Première expérience comme disciple sexuel

« Maître sévère et mature cherche nouvel élève à éduquer et dresser. Répondre avec détails des limites et/ou des expériences. Photo en plus. Priorité aux corps minces et épiles, endurants ». Cette annonce lue en ligne sur un site bien connu a déclenché en moi un électrochoc. Humm, l’occasion de découvrir autre chose que les traditionnelles parties de jambes en l’air, agréables mais classiques, trop. Cette annonce, je la relis, encore et encore. Avec des images qui traversent l’esprit et ma queue qui n’en demande pas moins pour grossir. Suis-je celui que le maître choisira comme petite pute à dresser ? Sans y répondre, je quitte mon pc le temps de me rendre dans la salle de bains. En quelques instants, me voici déshabillé tout nu, mes vêtements posés au sol. Devant le miroir sur pied je me regarde, avec un regard aussi neutre que possible sur mon corps, celui qui a souvent séduit les hommes par son côté efféminé. C’est vrai que je ressemble dav
antage à une jeune femme qu’à un catcheur. Une peau très blanche, épilée partout, des traits fins, de petits seins et une croupe ronde, sans poils. Et côté endurance, je peux me vanter d’en avoir quand je me donne lors de tournantes organisées par mon petit boutiquier arabe.
Convaincu, je redescends dans le salon, encore nu, et j’envoie un selfie sexy et un message au maître qui a posté l’annonce. Maître Georges. Une réponse détaillée quant à mon physique, sans rien oublier de ce qui pourrait l’exciter. Et un contact pour me joindre. Voilà, hop envoyée. Plus qu’à attendre la réponse.
Deux jours passent, et rien ne confirme l’intérêt porté par le maître à ma réponse. Ma photo me donne peut-être l’air peu viril à son goût malgré ma belle verge dressée.

Et puis, ce matin me donne enfin le sourire à l’ouverture du pc et du site. Une petite enveloppe me signale la présence d’un message. La boule au ventre d’excitation je l’ouvre et sa lecture provoque immédiatement une érection. Le maître a adoré mon corps, « ce corps féminin qui mérite de s’y attarder pour le soumettre à mes ordres » m’écrit-il. Il indique avoir imprimé ma photo pour la regarder en permanence et que si je le souhaite il peut débuter une première séance ce soir. Il m’attendra à 21 heures devant la gare. Mais si je ne viens pas, ce sera à un autre soumis de profiter de son expérience. Un téléphone est indiqué pour la réponse. En tremblant, à la fois de peur de l’inconnu et d’excitation je compose le numéro. Rapidement quelqu’un décroche. Une voix d’homme, évidemment, et autoritaire.
- « Bonjour maître Georges, je suis Damien, à qui vous avez répondu par mail ce matin. »
- « Oui, je me souviens de toi, j’adore ta voix de lope. A la fois effrayée et en chaleur. J’espère que tu es bien épilé partout. Je déteste les poils sur le corps de mes disciples. Tu peux venir ce soir ? Si oui, je passe te prendre devant la gare. Car mon antre est difficile à trouver. »
- « Oui, je suis disponible pour apprendre à obéir. Je serai là. Comment dois-je m’habiller ? »
- « Comme tu veux, de toute façon, arrivé chez moi ce sera à poil dès l’entrée. Pour que tu sois conscient de m’appartenir, sans aucune barrière derrière laquelle te cacher. Bon, je te laisse et à ce soir donc. » Drôle de façon brutale de mettre fin à la conversation tandis qu’un bip signale que le maître a raccroché.
La journée passe lentement. Trop lentement à mon goût, j’ai le rouge aux joues en pensant à ce soir. Les heures se suivent et enfin voici l’heure de me préparer. Une douche chaude avec un coup de rasoir sur le pubis et entre les fesses. Un regard dans le miroir et le reflet me satisfait. J’enfile un string, un pantalon de toile et un pull puis mon blouson, dans lequel j’ai glissé mon nécessaire de secours habituel, préservatifs et gel. La gare est accessible à pied. Je suis un peu en avance. La nuit est tombée et le parvis de la gare est presque désert. Seul à battre le pavé, j’ai l’impression d’être une pute en attente de clients. Et que je suis à la réflexion. Depuis mon dépucelage j’ai toujours laissé les autres faire le premier pas pour me draguer et me sauter.
L’heure prévue approche, il reste quelques minutes avant d’arriver à 21 heures. L’endroit est devenu désertique tandis que la pluie tombe abondamment, donnant à l’endroit un côté sinistre. Soudains, une limousine noire débouche au coin de la place et vient se garer devant la gare. Une portière s’ouvre. Je m’approche et le chauffeur me fait signe de monter. Un peu timide, je réagis dans un réflexe et je monte. De la musique gothique résonne dans l’habitacle. Dans le rétroviseur le chauffeur me lance régulièrement des regards. Puis, d’une voix rauque me lance : « je pense que le maître sera content avec toi. Tu corresponds à ce qu’il recherche. Comme le souvenir de ceux venus avant toi. » Ses propos m’intriguent mais me rassurent quant à l’accueil qui me sera réservé. Tout à mes pensées je ne me rends pas compte que la voiture a quitté la ville et que nous sommes en pleine campagne. Mais impossible de m’orienter dans la nuit et la pluie.
Soudain la voiture ralentit et traverse un portail pour suivre une allée vers une grosse propriété en forme de ferme-château. La voiture s’arrête devant la porte, qui s’ouvre. « Vous voilà arrivé, vous pouvez descendre monsieur. Amusez-vous bien » Je descends et rapidement la voiture redémarre, me laissant seul devant l’entrée.

Pas longtemps car voici qu’une forme humaine se dresse derrière la vitre de la porte d’entrée. Un homme habillé de cuir, au crâne rasé et d’un âge plutôt incertain. Je dirais dans les 70 à 80 ans. Mais avec une étrange lueur dans les yeux. « Ah, Damien. Je suis soulagé. Te voilà. Merci d’avoir accepté » me dit-il avant de céder le passage pour que j’entre dans le hall. La porte se referme derrière moi et un bruit de serrure se fait entendre. Nous voilà seuls, lui et moi. « Avant tout, laisse-moi te déshabiller. J’adore découvrir mes cadeaux. » La voix du maître, très masculine, autoritaire, m’incite au silence. Ses mains ont déjà commencé et mon pull est retiré, puis mon tshirt. Ses doigts se faufilent dans l’élastique de mon pantalon et tirent celui-ci vers le bas, me laissant en string. « Humm, vision merveilleuse que cette petite poupée à moitié nue » déclare maître Georges, comme s’il se parlait à lui seul. Puis d’un geste s
ec, il m’arrache le string, me laissant nu devant lui. « C’est bien tu n’as pas menti, tu es bien épilé partout », me dit-il en m’ouvrant les fesses pour mater mon intimité.
- Viens, je t’ai fait couler un bain chaud pour te réchauffer, ma maison est froide.
Nu, un peu tremblant je le suis dans un dédale de couloirs jusqu’à une pièce peinte en noir, avec des chandeliers allumés et une vieille baignoire remplie d’une eau mousseuse. Devant maître Georges resté à la porte, je me glisse dans l’eau chaude. C’est divin, l’eau chaude me transporte de bonheur et une fois encore je bande. « Bon, assez perdu de temps, sors et essuie-toi bien partout, puis suis-moi. » Le ton du maître se veut moins amical. J’obéis, de peur de le contrarier. Et toujours nu, je le suis vers un escalier qui descend vers les caves de la demeure.

Une musique gothique, la même que celle de la voiture , résonne dans l’immensité de la maison. Les escaliers descendus, me voici saisi par le spectacle de la pièce. Peinte en rouge, avec des chaînes accrochées au mur, une installation électrique, une table en croix avec des chaînes. Mais aussi une pièce plus petite dans le prolongement avec une paroi en bois percée pour laisser passer un corps. Derrière une banquette semble attendre. J’ai compris son utilité. Couché sur la banquette le bas du corps passe par le trou et les jambes sont attachées à la paroi. J’ai vu cela dans un film x.
- « Bon, je t’ai un peu menti ce matin, tu vas rester ici plus longtemps qu’une heure. Mon chauffeur est allé chez toi pour laisser un mot sur ton répondeur et sur la table, signalant ton absence prolongée. J’ai tant à te faire subir pour que tu sois aussi satisfaisant que mes anciens disciples. »
-« Que sont-ils devenus ? » Ma question fait sourire le maître. Qui ne répond pas.
- il est déjà tard et j’ai besoin de dormir mais j’ai envie de me vider avant de rejoindre ma chambre. Tu veux essayer la table ? Couche-toi sur la banquette. Puis passe le bas du corps par l’orifice dans la paroi . Ne t’inquiète pas, j’ai mis de la mousse pour éviter les blessures et augmenter ton confort.
Je m’exécute et d’un glissement sur la banquette je fais glisser le bas du corps par le trou. C’est vrai que la mousse me soulage quand je sens des mains prendre mes chevilles pour les attacher écartées à la paroi. Couché, je ne vois plus le bas de mon corps, de la taille jusqu’aux pieds. Je sens l’air de la cave passer sur mon œillet dévoilé par la position de soumission. J’imaginais sentir la bite du maître me posséder mais c’est tout autre chose qui me fait crier, une sonde électrique enfoncé profondément dans ma verge. Mon corps tremble sous l’impulsion électrique, de plus en plus puissante. Dans le même temps, je sens un gland se poser sur mon petit trou et d’une poussée je subis la pénétration d’une queue épaisse. Celle du maître j’imagine. Je l’entends souffler derrière la paroi. Avec ce bruit caractéristique des bourses qui tapent contre mes petites fesses. Je ne suis plus qu’un corps pénétré et offert à un amant que je ne v
ois pas.

Puis un cri, un rugissement plutôt, retentit. Celui du maître qui a joui en moi, avec sa semence chaude qui a frappé les parois de mon anus. Il s’est retiré et son foutre s’écoule. La sonde est retirée et le silence s’installe. On me détache les jambes. « Descend de la table et rejoins-nous » Nous ? Ils sont donc plusieurs ? Je reprends mes esprits et je descends de la table, avec ce foutre chaud qui s’écoule hors de mon petit trou. Je passe la tenture et je découvre le maître nu, son sexe encore dressé. Quel homme ! le modèle même du maître. Crâne chauve mais corps poilu de blanc, de grosses fesses et une queue épaisse, luisante de sperme. « Couche-toi sur le ventre sur la banquette, je n’ai pas envie de gaspiller une goutte de sperme. Ecarte tes cuisses. Voilà. » Et je sens sa langue me lécher la raie, le trou, encore ouvert. Délicieuse sensation. Qui ne dure pas.
« Ce soir tu vas dormir dans mes bras mais dès demain tu rejoindras l’espace qui a été prévu pour toi durant ce séjour d’initiation aux jeux SM. Tu vas adorer », me dit-il avant de me fixer un collier. Dans le couloir qui mène aux chambres , le maître s’arrête soudain et se met à rire. « J’ai réfléchi, tu ne vas pas dormir avec moi ce soir. Mon chauffeur mérite une récompense pour son déplacement nocturne, tu vas donc le rejoindre et le satisfaire. Je dois te prévenir, hélas, qu’il a des envies parfois difficiles à supporter. Mais il te fera jouir. Bonne nuit mon ange ». Des derniers prononcés avant de me donner un baiser sur la bouche et une petite claque sur les fesses tandis que j’entre dans la pièce du chauffeur. Nu sur son lit, son gros phallus en attente de ma rondelle.