Plan au Sexshop
Il faisait sombre dans le local cette partie du magasin.
Dans ce sex-shop devrais-je dire ?
Je visitais la zone des films hétéro, j'aime bien mater les mecs sortis du bureau qui vont avaler des yeux quelques scènes hard sur les écrans. Absorbés par les images, ils en oublient leur érection dans leur pantalon de flanelle. Certains se brassent la monnaie dans les poches...
Je découvre alors qu'il y a un recoin au fond du couloir où s'alignent écrans et boîtiers de vidéos.
Je m'y avance à pas lents et je découvre qu'il y a là des cabines avec monnayeur pour visionner en solo.
Curieux j'ouvre une porte et inspecte la cabine, le siège pour le décollage orgasmique, l'écran, et... une vitre.
De plus près je m'aperçois qu'elle est presque sans teint, je vois au travers des lumières, mais rien de distinct. Plus loin dans mon inspection, je comprends que c'est une vitre sur glissière, elle est entre ouverte de quelques centimètres. Très peu.
Je suis très excité, car je sais par les halos de lumière que quelqu'un mate un film de l'autre côté, je peux certainement le voir. Je parie qu'il se tape une branlette.
Je ferme la porte de ma cabine, insère un euro dans le monnayeur sélectionne un bon vieux gang bang.
Je me la joue client lahnda pour ne pas éveiller mon voisin.
Une minute plus tard, je tente un coup d'oeil vers la vitre entre ouverte, je dois me coller la tête contre le mur pour pouvoir laisser passer mon champ de vision dans la fente, mais je n'y vois rien, elle n'est pas assez ouverte.
Entre l'excitation du gros voyeur et l'autre du gamin qui prépare une bêtise et qui flippe de se faire choper, je me contorsionne pour voir, fais marche arrière, et recommence ainsi plusieurs tentatives.
Soudain, je fais un bon en arrière ! La vitre s'est ouverte largement d'un coup sec.
Collé dans le fond de mon fauteuil, je vois le type de l'autre cabine se foutre un peu de ma gueule d'un sourire malin, puis il se rassoit au fond de son siège et continu sa séance. Continu aussi à branler une belle queue très large, ses couilles lourdement étalées par-dessus sa braguette.
Il se régale d'un film de cul du genre une fille et six gars dessus, mais il semble aussi se régaler de montrer à un mec sa séance de masturbation.
Je me détends alors, m'installe mieux, et me régale à mon tour du show en live.
Le monsieur bon chic bon genre, la bonne trentaine, cravate dénouée et chemise ouverte fait taper sa bite sur ventre, la reprend à deux mains et branle au rythme que la fille de l'écran se fait enculer.
De temps en temps il jette un coup d'oeil vers moi, jette un clin d'oeil pour moi, puis prend sa queue à l'embase, la serre très fort pour mettre en valeur cette bite gonflée, il se mouille deux doigts et fait briller son gland énorme avec sa salive. Il me regarde encore lorsqu'il tire sur ses couilles pour me montrer sa queue dans toute se grandeur.
Lorsque je n'en peux plus et que je m'apprête à bondir à sa braguette il reprend leur cours de son film.
La pornstar a maintenant deux mecs dans le cul et moi j'ai la braguette qui va exploser car il se lève.
Pro de l'exhibition il se met bien de profil, se penche un peu en arrière, fait jaillir ainsi son sexe dans l'espace. Sans y toucher il la fait sursauter, lourdement mais amplement il la fait bouger, joue de ses muscles, joue de mon excitation.
Sur le même rythme des hardeurs il branle encore son engin, les burnes galopent entre ses jambes écartées.
La fille est maintenant à genoux devant les trois mecs qui s'astiquent au dessus de sa bouche. Lui souffle fort aussi et astique de plus en plus vite son membre. Il se tourne de trois quarts vers moi tout en matant la scène finale.
Sa grosse queue est tendue vers moi, je n'ai plus qu'à me baisser pour avaler.
Ca se plaint de plus en plus à l'écran, ses mains à lui glissent le long de son membre et claque de plus en plus vite contre ses couilles.
Je me lève, m'approche encore.
Les mecs lâchent maintenant leur foutre et trois longues giclées s'écrasent dans la bouche de la belle, elle cherche avec sa langue le foutre collé sur la queue de ses collègues.
Je m'avance encore.
Dans un cri rauque, il accélère et presse plus fort sa queue, il se penche encore en arrière, arque les jambes et expulse abondamment son sperme.
Scotché au mur je regarde ce mec en extase cracher sur mes bas de jeans un flot de foutre.
Il n'en finit pas d'éjaculer, de souffler comme un boeuf, de recracher encore.
Je suis figé mais dans mon esprit je suis en extase devant ce mec viril qui s'est vidé les couilles devant moi. Sa bite pend lourdement, il cherche dans ses poches pour éponger quelques gouttes de foutre sur son pantalon.
Je ferme alors la vitre pour le laisser à sa toilette. Je tombe dans le fauteuil la tête en arrière, je soupire. J'ai trop chaud, ma queue gonflée dans mon slip me fait mal. Je la sors.
Je revois la scène, le type fier de sa teube qui s'est branlé ainsi, jouant de mes fantasmes.
Hum... je vais me finir aussi, et là dans mes rêves je vais m'agenouiller et avaler.
Cyrillo
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