Qui dit nouveau moment chaud spontané dit nouvelle histoire. Les faits que je vais raconter se sont déroulés hier. Poser ces expériences à l’écrit me permet de me libérer de l’emprise du désir, de faire retomber la pression. C’est comme si mon cerveau n’arrivait pas à passer à autre chose. Je repasse en boucle les évènements dans ma tête et je reste incapable de me concentrer sur autre chose. Les écrire tels que je les ai vécus est un exécutoire. Et puis ça me permet de me rappeler en détail ce qui m’excite le plus sur le moment, afin de m’y replonger plus tard. N’hésitez pas à me faire parvenir vos avis par mail si cette histoire vous a plu, ou pour échanger sur vos propres expériences.
Il ne s’agit que de ma deuxième tentative d’écriture, donc une brève introduction s’impose. Je m’appelle Anthony, fier montpelliérain de 31 ans et expatrié sur Paris depuis quelques années pour le boulot. Gay, bien dans mes baskets, plutôt discret. J’adore le sport et je pratique tous les jours en alternant natation, boxe et musculation en salle. Pour les plus visuels d’entre vous : 1m82 pour 72kg, cheveux bruns très courts, yeux marrons, barbe d’une semaine, physique sportif.
Dans mon secteur d’activité le mois d’octobre est le plus chargé de l’année, et ces dernières semaines ont été un véritable enfer. Compte tenu de la charge de travail j’ai temporairement changé mes habitudes et j’essaie d’aller au sport très tôt le matin. Hier mon alarme me réveille à 06:30. Un petit-déjeuner rapide et me voilà déjà en chemin pour aller à la salle de sport. Je me change dans les vestiaires déserts et je commence ma séance avec une bonne énergie. Aujourd’hui c’est haut du corps au programme, ce que je préfère. J’ajoute quelques exercices de mobilité et après une bonne heure d’entrainement je retourne aux vestiaires en sueur. Je regarde ma montre, 08 :15. Le coin hammam/sauna me fait de l’œil, et je n’ai pas d’appel pro avant 09 :30. C’est décidé, je vais en profiter pour me relaxer un moment avant d’être aspiré par la rythme infernal de la journée qui m’attend.
Les vestiaires sont divisés en 4 rangées de casiers qui sont séparées par des bancs. Cette fois-ci je me trouve dans la rangée la plus éloignée de l’entrée. Je commence à me déshabiller, d’abord mon débardeur, puis mon short. A ce moment-là un gars arrive et ouvre un casier juste à côté du mien. On échange un bonjour rapide. On dirait qu’il vient de terminer son sport lui aussi, mais je ne me souviens pas l’avoir vu dans la salle principale. J’enlève mon boxer. Pendant que je cherche ma serviette dans mon casier, nos bras se frôlent. Je remarque qu’il me mate discrètement. Dans ce contexte là ça ne veut pas dire grand-chose, tous les mecs se jettent des regards dans des vestiaires, c’est naturel. Toujours est-il que je serais bien resté un peu plus pour le mater à mon tour mais je n’ai pas vraiment d’excuse pour m’attarder. Je me dirige vers l’espace spa à l’autre bout des vestiaires, serviette autour de la taille.
Pour entrer dans cet espace il faut faire coulisser une grande baie vitrée. Au premier plan il y a un jacuzzi, avec un sauna puis un hammam sur la gauche. Un peu plus loin il y a une alcôve avec 2 douches séparées par une paroi en verre, sans porte. C’est vers là que je me dirige pour me rafraichir un instant. Je me retourne pour récupérer ma serviette accrochée au mur, et je suis surpris de voir qu’un gars attend puisque la seconde douche était disponible. C’est mon voisin de casier. Nos regards se croisent lorsque je me dirige vers le sauna. Au moment d’ouvrir la porte en bois, je regarde vers les douches et nos regards se croisent de nouveau. Je sens un léger frisson me parcourir le corps. Le sauna est vide. Je m’installe face au mur vitré pour pouvoir voir ce qu’il se passe à l’extérieur. J’ai une vue directe sur la sortie des douches, et sur une bonne moitié du hammam qui est entièrement vitré et se situe à quelques mètres du sauna. Contre toute
attente « mon voisin » entre dans le hammam. Il doit s’asseoir au fond puisque qu’il n’est pas dans mon champ de vision. Je sens une pointe de déception, mais sans plus.
C’est alors qu’un autre gars se dirige vers les douches. Il porte un speedo bleu foncé. Je ne l’ai vu que de dos mais je le reconnais, je le croise de temps en temps, contrairement à « mon voisin » que je n’avais jamais vu auparavant. Je ne vais pas mentir, le mec me plait. Il doit avoir la quarantaine, peau plutôt mate, assez poilu. Il dégage quelque chose de bien viril. Il entre à son tour dans le hammam et sort aussi de mon champ visuel. C’est à partir de ce moment que mon instinct se met en alerte. Je trouve ça louche que les deux gars soient assis au fond du hammam. La logique (la mienne en tout cas) voudrait que le second gars laisse une certaine distance avec le premier gars, étant donné qu’il n’y a qu’eux dans le hammam. J’attends quelques minutes puis je me lève pour me positionner à l’entrée du sauna et pouvoir voir la partie du hammam qui m’était cachée. Malgré la vapeur, je vois clairement un gars s’écarter de l’autre brusquemen
t. J’ai dû me faire repérer.
Je n’ai presque plus de doute et mon instinct animal prend le dessus. Je sors du sauna avec ma serviette autour de la taille et je me dirige vers le hammam. Je sens mon rythme cardiaque s’accélérer. J’entre avec un « bonjour » qu’ils me rendent. Ils sont assis très proche l’un de l’autre, dans l’angle du fond. Je m’installe à côté du gars en speedo. Une bosse déforme son maillot, il bande. Nos regards se croisent avec « mon voisin ». J’ai du mal à me souvenir de son physique, je mets ça sur le coup de l’excitation et du stress du moment. Je me rappelle qu’il portait un short de bain gris. La quarantaine probablement. Dans ce genre de situation, le physique n’est qu’un détail de second plan. C’est l’imprévu, la spontanéité et la possibilité de se faire choper qui génèrent le désir. On ne se lâche pas du regard. Il commence à se toucher au travers de son maillot et j’en fais de même au travers de ma serviette. Je sens le désir mo
nter au rythme de mon érection. Le mec au speedo entre nous ne bouge pas, mais je vois toujours une bosse dans son maillot.
Je sens les battements de mon cœur jusque dans ma tête. Quelques minutes passent puis « mon voisin » descend un peu son maillot et sort sa queue. Il commence à se branler avec des mouvements lents. Je retire ma serviette et je me joins à lui. J’accentue volontairement mes gestes pour le que mec en speedo (qui a l’air plus timide) comprenne que je suis de la partie. Je le vois mettre une main sur son paquet… on y est ! On n’entend que nos respirations profondes qui viennent rythmer le mouvement de nos mains. Je savoure chaque instant. Premier échange de sourires avec le mec en speedo qui me plait. Je sens un afflux de sang qui vient durcir ma queue un peu plus. C’est alors que « mon voisin » se lève et s’assoit entre nous. Nos cuisses se touchent. Il me surprend lorsqu’il se penche et m’embrasse le téton. Il fait des va-et-vient avec sa langue. Ce baiser me donne une décharge électrique dans tout le corps. Il continue quelques secondes puis pose sa main ga
uche sur ma cuisse. Il remonte, attrape ma bite et commence à me branler. Je vois le gars en speedo défaire l’élastique de son slip de bain et sortir sa bite à son tour. Mon voisin s’en empare et nous branle tous les deux à l’unisson. Il a une poigne ferme et il change de rythme régulièrement pour notre plus grand plaisir. Mon désir atteint un pic. Sans un seul mot, 3 mecs se retrouvent à se branler ensemble dans un moment de partage simple et complice. Nos gémissements de plaisir sont discrets et viennent se perdre dans la vapeur dense de la pièce. On se mate sans aucune pudeur, on se branle, on se caresse les cuisses, le dos, le torse. On dirait qu’ils savourent autant que moi. Aucun de nous n’est capable de s’arrêter, pris dans une sorte de frénésie primaire.
J’ai l’impression d’être dans une bulle où le temps s’est arrêté. Cependant mes sens restent en alerte et malgré l’heure matinale je remarque qu’il y a du mouvement dehors. Je remets ma serviette autour de la taille et je me lève pour me positionner dos à la vitre et masquer la vue aux gars qui sont à l’extérieur. Je suis face à mes deux complices, avec ma bite en érection qui vient déformer ma serviette. Ils comprennent mon intention de leur donner un peu plus d’intimité. Sans un mot « mon voisin » se penche et commence à sucer monsieur speedo. Les regarder prendre du plaisir me rend fou. La chaleur du hammam, la proximité, le relâchement du corps après un effort physique, tous ces éléments se cumulent et me mettent le cerveau en ébullition. Je fais de longs va et viens sur ma queue en savourant ce moment qui peut se terminer à chaque seconde. C’est malheureusement ce qui se passe, un intru se dirige droit vers la porte du hammam. Je fais un
signe à mes complices et je me positionne dos à ce nouvel arrivant pour cacher mon érection. J’en profite pour sortir et je me dirige vers les douches désertes. Mission réussie, personne en dehors de mes acolytes n’a vu que je bandais comme un fou. « Mon voisin » sort du hammam lui aussi et se place dans la douche d’à côté. Il s’approche et me caresse le dos. Je murmure un « pas ici » et il retourne sous sa douche avec un sourire. J’attends quelques minutes que la pression redescende. Il y a maintenant trop de monde pour espérer un moment d’intimité. En retournant vers les vestiaires, je vois que mes complices sont côte-à-côte dans le jacuzzi. Malheureusement je n’ai pas de maillot et je n’ai pas le temps de prolonger ce moment. Je sors de l’espace spa en dissimulant ma demi-molle comme je peux.
Sous la douche mon esprit passe en boucle ce qu’il vient de se passer et je me remets à bander. J’ai très envie de me toucher mais je dois aller bosser et je n’ai pas envie de donner une fin rapide à ce moment hyper chaud. Je m’habille, et en sortant des vestiaires je constate que les deux mecs sont toujours dans le jacuzzi. « Mon voisin » me voit et me fait un signe de la main que je lui rends. Contact établi. La prochaine fois que nos chemins se croisent on pourra reprendre là où on s’est arrêtés.
Antho34
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