Premier épisode | Épisode précédent
Maxime et moi reprenions nos espris... On se rhabilla puis je démarrais le fourgon en direction de chez moi, il était tard , et ni lui ni moi avions envie de parler durant le trajet. Nous étions fatigués.
Je sentais que Maxime avait honte de ce qu'il venait de se passer dans cette foutu camionnette... Kamel l'avait violé.
Arrivé chez moi, Maxime fila sous la douche, puis ce fut mon tour. Nous avions besoin de nous laver de toute cette crasse... le sperme de Kamel était encore collé sa peau blanche.
Kamel se coucha le premier dans mon lit et le le rejoignis dix minute plus tard... Ce n'était pas la première fois qu'il dormait chez moi mais depuis ce soir ou Kamel nous avez obligé à baiser ensemble la situation était différente. Il n'avait toujours pas dit un mot depuis notre départ du parking. Nous dormions dos à dos, puis soudain Maxime brisa ce lourd silence entre nous.
-« Je suis désolé pour tout à l'heure, c'est lui qui m'a obligé » me dit-il.
-« Je sais » répondis-je, et je lui raconta toute l'histoire , c'est à dire le viol des deux Roumains dans la boite et qu'après Kamel avait aussi abusé de moi.
- « Jai honte, car il a réussi à me faire jouir et j'ai pris mon pied malgré moi...je suis pas PD » me dit-il
- « Je sais, je suis dans le même cas que toi et ce qui vient de se passer doit rester entre nous » lui dis-je.
- « Oui c'est évident et j'en suis pas fier, bonne nuit »
- « Bonne nuit à toi aussi »
Au petit matin, Maxime avait un bras autour de ma taille..il dormait encore.
Je sentais sa bite au niveau de mes fesses et cela me provoqua un début d'érection. Je repensais à la veille au soir lorsque Kamel m'avait obligé de m'empaler sur la grosse bite de Max... j'avais pris du plaisir mais j'étais tellement shooté avec ce putain de poppers que c'était peut-être normal...
Une heure après , nous étions tous les deux en train de prendre le petit-déj dans la cuisine.
Maxime : « Il faut que l'on se venge de ce que Kamel nous à fait subir »
Moi : « Oui mais comment, je ne sais même pas ou il habite »
Maxime : « Pas grave, on va le choper sur son lieu de travail. Le parking de la boite.
Moi : «Ouais !!!
Maxime : « Laisse moi faire, je vais échafauder un plan.... »
Lucas
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