Comme chaque jour, je monte dans le RER pour rentrer chez moi. Je vais vite dans les toilettes car une envie pressante me tiraille. Je me soulage. Quand je me lave les mains, je me regarde dans la glace. J’ai l’air un peu fatigué. Je remets ma mèche blonde en place. Je regarde si je suis présentable. Je porte un petit gilet et un pantalon slim qui moule bien mon boule. Content de moi, je sors de la cabine étroite. Je traverse une partie de la rame et, je me rends vite compte que la plupart des sièges sont occupés. Las de chercher, je m’assois sur des strapontins.
Je prends mon portable et je ne mets à jouer à un jeu. À la station suivante, un peu plus de monde monte dans la rame. Beaucoup restent debout. Mais deux mecs s’assoient à côté de moi. L’un à ma gauche. L’autre à ma droite. Je me sens tout de suite à l’étroit. Je lève la tête et je regarde les mecs. Ce sont 2 armoires à glace, genre rugbyman.
Celui sur ma gauche est typé rebeu, il doit faire dans les 1,85m. Il porte un t-shirt blanc et ample qui moule tout de même un torse puissant, un cou de taureau et un gros ventre rond. Il a la trentaine. Il a les cheveux courts, une barbe épaisse et bien entretenue.
Le mec sur ma droite est typé européen. Il porte une casquette verte, un sweat à capuche gris et un pantalon de jogging gris. Il fait 1,90m. il a les cheveux rasés. Il a une tète ronde, une barbe de 3 jours. Il a des épaules larges et un ventre rebondi et dur. Ses deux bras sont recouverts de tatouages.
Je me retrouve coincé contre leurs bras. Je suis vraiment à l’étroit… mais je savoure cette situation. Je trouve vraiment les mecs canon. Ils sont vraiment tout ce que j’aime chez des mecs. Je ferme les yeux et j’essaie de me représenter, de ressentir leurs bras musclés qui me serrent. Je bouge un peu mes bras pour me frotter contre eux. Un frisson me parcourt. Soudain, un des mecs prends la parole :
- Tu as vu la bande annonce de la nouvelle série Star Wars ?
Surpris, je regarde le mec… et je comprends qu’il s’adresse à celui qui est sur ma droite, qui répond :
- Non pas encore. Fais voir.
Les deux mecs ont un accent étranger. Celui sur ma gauche a un accent turc, je dirais, tandis que l’autre a un accent des Balkan. Le premier met alors son portable devant mon corps et son pote se penche au-dessus pour regarder. Je regarde en même temps. Je sens le souffle du gars sur ma droite qui atteint ma main. Quand la vidéo est finie, je demande à contrecœur au mec sur ma gauche :
- Vous voulez qu’on change de place ?
- Pourquoi ?
- Comme ça, vous serez à côté de votre ami.
- Non, c’est bon, t’inquiète.
Je ne relève pas que le mec m’a tutoyé. Le mec sur ma droite prend la parole et parle à son pote des vacances qu’il aimerait passer dans sa famille en Croatie avec sa copine. J’avais donc bien deviné, le gars a des origines croates. Les deux se rapprochent un peu plus l’un de l’autre et je me retrouve vraiment serré, pris entre leurs gros bras, comme dans un étau. Mais leurs jambes sont aussi collées contre les miennes. Je ferme les yeux pour profiter de la sensation que ces mecs me procurent. Ils dégagent une virilité bestiale… Je laisse alors mon esprit vagabonder pour me les imaginer nus à côté de moi.
Soudain, celui sur ma gauche se met à bouger sa jambe de haut en bas… ce qui la fait caresser ma cuisse. Je pousse un léger soupir et je savoure ce frottement. Tout à coup, je sors de mes pensées quand mon portable émet un son. Je regarde et je vois une notification de Grindr… quelqu’un vient de m‘envoyer une photo de sa queue… Je cache vite mon téléphone, ayant peur que les deux mecs à côté de moi l’aient vue… et qu’ils réagissent mal.
Je jette un coup d’œil sur les mecs qui semblent toujours plongés dans leur conversation. Cependant, je devine un sourire malicieux de la part du Croate... qui est en train de regarder le prix des logements. Les deux maintenant remuent leurs jambes qui me caressent. Je ne bouge pas, je savoure. Soudain, celui sur ma gauche passe son bras derrière moi et il pose sa main sur l’épaule de son pote. Mais je sens la peau de son bras sur ma nuque. Je ne bouge plus et je profite de cette sensation ... de ce bras musclé qui me caresse la nuque… des poils qui me chatouillent… de la jambe qui est maintenant plaquée contre la mienne… du corps qui s’est rapproché et qui est collé contre mon bras.
Mon bras est enfoncé dans le corps puissant du jeune homme. Ses pectoraux tendus sont plaqués contre mon épaule tandis que mon coude est enfoncé dans son ventre rebondi et dur. Putain, quelle sensation ! Le mec sur ma droite se rapproche de moi et il regarde ce que son pote lui montre sur son téléphone. Lui aussi a son torse contre mon épaule et son ventre, gros et un peu plus mou que son ami, au niveau de mon coude. Je me sens pris en étau par ces mâles. Je me sens tout excité. Je sens même une érection naître dans mon pantalon.
J’ouvre les yeux. Je regarde à tour de rôle les 2 mecs qui sont plongés dans la conversation. Ils ne semblent pas me calculer. Ils parlent entre eux. Mais ils me serrent fort contre leur corps. Je sens l’excitation grandir en moi. Soudain, mes yeux tombent sur leur entrejambe. Celui sur la gauche porte un leggin et celui sur la droite porte un pantalon de jogging assez moulant. Leurs pantalons laissent entrevoir une grosse bosse.
Le Croate a un paquet qui semble assez étroit. Son pantalon de jogging moule sa bite qui forme une boule : elle semble plaquer sur de grosses couilles dont elle en épouse les contours. Il me semble même que j’arrive à en deviner le gland. En tout cas, le tout forme une grosse bosse bien volumineuse. Quant à son pote, il porte un leggin dont le tissu fin épouse parfaitement les contours de sa queue qui semble bien grosse ! Ça laisse deviner un engin d’une certaine épaisseur.
Je referme les yeux. Mon état d’excitation est au summum. Si je m’écoutais, je sauterais sur les 2 mecs. Je sens ma queue frétiller dans mon pantalon. Involontairement, j’ouvre la bouche. Et je souffle comme si je courais un marathon ! C’en est vraiment trop pour moi. Je sens mon corps complètement électrisé. Mon cerveau crie qu’il veut se faire défoncer ! J’ai vraiment du mal à me contrôler, je suis nerveux. Soudain, le gars sur ma gauche bouge un peu. Il se recule. Je suis déçu de ne plus sentir sa peau contre la mienne. Mais soudain, ce sont des doigts qui se posent sur ma nuque et qui me frôlent. Et je ne me trompe pas : ils commencent à me caresser la nuque. Je rouvre les yeux. Je regarde le mec sur ma gauche, il est toujours en train de parler à pote. Mais il me caresse la nuque. Je pousse un petit gémissement involontaire. Je commence vraiment à fantasmer sur ces 2 mecs. Je m’imagine aller dans les toilettes avec eux pour qu’ils me défoncent. Mais malheureusement, je ne vois pas d’issue à cela. Les toilettes sont vraiment trop étroites pour ces 2 mecs massifs et baraqués. Mes yeux se posent sur l’entrejambe du mec sur ma gauche. J’ai vraiment l’impression qu’il a pris du volume. Je tourne ma tête et je remarque que le Croate a une belle barre qui traverse son aine. Elle a l’air épaisse et longue. Ses couilles sont aussi moulées à cause de sa queue tendue. Elles semblent vraiment énormes. Quant au rebeu, sa queue est maintenant plaquée contre son pubis et elle remonte sur son ventre, mais cette partie est cachée par le t-shirt. Elle a l’air aussi bien conséquente.
A la station suivante, énormément de personnes rentrent dans. RER. Sous le flux soudain des voyageurs qui entrent dans le RER, je me sens tiré de mon excitation. D’un bond, on se lève tous les trois et je dois malheureusement constater que les jambes, les bras et les mains des 2 gars ne me touchent plus, je suis vraiment déçu. Cependant, le flux des voyageurs qui rentre est de plus en plus important. On est en heure de pointe, les voyageurs rentrent, ils me pressent et soudain je me retrouve coller contre le mec qui était assis à ma gauche. Son corps se presse contre mon dos. Je sens soudain la bosse de son paquet contre mes fesses. Le train repart. Soit les rails, soit le RER est en mauvais état car les secousses sont assez violentes. Cependant, je sens que le mec derrière moi appuie bien son paquet contre mon cul. Il donne de petits coups comme ma fesse gauche… Je passe ma main entre mon pantalon et ce qui me touche. Le mec continue et en effet, je sens que ma main heurte sa bite molle. Je laisse ma paluche... avant de saisir le morceau mou... et très vite, je sens que sa bosse molle devient plus dure. Le rebeu bouge son paquet de gauche à droite, discrètement tandis que mes doigts caressent son morceau prisonnier de son leggin. Je regarde le Croate qui se mord la lèvre. Je suis son regard qui se dirige vers son entre-jambe : il bande. Il se met en position de telle sorte que personne ne puisse capter ce que je fais : je passe ma main le long de sa queue qui commence à prendre du volume. Je regarde autour de moi comme si de rien n’était mais je savoure mes caresses sur la bite qui est maintenant complétement déployée dans le pantalon du Croate.
Se servant d’une secousse bien forte, le rebeu me tire sur mon pantalon et je me retrouve coincé contre lui tandis qu’il se trouve dans le coin que forme l’espace des strapontins. Son pote se rapproche de nous et je me sens envahi par une chaleur intense. Le Croate me cache des autres. Son pote dans mon dos se penche alors vers moi et il me murmure à l’oreille :
- Tu sens comme j’ai envie de toi ?
- Oui…
- Ça te plaît ?
- Oui…
Il passe alors sa main dans mon pantalon et il me malaxe mes fesses. Son pote saisit discrètement ma ceinture et il l’ouvre ce qui permet au mec derrière moi de faire descendre un peu plus mon pantalon. Je regarde autour de moi. Vu que le mec baraqué me cache des autres, je peux seulement voir quelques personnes qui me tournent le dos. Personne ne voit le rebeu qui me caresse les fesses avec envie.
Soudain, je sens deux doigts mouillés qui entrent dans mon trou. Le mec derrière moi se met à me doigter. Puis, je sens qu’il se colle contre moi. Il ouvre discrètement son leggin qu’il passe sous ses couilles. Il colle son bassin contre moi et je sens son gland qui entre dans mon anus. Il enfonce lentement sa teub en moi. Elle m’écarte bien. J’essaie de ne rien laisser voir. Je me mords les lèvres. Son pote sourit et il me fait mettre discrètement sa main sur son paquet. Je ferme les yeux et j’essaie d’encaisser le morceau du mec qui semble bien imposant. La descente semble interminable. Puis finalement, je sens les poils de son pubis contre mes fesses. Le mec commence à bouger en moi au rythme des secousses du wagon. Je laisse échapper un petit soupir… et je ferme ma bouche pour ne rien laisser entrevoir.
Sa teub me fait tellement envie que je bouge aussi au rythme des secousses du RER. Sa queue m’ouvre bien ! Le train freine et le gars reste collé contre moi pour rien ne laisser paraître. On arrive en fait la station où je devrais descendre. Mais hors de question de quitter cette teub. Le train repart au bout de quelques secondes et les secousses reprennent… Mon amant reprend aussi ses va-et-vient. Il a ses mains sur mes fesses qu’il caresse. Je regarde autour de nous. Personne ne nous remarque. Mon baiseur augmente alors le rythme, toujours sans attirer l’attention. Je bouge aussi en rythme. Le danger de me faire prendre en flag m’excite énormément. Le rebeu passe discrètement ses mains autour de moi et il les pose sur mes cuisses. Il se penche sur moi et il dit :
- T’es trop serré toi…
Et soudain, je sens son gland prendre du volume et une vague de chaleur envahit mes entrailles. Ce sont 5 jets hyper puissants qui me fouettent le fond du cul. Pendant ce temps, le rebeu respire fort, tout en essayant de se contrôler. Il arrête ses mouvements.
Le mec ressort de moi et il remet sa queue rapidement dans son leggin. Je sens son jus dégouliner hors de mon trou. Mais le mec remet mon jean et le sperme atterrit dans mon caleçon. Les deux mecs se rapprochent de moi et je me sens toujours hyper excité. Ils sont tellement canon. Tout en eux respire tellement la virilité… la testostérone. Je me sens bien au milieu d’eux. On arrive finalement à la station suivante. Je veux sortir pour prendre le prochain RER dans l’autre sens. Je commence à bouger en direction de la porte. Mais les deux mecs restent figés. Je lève les yeux vers eux et je dis :
- Faut que je ressorte.
Le Croate me sourit et ils font non de la tête. Celui derrière moi se penche à mon oreille et il me dit :
- On a pas fini avec toi !
Je pousse un soupir et je ferme les yeux, savourant la chaleur de ces 2 corps remplis testostérone qui m’entourent. Deux stations plus loin, le wagon se vide. Il reste encore quelques personnes, on s’assoit de nouveau sur les strapontins. Moi au milieu tandis que les deux mecs m’entourent et ils passent leurs bras autour de mon cou. Celui à droite se met à m’embrasser discrètement sur la joue. De son autre main, il me caresse la main, puis la cuisse. Celui sur la gauche caresse mon épaule. Je me sens vraiment tout excité. Ces 2 mecs qui ont envie de moi. Que j’aimerais sentir et apprécier leur chaleur. Je sens leur corps baraqué contre moi... leurs pectoraux gonflés... leur ventre à gauche dur, à droite un peu plus mou. Je me sens tout petit par rapport à eux... faible. Je sais qu’ils vont me protéger, me prendre dans leurs bras et me faire l’amour.
Une quinzaine de minutes se passent. On est à 2 stations du terminus. Je remarque alors que le wagon est complètement vide. Les deux mecs se lèvent, ils me prennent par le bras et ils m’entraînent dans un coin un peu plus reculé. Le gars qui m’a baisé tout à l’heure me fait me retourner, il me prend dans ses bras et il me roule une grosse pelle. Son pote est derrière moi. Il baisse mon pantalon et il se met à malaxer mes fesses. Du jus tombe sur ses doigts, il me les donne et me les fait lécher. Mais celui qui m’embrasse me fait rapidement me déshabiller. Nous ne pouvons plus résisté, on est tous les trois remplis d’excitation. Le Croate enlève alors ses vêtements et celui qui est derrière moi l’imite. Je les découvre enfin nus !
L’arabe a un cou de taureau, des épaules puissantes et larges. Il a des pecs bombés, larges avec de gros tétons, et un gros ventre, un mélange de graisse et de muscles. Il est imberbe. Son dos est puissant, large. Il a quelques poils au niveau du pubis et des couilles. Il a une queue de 20 cm, épaisse, circoncise. Quant au Croate, il a des épaules larges, un torse puissant, un ventre rebondi et dur. Ses deux bras sont recouverts de tatouages. Il a des bras puissants, des cuisses musclées. Le milieu de ses seins est recouvert d’une toison noire et épaisse. Le reste de son torse est aussi poilu, tout comme son ventre. Ses bras et ses jambes sont aussi velues. Son pubis forme un tapis de poils épais et velus. Il a de grosses couilles de taureau, velues et une queue de 19 cm avec un petit gland.
Les deux mâles se collent contre moi, je sens leur peau douce et leurs poils qui me chatouillent, leurs pectoraux bombés, leurs biceps d’acier, leur ventre qui s’enfonce dans mon corps. Je ferme les yeux et je me laisse faire. Je soupire de plaisir sous leurs caresses et sous leurs baisers brûlants. Mes mains saisissent les deux bites tendues. Je commence à les activer. Je me mets à genoux. Je prends la teub du Croate en bouche et je la suce lentement, doucement, pendant qu’il me caresse la tête. Ensuite, je prends celle du rebeu. Elle est un peu plus longue et un peu moins épaisse que celle de son pote. Je m’applique à le sucer aussi. Les deux mecs se laissent faire et ils savourent mes caresses buccales.
Puis, le rebeu me fait me redresser et il me roule une pelle... avant de me faire passer à son pote qui m’embrasse aussi. Leurs baisers deviennent de plus en plus sauvages. Mes mains passent sur leurs corps parfaits. Puis je reprends ma suce du rebeu tandis que le Croate se penche derrière mon cul : il se met à le brouter. Je peux enfin laisser libre court à mes gémissements et je ne m’en prive pas. Je comprends vite que le Croate s’abreuve du sperme de son pote. Il finit par se redresser, il fait relever mon cul et il plonge ses 19 cm en moi. Il pose ses mains sur mes hanches et il entame de lents va-et-vient. Le rebeu bande bien et j’enfonce sa bite dans ma bouche. Il prend ma tête dans ses bras et il essaie de faire entrer ses 20 cm toujours plus profondément dans ma gorge. Je sens la queue du Croate tasser le jus de son pote qui coule lentement le long de mon périnée et de mes couilles. Il me baise en adoptant une cadence ample et régulière.
Ensuite, il sort et c’est le rebeu qui me baise. Il me tient par une main tandis que l’autre saisit mes cheveux. Il me baise alors comme s’il entamait une chevauchée. Ses coups de reins sont puissants et son ventre vacille. Puis, le Croate me plaque sur les sièges et il enfonce sa bite dans mes entrailles. Je sens son ventre dans mon dos. Il pose ses mains à côté de mon ventre et il donne de bons coups de bite. Son ventre rebondit contre mon dos, ses poils me caressent ma peau. Il se déchaîne en moi. Il ressort de mon cul quand on arrive à la gare suivante. On s’arrête, prêts à se rhabiller. Mais personne ne monte et le rebeu me fait mettre à quatre pattes et il reste debout tandis que je suis accroupi sur les sièges. Il enfonce sa teub et il me baise sur toute la longueur de sa bite. Il s’empare de mes hanches et il me fait aller et venir sur sa bite tout en donnant toujours des coups de reins. Le Croate passe devant moi et il me donne son morceau à sucer. Mon baiseur accélère sa baise. Il me pilonne à fond. Ses cuisses frappent sauvagement mes fesses. Je sens ses boules me fouetter. Puis, ils échangent. Le Croate se met à bien me pilonner. Pendant ce temps, le rebeu met son postérieur devant ma bouche et il se met à le remuer de haut en bas. Son cul est magnifique, gros, un peu poilu. Sous ses mouvements, les fesses vacillent et ondulent. Je saisis sa queue que je branle un peu avant d’enfoncer ma tête entre ses deux fesses. Mon nez se retrouve dans sa raie. Ma langue sort et s’enfonce dans son trou qui est bien ouvert. Elle se met à tournoyer, le faisant bien gémir.
Le Croate sort au bout de 3 minutes et son pote prend immédiatement la suite et il me défonce rapidement. Il met fait ensuite mettre debout, le corps penché en avant et il reprend sa baise pendant que je me tiens fermement à une barre.
On arrive à la gare suivante. Personne ne monte. Cette fois, les deux potes se mettent à me baiser violemment, mais de façon très courte, alternant mon anus rapidement. L’avant-dernière station arrive... mais les deux actifs ne font plus de pause : ils veulent profiter de moi et se vider.
Quand le RER repart, le Croate jute en moi. Je sens que sa queue me pompe le jus dans mon trou. Ses jets ne sont pas puissants mais ils sont très abondants et durant une vingtaine de secondes, je sens mon anus gonfler sous le jus du mec. Quand il sort, c’est un tsunami qui explose par terre. Le rebeu s’enfonce en moi et il tasse le jus de son pote. Il me défonce tel un marteau-piqueur. Ses cuisses cognent contre mes fesses, ses boules tapent contre ma raie. Son gros ventre cogne contre mon dos. Je saisis ma teub et je me mets à me branler furieusement. Sa queue ainsi que ses boules font jaillir le sperme partout : sur mon ventre, mes couilles, dans mon pantalon, sur nos jambes, sur le sol. C’est une vraie porcherie... que l’actif semble apprécier car il jouit très vite. Le rebeu gicle 3 jets puissants et abondants qui envahissent mes entrailles. Lorsque je reçois sa dernière giclée, je jute à mon tour sur le sol, de 4 giclées épaisses et abondantes.
Les deux mecs se rhabillent en jetant un dernier coup d’œil pour voir si personne ne nous a vu. On arrive au terminus et il se casse en m’envoyant des baisers en l’air. Je m’assois une minute pour reprendre mes esprits. Je vais vite me faire une petite toilette dans les WC avant de sortir du RER pour acheter un billet afin de repartir dans l’autre sens. Quelle magnifique rencontre dans le RER...
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Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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