Uv-Thérapie
"Quelle sale gueule !"
C'est ce que je me dis en voyant ma tête dans le reflet d'un grand miroir en vitrine de magasin.
C'est l'été, juillet donne bonne humeur et beau hale aux parisiens mais personnellement, je fais grise mine.
J'ai beaucoup travaillé devant mon PC et on ne peut pas dire que les rayonnements du moniteur m'aient doré la peau.
Je décide de reprendre mon look en main. N'ayant pas le loisir de lézarder en extérieur, je suis en quête d'un salon de bronzage.
En voici un qui me dit "souriez vous êtes bronzé". Je ne le suis pas encore mais j'ai déjà le sourire.
Et on me le rend bien... Un beau garçon typé méditerranéen (bon choix de casting pour un tel job) m'accueille sympathiquement, me fait la présentation du lieu, des formules.
Je lui indique que je suis vierge en la matière, l'air coquin il me répond qu'on va réparer cela !
Il me propose "un buste" pour commencer, sept minutes de turbo puis un intégral plus doux de 15 minutes. Il m'assure que pour une première fois, je serai ravi...
Il me conseille d'acheter une paire de lunette, je refuse l'offre considérant que je ne vais pas être un abonné, même si le bonhomme est de plus en plus sympathique. Très sexy.
- Ok comme vous voudrez, venez je vous accompagne.
- Je vous suis.
J'en profite pour mater son joli p'tit cul serré dans un pantalon de lin blanc...
- Voici la macina ! Déshabillez vous, si vous voulez aucune démarcation sur le bas du ventre mieux vaut retirer aussi votre sous vêtement. Le programme commence tout seul 3 minutes après avoir appuyé sur ce bouton. Ça vous laisse le temps de vous installer, d'abaisser les lampes. Et attention, fermez les yeux, c'est dangereux !
Je ne voudrais pas que vous gardiez un mauvais souvenir de votre première fois ! Voila bon dépucelage !!!
Quel coquin ce mec ! Ces yeux brillent à chaque allusion, son rictus est malin, sa dégaine... torride !
Il me lance un dernier clin d'oeil, je lui rends de mon mieux, je veux que ce coup d'oeil pu la bite !
Me voilà seul, je vire mes vêtements, à poil je m'installe sur la machine, enfonce le bouton poussoir. J'ai l'impression que je suis dans une navette spatiale. Départ immédiat pour la lune !
Le programme commence, je suis à présent bombardé de rayons. Une ventilation du tonnerre se met en branle, une musique salsa m'envoie au soleil.
Je me sens un peu prisonnier avec la moitié du corps pris dans cet étau de lumière et surtout prisonnier de mes paupières closes, interdites d'ouverture.
Je bats la cadence, mais soudain j'entends une voix par-dessus celle de Gloria Estefan !
Je sursaute et une main vient sur mon épaule, la voix se veut rassurante et me dit :
- Hey n'ayez pas peur, c'est moi, je suis venu voir si tout va bien. J'ai du coton humide pour vos yeux...
Je reprends mon calme doucement, et complètement en sentant la fraîcheur de la ouate sur mes paupières.
- Votre peau était vraiment vierge, vous rougissez vite, je vais vous chercher quelque chose.
Là je suis complètement détendu... Je vois le coup venir... Et tellement précisément que je sens ma queue prendre des formes comme prennent des formes dans mon esprit libidineux...
Le voilà revenu, c'est moi dit-il...
Je sens une main huilée à la naissance de mon cou qui s'en va déraper sur mon torse. Il étale doucement l'huile jusqu'à mon nombril, fais des tours sur ma poitrine, glisse d'un flanc à l'autre et remonte vers mon coup.
Je me sens à sa merci, toujours emmuré dans les rayons, le coton.
Je lui donne l'approbation d'un soupir calme, écarte plus les bras, un plus encore les jambes. Mon sexe se soulève doucement, au rythme de mon coeur. À chaque battement... le gonflement de ma verge qui vient se poser sur le haut de ma cuisse.
- Je vois que ça vous fait du bien...
- Oui... C'est très sensuel pour que je me contrôle, "désolé".
- No problème, laissez-vous aller, je m'occupe de tout...
Le mot de trop ! Ma bite est maintenant tendue au zénith, je risque un violent coup d'UV sur le gland !
Sa main me quitte et je ne sens plus rien.
Si... Une douceur sur mon pic à fesse...
Une succion chaude, un gobage de bite dans l'art. Je ne sens pas de mains, d'autres touchers que sa bouche mouillée qui avale mon sexe. C'est un sacré gourmand, il la prend au plus profond de sa bouche et me branle le gland avec sa gorge.
Il se recule et la ravale entièrement d'un seul coup. Surpris par le plaisir j'envoie un coup de reins qui enfonce ma queue encore plus profondément.
Soudain silence, la machine s'est arrêtée, la soufflerie aussi. Plus de congas, je ne le sens plus non plus, tout a disparu.
Je reste là immobile, en attente d'une suite tant désirée.
J'entends le capot de la machine à UV se rouvrir, mon siège bouge, je comprends qu'il grimpe sur le fauteuil où je suis vautré. J'ai envie d'ôter les rondelles de coton de mes yeux, mais il m'en empêche gentiment.
Je sens maintenant sa main reprendre du service sur ma bite, il l'enduit d'huile et je sens le latex se dérouler le long de mon membre. La capote annonce une exultante sodomie !
Derrière l'écran noir de mes paupières, je sens sa main diriger ma bite, et son cul appuyer dessus. C'est doux, de plus en plus chaud, il s'encule tout seul avec ma queue, ses soupirs se font longs. De plus en plus chaud, je me sens au fond de son cul.
Il me libère de mon masque de ouate, et je découvre mon p'tit brun qui, grimpé sur moi, fait coulisser son cul sur ma queue gonflée à bloc.
Il termine chaque descente par un coup de reins de salop qui s'est bien où est sa prostate...
Mes yeux font des ronds au plafond je ne peux plus le regarder plus longtemps sous peine d'être taxé de lapin.
Il sent bien qu'il a le pouvoir sur mes "émotions" et il en rajoute de mots pervers pour m'aliéner complètement à son trou du cul.
- elle est trop bonne ta queue. Ouais j'en ai plein le cul de te grosse bite !
Je gaule comme un fou pour fouiller le plus loin possible dans son cul et sentir ses muscles qui me serrent. Il en joue bien, son regard est pervers et sa volonté de me faire cracher tout ce que j'ai dans les couilles est évidente.
Il accélère comme un malade, les coups de reins de plus en plus rapides, secs et profonds. Il murmure des saloperies et crache dans sa main pour mieux se branler. Il me lance un dernier regard noir et intense, lève la tête au ciel et dans une dernière chute de reins, quand son cul vient s'écraser sur mes couilles, il lâche trois longues giclées de foutre sur mon torse.
Il s'affaisse complètement sur moi, vide ses poumons et m'embrasse un sein.
Il se relève, éclate de rire. Je ris aussi, un peu jaune en pensant à mon plaisir en suspens, mais ravi de voir autant d'apaisement dans son regard.
- J'n'ai pas trop de temps, mais à toi maintenant !
En deux temps trois mouvements, il dégage ma queue de son cul, il saute du fauteuil en arrière, fait sauter la capote et sous mes yeux surpris, il gobe une couille et me branle à pleines mains.
Ah c'est trop bon cette générosité !
Il reprend ma bite dans sa bouche, dégage bien les couilles pour gagner encore des centimètres et vient faire racler ma queue dans sa gorge.
Il déglutit avec ma bite au fond et je sens que ça va péter !
Je râle et je le regarde m'astiquer comme un maître queue. Il en va de sa salive abondante et de mes grognements
- Vas-y envoie ton foutre, j'veux voir ton foutre !
Je n'en peux plus, sous son regard de grosse salope amusée je lâche prise et lui envoie tout ce qu'il a fait monté en moi.
Il continue son rythme effréné sur ma queue qui gicle partout, ça ne s'arrête plus et je l'entends rire comme je râle.
On se remercie, se félicite du regard et des rires, il m'envoie une serviette sur la tête, s'essuie aussi, saute dans son pantalon blanc et me dit "à tout de suite"
Le temps d'éponger les bébés cyrillo en quête d'ovule improbable dans le secteur, de me rhabiller, je le retrouve à l'accueil. Une vieille cliente carbonisée attend pour sa séance de turbo, en retard...
- Alors ? Cette première fois ?
- Je ne sais de ce dont vous parlez, mais je suis tout chaud...
- ah ah... c'est ça le turbo... On passe à l'intégral maintenant ?
- Je préfère laisser reposer, je viendrai demain ou un autre jour...
- Oui vous avez déjà bien pris clame t'il... ou donner... en chuchotant. Passez quand vous voulez, entre 15 et 17 heures c'est calme, pas besoin de rendez-vous...
- OK, merci...?
- Fabrice
- Merci Fabrice à bientôt
- A bientôt Monsieur Cyrillo...
- ??????????!!!!!!!!!!
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