Alexandre est un pur produit de la bourgeoisie catholique nantaise. Fils de notaire, il se destine lui-même à la profession et à 25 ans, ses études de droit ont pris un peu de retard, mais il est en bonne voie. Un peu de retard car Alexandre est aussi un sportif, il aime particulièrement le tennis et la voile, qu'il pratique notamment l'été pendant les vacances à La Baule. Il aime bien aussi faire la fête et fréquenter les filles. Avec son physique élancé, sa musculature affirmée, ses cheveux blonds et sa peau hâlée dès le mois de mai, il a d'ailleurs pas mal de succès auprès de ces dames.
Depuis quelque temps, il fréquente Virginie, qu'il a même présentée à ses parents. Issue du même milieu, elle a reçu leur approbation, au point que les parents les ont même laissés occuper seuls la maison de La Baule en juin. Alexandre fait croire à ses parents qu'ils font chambre à part, il ne sait pas s'ils sont dupes, mais peu importe, ce qui compte, ce sont les apparences et aussi qu'Alexandre et Virginie puisse niquer aussi souvent qu'ils en ont envie. Avec Virginie, ce n'est pas la première fois qu'Alexandre couche avec une fille, bien sûr, mais c'est la première fois qu'il part en vacances avec sa copine et qu'ils peuvent baiser quand ça leur plaît.
Il aime bien le contrôle, Alexandre. Il contrôle sa vie, il contrôle son corps, d'ailleurs il aime bien le résultat et il aime bien le montrer. Sur la plage, torse nu dans son petit short de bain à rayures bleu ciel et blanc, il parfait son bronzage. Il arbore un poitrail assez musclé et déjà bien bronzé, des poils entre le blond et le châtain foncé ornent sa poitrine et son abdomen. D'ailleurs, quand il est de trois quarts ou de profil on voit qu'il en a une assez jolie épaisseur. Il a une démarche chaloupée, un peu arrogante, qui met en valeur son torse musclé, et sur le haut de sa poitrine, au milieu des poils et contre la peau bronzée, brille sa médaille de baptême en or. Forcément il se rend compte que les meufs le reluquent quand il est torse nu et ça ne lui déplaît pas. Ça n'a pas l'air de déranger Virginie non plus, qui semble fière de sortir avec un mec désirable. Et Alexandre aime bien aussi le contrôle au lit, il aime bien quand c'est lui qui dirige, quand il sait où vont les choses, quand il décide comment il va baiser Virginie et à quel moment il va jouir.
Cet été-là, après le séjour à La Baule avec Virginie, il rentre à Nantes au lieu de rester en juillet-août à la mer avec sa famille. Il faut qu'il travaille pour préparer ses examens de notariat. Alors il se fait un programme très strict de boulot, il voit Virginie deux fois par semaine, les autres soirs il se repose ou il va faire du tennis. Il est devenu très assidu au tennis depuis cet hiver, où il a rencontré un nouveau partenaire de jeu dans son club. Il n'a pas toujours eu un partenaire de tennis attitré, car c'est difficile de trouver quelqu'un d'un niveau équivalent, avec qui on s'entend bien et avec qui on se comprend. Et ça, justement, il l'a trouvé cet hiver avec Simon. Ils jouent toutes les semaines, parfois deux fois dans la semaine. Et cet été, Simon a proposé de se retrouver au moins une fois par semaine pour courir. Alexandre n'est pas un grand fan du jogging, mais il s'est dit pourquoi pas, ça le maintiendra en forme, ça le déstressera après les longues heures de travail et ça lui donnera l'occasion de voir davantage Simon.
Simon, c'est l'opposé d'Alexandre. Il est grand lui aussi, mais plus charpenté, aussi brun qu'Alexandre et blond, les cheveux bouclés, avec une peau assez claire parsemée de taches de rousseur et des yeux noisettes tirant sur le vert. Dès la première séance de jogging, il n'a pas fallu plus de 10 minutes pour que Simon lance à Alexandre « putain il fait chaud, vas-y on se met torse nu ». Joignant le geste à la parole, il empoigne le col de son t-shirt pour s'en débarrasser d'un geste vif avant de s'éponger le visage avec. Bien sûr, ce n’est pas la première fois qu’Alexandre voit Simon se mettre torse nu devant lui. Quand ils se changent au vestiaire après le tennis, il l’a vu plein de fois et il sait que Simon a un torse puissant et poilu. D’ailleurs, ça se voit même quand il est habillé qu’il est poilu, car les poils du torse lui remontent jusque dans le cou. Même en t-shirt, il y a toujours une touffe qui dépasse. Mais là, il est tout surpris de voir son pote virer son t-shirt sans crier gare et avec une spontanéité confondante, tandis que lui, il ne se met jamais torse nu comme ça, en pleine ville. Tandis qu'Alexandre regarde Simon d'un air un peu interdit, celui-ci lui fait « ben qu'est-ce que tu fous, tu te mets pas torse nu ? » Alors Alexandre imite son compère et les voilà tous deux repartis torse poil, dans la chaleur de l'été.
Et toutes les fois suivantes, c'est devenu systématique, peu de temps après avoir commencé à courir, Simon se met torse nu et invite Alexandre à faire de même. Pour tout dire, ça ne déplaît pas à Alexandre et c'est même un petit rituel qu'il apprécie. Même sous la pluie, d’ailleurs : comme dit Simon, ça évite de mouiller son t-shirt et de toute façon on n’a pas froid quand on court ; et Alexandre trouve même plutôt agréable de sentir la pluie tomber sur ses épaules, ruisseler sur sa peau, dans les poils de sa poitrine et de ses avant-bras. Bref, il aime bien courir torse nu en ville et dans le parc avec son pote, dont il admire le physique solide, le torse puissant, généreusement garni de poils noirs, et les cuisses musclées et velues. Il se sent assez fier de se montrer torse nu en public en train de faire du sport avec un mec musclé et viril comme Simon. D'ailleurs, Simon lui rappelle son oncle Jacky. Jacky ? Dans la bourgeoisie catholique nantaise ? Eh oui, c'est sa tante Claire, la jeune sœur de son père, la plus cool de la famille, qui a fait une mésalliance avec un pharmacien, certes, mais juif. Quand Alexandre était gamin, personne dans la famille ne faisait de réflexion explicite, mais il sentait bien que Jacky n'était pas tout à fait le bienvenu.
Pourtant Alexandre l'aimait beaucoup, Jacky était très enjoué, très spontané, très affectueux aussi. C'est vrai qu'il détonnait par rapport au reste de la famille, lui qui était bien brun, bien bouclé et bien poilu, et qui ne rechignait jamais à se balader torse nu dans la maison de vacances familiale. Non pas que le père et les autres oncles d'Alexandre ne se montrent jamais torse nu, mais toujours dans un cadre balnéaire, à la plage ou en rentrant de la plage. Ou alors exceptionnellement, quand il y avait des gros travaux de jardinage, les trois hommes se mettaient torse nu pour sortir une échelle, couper une branche, tailler une haie, charrier des broussailles. Alexandre aimait bien ces moments où il voyait son père et ses oncles torse nu, qui semblaient partager quelque chose dans l'effort. Mais jamais ces trois-là ne se seraient baladés torse nu sans raison dans la maison ou même le jardin, comme le faisait Jacky, visiblement pour le simple plaisir d'être à l'aise.
Tous les matins, c'est torse nu, tous poils dehors, que Jacky arrivait au petit déjeuner, il avait toujours un geste affectueux et très enveloppant pour faire une bise à Alexandre, en se serrant fort contre lui et en lui passant le bras autour du cou. Alexandre se rappelle qu'il aimait beaucoup ce geste, la chaleur qui se dégageait du corps de Jacky, l'odeur douce et puissante aussi. Comme une odeur de pain grillé et de feu de bois, avec aussi quelque chose d’animal. Jacky n'était pas pratiquant, mais il portait en permanence autour du cou une chaîne en or avec une étoile de David, qui étincelait au milieu de ses épais poils noirs. Alexandre aimait bien la regarder briller et bouger sur la poitrine de son oncle par alliance. C'est d'ailleurs ça qui lui a fait choisir de porter en permanence sa médaille de baptême, même quand il fait du sport, même quand il va à la plage. Il aime bien la sentir bouger contre sa peau, contre ses poils. D'ailleurs il a le torse beaucoup plus poilu que son père ou ses autres oncles. Évidemment, il sait bien qu'il ne tient pas ça de son oncle Jacky, mais ça lui plaît de se dire qu'ils ont ça en commun, que ça les rapproche.
Alexandre se rappelle aussi les parties de ping-pong où Jacky le complimentait sur son jeu, l'encourageait, lui disait « allez mon grand, mets-toi torse nu comme moi, tu verras tu joueras mieux ! » Alexandre enlevait alors volontiers son t-shirt, il aimait la simplicité du langage, la spontanéité du geste, qui contrastait tellement avec les mœurs plus guindées du reste de sa famille. C'est sans doute ça qui avait plu aussi à sa tante Claire.
Et donc cet été, alors qu'Alexandre et Simon ne s'étaient jusque-là jamais vus en dehors des séances au club de tennis, pour aller prendre un verre par exemple, Simon propose un soir à Alexandre de passer chez lui après avoir couru. Alexandre accepte et les voilà tous les deux qui se rendent chez Simon torse nu, comme ils l'ont été pendant la quasi-totalité de leur jogging. Ça sent un peu le fauve quand ils montent l'escalier car l'un comme l'autre, ils se sont bien dépensés et ils exhalent une forte odeur de sueur. Tous les deux ils s'en amusent.
Arrivés chez Simon, pas de raison de remettre un t-shirt, ils virent les baskets et les voilà tous deux en short, pieds nus et torse nu qui boivent une bière, discutent, regardent une connerie à la télé ou sur l’ordi, sans même que Simon prenne la peine de passer à la douche ou de proposer à Alexandre d'en prendre une. Alexandre remarque que Simon porte lui aussi une chaîne avec un pendentif. « C'est cool ta médaille. C'est pas une médaille de baptême, ça. Ça représente quoi ? » Et Simon de lui expliquer que c'est le mot hébreu haï, qui veut dire vivant. Alexandre lui demande s'il est juif, Simon répond que oui bien sûr. Alexandre lui parle alors de son oncle Jacky, et ça lui fait plaisir de se dire que son nouveau meilleur pote a aussi ça en commun avec son oncle préféré.
Et d'une fois sur l'autre, ça devient également un petit rituel de leur jogging, on court, on se met torse nu, puis on va se mettre à l'aise chez Simon pour passer un bout de soirée estivale entre potes, pieds nus et torse nu. Parfois, il arrive même à Simon d'arriver sur le lieu de rendez-vous sans t-shirt, ce qui déçoit presque Alexandre car il aime bien le moment où ils se mettent torse nu tous les deux en même temps. Mais l'important, c'est de courir ensemble, de se sentir bien ensemble, d'être à l'aise ensemble.
On est tellement à l'aise chez Simon qu'un soir, au lieu de regarder un match ou une série, il propose à Alexandre de se mater un porno. Alexandre est un peu secoué car les pornos, il les a toujours regardés en cachette. Dans son école catholique, il a bien fait des conneries avec ses copains, ils ont parlé de cul à l'adolescence, bien sûr, mais ils n'ont jamais regardé de vidéo X ensemble. Alors Alexandre bredouille « ouais, cool, bien sûr » et Simon envoie la vidéo de cul. Heureusement qu'ils sont déjà torse nu, parce qu'Alexandre commence à avoir bien chaud en voyant ces meufs se prendre des grands coups de bite dans la chatte, quand ce n'est pas dans le cul ou dans la bouche. Les deux mecs commentent le physique des actrices et les prouesses des acteurs, ambiance bon enfant, ils rigolent, mais quand même ça trique fort.
Et voilà donc un nouveau rituel, après avoir couru ensemble torse nu, être rentrés chez Simon pour se boire une bière, les deux potes se matent ensemble un porno. Sauf qu'un soir, Simon fait remarquer que ça le fait quand même énormément bander toutes ces conneries et se pose une main sur le devant du short pour commencer à s'astiquer à travers. Alexandre est stupéfait, il sent des gouttes de sueur commencer à lui ruisseler des aisselles tout le long des flancs et au milieu des poils du torse. Bien sûr que lui aussi bande à fond en regardant du porno avec Simon, mais là, il se rend compte qu'en plus il commence à sentir cette odeur très particulière qu’il a remarquée quand il est particulièrement excité en baisant avec Virginie. Bref, il ne contrôle plus rien cette fois-ci et imite encore une fois le geste de Simon, puis quand celui-ci sort sa queue du short pour se branler carrément, Alexandre a le cœur qui bat à 100 à l'heure et il fait de même. Il ne leur faut pas longtemps pour gicler leur foutre, celui de Simon lui atterrit dans les poils du torse : dans la pénombre du soir, le blanc du sperme contraste très fort avec le noir du poil. Alexandre en balance la moitié sur le canapé, il est super gêné. « T'en fais pas, c'est pas du vrai cuir » et Simon va chercher du sopalin pour essuyer tout ça ni vu ni connu.
Après le jogging, se mettre torse nu, aller chez Simon et regarder un porno, c'est donc se branler ensemble devant le porno qui devient leur nouveau petit rituel. Dans la chaleur des soirées d’été, après avoir longuement couru et avec l’excitation du film de cul, les deux gaillards sentent fort le mec. Le canapé n'est pas large, leurs épaules se frôlent parfois, leurs cuisses aussi, muscle contre muscle, poils contre poils. Alexandre y prend vite goût, il attend avec impatience le jogging du mardi soir et il n'est pas le dernier à proposer souvent une deuxième, voire une troisième séance hebdomadaire.
Mais un soir, après qu'ils ont craché leur jus, Simon fait un truc inouï, il lèche sa main pleine de foutre. « Non mais t'es taré, qu'est-ce que tu fous ? » « Ben quoi, t'as jamais goûté ton sperme ? » « Mais non enfin, c'est dégueulasse ! » « Pas du tout, c'est salé, un peu comme les huîtres. D'ailleurs, il est comment le tien ? » et Simon passe le doigt dans les poils du ventre d'Alexandre pour récupérer un peu de sperme et le goûter. « Ouais, pas mal », lance Simon en rigolant. Ça détend l'atmosphère, Alexandre s'en amuse et il n'y a pas de malaise.
À la séance d'après, Simon se lèche le sperme de la main, puis lance « moins salé que la semaine dernière, j'ai dû boire plus ! Et le tien ? » Sauf qu'au lieu de prélever le jus d'Alexandre avec le doigt, il va le lui lécher sur le ventre, juste en dessous de la poitrine, et les boucles de ses cheveux lui frôlent le haut du torse et les tétons. Alexandre sent un frisson lui parcourir tout le haut du corps, c'est du plaisir, mais il repousse violemment Simon : « Mais ça va pas, putain ! T'es devenu complètement taré ! » Alors Simon saisit vigoureusement Alexandre en lui passant un bras autour des épaules et en plaquant son torse nu contre son bras. « C'est bon mec, t'en fais pas, excuse-moi, je voulais pas te faire flipper. Ça va, on est entre potes, on se mate un porno, on se branle un coup ensemble, c'est cool. » Comme avec l'oncle Jacky, cette voix chaude, ce geste affectueux, cet enveloppement, cette chaleur, Alexandre se sent réconforté et se laisse aller. « OK, oui, d'accord, c'est cool. »
Simon est resté collé à Alexandre, un bras autour du cou de son pote. Tous les deux torse nu dans la chaleur estivale, ils ressentent chacun la moiteur du corps de l'autre, mais pas même Alexandre n'a envie de s'écarter. Simon lui parle doucement de toutes les parties de branlette qu'il a faites avec des cousins, avec des potes. C'est avec eux il a appris à goûter le sperme. Il lui parle de ce qu'il aime faire quand il s'astique, il lui parle doucement, il lui parle de près, Alexandre sent son souffle dans le cou, en même temps qu'il sent la force de son bras sur son épaule, l'odeur puissante qui se dégage de son aisselle et les poils de son torse qui lui chatouillent l'épaule et le bras.
Avec tout ça, la confiance est revenue entre eux, ils sont à l’aise et leurs teubs respectives ont repris des proportions respectables. « Bon ben je vois que tu te sens mieux, fait Simon, d'ailleurs tu bandes à nouveau. » Et sans autre forme de procès, il descend la main le long du torse poilu d'Alexandre pour lui saisir délicatement, mais fermement la queue. Alexandre n'a aucune envie de protester, il se sent bien avec son pote, il se rappelle quand il était gamin puis ado la chaleur et l'odeur du torse poilu de son oncle Jacky, il abandonne tout contrôle et laisse faire Simon. « Purée, tu bandes presque à fond. Elle est bien ta queue, elle est grosse, arquée et tout, les gonzesses doivent kiffer. Et c'est fou comme tu mouilles ! Moi j'aime bien ma queue, elle est assez grosse, je me plains pas, mais t'as vu, elle reste toute sèche. Je sais pas si c'est parce que je suis circoncis ou quoi. Pourtant je crois bien m'être déjà branlé avec d'autres mecs circoncis qui mouillaient. » Alexandre n'en revient pas d'avoir cette discussion avec son pote, mais peu importe, il se sent bien, Simon lui malaxe divinement bien le zob, il est aux anges.
Alexandre avait fermé les yeux, il les rouvre pour s'apercevoir que Simon lui fait maintenant face et qu'il a également empoigné son propre zob. Il regarde Alexandre droit dans les yeux et lui dit « t'es beau, mec. » Alexandre ne répond pas, Simon poursuit : « belle gueule, bien musclé, bien monté, t'as même le torse poilu, les filles doivent adorer. » Alexandre sent la main de Simon lui parcourir le torse, lui effleurer même les tétons. Bizarrement, il me s'en offusque pas, n'a aucun mouvement de recul et ressent même l'envie de plonger les doigts dans la fourrure pectorale de Simon. Il se rappelle qu'il a toujours eu envie de toucher l'épaisse couche de poils noirs sur le torse de l'oncle Jacky quand il était enfant, mais il n'avait jamais osé. Ou peut-être si, une fois, ça avait fait rire la tante Claire, mais Jacky l'avait fait descendre de ses genoux et Alexandre s'était senti un peu mal à l'aise. Ce souvenir lui revient en mémoire quand les épais poils bouclés et soyeux du torse de Simon lui chatouillent le bout des doigts et la paume des mains. Il aime leur douceur, leur chaleur, leur ressort.
Comme c'est l'été, que l'ambiance est chaude et que les deux hommes sont tout proches l'un de l'autre, la toison de Simon est même légèrement humide. Alexandre aime sentir cette force et cette douceur sous la main. Tandis qu'il caresse maintenant sans retenue la poitrine de Simon d'une main, il a posé l'autre sur son épaule et apprécie le contour du muscle, la douceur de la peau et la finesse des poils qui lui recouvrent l'avant-bras. Simon n'est pas en reste, qui caresse maintenant le torse, le ventre et les cuisses d'Alexandre en même temps qu'il le branle. Il se penche vers lui, Alexandre sent son souffle sur son cou et sa poitrine, Simon lui sourit, puis il plonge lentement vers son entrejambe. Alexandre se dit bien que quelque chose a dérapé, qu'il ne contrôle décidément plus rien, mais il a confiance et se laisse entièrement faire. Quand la langue de Simon lui touche le gland, que ses lèvres commencent à lui entourer le bout de la queue, puis qu'il l'avale peu à peu tout entière, Alexandre sent un frisson lui parcourir tout le ventre et les jambes. Il se cramponne aux épaules et aux bras musclés de son partenaire, il se sent rassuré. Simon le suce goulûment tout en se branlant et en lui caressant la cuisse.
Alexandre est tout à son plaisir, plonge encore les doigts dans l'épaisseur des poils du torse de Simon, il sent leur chaleur, leur douceur, la fermeté du muscle, et avec un râle, une légère convulsion et une vague de plaisir qui envahit tout le bas de son corps, du bas-ventre aux orteils et jusqu'au bout de la bite et au trou du cul, il envoie toute la sauce dans la bouche avide de Simon. Celui-ci gémit, crache son foutre sur le canapé, par terre, dans sa main. Simon se redresse, regarde Alexandre avec un grand sourire et lui dit « très bon ! » Alexandre éclate de rire. Simon lui fait « goûte » et, sans attendre, pose ses lèvres sur les siennes. Par réflexe, Alexandre ouvre la bouche, sort la langue et goûte pour la première fois de sa vie son propre sperme. Alexandre l'enlace à nouveau, puis lui pose sur les poils du torse sa main couverte de foutre en disant « tiens, cadeau ! » et ils éclatent de rire.
Gill
gillym9@yahoo.com
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