J’habite en colloc avec Fabien depuis bientôt un an. C’est la fac qui m’a attribué la chambre ... ainsi que le colloc qui allait avec. Au début, on n’a pas trop communiqué ensemble. Je suis plutôt un geek alors que lui est un mec très sportif. Mais très vite, on s’est découvert une passion commune : les jeux vidéo.
Quelques semaines après notre emménagement, Fabien a apporté sa PS et un grand écran. C’est à ce moment qu’on s’est lié d’amitié. Depuis, on joue souvent ensemble. Mais pas que : on fait les magasins ensemble, on sort aussi les samedis soir, le plus souvent tous les deux, ou sinon avec certains de nos potes de fac. Il me parle souvent de sa copine … ainsi que des meufs qu’il drague. J’ai dès le début remarqué qu’il avait de grosses envies de sexe, sans pour autant réfléchir plus loin : pour moi, Fabien a toujours été l’image même de l’hétéro.
Quant à moi, j‘aime les mecs. Je n’ai jamais couché avec une meuf. Quand on s’est mieux connu, j’ai avoué à Fabien que j’étais homo. C’était 3 ou 4 mois après notre « première rencontre ». Cet aveu n’a heureusement rien changé entre nous, ce qui m’a ravi. Bien sûr, je n’ai jamais laissé entrevoir à Fabien que je le trouvais séduisant. Il a vraiment un corps parfait ! Il joue au rugby, il a une belle tablette de chocolat ainsi qu’un torse large et musclé. Fabien a les cheveux roux. Un filet de poils roux descend de son nombril à son caleçon. Ses jambes sont aussi bien velues. Au nom de notre amitié, je ne lui ai jamais montré que j’aurais bien eu envie de lui !
Je me suis branlé bien plus d’une fois en pensant à lui, en m’imaginant en train de le sucer ou de me faire pénétrer par lui. Dès le début, il se promenait parfois seulement vêtu d’un caleçon dans la chambre. Parfois, il passait à côté de moi et mon bras frôlait la peau de son ventre… ce qui m’obligeait à aller dans ma chambre pour me masturber. Mais je n’ai jamais eu le courage d’aller plus loin, de prendre par exemple son paquet en main. En tout cas, il n’a jamais eu peur que je le voie presque à poil. Je crois qu’il me fait confiance. C’est pour cette raison que je n’ai jamais voulu mettre en péril notre relation en tentant une approche plus directe.
Bien 6 mois après notre emménagement, il a décidé de son propre chef de se balader tout le temps en caleçon dans l’appartement. Depuis, j’essaie autant que possible de ne pas poser mes yeux sur son matos ou sur son corps parfait… ce qui n’est pas toujours facile. Depuis peu, il est aussi devenu très tactile. Il me touche à chaque occasion l’épaule. Quand on veut sortir de la chambre pour se rendre à la fac ou en ville, il me met parfois une tape amicale sur une fesse. De temps en temps, quand il gagne aux jeux vidéo, il passe sa main dans mes cheveux. Je n’y trouve rien à redire. Même si je suis plus distant avec lui que lui ne l’est avec moi, je me dis que c’est normal et que notre amitié devient de plus en plus forte.
Cependant, j’ai commencé à me poser des questions quand il a commencé à me prendre dans ses bras le matin au lever… et parfois, il s’est mis à me serrer si fort que je sentais son érection matinale contre ma jambe. Je n’ai cependant jamais réagi. Je me branlais après sous la douche en repensant à la situation, avec le regret évident de ne pas vouloir aller plus loin et d’en profiter. Mais ma peur de me faire rejeter par Fabien et de détruire ainsi notre amitié l’emportait toujours. Au fil du temps, j’ai trouvé la situation intenable et je me suis décidé à lui demander d’arrêter ça. Mais je n’ai pas eu le temps de m’entretenir à ce sujet car Fabien s’apprêtait à aller plus loin.
Aujourd’hui, et comme souvent, Fabien porte seulement un caleçon blanc. Il me propose de jouer à un jeu sur la PS. On se pose sur le canapé et on se met à jouer. Mais j’ai du mal à me concentrer sur le jeu car il n’arrête pas de remettre sa queue en place dans son caleçon… Au bout d’un moment, il se met même à jouer avec… et je vois son paquet prendre du volume. Mon regard est bien sûr attiré par ce spectacle, ce qui m’empêche de me concentrer sur le jeu… et je perds à chaque fois.
Fabien gagne à la cinquième reprise… et c’est à ce moment qu’il se tourne vers moi :
- Ben alors, qu’est-ce qui se passe ? T’es bien mauvais aujourd’hui.
- Je sais pas…
- Moi, je crois savoir ce qui se passe…
Il se lève d’un bond et il dirige la télé dans ma direction. J’ai une belle vue sur son cul bien moulé. Il se rassoit sur le canapé.
- L’angle était sûrement mauvais, tu devais être gêné par le contre-jour.
Mon regard est alors attiré par son entre-jambe… et je peux constater qu’il bande. Le fin tissu de son caleçon moule un beau morceau ! Je déglutie et je réponds :
- Oui, tu as raison, c’est bien mieux.
Tu parles ! Je n’arrive pas plus à me concentrer sur le jeu. En plus, il s’est assis tout près de moi de telle sorte que son bras frôle ma peau à chaque mouvement. Je sens alors ma bite prendre du volume. Je perds bien évidemment la partie suivante. Fabien me donne alors un coup de coude.
- C’est vraiment pas ton jour !
- Oui, ça me soule. On arrête ?
- D’accord.
Fabien se lève et il éteint la PS. Puis, il se retourne et il me regarde… tout en jouant avec sa bite, la main dans son caleçon. Je le regarde, en silence.
- Dis-moi, Nico, je peux te demander un truc.
- Bien sûr.
- Te fâche pas, hein ?
- Ok.
- Est-ce que tu me trouves excitant ?
- Quoi ?
- Ah… Nico… Tu as bien compris. Est-ce que tu me trouves excitant ?
Je ne sais pas alors ce que je dois faire. Est-ce que je dois lui avouer qu’en effet, je le trouve excitant ? Et dans ce cas-là, qu’advient-il de notre amitié ? On s’entend si bien… Si je l’avoue, je ne pourrais plus le nier… Donc je décide de mentir :
- Non…
Fabien me regarde, incertain. Puis, il porte ses mains à son caleçon et il le fait descendre un peu, faisant ainsi apparaitre une belle touffe des poils roux qui recouvre son pubis.
- Donc… si on était en boîte et que j’étais comme ça devant toi, tu me draguerais pas ? Ou tu me ramènerais pas chez toi ?
Mon cœur bat à 100 à l’heure. J’essaie de garder une clarté d’esprit… et je réponds vite :
- Non, pas du tout.
Le visage de Fabien se décompose. Il recule un peu et il demande alors :
- Pourquoi ? Tu me trouves trop gros ?
- N’importe quoi ! T’inquiète, t’es un beau mec…
- Ah ! Tu l’as dit ! Tu trouves que je suis un beau mec !
- Putain !
- Je le savais, tu me trouves excitant !
Je ne sais plus quoi dire. Je le regarde alors dans les yeux. Fabien vient alors vers moi. Son paquet se trouve à quelques centimètres de mon visage. Je reste fixé dessus, puis je lève les yeux. Il me regarde, les yeux me défiant. Il reprend :
- Dis-moi que tu trouves pas « ça » excitant et je remonte mon caleçon.
J’hésite… mais emporté par mon excitation, je lui baisse le caleçon.
- Je le savais que tu en avais envie !
- Tais-toi, murmuré-je.
J’enlève son caleçon et je me retrouve avec sa bite dressée devant mes yeux. Elle est vraiment belle, longue. Elle fait bien 20 cm. Je saisis son morceau en main tandis que je lui malaxe ses grosses couilles rondes et poilues. Je me mets à faire aller et venir ma main dessus. Puis, je prends délicatement sa queue en bouche. Je n’arrive pas à y croire... Un fantasme devient réalité ! Je ressors sa teub de ma bouche, je la lèche sur sa totalité avant de lui faire une gorge profonde.
- Oh... putain !, gémit-il.
Puis, je fais passer ma langue sur son gland avant de le sucer avec passion. Fabien se met à donner de petits coups de reins. Fabien semble apprécier car il gémit fort. Il passe ses mains à travers mes cheveux ou sur mon visage. Puis, il s’écrie :
- Putain, je jouis !
Fabien veut retirer sa bite mais je la garde en bouche, je continue de le sucer.
- Tu veux mon jus ?
Sa queue laisse alors son sperme gicler dans ma bouche pour atterrir directement dans ma gorge. C’est une vraie inondation !
- Putain ! Quelle petite salope !
J’avale tout et quand sa queue se ramollit, je la nettoie bien. Fabien me regarde, surpris, et il m’observe faire. Quand j’ai fini, il me demande :
- C’était bon ?
- Oh oui !
Fabien se laisse tomber sur le canapé. Je lui demande :
- Ça t’a plu ?
- Putain ! Quelle question ! C’était génial ! On m’a jamais aussi bien sucé ! Et tu avales ! Aucune meuf ne l’avait fait avant !
- Je suis pas une meuf !
- Désolé, je voulais pas dire que…
- Non, je veux dire que je suis un mec. Je sais ce que les mecs aiment et ce qu’ils veulent. C’est pour ça que je sais bien m’y prendre.
Fabien hoche de la tête.
- Je te mets un 20/20 !
On rigole ensemble. Puis, la peur s’empare de moi. Je connais ce sentiment… Quand on est chaud, on veut que du sexe… mais après… quand le cerveau reprend le dessus, on regrette des trucs. Est-ce que ça sera comme ça aussi pour Fabien ? Je me pose à côté de lui et il me demande :
- A quoi penses-tu ?
- Non, à rien…
- Allez, dis !
- Est-ce que ça va être un problème entre nous ?
- De quoi ?
- Ah ! Tu as très bien compris !
- Pour moi non ! On est 2 mecs qui se sont amusés … et pour ma part, on pourra le refaire. Si tu le veux bien sûr !
- Quelle question… bien sûr que je le veux
- Voilà ! Un truc pas compliqué, sympa, pas prise de tête. Ça fait un moment que je voulais faire ça !
- C’est vrai ?
- J’adore me faire sucer… Et j’ai toujours voulu essayer de sucer une bite. Je peux sucer la tienne ?
- T’es sérieux ?
- Oui !
- Ok !
Je me pose sur le canapé et j’écarte mes jambes. Fabien se redresse et il vient vers moi. Il libère ma queue encore prisonnière de mon pantalon et elle se redresse immédiatement. Il l’observe avec attention. Mes 18 cm semblent le fasciner.
- Ça va pas ?, demandé-je.
- J’admire ta queue ! Elle est énorme !
- Pas plus longue que la tienne !
- Si, je pense…
- Alors, laisse-nous en avoir le cœur net, m’exclamé-je.
Je me redresse et j’enlève mon pantalon. Fabien se lève et il me regarde d’un air interrogateur.
- Viens, lui dis-je.
Il vient vers moi et je pose ma queue sur la sienne. Je commence à nous branler. D’un coup, sa queue se redresse. Je prends un double décimètre et je mesure sa teub. Puis, la mienne.
- 18 cm pour moi contre 21 pour toi !
- Ok, tu as raison, dit-il.
Nos queues posées les unes sur les autres, je lève les yeux. Il m’imite… et je ne peux alors me retenir de l’embrasser. A ma grande surprise, il ne s’y oppose pas et il répond même à mes baisers. On s’embrasse passionnément pendant de longues minutes. Puis, je me retire et il me regarde :
- Je crois que j’ai encore un truc à accomplir…
Fabien se met à genoux et il saisit ma bite. Je n’arrive pas à croire que ce mec aussi canon prenne lentement ma queue dans sa bouche. Il gobe d’abord mon gland. Il enfonce ma bite dans sa bouche. Il pense même à faire attention avec ses dents. Il se met à me sucer. Je gémis fort. Il se débrouille bien pour un débutant ! J’admire ce beau gosse s’occuper de ma teub. Je suis tellement excité que très vite, je lui dis :
- Fabien, je vais jouir...
Il continue de me sucer… et il prend en bouche 5 ou 6 giclées. Puis, il sort ma bite et il lève sa tête. Il se relève et il me roule une grosse pelle. C’est vraiment un superbe sentiment ! Puis, nos lèvres finissent par se séparer et il dit :
- Ouah !
- Ça t’a plu ?
- Putain ! Oui ! C’était trop bon !
Il se dirige alors vers notre petit coin cuisine et il ouvre une bouteille de vin.
- Il faut fêter ça !
Il m’apporte un verre, on trinque.
- On trinque à notre colloc qui va bien nous apporter du plaisir, dit Fabien.
Je bois en espérant qu’il ait raison et qu’on répète tout ça souvent… Je suis en tout cas soulagé, notre relation ne patira pas de ce moment de plaisir commun. Quand on a fini de boire, il me dit :
- Je suis fatigué, on va dormir.
Il se pose alors sur son lit en me souhaitant une bonne nuit. Je me couche alors sur le mien. Je suis vraiment bluffé. Je me demande vraiment si tout ça s’est réellement passé. J’ai sucé l’un de mes les plus canon que je connaisse. En plus, le mec de mes rêves m’a même sucé. Sur ces pensées, je m’endors.
Je me réveille dans la nuit. Je regarde l’heure : 5h ! Les cours commencent dans 3 heures. Je remarque que j’ai une belle érection. Soudain, une envie me prend. Je me lève, je me dirige vers le lit de Fabien. Mon portable éclaire alors « mon » beau gosse. Il est entièrement nu, les couvertures sont par terre. Rien que de voir ses abdos, je me mets à bander encore plus dur. Je m’approche de lui, je me mets à caresser son corps pendant que je prends ma bite dans l’autre main. Je commence à me branler. Fabien se réveille à ce moment-là et il allume la lumière. Il me sourit et il dit :
- Salut, vous !
- Salut !
- Tu t’amuses bien ?
- Oui, désolé… Il faut bien que je m’occupe de mon érection.
- Je connais le problème…
Je vois alors que sa bite est aussi dressée.
- Viens dans mon lit, Nico…
- J’arrive
A suivre...
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Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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