Bonjour,
Moi c’est Julien. J’ai 30 ans. Comme vous le savez, depuis qu’Youssef, mon ex, m’a trompé (voir « Trompé par mon mec »), je vis dans mon appartement à Paris avec mes deux meilleurs ami Maxence et Antoine qui sont en couple.
A chaque fois que j’ai un rencard, que ce soit pour un plan d’un soir ou une potentielle relation sérieuse, je mets le mec au courant de la situation particulière dans laquelle je vis. Je lui dis que j’habite dans un appartement que je partage avec mes deux meilleurs amis, Maxence et Antoine, qu’ils sont en couple et que je baise avec eux de temps en temps. Certains l’acceptent, mais pour d’autres, c’est trop bizarre.
Depuis plusieurs semaines, les coups d’un soir s’enchaînent avec principalement des passifs. Lorsque je montre à la personne des photos de Maxence et Antoine, si celui-ci les trouve intéressants et à son goût, Maxence et Antoine nous rejoignent dans ma chambre pour venir baiser. Dans le cas contraire, je laisse la possibilité à Maxence et Antoine de pouvoir mater mes ébats amoureux à l’aide d’une caméra cachée sur la commode.
Après un énième coup d’un soir, ceux-ci décident de m’interroger :
- Alors, me demande Maxence, tu trouves personne avec qui entamer une relation sérieuse ?
- Malheureusement la majorité des mecs sur Grindr ne veulent que des coups d’un soir.
- C’est dommage, renchérit Antoine, tu mérites de trouver un mec. Si seulement on pouvait t’aider...
- Peut-être, mais on verra bien ! Avec le temps, je tomberai sur le bon !
Quelques jours plus tard, Antoine débarque dans ma chambre alors que je me masturbe et il m’interroge à nouveau sur la situation sans être déconcerté :
- Alors comment ça se passe ?
- Comme d’habitude ! Tu peux pas toquer à la porte avant de rentrer ? Je suis nu !
- C’est bon ! Je t’ai déjà vu nu à de nombreuses reprises. J’étais sûr que tu me sortirais cette réponse... donc aux grands maux les grands remèdes !
- Qu’est-ce que t’as encore eu comme idée ?, dis-je en lançant un regard accusateur et interrogateur à Antoine.
- T’as deux semaines pour poser 7 jours de congés et t’embarques avec nous sur une croisière pour célibataires gays qui va durer deux semaines.
- C’est la seule solution qui t’es venue ? Tu crois que c’est comme ça que je vais rencontrer un mec sérieux ? Je crois pas... Et si j’ai pas envie de venir... ?
- Tu n’as pas le choix ! Les billets sont nominatifs, les dates sont posées et les billets ne peuvent plus être annulés ! Ne t’inquiète pas, on t’aidera à faire tes bagages !
- D’accord ... mais qu’est-ce que toi et Maxence venez faire sur une croisière pour célibataire ?
- C’est simple ! On va baiser chacun de notre côté, certaines fois ensemble et après tout, tu seras le seul à savoir qu’on est en couple ! Tu n’oserais pas trahir tes deux meilleurs amis !
- D’accord, je viens ! Mais t’abuses ! Non seulement ta solution est radicale mais en plus, tu me fais du chantage ! Je te préviens si cette croisière se passe mal, je vous fais la gueule et vous pourrez rêver pour baiser avec moi !
- À la bonne heure ! Mais crois un peu en ta chance ! Qui sait si tu peux pas rencontrer la bonne personne..., dit Antoine.
- Ça suffit, sors de ma chambre ! dis-je en jetant un coussin dans sa direction.
J’essaie de continuer de me branler mais impossible ! Je me rhabille et je sors de ma chambre. Je suis stressé à l’idée de cette croisière à venir et furieux contre Antoine. En chemin, je croise Maxence. Je l’attrape par le bras et je l’embarque dans ma chambre :
- Mais qu’est-ce qu’il te prend, Julien ?, me demande Maxence, inquiet.
- Est-ce que t’étais au courant de cette histoire de croisière pour célibataires gays ?
- Oui, j’étais au courant.
- Et pourquoi t’as accepté cette idée aussi saugrenue que sournoise ?
- Pour tout t’avouer, j’étais sceptique ... mais dans la vie, t’as toujours eu un peu de chance !
- Oui... et qu’est-ce que ça a à voir avec cette croisière ?
- T’as eu la chance de nous rencontrer Antoine et moi, et de même pour Youssef !
- Tu parles d’une chance... Tomber sur un gars qui me trompe avec 3 mecs différents...
- Arrête ta mauvaise foi ! Même si les choses se sont mal terminées avec Youssef, il y a des bonnes choses à en tirer, non ?!
- Oui, d’accord, t’as raison ! Continue de m’expliquer ta logique...
- Si t’as eu de la chance de nous rencontrer à Paris, t’auras certainement la chance de tomber sur quelqu’un de bien pendant la croisière !
- Oui et toi, t’auras la chance de baiser avec autant de mecs que tu veux pendant la croisière...
- C’est vrai, dit Maxence avec un léger sourire.
- Je te préviens ! Si la croisière se passe mal, vous pourrez rêver pour baiser avec moi avant un long moment !
- Est-ce que je dois comprendre que tu viens ?
- Oui ! Mais je réclame une compensation. Vu que cette idée saugrenue et sournoise vient d’Antoine, il dort avec moi ce soir et son cul m’appartient !
- Si ça fait partie des conditions pour que tu viennes avec nous, c’est d’accord !
On mange et on regarde un film à la télé. Celui-ci se termine à 23h. Maxence décide d’aller se coucher et au moment où Antoine décide de se lever pour le suivre, je l’attrape par un bras et lui dit :
- Pas besoin de dormir avec Maxence ce soir !
- Pourquoi ?, me demande Antoine.
- Tout simplement parce que, vu que t’es l’instigateur de ce plan pour faire une croisière, j’ai demandé une petite compensation à Maxence !
- Laquelle ? Tu vas rien me faire de mal !?
- Au contraire ! Tu vas même gémir de plaisir !
- Mais qu’est-ce que tu racontes !?
- Dès ce soir et jusqu’à demain matin 9h30, l’heure à laquelle je me lève, ton cul est entièrement à moi ! Ne t’inquiète pas, Maxence est d’accord !
- Si c’est le prix à payer pour que tu viennes, je l’accepte !, dit Antoine avec un peu d’appréhension.
Antoine me suit dans ma chambre, je lui enlève ses vêtements et je lui dis de me déshabiller. Celui-ci obtempère.
Antoine est brun, il a des cheveux mi-longs en bataille. Il porte des lunettes, une moustache et le bouc. Il est assez grand (1,80) et il est mince. Il a une petite ligne de poils qui descend de son nombril vers son pubis qui lui est assez velu. Il a une bite plutôt fine de 19 cm... avec des grosses balloches bien poilues.
Moi, je suis de taille moyenne et j’ai un peu de ventre. Je suis brun avec une barbe. Je suis poilu de partout, sur tout le corps. Ma teub fait 14 cm.
J’attire Antoine vers moi et je l’embrasse tendrement en entrainant sa main vers ma queue. Je caresse tout son corps, dont je sens la chaleur sur le mien. Au bout de quelques instants, Antoine fait passer sa langue le long de mon corps. Je m’abandonne à ses lèvres fines et à sa langue qui descendent dans mon cou. Elles le lèchent, elles l’embrassent. Puis, il remonte vers mes oreilles qu’il titille avec la pointe de ma langue. Ensuite, il redescend vers mon corps, il joue avec mes tétons. Sa langue joue avec mes poils qui recouvrent entièrement mon corps.
Finalement, il arrive au niveau de ma teub. Ses mains jouent avec mes couilles pendant qu’il me fait une gorge profonde. Puis, il se met à me sucer sur tout le long de ma queue. Sa langue joue aussi avec mon gland, ce qui me fait bien gémir. A un moment, je prends sa tête dans mes mains et je le fais aller et venir rapidement sur ma queue. Antoine est bon suceur !
Quelques minutes plus tard, je prends les commandes. Je me lève, je fais mettre Antoine à quatre pattes et je crache sur son cul. Je lui lèche le trou, ma langue s’enfonce dans son anus et je sens son excitation augmenter. Après l’avoir doigté un peu, je me redresse et je le pénètre entièrement, certes lentement, mais en une fois, sur ma queue. Je laisse ma teub quelques secondes en lui. Je le prends dans mes bras et je l’embrasse tout en commençant des va-et-vient. Je fais tendrement l’amour à Antoine. Mon pote semble apprécier, car il gémit doucement. Je lui procure du plaisir pendant un quart d’heure, puis je passe en mode marteau-piqueur. Antoine gueule de plaisir. J’admire ma queue entrer et sortir de son petit trou, sans capote. Je sens mes couilles fouetter son cul. J’admire aussi son cul atterrir sur mon pubis velu moelleusement, comme si c’était un tapis.
Puis, je me pose sur le lit et je laisse mon pote prendre les commandes. Antoine s’empale alors sur ma bite. Quand il est entièrement enfoncé dessus, il se penche sur moi et il m’embrasse tendrement. Il commence de petits va-et-vient. Mes mains passent sur son beau corps et le caressent. Au fur et à mesure, ses mouvements s'amplifient pour devenir de grands allers-retours. Il fait presque totalement sortir ma teub de son cul, avant d'y re-rentrer encore plus profondément, ses mains posées sur mon torse.
Au bout d’un moment, je saisis ses fesses, que je soulève un peu et je me mets à donner de gros coups de reins qui le font bien gémir. Je fais monter et descendre sur toute la longueur de ma queue en lui. Mes cuisses vont taper ses fesses sur son ventre. Je sens ses bonnes couilles atterrir sur mon bas-ventre lourdement et bruyamment. Il semble apprécier, car il gémit fort. Je me défoule dans son cul jusqu’au moment où je sens une vague de plaisir m’envahir. J’accélère alors le mouvement, je fais des va-et-vient de plus en plus rapides et de plus en plus profonds, jusqu’à ce que je sente ma bite durcir et que je pousse un râle en éjaculant dans le cul de mon pote : je gicle une dizaine de jets puissants dans le fond de son cul.
Je reste quelques secondes, essoufflé, sans bouger. Puis Antoine se retire, libérant ainsi une partie de ma semence qui s’écrase sur mes cuisses. Il se penche sur ma bite devenue molle et enduite de mon sperme. Il le lèche et il se régale de ma semence. Il nettoie ma queue, mais je sursaute car mon gland est très sensible après l’orgasme. Il passe ensuite à mes jambes qu’il nettoie aussi parfaitement.
Antoine finit par se coucher contre moi et il m’embrasse avec tendresse. Je le branle furieusement tout en l’embrassant et je sens sa queue convulser juste avant de jouir. 4 jets jaillissent sur son ventre. Il reprend son souffle et il vient m’embrasser de nouveau.
On reste ainsi pendant quelques minutes sans parler. Après un long câlin et un long baiser, je reprends la parole :
- Raconte comment tu t’imagines la croisière !
- Je vois ça comme ça : on a chacun notre cabine. On baisera ensemble. Mais je nous vois marcher toute la journée, nus, sur le bateau, attirant le regard de nombreux mecs. On ira à la piscine ou au sauna. Là, certains nous aborderont et ils nous amèneront dans leur cabine pour nous baiser. Parfois, nous trois aimerons le ou les mecs qui nous draguent, on ira ensemble dans ma cabine et là, on se fera plaisir dans le cul des autres mecs... ou ils se feront plaisir avec notre trou. En gros, ce sera une fête du sexe sans contrainte, avec seulement du plaisir pour chacun de nous.
Malgré la jouissance, ma queue se tend de nouveau, rien qu’en pensant aux moments excitants qu’on vivra sur le bateau ! Une envie nouvelle s’empare de moi, je saisis Antoine par le bras et je le plaque contre ma queue. C’est une envie de le dominer qui me prend. J’enfonce ma teub dans sa bouche et je me mets à la bourriner. Ma bite entre et sort hyper rapidement. Antoine bave de partout. Par moment, je ressors ma queue pour le biffler avec et l’embrasser rapidement avant de reprendre mon pilonnage en lui faisant faire de bonnes gorges profondes. Des larmes coulent de ses yeux. Mais il encaisse bien. Mes couilles frappent son menton.
Quand je ressors ma bite de sa bouche, elle est pleine de bave. Je lui prends le bras, je le soulève et je plaque contre la fenêtre. J’enfonce ma bite d’un trait dans son cul. Ça glisse tout seul, pas étonnant vu la dose que je lui ai mise. Je commence à le défoncer. Ma bite entre et sort avec vigueur. Je me déchaîne dans son cul. Le sperme déposé il y a quelques minutes de cela coule le long de ses cuisses. Je le prends par les cheveux, je tire bien fort pour le plaquer contre mon torse et je lui dis :
- Tu vas voir je vais bien te baiser, mon salaud !
- Vas-y, continue, défonce-moi à fond !
Je comprends alors qu’il prend son pied... ce qui me fait redoubler mes coups de bite. Je le pilonne à fond. Mes boules claquent contre son périnée, mes cuisses contre ses fesses. Ses gémissements deviennent toujours plus forts. Je lui déchire le cul, Antoine encaisse sans aucun problème. Je le défonce comme un animal en serrant bien ses hanches.
Au bout de 10 minutes, je sens ma queue se raidir et je jouis 3 jets dans ses entrailles. Je me retire, à bout de souffle. On va se coucher sur le lit et on se repose un peu. Inquiet, je lui demande :
- Ça va ?
- Oui !
- Désolé, je crois que j’ai un peu perdu le contrôle !
- Pas grave, c’était vraiment génial !
Je le prends contre moi et on se câline pendant de longues minutes.
Après presqu’une heure de pause, on s’embrasse toujours. Je sens que sa bite se tend. Il prend ma queue dans sa main et il la guide vers son trou. Je passe alors devant lui, il lève les jambes en restant sur le dos et il les enferme autour de mes hanches. Je m’allonge sur lui et je l’embrasse dans le cou tout en commençant à lui faire l’amour. Cette fois, mes va-et-vient sont plus doux. Là, je lui fais l'amour, tendrement, sensuellement, avec de petits coups de reins. Mes mains caressent ses cheveux, pendant que Antoine me serre dans ses bras. Je l’embrasse avec envie. Mes mouvements langoureux le font gémir.
Au bout d’un moment, je lui dis :
- A toi, maintenant de me baiser.
Je me mets sur le dos et Antoine me bouffe le trou pendant de longues minutes. Puis, il s’enfonce en moi et il donne de petits coups de reins. Ensuite, il accélère la cadence, ressortant presque entièrement sa teub de mon cul, avec seulement son gland en moi, avant de me pénétrer d'un coup sec sur toute la longueur de ses 19 cm. Ses couilles me fouettent bien le cul. Il me défonce et je gémis fort. Il va et vient dans mon anus, me pilonnant le cul avec violence. Mes chevilles sont posées sur ses épaules. Il me pilonne sans ménagement et je gueule mon plaisir. Ses cuisses musclées tapent mes fesses et il écarte mes chevilles, me permettant de sentir encore mieux sa grosse bite. Il me démonte le cul.
Pendant bien une heure et demie, on se baise à tour de rôle l’un l’autre. C’est si intense, si bon qu’aucun d’entre nous ne veut arrêter et jouir. Mais finalement, c’est Antoine qui dit en premier :
- Je vais pas pouvoir tenir plus longtemps !
- Vas-y, remplis-moi alors !
Je l’embrasse pendant qu’il se vide dans un coup de reins violent dans mes entrailles. Il jouit en moi, longuement, ses 19 cm plantés au fond de mon cul, ses couilles contre mes fesses. Il gicle une bonne dizaine de jets que je sens me fouetter l’intérieur de l’anus. Il tasse un peu son jus puis, il sort de mon cul que je sens bien dégouliner. Je le fais alors mettre sur le dos et j’enfonce ma bite dans son trou. Je le défonce brutalement. Je sens son jus couler hors de mon trou, le long de mes jambes. J’ai déjà joui deux fois, c’est pour cela que je mets bien 10 ou 15 minutes avant de lui remplir le cul une fois de plus de 4 giclées liquides et abondantes.
Je me retire, la queue toute blanche, et je vais me coucher contre lui. Je sens ses mains me caresser tendrement les cheveux. Je l’embrasse délicatement.
La fin de cette longue cession de baise se termine à 3h du matin. Je regarde Antoine et lui dit :
- Profite bien de tes 6 heures de sommeil restantes !
- Comment ça, 6h de sommeil ? Ce sera seulement 9h du matin ! Tu fais quoi de la demi-heure restante ?
- Je te baiserai une nouvelle fois le cul !
- T’es sérieux ?, me demande Antoine.
- Totalement ! Tu sais, ça m’arrive d’avoir des érections matinales et ce serait dommage d’en gâcher une alors que je suis en si bonne compagnie ! Bonne nuit, Antoine, dis-je en réglant l’heure de mon réveil à 9h.
- Oui, c’est ça ! Bonne nuit !
- T’inquiètes pas pour Maxence, on fera ça discrètement pour ne pas le réveiller !
J’éteins ma lampe de chevet et chacun de nous deux s’endort.
A suivre...
Histoire écrite en collaboration avec Julien.
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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