Mal de crâne, bouche pâteuse. Le réveil est dur ce matin après une grosse soirée la veille.
Et surtout comme toujours en gueule de bois pour moi, l'envie de ken.
Je me souviens petit à petit que mon coloc m'a confessé un de ses fantasmes bourré hier soir. Je lui envoie donc un message pour lui demander de venir dans ma chambre.
Hichem, 35 ans, bedonnant, petite barbichette, cheveux courts noirs. Pas hyper sexy mais un air bien vicieux.
Il me répond "OK j'arrive". J'enlève mon caleçon et je l'attends alors à quatre pâtes. Je me souviens qu'il a dit adorer ça.
Il entre sans toquer, je ne le vois pas. Il ne parle pas. Merde, peut être qu'il ne voulait pas ça avec moi. Et alors que j'allais me retourner BAM claque sur la fesse. "Ah ouais exactement comme ça petite pute" sort il en crachant sur ma raie.
La veille il m'avait dit kiffer faire des plans portes ouvertes avec mecs à quatres pattes et après il les leche mais qu'après il fait pas d'anal. Et moi j'aime pas trop l'anal en théorie.
Il me prend tout de suite les deux fesses, les écarte et insére sa langue dans mon trou. Je gémis. Il lèche et des qu'il arrête m'insulte. Les claques pleuvent sur mon cul.
Il continue à me bouffer l'intimité, je gémis de plus en plus fort. Il écarte toujours plus mes fasses comme s'il voulait atteindre ma prostate avec sa langue. J'ai le cul tout mouillé de sa bave. Il me crache plusieurs fois sur la chatte.
Sous ses coups de langue, je sens mon sphincter se détendre de plus en plus. Soudainement alors que je prends mon pied, il s'arrête. Je suis toujours à 4 pattes et je l'entends dire "Ah non c'est trop je peux pas résister" et d'un coup il remonte prend sa bite dans sa main, me crache sur le trou et me pénétre sans capote.
Ma chatte est dilatée par sa langue, je n'oppose aucune résistance. Je me dis "Merde il a pas mis de capote" mais trop tard pour le repousser.
Il fait direct des va et viens en ressortant de mon cul. "J'avais tellement envie de te tringler comme la petite lope que t'es" grogne-t-il.
Sa main s'écrase sur ma tête. Il me crache sur le dos en me prenant. Je me sens fou, je suis une vraie lope. Il va de plus en plus à fond. Je ne suis qu'une poupee de chiffon pour lui.
"Petit sac à foutre" me soufle-t-il. Il me remonte un peu, me tire les cheveux et me pillone à fond. Je ne peux plus parler, de toute façon il insere ses doigts dans ma bouche.
"Ah ah ah je peux plus tenir" hurle-t-il après quelques minutes de ce traitement. Il ressort alors sa queue et je sens un liquide chaud et gluant atterrir sur ma rondelle. J'y glisse toute de suite mes doigts pour faire rentrer sa semence en moi et après je me lèche les doigts pour profiter de son nectar.
"T'as le trou tout ouvert sale lope" fait-il remarquer après avoir fait sa besogne. "Viens dans la salle de bain te nettoyer". Il m'amène et me met à genoux dans la baignoire. C'est la qu'il commence à me pisser dessus. J'ouvre grand la bouche et il vient alors m'en donner à boire. Pendant que je garde les dernières gouttes dans ma bouche, je jouis sans même me toucher tellement j'avais envie d'être sa lope et son urinoire.
Après ça, mon coloc m'a souvent utilisé à dispo, à quatre pattes dans ma chambre.
Histoire à 50% fictive 50% réalité. Si vous voulez loper sur Paris, hésitez pas.
Luc
luc.plymouth@gmail.com
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