexe et le cul de chacun d’entre nous. Quel festival !

Sans que nous nous en soyons aperçus, le soleil avait commencé à poindre… ainsi que quelques personnes. Bien que nous nous fussions dissimulés en bout de plage, derrière des rochers, certains avaient découvert notre manège. Deux d’entre eux se masturbaient, sans se dissimuler et, rapidement, jouirent l’un sur l’autre. C’était stimulant et j’appréciai d’être regardé par ces voyeurs.

Nous allâmes nous baigner dans une eau toujours fraîche. Au sortir de l’eau, nous avions toujours envie de sexe qui bandaient à la vue des personnes présentes. Nos jeux recommencèrent, nous enculant, nous suçant, nous aspergeant du peu de pisse qui nous restait. Cette orgie des sens devait prendre fin en raison des nudistes nombreux qui commençaient d’arriver sur la plage. Je regardai avec envie ces corps nus, imaginant ce que nous pourrions faire en étant plus nombreux à jouer à nos jeux érotiques.

Un des hommes qui s’était masturbé en nous regardant s’approcha alors de nous. Il était magnifiquement équipé et nous proposa de le rejoindre dans l’après-midi dans sa maison, à quelques centaines de mètre de la plage. Je regardai mes compagnons et répondis que nous viendrions. Après un bain de soleil (nous avions pris soin de d’enduire de crème solaire nos sexes et nos culs de crème solaire, les uns les autres) nous quittâmes la plage pour déjeuner ensemble dans une gargote près de la plage. Encore tout émoustillés, nous nous caressâmes sous la table. J’éjaculai dans mon slip, sans aucun gène, comme les autres. Nous discutâmes alors de qui nous étions, d’où nous venions tout en buvant un maximum d’eau.

Après une courte sieste sage, nous primes le petit chemin vers la maison que nous avait indiqué l’homme qui nous avait invité. Nous nous doutions bien de ce qui nous attendait. La surprise vint du fait que, quand nous pénétrâmes dans le bungalow, une femme d’une trentaine d’année était également présente. Elle se présenta, s’appelant Claire. L’homme se prénommant Yann.

Nous commençâmes à bavarder autour d’un café et de petits gâteaux. Mais le naturel revient au galop : Claire s’assit sur le divan, entre Pascal et moi. Tout en parlant, elle commença à nous caresser à travers le tissu de nos shorts sur lesquels restaient des traces du sperme éjaculé pendant notre déjeuner. Puis elle mit sa main sous nos slips, empoignant nos bites. En quelques secondes, nos sexes bandaient déjà et se dressèrent vivement. Yann, de son côté, s’assit en face de nous, entre Fred et Claude et commença également à les masturber sous leurs slips.

Nos habits tombèrent rapidement et je découvris les superbes seins de Claire ainsi que son sexe déjà humide et bronzé. C’était la première fois que je voyais et touchais une femme entièrement nue ! Yann se leva et nous proposa de le rejoindre sur la terrasse du bungalow, terrasse protégée du chemin par une haie. Son sexe était le plus gros de tous et nous le regardions avec envie. Claire nous demanda de nous mettre à genoux, ce que nous fîmes tous les quatre. Elle s’approcha tout d’abord de moi et commença à me pisser dessus. J’ouvrais grand la bouche, buvais sa pisse et commençais à lui lécher le sexe. Mais elle passa à Pascal, à genoux près de moi. Je me précipitai pour coller son sexe dégoulinant de la pisse de Claire dans ma bouche et commençai à le sucer tout en léchant ses couilles, ses tétons et poussant mon index dans son beau cul. Claire arrosa les suivants de sa pisse chaude et gouteuse. Ensuite Claire se coucha sur le sol et nous demanda de l’arroser également de pisse et de foutre, de la branler et de l’enculer. Mon sang ne fit qu’un tour, comme les autres, et nous la couvrîmes de pisse. Je profitais de ce moment pour sucer son sexe dégoulinant de pisse avant de me redresser pour enfourner ma bite dans sa vulve qui était chaude et déjà très mouillée. C’était divin pour une première. Yann se rapprocha de moi et enfila sa grosse bite dans ma bouche. Je pompai comme un malade tout en baisant Claire. Fred se mit derrière moi pour m’enculer après m’avoir lubrifié de sa langue. Claude, de son côté se faisait masturber par Pascal et Yann. Tout d’un coup mon sexe se retrouva comme enveloppé par une chaude rivière alors que Claire poussait un fort cri de plaisir. Je ne compris pas ce qui se passait mais c’était délicieux. Alors que Fred éjaculait sur moi, un puissant jet sorti de la vulve de Claire, frayant son chemin autour de mon sexe. Je fus éclaboussé jusqu’à la hauteur de mon cou. C’était divin. Je découvrais pour la première fois ce qu’était une femme fontaine. Je compris que ce que j’avalais n’était pas de la pisse mais autre chose dont j’ignorai l’existence. En en voulant encore, je me couchai entre les jambes de Claire, toujours enculé par Fred, et la léchais furieusement, un doigt dans son trou. Un nouveau jet puissant me frappa sur tout le visage. Jamais je n’avais pensé qu’un tel plaisir existait. Fred ne tarda pas à jouir de nouveau dans mon cul et, en remerciement, se saisi comme il put de mon sexe pour me masturber. Sur le point d’exploser, couvert d’urine et du foutre de Claire, j’éjaculais sur sa figure.

Il était temps de reprendre des forces ! Nous nous relevâmes pour constater qu’un jeune homme nous avais regardé dans une faille de la haie, tout en se masturbant. Un autre, invisible, était en train de crier de plaisir. Nous les ignorâmes et allâmes nous restaurer et boire à l’intérieur. Nous étions encore tout couvert de sperme, de pisse et du lait de Claire. Tout en discutant, chacun de nous masturbait lentement son voisin. J’avais la chance d’être assis à côté de Yann dont la bite grossissait d’instant en instant. Quand je me rendis compte qu’il allait éjaculer, je pris son sexe dans ma bouche et reçus une giclée de son délicieux sperme. Claude, assis de l’autre côté me suçait également et reçu une giclée de mon sperme qu’il conserva, le temps de me le laisser couler dans ma bouche. Pas encore rassasié, Yann me demanda de m’assoir sur le bord d’une commode, prit un gel lubrifiant et commença à introduire son vit dans mon cul. J’eu un peu de mal au début vu la grosseur et la dureté de sa bite. Mon trou se relâcha et il commença à me prendre profondément. A genoux, sous moi, Pascal commença à lécher alternativement les couilles de Yann et ma bite. C’était divin. Je ne savais plus où j’étais, je n’avais plus aucune retenue et pissai sur la tête de Pascal pendant que Fred, Claire et Claude nous mouillaient de leur pisse puis de leur sperme. Et Yann déchargea son sperme dans mon cul qui dégoulinait maintenant de mon foutre qui coula sur mes jambes.

Nous étions tous épuisés, couverts de pisse, de sperme et du lait de Claire qui nous avait tous copieusement arrosés. Mais aucun de nous n’avait l’intention de se laver après cette débauche, voulant conserver ces odeurs qui nous excitaient tellement.

Dès que nous reprîmes des forces, la partie recommença. Claire me demanda de l’enculer pendant que Fred baiserait sa chatte et que Claude le sucerait. Pascal, et Yann se masturbaient, s’enculaient, se suçaient et nous pissaient dessus jusqu’à épuisement de leur urine et de nos sens. Je n’en pouvais plus mais en voulais encore. Il était temps de nous arrêter et d’aller faire un tour sur la plage où nous nous baignâmes.

Passant devant un très jeune couple, je leur demandais s’ils avaient du feu. Charlotte me tendit un briquet pour allumer ma cigarette. Charlotte était rousse avec une belle poitrine tandis que son copain, Brice montrait un beau sexe, tout bronzé, bien allongé. Alors que le reste de la troupe, devinant mes intentions, s’était écarté, je commençai à bavarder avec eux. Je remarquai que le sexe de Brice n’était pas totalement au repos et qu’il me matait avec curiosité sinon envie. Après avoir discuté de tout et de rien avec eux, je leur proposai, sans rien demander à Yann, de nous rejoindre à sa maison pour le café, le lendemain. Après quelques simulations d’hésitations, ils acceptèrent.

Je me couchai, épuisé, Fred m’ayant rejoint sous la tente. Nous nous endormîmes très rapidement. Le lendemain matin, chacun vaqua à ses occupations sans que rien ne se passe mais attendant avec impatience notre séance de l’après-midi. J’avais tellement hâte de rejoindre mes amis pour le café, que mon sexe trempait déjà mon short. Nous étions encore tous habillés dans la maison quand Charlotte et Brice firent leur entrée dans le bungalow. Nous primes le café, allongé d’un délicieux Calva. Le maitre de maison, comme nous étions tous naturistes, proposa de nous mettre à l’aise. Charlotte eut l’air un peu gênée, Brice n’hésitant pas un instant. Au bout de quelques secondes son sexe commença à se gonfler, sans susciter sa gêne. Charlotte enleva lentement ses habits, toujours gênée. Soudain, elle fit une drôle de tête et commença à se masturber comme si elle était seule au monde. Brice commença à lui caresser les seins et le ventre pendant que nous autres commencions à nous masturber les uns les autres. Soudain, haletante, un jet puissant sorti de la chatte de Charlotte et nous éclaboussa. Ce fut le début d’un nouveau défoulement collectif. La pisse, le foutre, le lait de Claire et Charlotte se mêlèrent. Claire, debout, se rapprocha de Charlotte assise et commença à se caresser furieusement la chatte à la hauteur de son visage pendant que Claude lui léchait le trou du cul. Le visage de Charlotte fut soudainement inondé par le lait de Claire. Je me précipitais pour lécher Charlotte et absorber ce qui coulait sur son sexe. Quant à Brice, il commença à sucer Fred tout en demandant à Yann de l’enculer, ce qui fut fait. Pascal nous regardait en se branlant. Ma bite s’enfonça dans la vulve de Charlotte, encore trempée. Elle nous demanda de lui pisser dessus et que nous la prenions tour à tour. Je me retirai et laissai passer mon tour : j’avais envie de gouter au mélange de sperme de tous ceux qui jouiraient dans sa chatte. J’attendis mon tour en me branlant puis commençai à sucer sa chatte pleine de sperme délicieux dont je me gavais puis enfonçai ma langue dans sa vulve crémeuse. De nouveau, je senti la naissance d’un jet chaud. Je me retirai vivement et reçu sur tout mon corps un mélange de sperme et de cyprine. N’ayant pas encore éjaculé dans Charlotte, je demandai à Pascal de m’enculer et à Yann de me sucer. Yann s’occupa de mon dard avec délicatesse. J’éjaculais longuement dans sa bouche et il répandit ensuite mon sperme sur ma poitrine et ma figure. Pascal éjacula alors dans mon cul qui dégoulinai de sperme. Je n’en pouvais plus de plaisir.

Je rentrais seul, après avoir remis mon short qui couvert de traces humides suspectes, ce qui ne manqua pas d’attirer du regard des passants. Je pénétrai sous ma tente pour me préparer á une bonne nuit de repos. Apres avoir lu quelques pages de mon livre mes yeux commencèrent à se fermer. C'est à ce moment que j'entendis la fermeture de ma tente s'ouvrir et la tête de Charlotte se profiler. Elle s'approcha de moi et commença à m'embrasser doucement. C'était délicieux et je ressentis autre chose qu'une excitation sexuelle. Charlotte s'arrêta et se pelotonna contre moi pour me raconter qu'elle avait rompu avec Brice et que ce dernier était parti. Elle me demanda si elle pouvait rester avec moi quelques jours. J'avais été séduit par Claire dès mon premier regard sur la plage mais c’est avec plaisir que je lui répondis oui. Collé sur son dos, je m'endormis avec elle, son slip odorant contre mon nez.

Nous nous réveillâmes alors qu'un beau soleil brillait déjà assez haut dans le ciel. Nous décidâmes de nous baigner avant toute chose. Déshabillés, nous descendîmes sur la plage pour nous plonger dans l'eau. Encore trempés nous regagnâmes ce qui était devenu "notre" espace et nous jetâmes sur le petit déjeuner que nous avions apporté. Une fois ce dernier terminé Claire me proposa d'aller nous promener le long de la côte. Du haut du chemin, nous pouvions avoir une vue d'ensemble de la plage, y compris de l'anfractuosité où j'avais pensé être tranquille lors de mon arrivée quelques jours avant. Bizarrement l'herbe était largement foulée á l'endroit d'où nos ébats pouvaient être vus. Manifestement il y avait dû avoir quelques spectateurs qui avaient profité de nos exploits.

Charlotte, tout en marchant, se mit à me parler de notre journée d'hier pour me dire que tout ça était nouveau pour elle et que cette découverte l'avait transformée. Je lui confessai que j'étais dans le même cas qu'elle mais que j'étais encore vierge deux jours avant. Se confessant également elle me raconta sa première expérience alors qu'elle était en classe de troisième : invitée á passer la nuit chez une amie, elles s'étaient couchées dans le petit lit de celle-ci et s'étaient masturbées l'une l'autre, allant même jusqu’à lécher leurs cons. Elles avaient recommencé les nuits suivantes avec un plaisir toujours plus grand.

Après nous être promenés pendant près de deux heures nous décidâmes d'aller bouquiner sur la plage. Claude et Pascal nous attendaient à notre place "habituelle". Par contre ils ne nous avaient pas attendus pour jouer ensemble car de larges plaques de sperme séché brillaient sur leur ventre. Cela mis Claire et moi en appétit. Charlotte s'agenouilla et pris le dard de Pascal dans sa bouche tandis que de sa main elle enfilait son doigt dans mon cul. Je m'occupais de celui Claude. Tout occupé à le besogner, je levai les yeux et me rendis compte que deux jeunes nous regardaient en se touchant. Il est vrai que nous espérions être regardés pendant nos exercices car manifestement cela stimulait notre libido, si cela était encore possible ! Quelle fut ma surprise de découvrir que l'un des deux avait un sexe masculin tout en ayant des seins bien formés. Nouvelle première pour moi...

Du regard, j'invitai les deux à se joindre à nous, ce qu’ils firent sans hésitation. Cyrielle se présenta en premier puis ce fut le tour de Nicolas, son petit copain. J’étais fasciné par les seins de Cyrielle et la coexistence de son sexe masculin. Je m’allongeai à côté d’elle et commençai à lui sucer délicatement les seins. Mon sexe banda immédiatement et je me mis à me frotter contre le sien qui était dans le même état que le mien. Cyrielle me demanda alors de l’enculer. Je m’accroupis et elle me présenta sa croupe. Je commençais par darder ma langue autour de son cul pour y introduire un peu de salive ainsi que du liquide qui coulait de mon sexe. J’introduisis ensuite franchement mon index dans son cul et le remuai au plus profond que je le pouvais. Continuant de la branler je lui caressai les seins. Son sexe commençait à couler. Je récupérais ce liquide avec ma main et en enduisis mon sexe et mon visage. Je glissais immédiatement ma verge dans son trou. Les autres, qui nous regardaient avec envie se précipitèrent sur nous : Claude se mis devant moi, à la hauteur de ma bouche et commença à se masturber. Il m’envoya rapidement un jet de sperme sur le visage et sur mon corps. N’en pouvant plus, j’éjaculais également le mien dans le cul de Cyrielle qui se mit à laisser couler mon sperme. Pascal et Charlotte, de leur côté, avaient commencé à se pisser les uns sur les autres. Rapidement, un jet de cyprine sorti du sexe de Charlotte qui nous arrosa. La scène se transforma en un mélimélo de corps, de sexes, de fluides. J’enfilais mon doigt dans le cul des uns et des autres, je frottai mon sexe sur les seins de Cyril et de Charlotte.

Deux hommes, équipés de grosses bites nous regardaient à quelques mètres, se masturbant vigoureusement. Sur le point d’éjaculer, ils s’approchèrent de nous et nous arrosèrent de leur sperme. Sans gêne aucune, ils commencèrent à pisser sur nos corps emmêlés. Je saisis leurs sexes pour les branler et recevoir peu après deux nouvelles giclées sur ma bouche et mon corps Comme ils étaient venus, ils repartirent sans dire un mot. Nous apprécions tous d’être matés malgré la léger effroi que nous ressentions à l’idée que des inconnus pourraient nous dénoncer. Un autre jeune couple s’approcha de nous et se masturba sous nos yeux jusqu’au moment où le garçon éjacula sur sa copine qui jouit alors. Nous décidâmes que nous devions devenir un peu plus discret et de nous réfugier chez Yann et Claire.

Ces derniers, à peine réveillés, nous accueillirent à bras ouverts. Alors que nous commencions à nous assoir, une ravissante jeune fille fit son entrée dans le salon : Laurence était la petite sœur de Yann. Comparée à Cyrielle et Charlotte, elle avait une plus opulente poitrine qui tenait manifestement bien en place. Sa peau était entièrement bronzée et voluptueuse. En instant, nous fumes tous nus, nos sexes prêts à tout ! Nous nous assîmes autour d’un café que Yann avait préparé. Il nous apporta également de petits gâteaux qu’il nous dit avoir préparés lui-même et qu’il appelait des « magic cookies ». Nos mains se baladaient déjà d’une bite à l’autre, d’une chatte à l’autre. Yann disparut pendant quelques instants et revint en tenant dans ses mains plusieurs godes en bois vernis sculptés, superbes.

Tout d’un coup, alors que nous discutions, je me sentis un peu bizarre. La musique qu’avait mis Yann me parut tout d’un coup différente, plus précise, cinesthésique. Et mon désir devenait de plus en plus fort, ma bite se gonflant comme jamais ! Je ne comprenais pas ce qui se passait mais c’était vraiment génial.

J'étais le plus jeune de la troupe et je pense, rétrospectivement, que je présentais de ce fait un attrait particulier du fait de ma « virginité ». Quelques instants plus tard, Cyrielle se saisis de mes épaules, me fit me mettre par terre et après avoir humecté un des godes de sa mouillure commença à me l’enfoncer dans le cul. Je sentais le gode s’introduire au plus profond de moi, près d’une jouissance incomparable. Laurence et les autres se mirent au-dessus de moi et commencèrent à se masturber. Cyrielle faisait aller et venir le gode dans mon cul tout en se masturbant. Après m’être partiellement relevé, j’avais devant mon visage quatre bites et deux chattes. Je saisis les deux bites d’une main et avalais goulument les deux autres bites, alternativement. Claire et Charlotte se masturbaient l’une l’autre. Un long jet de cyprine sorti du sexe de Claire puis de Charlotte, m’inondant de la tête aux pieds. Je quittais pour un moment les deux bites que j’avais en bouche pour mettre mes doigts dans la vulve de Charlotte et Claire qui commencèrent à me pisser sur la tête et le reste du corps. Une fois de plus, j’étais au bord de la syncope tellement mon corps était devenu fou. Déjà inondé de la tête aux pieds, Yann et Claude commencèrent à envoyer des giclés de sperme sur tout mon corps. Cyrielle retira le gode pour l’introduire, avec mon aide, dans son cul. Nicolas qui avait une très grosse bite, quant à lui, s’occupa avec sa bouche de mon vit qui n’en pouvait plus de plaisir. Je ne savais plus où donner de la tête. Claude et Pascal se mirent de nouveau à me pisser dessus ainsi que sur Laurence qui s’était collée à moi. Laurence tenait ses seins rapprochés de telle sorte que la pisse, le sperme et la cyprine s’accumulaient dans la petite poche qui s’était créé entre ses seins. Cette poche se remplit et j’allai m’y abreuver, goutant goulument à ce nectar. J’étais comme dans un rêve, enculé, sucé, masturbé, couvert de fluides corporels. N’y tenant plus, j’éjaculai sur le visage de Nicolas qui, juste après lança sur ma figure un jet concentré de sperme que j’avalais en me régalant. Le sol était couvert de nos liquides et je me roulais dessus avec passion.

Je ne comprenais plus ce qui se passait, j’étais comme dans un rêve, mon sexe bandant de nouveau comme jamais. Tous mes sens étaient en émoi, mon toucher, mon goût, mon odorat jusqu’à la musique qui me semblait en parfait harmonie avec nos jeux. Nicolas dont le sexe avait également repris ses formes me fit m’incliner sur le bord de la table et, après s’être agenouillé pour me lécher le cul, m’encula bestialement en criant de plaisir. Sa bite était devenue énorme. Je ressentis son passage comme jamais et fut pris soudainement d’un véritable orgasme anal. Je criai ma jouissance en lui demandant de m’enculer de nouveau pendant que tous les autres me regardaient en se masturbant. J’en voulais encore et encore et demandais à Claude et Pascal de me foutre aussi dans le cul. Pascal mis sa bite à l’avant de mon trou et, se contorsionnant, Claude fit de même. Etant complétement à côté de la plaque, je n’avais pas peur de recevoir deux bites dans mon cul. Ce que firent Yann et Claude, doucement. Je sentis mon anus se dilater progressivement et une jouissance incomparable monter en moi. De plus, Nicolas enfonça sa grosse queue dans ma bouche. Cyrielle se mit simultanément à me sucer. Je cru mourir de plaisir quant Nicolas pissa dans ma bouche, Pascal et Claude éjaculant dans mon anus, Charlotte et Claire urinant sur nous tous. Mon orgasme dépassa tout ce que je n’avais jamais pu imaginer : mon cul, ma bite, mes couilles étaient en feu ! Pris de folie, je vis sur la table un vase en plastique et demandais aux autres de le remplir de leur pisse, de leur foutre et de leur cyprine. Ils étaient tout aussi surexcités que moi, devinant la suite des événements. Une fois le vase rempli, je commençai à en boire le contenu goulument puis le passais à Cyrielle qui fit de même ainsi que tous les autres. Nous étions dans un état proche de la démence, vu rétrospectivement. Comme il restait un peu du mélange dans le vase, je m’emparai de mon teeshirt et l’imbibai du liquide. Un peu du mélange coula sur moi tandis que j’enfouissais mon nez dans le teeshirt pour en sentir tous les effluves.

L’après-midi se passa trop vite à mon gout, continuant nos ébats insensés jusqu’à plus soif. Affamés, épuisés nous nous quittâmes sans oublier d’avoir discuté d’une dernière séance le lendemain car plusieurs d’entre nous devaient partir le surlendemain.

Chacun rejoignit ses pénates pour passer une nuit calme. Au matin, après avoir pris un café Charlotte et moi allâmes sur la plage pour « draguer » quelques garçons et filles qui nous plairaient pour la party dont nous avions parlé la veille, avant de nous quitter. Nous avions la charge de ramener quatre sujets pour nos futures aventures.

Le jeune couple qui s’était masturbé devant nous la veille était là et nous leur proposâmes de se joindre à la fête que nous organisions dans un lieu discret que nous avions repéré, sur la lande. Le couple nous demanda de repasser dans cinq minutes pour qu’ils en discutent. Je n’avais guère de doute sur leur réponse car le garçon montrait déjà un sexe en érection depuis que nous leur avions adressé la parole.

Charlotte et moi avions également pour mission de trouver de jeunes hommes, si possible, ayant des grosses bites. Passant près des naturistes allongés, Charlotte me fit un signe de la tête pour me désigner un homme d’une quarantaine d’année, bien équipé. D’ailleurs ce dernier avait également maté nos ébats la veille. Charlotte proposa à l’homme de se joindre à nous pour la soirée. Il répondit oui avec un grand sourire. Nous fîmes la même proposition à un jeune d’environ 25 ans dont la réponse fut également oui sans que, manifestement, il ne se doute de ce qui l’attendais.

Ayant accompli notre mission, nous partîmes nous promener ayant hâte de nous retrouver en fin d’après-midi sur les lieux de nos futures débauches.

L’heure arriva et tout ce beau monde arriva les bras chargés de boissons. Yann avait aussi apporté des « magic cookies » que nous partageâmes avec plaisir. Ce dernier commença à se déshabiller (le temps était encore chaud) suivi de tous les autres sauf de Céleste (l’amie du jeune couple que nous avions dragué le matin) qui était hésitante. Nous commençâmes à danser nus au son d’un petit haut-parleur que l’un d’entre nous avait apporté. Mais la danse vira très rapidement autre chose. Je regardai Céleste qui était un peu en retrait et me rapprochai d’elle. Je lui pris gentiment la main et la posai sur mon sexe en érection. Elle hésita puis commença à me caresser du bout des doigts. Je l’embrassai et commençait à caresser son corps. Elle n’hésita plus très longtemps et commença, avec mon aide, à enlever son teeshirt et son short. Je vis que son slip était déjà plein de mouillure. Je n’hésitai plus et commençais à lui lécher la chatte. Elle commença à pousser de petits cris puis m’implora de la prendre « comme une bête » par tous ses trous. Elle se mis à terre, se cabra et me présenta un trou déjà bien dilaté. Après l’avoir léchée, je l’enculai violemment, comme elle me l’avait demandé. La malaxant, je sentis tout d’un coup que son cul se durcissait puis se relâchait et cru comprendre qu’elle avait eu une sorte d’orgasme anal. Je me retirai, pissai sur elle pour ensuite sucer sa chatte dégoulinante de sa mouillure et de ma pisse. Je sentis que son orgasme allait arriver et enfonçait ma bite dans son con. Elle jouit bruyamment, me traitant de tous les noms. Une fois revenue à elle, elle prit avidement mon sexe dans sa bouche et glissa deux de ses doigts dans mon cul en me malaxant. Elle se saisit d’un gode qu’elle m’enfonça dans le cul. Je ne tardai pas à gicler dans sa bouche et sur mon corps. Mettant son cul au-dessus de ma bouche, elle se mit à me lécher partout où il y avait du sperme sur mon corps. Je n’en revenais pas de cette « sauvagerie » du fait de son attitude initiale.

Nous étions un peu à l’écart des autres qui ne nous avaient pas attendus pour commencer à jouer : ce n’était qu’un mélange de sexes, de fluides, de corps entremêlés dans toutes les positions possibles. Je ne sais pourquoi, j’avais faim de bites chaudes et dures, de couilles dégoulinantes de sperme et de pisse. Je m’approchai de Cyrielle qui s’occupait avec Pascal et Yann. Je leur demandai alors d’exercer tous leurs fantasmes sur moi. Je me mis à sur le dos, les suppliant de m’arroser de leur pisse jusqu’au fond du trou de mon cul, de jouir sur tout mon corps, de me baiser dans tous mes trous. Yann commença à m’enculer violemment de son braquemart pendant que Cyrielle mettait sa queue dans ma bouche et que Pascal s’asseyait sur ma bite. Yann commença à pisser dans mon cul puis, se retirant, me pissa dessus. Ecartant Cyrielle un instant j’absorbai dans ma bouche tout le liquide qui l’atteignait. Yann m’enfourna sa bite dans ma bouche pendant que Cyrielle se mis à m’enculer. Pascal, montant et descendant son trou sur mon sexe se masturbait avec violence. Il éjacula avec force, son jet de sperme s’étalant de mon ventre à mon visage. Le lui demandai alors de me laver de sa pisse ce qu’il fit immédiatement. Je sentis la queue de Cyrielle en moi et senti un orgasme anal naissant. Dans un rêve, je me laissai aller et eu un fantastique bi-orgasme tandis que Yann giclait dans ma bouche et que Cyrielle répandait son sperme dans mon cul dégoulinant maintenant de pisse et de sperme.

La suite, je ne peux la raconter car j’étais alors dans un rêve. Manifestement, notre soirée « secrète » avait été éventée et c’est une vingtaine de corps qui s’entremêlait dans une bacchanale sauvage sur la lande. Je me souviens seulement avoir sucé toutes sortes de bittes, enculé garçons et filles, m’être fait sodomiser de nombreuses fois et que j’étais couvert de liquides divers et variés que j’avais avalé aussi avec délice. Je me souvins aussi qu’un garçon m’avait mordu gentiment un téton et que cette petite douleur avait enflammé mon sexe.

Je dois avouer que, tout le long de l’écriture de ce texte, je me masturbai régulièrement et, quand ce n’étais pas le cas, un filet permanent de liquide coulait de mon sexe sur mes cuisses et mon short. De temps à autre j’allais dans la salle de bain, me couchais par terre et m’aspergeais de ma pisse et la buvais comme je le pouvais. Parfois, je me mettais un gode dans l’anus en souvenir de ce que j’avais vécu. Mon short était couvert de mon sperme et de ma pisse sans que j’y ne puisse rien pour arrêter ce flot. Tous les soirs, avant de me masturber je reniflais mon slip encore mouillé de mes fluides, me remémorant nos expériences passées. Je rêvais de nouvelles aventures…

Tasfam

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