Mykonos
Bienvenue à Mikonos, île Grecque à environ 3 heures de Paris par avion direct. Douceur et harmonie pour les yeux, tout est blanc et bleu... Comment dire... C'est beau !
La ville, piétonnière, est un enchevêtrement de ruelles, où se croisent à grand renfort de regard brûlant les estivants. Pas mal d'hétéros malgré la légende, mais c'est aussi le bonheur des yeux...
Les plages sont sublimes, je veux de l'eau comme ça devant ma porte tous les jours ! Super Paradise, Paradise, moi j'ai préféré Elia, moins de fashon-victimes, avec une vraie plage au naturel, et ses criques... J'y reviendrai...
Vous pouvez aller sur les plages en bus pour les nostalgique de la colo, en bateau pour entamer les rencontres de façon plus romantique, ou en scooter avec votre fiancé pour vous la jouer Dolce Vita, en taxi si vous n'aimez personne !
Si vous préférez la piscine, L'Elysium Hôtel est l'endroit où aller ! Super accueil, très bel endroit, résidents prêts à vous faire visiter leur chambre...
et surtout la meilleure vue pour admirer le couché du soleil et la ville de Mykonos se rosir dès 19h00. Bar et petite restauration tip top Pour les résidents, sauna, salle de sport, ordinateur dans chaque chambre, Bref c'est la où j'irai la prochaine fois.
Je ne parlerai donc pas du GERANIUM hotel qui a été un cauchemard... OUBLIEZ CE NOM !
By night, il y a 2 bars assez fréquentés par ceux qui vont chez les Grecs pour se faire ... Pierro's et La Porta accueillent à grand renfort de musique.
Ça s'agite partout à l'intérieur, dans les ruelles alentours, à faire pâlir le COX pour ceux qui connaissent ce bar parisien.
Ca branchouille pas mal, prêt pour ramener à l'hotel ou aller tourner dans le quartier de l'église ?
En front de mer et même dans les ruelles, ça baise mon gars !
J'ai dit que j'y reviendrai... Coté sexe vu par Cyrillo, j'ai adoré mon retour à la nature... Loin des murs, de l'ombre, j'ai aimé l'escalade dans les criques... D'abord on grimpe, on découvre soudain dans une recoin de roche un bel éphèbe qui fait cuivrer sa peau en se caressant. On s'aperçoit très vite qu'il n'est pas le seul, et de failles et rochers plats, on sent le désir monter en matant ces mâles en chaleur...
Pas besoin de faire des kilomètres, de toute façon on se déplace difficilement. Cela va très vite, en s'enfonçant un peu dans les criques, en jetant un regard bouillant à celui-ci, il me rejoint dans ma grotte... J'ai souvent commencé ma partie, ma guerre du feu avec un seul partenaire, puis d'autres sont venus nous rejoindre attirés par les soupirs, les râles. Sur chaque pierre, à des niveaux différents, il y a un mec la queue tendue qui suce ou se fait pomper. C'est le plan exhib/voyeur par excellence. Ça commence par une immense jack-off party en plein air puis les débordements arrivent. Les mecs se sentent bien la peau bronzée, huilée et nous nous caressons, nous regardons beaucoup. Quand un mec râle parce qu'il va jouir, tous les mecs s'arrêtent pour regarder l'Apollon en pleine exhibition virile. À chaque jet de sperme, une explosion dans nos têtes, et par communion un autre prend le relais orgasmique ! La dernière paire de couille vidée, tout le monde s'embrasse ou se tape sur l'épaule, ça se remercie en toutes langues et nous nous séparons, par la mer, la pierre.
Un après-midi, j'ai proposé à mon mec de venir avec moi, faire des photos. Nous nous étions isolés dans une faille d'un rocher. Une grosse pierre bouchait le passage, mais pas assez pour laisser passer deux mecs bien décidés à pénétrer... Nous avons commencé à "shooter".
Chacun son tour on s'exhibait devant l'objectif. Celui qui prenait les photos donnait ses ordres de voyeur et celui qui jouait le modèle recevait l'ordre, faisait de son mieux pour exciter l'autre... On n'en pouvait plus... Il fallait lâcher l'objectif pour un autre, plus cochon. Nous nous sautions dessus, à la bouche, à la queue, au cul, nous retenant difficilement de jouir pour continuer notre séance photo et aussi parce que c'est bon de laisser monter la sauce avec retenue...
Cinq, huit photos plus tard, nous cédions encore à la tentation pour reprendre nos jeux de bouche. Alors que je suçais mon homme comme un affamé de la bite, un type s'est faufilé entre les rochers. À pas de loup il s'est approché, je ne le voyais pas venir. Mon mecsi, il ne m'en a rien dit. Tout en suçant mon keum, je me prenais en photo la bouche pleine. J'étais à la fois concentré sur les mouvements de langue et sur la prise de vue. Quelques photos prises, je me retourne pour me donner totalement au plaisir de mon mec...
Je lui fais face, et là, dans mon champ visuel réduit, je ne vois pas une seule bite, mais deux ! Pas de frayeur. Une surprise et un rire plus tard je prenais en main, en bouche mes deux lascars complices. Nous avons joué tous les trois comme des p'tits salopards, toute position, tout plaisir... L'italien a joui le premier, il nous a couverts de son foutre, de ses rires aussi. Le p'tit bain de mer pour nous laver ne nous a pas refroidis. Nous sommes retournés dans notre abri pour nous offrir, en tête à queue, un orgasme ruisselant bien éprouvé.
Cyrillo
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