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18 février

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HISTOIRE

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Le Visiteur de Chantiers

Alban est un jeune mec de province, la vingtaine. Sur les lieux de drague ce que l'on remarque chez lui c'est son regard accrocheur, ses yeux se font salope car il aime ça se faire dominer, obéir aux mecs plus âgés que lui, offrir son petit cul toujours prêt à prendre n'importe quelle bonne queue.

Pourtant c'est un beau petit mec au corps magnifique, pas musclé comme les sportifs des salles de sports, mais quand on voit son beau petit cul bien dégagé par le jock strap on n'a qu'une envie c'est de lui bouffer le cul avant de le fourrer. Il est doux, tendre et sait exciter les mâles qu'il vénère. En plus il est bien doté d'une belle queue qui ne demande qu'à jouir.
Mais il s'est découvert un nouveau vice si je puis dire.

Il trouve les mecs de chantiers à son goût, de voir ces mâles bosser, trimer, en sueur dans leur salopette, dessinant bien les sexes, cela l'excite.
Il s'est mis à visiter les chantiers, regarder ces gens travailler, toutes les nationalités et couleurs sont représentées et ça le fait mouiller du cul Alban. Pourtant bien qu'ils l'aient remarqué pas un ne l'a invité à venir sur le chantier.
Il a vu l'algéco où ils vont se changer, voir la métamorphose entre le black ou le rebeu en tenue de chantier entrer et ressortir en tenue de ville, l'excite au plus haut point.

Le chantier désert à la nuit tombée il décide d'aller rôder sur le dit chantier, voir ce qu'il y a dans l'algéco.
Il se faufile entre les tas de sable, de parpaings, de bétonnière, d'engins de toutes sortes et arrive dans la nuit sans lune près de l'algéco.
Il essaie d'ouvrir la porte et... miracle, elle n'est pas fermée à clé.
Le cœur battant il entre, referme doucement derrière lui et à la lumière de son portable regarde ce qu'il découvre, un vrai trésor!

Des bottes traînent dans tous les coins, des grosses chaussettes dessus... Il s'approche d'un casier, ouvre la porte métallique et l'odeur de sueur, de mâle lui saute au visage le faisant bander de suite. Il fourre sa tête dans le casier et renifle à pleins poumons pour s'énivrer de la bonne odeur qui fait également palpiter son petit trou.

Il prend un tee-shirt maculé de traces de sueur et se le passe sur le visage, putain que c'est bon cette odeur de mâle, là c'est sûr c'est l'odeur du black qu'il a vu sur le chantier. Il ouvre un autre casier et une autre odeur lui saute au visage, toujours celle de mâle, mais là c'est un rebeu il est sûr et certain!

Il mélange les tee-shirt sur son visage, les deux odeurs de black et de rebeu se collent à lui, il sort son beau sexe bien raide et se l'enveloppe avec le tee-shirt de black, riant intérieurement en pensant que demain matin le black va avoir l'odeur de sa queue. Il en fait autant avec le tee-shirt du rebeu le laissant même s'imprégner de sa mouille qui commence à couler sérieusement.
Il a envie de jouir, envie de se branler... il balaie avec son portable l'intérieur de l'algéco et tombe sur de grosses chaussures basses de chantier.
Il se met à genoux devant, se penche et les respire!

Il se saisit d'une godasse et la fait entrer sur sa queue qui coule et de l'autre main respire à pleins poumons l'intérieur de l'autre chaussure en fermant les yeux.
Il a envie de juter, envie de déposer son jus dans la godasse...

Il repose les chaussures à terre juste devant et se branle énergiquement au dessus. Il pense aux pieds du mâle de chantier qui vont dedans, ces gros pieds velus qu'il sucerait volontiers, sa main fait de rapides va-et-vient sur sa queue raide et dure, et dans un râle commence à éjaculer, dirigeant le sperme tout d'abord dans l'intérieur d'une chaussure puis carrément dessus.
Il se penche et respire l'odeur de son sperme mélangé aux odeurs de ce mâle.
Il remet tout en place, éteint son portable et sort dans la nuit pour rentrer chez lui.

Ce n'est que deux jours après qu'il retourne au même endroit. Dans la journée il a repéré le black avec son tee-shirt, leurs regards se sont croisés, mais le mâle l'a ignoré superbement. Il n'a pas vu le rebeu et a été incapable de dire dans quelles chaussures il avait juter, compte tenu qu'ils portaient tous les mêmes.

L'envie de revenir le soir le prend et dès la nuit tombée il repart en expédition.
Avec la même facilité il entre dans l'algéco et c'est comme si rien n'avait changé. Il est comme chez lui, il va directement au casier du black et la même odeur est là, celle du rebeu pareil, les godasses sont encore là.

Comme il avait été tranquille la première fois, il décide de se déshabiller complètement pour enfiler les tee-shirt des mâles, sentir leurs odeurs sur lui, revêtir leurs vêtements, respirer les chaussures.
Il bande comme un fou heureux.
Il a coincé son portable pour avoir la lumière et se regarde dans une glace se vêtir, s'exciter encore plus.

Cette fois c'est décidé il va se branler dans un tee-shirt. Il choisi celui du rebeu, se l'enveloppe autour du sexe et commence à se caresser, toucher ses tétons quand un manche de pioche apparait et ni une ni deux, il se retourne et vient poser son anus palpitant dessus, il continue de se branler et s'enfonce lentement sur le manche qui ouvre bien son petit cul.

Il ferme les yeux et gémit de plus en plus fort. Putain quel pied!

D'un seul coup la porte de l'algéco s'ouvre et la lumière crue d'une ampoule nue au plafond s'allume illuminant le spectacle qu'il donne.

Il est comme tétanisé et ne bouge plus devant l'apparition du mec qu'il reconnait, c'est le rebeu du chantier. Celui dont le tee-shirt est autour de sa queue.
Le mec entre, ferme la porte derrière lui et en deux pas le prend par le cou pour le redresser, voit le manche qu'il a dans le cul, ricane :
-mais alors t'es vraiment la salope qu'on pensait! tu viens nous voir pour avoir des coups de bites ? Et comme t'en trouves pas tu te venges sur un manche de pelle! Elle t'a rien fait la pelle salope!

Le rebeu a son visage près du sien. Il le fixe de ses yeux noirs, méchants, durs et là Alban a peur d'un seul coup.

La main du rebeu serre encore plus son cou en le redressant et le pousse en arrière, si bien qu'il sent le manche avancer dans son petit cul et il ne peut s'empêcher de gémir!
-t'aimes les gros manches durs salopes ?
-oui m'sieur dit Alban timidement.
-c'est toi qui est venu l'autre nuit juter dans les godasses ? on a vu les traces le lendemain.
-oui m'sieur.
-et là c'est mon vêtement que t'as autour de ta misérable queue de salope, t'allais encore juter dedans!
-oui m'sieur dit Alban qui sent le manche de la pelle avancer encore plus en lui l'ouvrant carrément.

Le visage de l'arabe se rapproche de lui, il ferme ses doigts sur les joues d'Alban lui faisant ouvrir la bouche et laisse couler sa salive.
-avale salope après je ferais ça peut-être dans ton petit cul avant de te niquer, mais là le manche va bien t'ouvrir et mon sgeg entrera comme dans du beurre.

C'est vrai que le manche était déjà profond et Alban trouvait que ce n'était pas désagréable mais en fait il avait hâte que le rebeu tienne sa parole et qu'il le nique rapidement.
Le rebeu lâche son cou, lui fait poser sa tête sur son épaule et ses deux mains partent sur les belles fesses pour les écarter et pousse encore Alban dessus qui cette fois crie.
-ta gueule salope!

Le rebeu fait aller et venir son cul sur le manche, puis le sort d'un seul coup, le retourne, le fait pencher la tête dans le casier, son casier et il n'a qu'à baisser son survêt et son caleçon pour que le gros zob qu'Alban n'a pas encore vu se détende d'un seul coup et cherche comme une ogive sa destination.

Son gland dur et brûlant à peine posé sur l'anus encore ouvert que d'un coup de reins il s'enfonce et envahit le petit cul d'Alban qui hurle dans le casier en voulant se redresser se cogne la tête.

Il est niqué rapidement, un vrai robot ce rebeu. Il ne lésine pas, c'est pas du chiqué ses coups de reins et ça doit être un gros zob car Alban n'a pas arrêté de gémir, de gueuler. Il peinait à ouvrir encore plus ses fesses et il sentait bien ce gros zob voyager en lui, ce qu'il sentait aussi c'est sa queue, bouger à chaque coup de reins et laisser s'échapper la mouille qui coulait en continue.

Dernier coup de reins et la marée, le tsunami de jus rebeu se répand dans son conduit, il le sent remonter, il sent ce gros zob tressauter en lui en déchargeant toute sa cargaison! Et putain il n'a pas dû jouir depuis longtemps le rebeu car il est bien rempli Alban.

Le zob sort d'un coup sec, laissant le cul ouvert et Alban sent le sperme rebeu couler le long de ses jambes. Sa tête est sorti du casier, il est retourné et voit le rebeu le regarder en ricanant, il appuie sur son épaule et Alban se retrouve à genoux devant ce qui vient de lui remplir son petit cul et dans cette position il sent le sperme couler encore de son petit trou.
-nettoie salope et ne laisse rien, de toute façon ça sort de ton cul de salope.

Alban a pris son temps en voyant le bel engin qu'il avait devant les yeux, toucher ce mandrin encore bandant, chaud comme la braise au gros gland circoncis, aux grosses couilles pendantes qui lui font envie.

D'une main il soulève le zob et prend les couilles de l'autre qu'il lèche, enlevant les traces de sperme, les avale une par une, les deux il n'y arrive pas.
Il revient lécher le dessous du zob en remontant sur le gland, l'enveloppant de ses lèvres pour avec sa langue l'entourer pour le caresser, le lécher et entendre le mâle rebeu grogner en posant sa main dans ses cheveux.

Il fait glisser le gros morceau sur sa langue jusqu'à ce que le gland bute sur sa luette, le faisant tousser, les larmes sortent de ses yeux, mais il tient bon et pousse encore pour sentir le sgeg lui envahir le fond de la gorge et entendre le rebeu :
-oh putain de bonne salope que tu es!

Il s'est mis à piper le rebeu comme si sa vie en dépendait et le rebeu n'arrêtait plus de gémir en le tenant par les cheveux, marmonnant en arabe des paroles incompréhensibles pour Alban. Ses mains se sont affermies dans ses cheveux, lui bloquant la tête, le zob a durci dans sa bouche, le gland gonfle et les rasades arrivent sûrement aussi nombreuses que celles qu'il a eu dans son petit cul. Il déglutit et avale tout en bonne salope gourmande.

Il est relevé comme une plume, le rebeu lui lève le menton :
-t'es douée ma salope! Tu reviens quand ?
-quand tu veux dit Alban avec son plus beau sourire de salope vicieuse.
Il frotte son sexe bandant contre le zob du rebeu qui sourit.
-crois pas que je vais te sucer ma salope, non tu vas te mettre à genoux et te branler en me regardant et tu vas juter dans les godasses là, ce sont celles du black.

Alban obéit et montre bien son corps, sa queue qu'il branle en se décalottant bien à fond, les yeux du rebeu ne le regarde pas, mais il regarde sa queue et quand Alban jute sur les chaussures du black, le rebeu sursaute et son zob redevient dur.

Alban lâche son sexe, sa main est pleine de foutre qu'il pose sur le gros zob du rebeu qui le regarde faire étonné et Alban reprend à le sucer pour enlever tout son sperme!
Il sent bien que le rebeu est encore excité et quelques instants après il a droit à une nouvelle rasade, certes moins fournie, mais le rebeu gueule plus fort!

Le rebeu se rhabille, soulève Alban toujours nu :
-toi tu viens demain à 20h30, graisse bien ton cul de salope car le black a vraiment une grosse queue et quand il va savoir que je t'ai surpris à souiller ses godasses, ben ça va être ta fête ma belle salope! Alors je serais là également pour calmer ses ardeurs, on ne va pas t'abîmer quand même! Mais ne compte pas rentrer chez toi très tôt!

Il s'est cassé sans rien ajouter de plus, laissant Alban nu sous la lumière crue de l'algéco.

Quand il est rentré chez lui il bandait encore et pensait :"vivement demain soir!"

Fabrice

nico.tendre@orange.fr

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