Professeurs à l’université

Chapitre-2

Salut à tous,
Je m’appelle Nicolas, j’ai 29 ans, je suis professeur à l’université de Lille. Je suis blond aux yeux bleus, de stature normale, un peu poilu. Je suis gay, certes pas ouvertement, mais je ne le cache pas non plus. J’enseigne l’histoire antique. Je suis réputé pour être juste mais sévère, ce qui se reflète dans mes notes.
Un jour, un de mes étudiants, Éric, est venu me voir pour que je l’aide à améliorer sa note. Je lui ai donné un devoir qui allie ma matière et celle de M. Tamboul, Noah, qui est prof mais aussi un bon pote. Lors d’une soirée, j’ai appris qu’il était bi. Un autre jour, j’ai voulu organiser un plan avec un mec sur un tchat. Je l’ai fait venir chez moi et il s’est avéré que c’était Éric, mon étudiant. On a fini par coucher ensemble. Éric s’est révélé être un amant hors-pair. Après, il m’a avoué qu’il était persuadé que Noah me kiffait...

Aujourd’hui, j’arrive à la fac. J’entre dans le hall et je me dirige vers mon bureau. Je croise par hasard Éric. Il me sourit. Je lui fais un signe de tête et je continue de marcher en direction de mon bureau. Je ferme les yeux et je repense à ce qui s’est déroulé depuis une semaine : il y a tout juste une semaine, Éric et moi avons couché ensemble chez moi. Le lendemain, on s’est retrouvé à la fac. Il en a fait comme si de rien n’était. Mais après les cours, il est venu dans mon bureau, il a sorti sa bite que j’ai sucée avec envie. Et depuis, à la fin de la journée, on se rend chez moi et on baise ensemble.

Me voilà dans mon bureau, je regarde la préparation de mes prochains cours. Je potasse un peu quand on frappe à la porte :

- Entrez !

Éric entre et il ferme la porte derrière lui. Je mate mon bel étalon : Éric est un black de 23 ans. Il est de taille moyenne. Sa peau est foncée. Il a le crâne rasé et il porte le bouc. Il a aussi des boucles d’oreilles. Il a un petit nez et de grosses lèvres. Il est baraqué.

- Ça va, mon beau prof ?
- Qu’est-ce que tu fais, Éric ? On a cours dans 10 minutes.
- En 10 minutes, j’ai bien le temps de profiter un peu de ton cul, non ?
- T’es sûr que tu vas jouir aussi vite ?
- Je suis bien chaud depuis hier soir, regarde !

Il ouvre alors son pantalon et il en tire sa teub qui est déjà dressée. Je me lève. Je me retourne, je me place contre le bureau, et je descends mon pantalon. Éric se met en place derrière moi. Il crache sur mon trou qui est bien béant. Sa grosse queue a bien travaillé depuis une semaine. On a baisé souvent ces derniers jours. Il crache sur sa bite, il me doigte un peu et il enfonce sa grosse teub en moi. Je soupire de plaisir. Il prend mes hanches dans ses mains et il commence à me défoncer. Il met sa main sur la bouche. Il me pilonne à fond, sa grosse teub me pénètre, faisant de rapides va-et-vient. Son gland me perfore le fond du cul. Ces couilles frappent mon périnée. Il est vraiment endurant, comme d’habitude. Quand je vois l’heure qui avance, je lui dis :

- Allez, baise-moi comme il faut !

Il accélère alors le mouvement, je me retrouve comme un pantin entre ses mains. Sa teub est tel un marteau piqueur. Je me fais défoncer à fond. Et dans un ultime coup de rein, sa queue explose en moi. Il jute une dizaine de jets tout au fond de mon cul. Quand il ressort, c’est un tsunami de sperme qui jaillit de mon trou. Je prends vite fait des mouchoirs, je me nettoie. Je place un mouchoir dans ma raie et je remonte mon pantalon. Je prends mon portable et je me regarde, je me refais ma coiffure afin d’être présentable pour mon cours. On se rend ensemble dans l’amphithéâtre. Il va s’asseoir et moi, je vais au bureau je branche mon ordinateur et je commence le cours.

Une fois le cours fini, trois étudiants viennent me voir pour me parler de leur devoir qu’ils doivent bientôt rendre. Éric est le dernier. Il me montre ce qu’il a déjà fait pour son devoir qu’il a à rendre. J’ai été clair dès le début que même si on couchait ensemble, ça ne devrait pas affecter notre relation prof-étudiant et qu’il devrait faire exactement le même travail que les autres afin que je lui valide son année. En plus, Noah donnera aussi une note, ce qui a directement été plus facile. Éric a tout de suite été d’accord.

Éric se jette directement sur moi quand il voit que l’amphithéâtre est vide. Puis, il s’assoit alors sur ma chaise, il en sort sa queue qui bande de nouveau et il me dit :

- Tu veux pas me vidanger ?
- Quoi ici ? Mais c’est trop dangereux...
- Vas-y, viens chercher ton biberon !

Je vais alors me placer sous le bureau au niveau de sa bite que je prends en main. Je l’observe, elle est vraiment magnifique : elle est épaisse, ma main n’arrive pas à en faire le tour, et longue : bien 22 cm. Il a aussi de grosses couilles de taureau, aussi rasées.

Je me mets à la sucer. Très vite, Éric saisit ma tête entre ses mains et il commence à m’imposer le rythme de suce. Il me fait aller et venir sur toute la longueur de sa teub. Puis, il finit par se lever. Il bloque toujours ma tête entre ses mains et il se met à me pilonner le gosier. Je bave partout, j’adore sentir son gros gland me taper le fond de la gorge. Ses couilles, mouillées par ma bave, claquent contre mon menton. Il me pilonne la bouche pendant bien 10 ou 15 minutes avant d’enfoncer sa teub tout au fond de mon gosier et de lâcher 11 jets puissants qui me frappent le fond de la gorge et qui vont directement au fond dans mon estomac.

Quand il ressort sa queue, je vois qu’elle est recouverte de filets de bave. Je me redresse. Il referme son pantalon et il sort après m’avoir déposé un baiser sur la bouche. Je vais à mon prochain cours que je donne, mais je ne suis pas très concentré.

À midi, je rejoins Noah au RU. Il prend un steak-frites tandis que moi, je prends la pizza au chèvre que j’adore. On s’installe et on commence à manger.

- Alors ça va ?, me demande-t-il.
- Oui très bien et toi ?
- Oui, ça va. Tu as l'air radieux en ce moment !
- Ouais, je sais pas... en tout cas, je suis complètement à côté de la plaque ce matin.

Je vois alors Éric qui s’approche de nous.

- Monsieur Parlet, est-ce que vous auriez le temps tout à l’heure pour m’aider pour mon devoir.
- Oui, bien sûr. Je finis à 16h. Tu veux passer à 16h30.
- Oui, ce serait parfait. C’est vraiment très gentil de votre part de m’aider.
- Tu sais, Éric. Je peux t’aider aussi si tu as des questions.
- Oui ...oui bien sûr... Je m’adresserai à vous dès que j’en aurai besoin, mais là c’est des questions par rapport à l’histoire.
- Tu en as assez souvent des questions, il me semble... non ?
- Pourquoi... Pourquoi tu dis ça, Noah ?, demandé-je à Noah.
- Je sais pas... Je l’ai vu ce matin entrer dans ton bureau, il me semble que je l’ai vu aussi hier.
- Vous savez très bien loin que je ne suis pas très bon en histoire, c’est pour ça que je fais ce devoir... afin de réussir mon année. Mais bon, je dois dire que Monsieur Parlet est quelqu’un de très agréable et j’adore passer du temps avec lui.
- Merci c’est gentil Éric. Bon, on se voit à 16h30, dis-je afin de couper court à cette conversation.
- Oui, parfait ! A plus tard !

Éric s’éloigne en nous jetant des coups d’œil furieux. Noah reprend :

- Mais qu’est-ce que c’était que ça ?
- Qu’est-ce que tu veux dire ?
- Mais tu as pas vu, j’ai l’impression qu’il te draguait.
- Ah non, pas du tout.
- Il y a quelque chose entre vous ?
- Sois pas bête. Qu’est-ce que tu veux qu’il y ait ?
- Bah je sais pas, je trouve ça très bizarre qu’il vienne souvent te voir dans ton bureau. Mais toi aussi, t’es bizarre ! Dès qu’il est arrivé, ton visage s’est illuminé et... cette façon de traquer mon... Je sais pas... Dis-moi que je me fais des films...
- Oui, tu te fais des films, arrête. Par contre. Oui, il faudrait quand même qu’il vienne te voir, non ? Pour te montrer comment il a avancé dans son travail.
- Oui... oui... enfin, c'est pas moi qui le drague
- Allez, arrête, c’est bon !
- Et sinon, tu fais quoi ce soir ?

Je réfléchis. Je n’ai pas envie de lui dire qu’Éric va venir chez moi. C’est pour ça que je réponds :

- Rien, je pense. Non, j’ai rien de prévu.
- Tu veux qu’on sorte entre collègues ce soir.
- Ah oui, avec plaisir !
- On se donne rendez-vous à 19h.
- Disons plutôt à 20h. Ça te dit d’aller à la pizzeria où on a mangé la dernière fois ?
- Oui, c’est une bonne idée.
- Je passe te chercher vers 19h45.
- Ça marche !

Je finis ma pizza et je dis :

- Bon allez, j’y vais, il faut que j’y aille. J’ai encore des trucs à corriger.

Je me rends dans mon bureau, je corrige quelques copies et après, je vais faire mon cours de 14h sur l’histoire de la démocratie dans la Grèce antique. A 16h, je me rends dans mon bureau. Éric m’attend déjà devant. Je lui dis :

- Je suis désolé mais j’ai oublié que ce soir j’ai un repas avec des collègues.

Erik a l’air très déçu. Je reprends :

- Si tu veux, on a qu’à aller maintenant chez moi, on se fait un peu plaisir et après, je vais à mon rendez-vous.

Son visage s’illumine.

- C’est d’accord !
- Et pour pas attirer les soupçons, prends le bus, on se retrouve chez moi.
- D’accord, ça marche.

Je rentre chez moi en voiture, je vais prendre une douche et me préparer. Quand je sors de la salle de bain, la sonnette retentit. Quand j’ouvre la porte, Éric vient se loger dans mes bras et il m’embrasse. On se roule une grosse pelle. Mes mains caressent son corps et le déshabillent très vite. Je suis, comme d’habitude, émerveillé par son corps : il ressemble vraiment à un taureau. Il a de larges épaules, de gros bras et des pecs assez rebondis et musclés. Il a un petit ventre un peu rebondi et dur, un mélange de muscles et de graisse. Il a un piercing à chaque téton et un tatouage sur le pec droit. Son corps est imberbe et son pubis est rasé. Il a de grosses cuisses musclées. Ses 22 cm sont déjà bien dressés.

J’adore ses grosses lèvres pulpeuses qui m’embrassent langoureusement. Je passe mes bras autour de son cou et je me colle contre lui. Je sens ses pecs puissants ainsi que sa teub coincée contre mon ventre. Quand nos lèvres se décollent au bout de quelques minutes, je l’entraîne dans ma chambre. On se jette sur le lit et on continue de s’embrasser longuement. Puis, ma langue descend le long de son corps. Puis, je saisis sa teub et je me mets à la sucer. J’adore son engin ! Je lui fais des gorges profondes puis je le suce sur tout le long de son membre.

Puis, il me fait remonter et il se met à me sucer. Il se débrouille bien. Je suis sur le dos et j’apprécie ses caresses buccales en lui caressant la tête. Ensuite, sa langue descend le long de mon périnée et il se met à me bouffer le cul avec envie et passion. Sa langue me fait gémir très fort. Finalement, il se redresse et il tape son gland contre mon trou bien préparé. Il crache sur mon anus et sur sa queue. Il positionne son gland qu’il enfonce dans mon cul... et je sens sa bite qui rentre sans faire d’arrêts jusqu’au fond de mon anus. Il marque une pause et il agrippe mes chevilles pour me bien faire écarter les jambes. Éric se met à aller et venir lentement. Sa bite me fait trop de bien et je gémis doucement. Ensuite, ses doigts viennent jouer avec mes tétons. Je râle de plaisir. Au bout de 5 minutes, Éric accélère son pilonnage.

Il me baise ensuite en levrette, puis debout. Ensuite, je le chevauche. Puis, il me refait mettre à quatre pattes. Il est hyper endurant, il me baise sans pause pendant au moins une heure. Je le touche et je le caresse partout, je kiffe son corps. Il se fait plaisir en moi, sa queue me laboure le cul. Il me comble vraiment. Il me serre contre lui, il m’embrasse tandis que sa queue tape au plus profond de mon cul. Finalement, il s’exclame :

- Je vais t’ensemencer, mon prof préféré !
- Vas-y, lâche ta sauce, lui dis-je en l’encourageant.

Il accélère les mouvements, je suis secoué comme un prunier. Soudain, Éric se bloque en moi en poussant un râle, et je sens les soubresauts de sa bite qui décharge dans mon cul. Il jute comme s’il pissait. Il éjacule de grandes giclées de sperme. J’en compte bien 20 ou 22.

Il sort de mon anus et il se pose sur le lit, à bout de souffle. Je me mets à me branler et je jute mon sperme un peu partout sur mon corps et sur celui d’Éric. Je l’observe : il dégouline de sueur. Moi, j’ai le cul bien qui dégouline de sperme. On reste pendant un bon moment ensemble dans les bras l’un de l’autre. A un moment, je lui dis :

- Je crois que Noah a capté quelque chose.
- Quoi ?
- Il te voit souvent venir dans mon bureau, il voit souvent grand part et il a remarqué un certain regard que tu me lançais... Oui, genre que tu me kiffes.
- C’est cool ça.
- Ah bon, tu trouves ?
- Ouais ... J’ai l’impression que ça ... je sais pas comment dire ... qu’il est jaloux.
- Ça serait fort possible depuis que tu m’as dit que qu’il devait me kiffer, j’ai l’impression que, en fait, t’as raison. Donc oui, je pense qu’il peut être jaloux.
- Super.
- Comment ça, super ? C’était ton but, là, de le rendre jaloux ce midi ?
- Oui. J’aimerais tellement lui dire qu’on est ensemble, qu’on baise ensemble.

Le salaud ! Mais je ne relève pas sa remarque : je ne veux pas le vexer. Mais non, on n’est pas ensemble. Oui, c’est vrai qu’on baise tous les deux, que le sexe avec lui est génial. Mais, en tout cas, tant qu’il sera mon étudiant, ça n’ira pas plus loin.

Éric pose sa tête sur mon torse, je le prends mes bras et je dépose des baisers sur sa tête. On savoure un instant, sans rien dire. Puis, on va se doucher. On sort en même temps de mon immeuble. On se quitte et tout d’un coup, je vois la voiture de Noah arriver. Je monte. Il me demande :

- C’était pas Éric qui est sorti de chez toi, là ?
- Ah non, pas du tout, c’est un voisin, un black aussi, mais un voisin.
- Ok.
- T’as vraiment un problème avec Éric, non ?
- Possible... Je sais pas...

On arrive au restaurant. Noah a réservé en son nom. Le serveur nous amène à notre table. Je suis surpris de voir 2 couverts. Je prends la parole :
- Mais... On est que tous les deux ?
- Ben oui.
- Ah bon, je croyais qu'il y aurait d'autres collègues quand t'as parlé d’un « repas entre collègues »
- Ah, je suis désolé de mettre mal fait comprendre. Ça te dérange ?
- Mais non, pas du tout. Allez, viens, on regarde la carte, on commande.

On prend un apéritif : moi un Martini, lui un Ricard avec des antipasti. Puis, on prend un risotto et on essaie une très bonne glace. En plus de tout cela, on commande une bouteille de rouge qu’on vide assez vite. On en commande alors une deuxième.

La soirée se passe très bien, on est très vite pompette et Noah devient très tactile. Au bout d’un moment, je finis par lui demander :

- Tu sais ce que quelqu’un m’a dit ? Qu’il pensait que tu me kiffais ?
- Ah bon ? Qui ça ?
- Ah, peu importe.
- C’est Éric, c’est ça ?
- C’est bien possible.
- Et comment en êtes-vous arrivés à parler de ça ?
- Il était dans mon bureau cet après-midi et c’est ce qui il a laissé entendre quand il nous a vu autre soir la semaine dernière en boîte. Mais bon, t’as pas répondu à ma question ?
- Ben je dois avouer que je te ... je t’apprécie énormément.

Je le regarde, surpris par cette révélation. Éric avait donc raison.

- Et depuis quand ?
- Depuis très longtemps.

Il pose alors une main sur ma main. Ces doigts me caressent le dos de la main. On commande un dessert et après, Noah me propose :

- Si on allait chez moi ?
- Euh... je veux bien. Et je mange mon dessert chez toi alors ?

Noir sourit mystérieusement. Il demande à l’addiction, il paie. Puis on rentre chez lui. Arrivés, il me sert un digestif. On se retrouve tous les 2 sur son canapé, il allume de la musique douce italienne. On est assis l’un à côté de l’autre, nos jambes se touchent. Nous ne les retirons pas. Finalement, il prend ma main que je ne retire pas. Il se penche sur moi et il me dépose un baiser sur mes lèvres. Je passe mes mains autour de son cou. Je lui roule une pelle pendant dix bonnes minutes. Puis, il me demande :

- On passe dans ma chambre ?
- Avec plaisir.

On entre dans sa chambre. On s’embrasse tendrement. Je commence à le déshabiller. Puis, il me déshabille aussi. Noah est grand (1,85m), brun, il a les cheveux décolorés en blond. Il a des yeux noirs. Il est métis (antillais et français). Il est musclé, très peu poilu sur le haut du corps. Par contre, il est assez poilu sur les fesses, les jambes et sur le pubis. Il a des tatouages sur la main et les bras. Il a une bite de 24 cm, assez large et courbée vers le haut, un gland normal et de grosses couilles velues.

Je m’agenouille devant Noah : je suis impressionné par son morceau ! Je me mets à lui lécher sa teub qui est plus grosse que celle d’Éric. Elle a vraiment une bonne proportion. Je la prends en bouche et je me fais plaisir en faisant des allers-retours dessus, sans pouvoir l’avaler entièrement. Au bout de quelques minutes, il me fait me relever. Il me pousse sur le lit, je tombe sur le dos. Et il vient vers moi, il se met à m’embrasser, puis sa langue descend dans mon cou. Ensuite, il se met à jouer avec ses dents avec mes tétons. Puis, sa langue passe le long de mon corps, de mon ventre, et il suce ma teub. Il fait de petits allers-retours tout en jouant à l’aide de ses mains avec mes boules. Par la suite, il me fait redresser les jambes et sa langue s’enfonce dans mon trou. Il se met à me faire un anulingus de malade. Il passe ensuite sa langue dans ma raie et il remonte jusqu'à son gland. Il me suce toute en faisant entrer son index dans mon cul. Puis, il y met deux doigts. Il entame un massage de ma prostate. Je me mets à couiner. Il semble se faire plaisir. Ensuite, il se redresse et il enfonce sa bite lentement dans mon trou, sans capote. Elle rentre comme dans du beurre. Je remarque qu’en une semaine mon trou s’est bien faite à la teub d’Éric. Cependant, les derniers centimètres me font souffrir et Noah doit s’y reprendre à plusieurs fois avant de plaquer son pubis velu contre mes fesses.

Noah entame de petits coups de reins. Il enfonce la moitié de sa queue en moi avant de la faire ressortir. Il en adopte un rythme régulier. Il ne se rend pas compte qu’il baise en fait dans le jus d’Éric, notre étudiant. Je suis sûr qu’il se dit que je mouille du cul. Mais non, il tasse le jus d’Éric qui sort lentement de mon trou et qui tapisse sa bite. J’adore sentir ses couilles contre mes fesses, projetant le sperme sur mon ventre, et sa teub me limer. Je sens aussi son pubis poilu qui cogne contre mon cul. Noah se penche sur moi et il m’embrasse.

Au bout de quelques minutes, il me fait me retourner. Je me retrouve à 4 pattes sur le lit, il s’enfonce en moi et il reprend une cadence régulière et assez lente. Je ferme les yeux. Et je dois avouer que je ne regrette pas la grosse bite d’Éric. Il sait vraiment bien s’en servir et il me défonce vraiment bien avec. Je me rends alors compte que je suis en manque de cette teub. Mais là, je découvre de nouvelles sensations ! La bite de Noah me fait voir des étoiles ! Son gland me fait du bien, il masse bien ma prostate. J’aimerais tellement lui dire de me baiser à fond, de me traiter comme une pute, de se servir de moi comme le fait Éric. Mais je n’ose pas, c’est mon pote, mon ami, mon collègue. C’est peut-être aussi bien qu’il soit aussi sensuel.

Il me fait remettre sur le dos. Il se penche sur moi et il donne le petit coup de teub. Ces mouvements sont très sensuels. Seuls ses fesses bougent d’avant en arrière, donnant de petits coups de bite. Et finalement, au bout de 5 minutes, il donne un coup de rein puissant et sans un bruit, il éjacule au fond de mon anus. Je sens son sperme chaud envahir mes entrailles dans un flot abondant. Quand il ressort, il vient se blottir dans mes bras. Il m’embrasse, puis il descend vers ma bite qu’il prend en bouche. Il me suce tout en enfonçant deux doigts dans mon trou. Il masse ma prostate tout en me suçant. J’éjacule très vite, dans sa bouche 5 giclées d’un sperme épais et blanc. Il avale tout.

Finalement, il vient se blottir de nouveau contre moi. On se caresse et on se câline. On s’endort rapidement dans les bras l’un de l’autre. Son réveil nous réveille vers 6h du matin. Je vais me doucher et je repense à cette soirée ainsi qu’à cette mémorable. Même si Noah n’arrive (encore ?) pas à la cheville d’Éric, la baise m’a vraiment plu. Noah est très sensuel, très câlin. Quant à Éric, il est bien plus bestial. Oui, il est certes bien plus jeune, sa queue est moins grosse. Éric semble insatiable, une vraie bête de sexe, qui a toujours envie de me défoncer. Quand j’ai voulu sucer Noah à 6h, il n’a pas voulu, prétextant qu’il n’aime pas le sexe le matin. Moi, j’ai l’impression que Éric est en train de de me faire devenir accro à sa bite. J’en ai besoin matin, midi et soir !

On part ensemble vers 7h30. Quand on arrive à la fac, je le quitte pour aller dans mon bureau. Et Éric attend devant ma porte :

- Ça va, M. Ngoa ?
- Oui très bien, merci, et toi... euh... et vous ?

Je lui jette un regard noir, puis je le faire entrer dans mon bureau. Je lui dis :

- Je crois que ça commence à être évident que tu viens souvent me rendre visite.
- Il va falloir trouver un nouvel endroit, dit-il, compréhensif.

Je me retourne pour lui dire qu’on devrait plutôt baiser ailleurs qu’à la fac... mais il est déjà nu devant moi. Sans hésiter, je me précipite sur sa queue que je suce. Il me fait vite retourner et il me baise dans le jus de Noah. Il me pilonne tel un marteau-piqueur. Il est bestial, sauvage, animal. Sa grosse queue comble mes besoins. Et dans un ultime coup de reins, cinq minutes plus tard, il m’ensemence. On se redresse, à bout de souffle. Et on se donne rendez-vous aux toilettes des profs à 10h30. Là, on baise de nouveau. Je prends alors conscience d’une chose : je suis accro à la teub d’Éric c’est seulement de sa bite dont j’ai envie. Son physique aussi me fait bien bander.... Cependant, mes pensées se dirigent de plus en plus vers Noah... qui a vraiment tout pour lui ! A moi de le faire devenir une bête de sexe !

À midi, je mange avec Noah au RU. Il est très mielleux. Il me sourit sans arrêt. Son regard a changé. Il est désormais plus tendre envers moi. Il me caresse le haut de ma main que je retire vite car Éric passe à côté de nous avec son plateau. Il me jette un regard noir. Est-ce qu’il a compris ce qui s’est passé entre Noah et moi ? En tout cas. Il n’a pas l’air très content.

A suivre...

Merci à Noah pour ses idées.

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