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HISTOIRE

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Premier épisode

My secret life | 2

Bonjour tout le monde. J’espère que vous avez apprécié mon premier épisode.
Désolé si certains d’entre vous m’ont écrit un mail, j’avais créé cette boite spécialement pour mes histoires, mais le crétin que je suis a oublié son mot de passe (et impossible de le récupérer même avec mon adresse de sécurité !!!).
Vous pouvez donc transférer vos messages sur mon adresse modifiée (là je ne perdrai pas le mot de passe : =)

Chapitre 2 | Quentin

Après mon initiation par le cuistot Rebeu, je me souviens que, pendant un temps, il ne se passait pas une journée sans que je ne me branle pas au moins 4 à 5 fois. Vous devez certainement vous demander pour quelle raison, alors que j’avais son numéro de portable, je ne rappelais pas ce type ? À vrai dire, je me pose encore la question. Il est vrai que malgré mon excitation, j’étais aussi effrayé par son style dominateur et puis n’oublions pas qu’il était le cousin de mon futur beau-frère. Déjà que j’avais eu l’impression que Karim avait été mis au courant alors pas la peine d’en rajouter… Alors, je préférais me contenter de rêver à cette scène (en l’imaginant bien évidemment plus hard)… Ah je me souviens encore de cette excitation, de mon cœur qui battait chamade.
Premier pas vers le chemin interdit, mais pas le dernier, je peux vous le garantir !

Les mois passèrent…
Mon entourage familial avait fini par remarquer les changements dans mon comportement. Il faut dire que je n’y allais pas de main morte.
Depuis mon éclosion, je prenais plaisir à prendre soin de mon apparence, passais 2 heures dans la salle de bain, m’étais acheté de nouveaux jeans, avais troqué ma coupe de petit ange pour un look plus sexy à la Justin Bieber. Mes parents étaient exaspérés par ma mèche devant les yeux, mes jeans au raz des fesses et mes chemises cintrées. J’étais plus épanoui, moins coincé, mieux dans ma peau. Mes pauvres parents, qui avaient dû supporter les frasques de mon frère cadet pendant un certain nombre d’années, imaginaient le pire avec moi et ils avaient bien raison.

Quant à mon frangin (ce beau mec qui m’a toujours fait craquer), nos rapports changèrent peu à peu.  Il commençait à se confier et me proposait régulièrement de se joindre à son groupe lorsqu’il sortait. Je devenais un grand… Enfin !!! J’aimais entendre mon modèle, me dire, d’un ton affectueux, qu’il avait maintenant un rival sur son toit.
Au bahut, je n’étais plus Raphounet, mais Raph ou Gossbo (ce que je trouvais aussi ridicule que mon ancien sobriquet, mais bon…). Même si j’étais toujours l’intello, toujours premier de ma classe ; les mecs les plus cools du lycée étaient devenus sympas avec moi. Je devenais populaire.

En ce qui concernait ma découverte du sexe, j’étais tout de même un peu perdu, fallait-il bien l’avouer. Étais-je gay ou juste une bombe d’hormones qui venait d’éclater ? À l’époque, je me voyais mal faire mon comingout (enfin un faux comingout, étant donné que j’apprenais seulement à me connaitre).
Et puis, si je pensais régulièrement poser des questions sur le sujet à mon frère, hétéro très actif (d’après les bruits qui courent), comment lui confier que j’avais déjà gouté une partie du fruit défendu avec un mec plus âgé ? Et aussi, comment lui dire que, mon initiateur faisait partie de la future belle famille de ma sœur ? Pfff, tout se chamboulait en moi !!!

Une certitude, c’était que j’avais aimé la queue de mon rebeu et le gout de son sperme. Et même si les poitrines opulentes des meufs de mon frère m’excitaient toujours autant, j’avais envie de renouveler l’expérience de sucer une queue, mais comment faire ? Publier un post sur Facebook ? Je n’en pouvais plus !!!!! Le sexe… je ne pensais plus qu’à ça. J’étais un devenu un fauve ou plutôt devrais-je dire que j’étais à l’affut des fauves.
Surtout que l’effet escompté de « mon nouveau Moi » ne se fit pas attendre : je sentais les regards lubriques, y compris de beaux mecs hétéros. Je réalise aujourd’hui que c’est à ce moment que j’ai commencé à prendre conscience de mon arme fatale : mon charme (désolé de paraitre prétenscieux).
Je ne pouvais pas m’empêcher de mater les bassins de tous les mecs virils que je croisais. Impossible de me contrôler ! Malgré cela, je ne réussissais pas à franchir le pas.

J’avais tout pour être bien dans ma peau ; pourtant un détail me gênait : c’était l’attitude de Julien, mon prof préféré, math/physique qui avaient fait une partie de ses études avec ma sœur. Son comportement avait changé à mon égard, et ce malgré ma moyenne de 19/20 dans les matières scientifiques. Qu’avais-je dit ou fait qui avait pu provoquer cette situation ? (Question que j’ai pu élucider plus tard et que je conterai dans un épisode prochain).

Plutôt que de m’isoler dans ma frustration, je m’étais mis à pratiquer deux fois plus de sport. En plus du judo, du volley et du foot, j’adonnais à la natation intensive.
Dès le premier jour, je pus croiser de beaux mâles en maillot de bain bien fourni. Étant le seul jeune à venir 3 fois par semaine, je finis par être reconnu par certains habitués.

Tout le monde était sympa avec moi, notamment un jeune couple de 25 ans que j’appréciais particulièrement. Élodie était enceinte et pratiquait de l’aquagym pendant que Quentin partageait son couloir avec moi. Élodie était pas mal, mais j’avoue que mes yeux étaient plus attirés par son mec sexy dont la belle bosse me rappelait bien évidemment celle de mon cuisto rebeu.

Après quelques mois de grossesse, Élodie préféra laisser Quentin s’entrainer seul (à mon grand bonheur). Un soir nous étions que deux dans le bassin ; après une bonne heure d’alternance 4 nages, je commençais à fatiguer. Je restais au petit bassin et optai pour la planche, les yeux fermés, histoire de me détendre.

Quand soudain je fus surpris par la présence de Quentin à mes côtés, qui cherchait à me faire boire la tasse. En cherchant à l’esquiver, j’agitai les bras en essayant de m’accrocher à ce que je pouvais. C’est ainsi que ma main accrocha son maillot de bain sans le vouloir. Je crois d’ailleurs que je n’aurais pas fait mieux si cela avait été fait exprès, car quand je dis « accrocher », devrais-je plutôt dire « saisir à pleine main », d’abord son slip puis étant donné qu’il persistait à vouloir me faire boire la tasse, ma main pressa sa queue. Je me rendis compte de ma gaffe et la lâcha aussi rapidement que je l’avais saisie ; mon geste l’avait estomaqué.
Étant donné ses 1,90 cm, je pouvais facilement discerner le volume que prenait son boxer, qui était juste au niveau de l’eau. Malgré le malaise de la situation, j’étais hypnotisé par son paquet et ne réussissais pas à en détacher le regard ; ce qu’il ne tarda pas à remarquer.
Il s’approcha de moi, calmement, tout en me fixant avec son air de chien galeux. J’avais du mal à avaler surtout quand il pressa sa queue. Je ne pouvais pas y croire. Ce dieu sur pattes voulait se donner à moi alors qu’il était maqué avec une meuf que tout hétéro aurait voulu serrer. Au moment où je m’apprêtai à toucher son boxer, il se recula et sortit rapidement de l’eau pour se diriger vers les douches.

Je restai bouche bé ! Je me demandais bien quelle mouche l’avait piqué : il pensait peut-être que se faire sucer par un jeune à la majorité sexuelle c’était tout de même risqué pour lui ou tout simplement avait-il réalisé qu’il était marié et bientôt papa.
Je fus tout de même vexé par son départ sans explication. J’attendis 10 bonnes minutes avant de prendre aussi le chemin des vestiaires. Je passai par mon casier pour prendre mon gel douche et mon shampoing.

Quand j’arrivai aux douches, il était là, dos à moi, en train de se shampouiner. Sans pudeur, il avait quitté son maillot et se donnait en spectacle. Et quel spectacle !!! À ce moment je ne sais plus si j’enviais Élodie de pouvoir caresser, sans modération, ce cul musclé et ces biceps gonflés ou si je l’enviais lui tout simplement d’être si beau.
Je me posais à la douche opposée en essayant de l’ignorer. Pour éviter de bander face à lui, je pris la même position que lui et commençai à me laver les cheveux. Le shampoing dans les yeux je frottais énergiquement. Je n’entendis plus l’eau couler derrière moi. Je me rinçais puis sans me retourner, je descendis mon maillot de bain et me retournai pour ramasser mon gel douche. Il se tenait face à moi, la bite à la main, appuyé au mur.

Ses 25 cm à la main, il s’approcha de moi d’un pas de félin. Il me regarda et me demanda si j’étais sûr de vouloir continuer. Comment dire non à un mec aussi beau ? J’aurais été inconscient. Mon hochement de tête eut l’effet d’un starting-bloc : il fit à nouveau un pas, prit ma main pour la poser sur sa queue et m’embrassa tendrement. C’était la deuxième fois qu’un mec m’embrassait, à la différence près que ce moment je l’avais rêvé plus d’une fois. J’étais sur un petit nuage. Je continuais à le masturber quand il quitta mes lèvres. J’ouvris les yeux et je compris qu’il attendait que je me concentre davantage sur sa queue. Avant qu’il me le demande, je me mis à genoux et entamai ma deuxième pipe.

Je crois que je n’ai, jusqu’à présent, jamais autant donné à un mec que ce jour-là. Vous allez penser, quel cœur d’artichaut ce keum ! Eh bien je ne sais pas si c’était d’avoir, si longtemps enfui en moi cette part sensible, mais ce mec, je l’ai aimé tout de suite.

Il fut surpris de ma performance et me demanda combien de mecs j’avais sucés avant lui. Quand je lui avouai que sa belle queue n’était que ma deuxième en bouche et que j’étais encore vierge, il me lança un regard enflammé, que dis-je affamé.
J’avais en effet prononcé les mots qui transformèrent mon beau prince en loup vorace. Quand il me retourna pour me pencher en avant, je me mis à paniquer ; je me sentais sous son emprise, y compris physique, car il était nettement plus baraqué que moi, à cette époque.

Il m’écarta les fesses et caressa mon petit trou tout en commentant ce qu’il n’avait pas vu depuis longtemps : un petit cul vierge. Contre toute attente, il se mit à genoux et m’écarta les lobes pour réfugié sa langue dans mon petit anus rose. Quelle sensation !!! Chaque parcelle de mon corps frissonnait sans que je réussisse à m’empêcher de gémir. Il avait beau m’ordonner d’être plus discret, je ne pouvais pas faire autrement.
Quand mon petit trou fut suffisamment dilaté, iI commença à m’enfiler un doigt et à le faire tourner puis je me rendis compte qu’on était passé à deux, puis trois. Je gémissais et me mordillais mes lèvres, car la douleur se faisait sentir. En voyant ma grimace, il se releva et me retourna vers lui.

        « Ça fait des semaines qu’Élodie ne veut plus rien faire, plus me toucher et tu joues l’allumeuse depuis trop longtemps avec moi, tu vas prendre cher »
Que pouvais-je répondre ? De toute façon il avait raison, j’en avais autant envie que lui. J’avais attendu qu’il se rapproche pour baisser son maillot et libérer la bête ».

Il appuya sur mes épaules pour me mettre à genoux et me donna une bifle pour me faire ouvrir la bouche. Impatient de fourrer sa matraque au fond de ma glotte ; j’étais au bord de la suffocation et de l’étouffement. J’avais beau vouloir ralentir le rythme, cet obsédé appuyait davantage sur ma tête.
        « Allez, mon petit Raph, montre-moi que tu suces mieux qu’Élodie »
Ces paroles m’encouragèrent à me surpasser ; il fallait que j’utilise les grands moyens pour l’amener à revenir souvent vers moi. Sa meuf avait encore deux ou trois mois de grossesse et qui sait, elle serait peut-être dégoutée du sexe après l’accouchement. Je redoublais donc d’efforts en serrant bien les lèvres et essayant d’aller le plus loin possible. Il n’en revenait pas que je puisse avaler sa queue en entier (moi non plus d’ailleurs). Depuis ma première expérience, j’avais vu des centaines de films pornos pour m’instruire et je m’étais entrainé en mangeant des bananes bien vertes (on fait avec les moyens du bord !)  J’avais vu que les mecs adoraient l’alternance entre « gorges profondes », léchage de gland, bouffage de boules (qui, dans le cas de Quentin, ressemblaient davantage à des balles de billard) et léchage de la queue, du pubis au gland. Il était ouf le Quentin !

        « Dis donc, tu es sûr que c’est ta deuxième pipe ?
        —  J’apprends vite ».
Je me remis à la tâche en aspirant un peu son gland ; quelle idée ai-je eue !!
Il se déchaina sur moi en me tenant à nouveau la tête et en ne prenant plus aucune précaution. Il me baisait la bouche en m’insultant et me donnant des petites claques. Ses coups de bites étaient de plus en plus profonds ; je voulais qu’il prenne son plaisir alors j’acceptais d’être pilonné comme une pute.

Au bout de 15 minutes, il sortit sa queue et se branla rapidement.
        « Ouvre la bouche, petite salope que je te donne mon jus »
Je le regardais d’un air inquiet, ce qui l’excitait et il entra à nouveau son chibre. Moins de deux secondes plus tard, son nectar envahissait ma bouche et coulait sur mes lèvres.
        « Eh petite pute, on ne fait pas de gaspillage surtout ! »
 Incroyable, comment pouvait-on jouir autant ; il prit dans ses mains le jus qui coulait sur mon visage et l’introduit dans ma bouche.
 Quand il voulut me relever, je préférais laver sa queue ; ce qui le fit gémir.

        « Désolé bébé, je ne pensais pas venir aussi vite, mais depuis le temps que je ne me suis pas vidé…
        —  Parce que tu peux tenir plus longtemps ? »
L’innocence de ma question le fit rire aux éclats.
        « Ah oui, on voit que tu n’as pas beaucoup d’expériences »
Sa phrase me vexa. Mais voyant ma réaction, il me prit dans ses bras. J’étais touché par sa gentillesse et sans pouvoir contrôler mes mots je lui annonçai mon amour.
       « Je suis flatté et moi aussi j’ai de l’affection pour toi, sans parler du fait que jamais personne ne m’a sucé comme tu l’as fait. Mais tu sais, je suis avec Élodie.
         —  Ça, je sais, merci ! Je ne t’ai rien demandé. C’est simplement une réaction au plaisir. » 
Bien évidemment je mentais, cela avait beau être ma deuxième fois, je me sentais amoureux.
         « La prochaine fois, je te promets un moment inoubliable. Je veux t’offrir ma virginité. »
Quand je repense à ces mots, qu’est-ce que je pouvais être culcul la praline !!!
Il ne répondit rien, mais se baissa pour me sucer à son tour. Il était très doué. Sauf s’il avait, comme moi, utilisé la technique de la banane, je me disais que ce n’était certainement pas sa première pipe.

Bonjour tout le monde. J’espère que vous avez apprécié mon premier épisode.
Désolé si certains d’entre vous m’ont écrit un mail, j’avais créé cette boite spécialement pour mes histoires, mais le crétin que je suis a oublié son mot de passe (et impossible de le récupérer même avec mon adresse de sécurité !!!).
Vous pouvez donc transférer vos messages sur mon adresse modifiée (là je ne perdrai pas le mot de passe : =)

Épisode 2 : QUENTIN

Après mon initiation par le cuistot Rebeu, je me souviens que, pendant un temps, il ne se passait pas une journée sans que je ne me branle pas au moins 4 à 5 fois. Vous devez certainement vous demander pour quelle raison, alors que j’avais son numéro de portable, je ne rappelais pas ce type ? À vrai dire, je me pose encore la question. Il est vrai que malgré mon excitation, j’étais aussi effrayé par son style dominateur et puis n’oublions pas qu’il était le cousin de mon futur beau-frère. Déjà que j’avais eu l’impression que Karim avait été mis au courant alors pas la peine d’en rajouter… Alors, je préférais me contenter de rêver à cette scène (en l’imaginant bien évidemment plus hard)… Ah je me souviens encore de cette excitation, de mon cœur qui battait chamade.
Premier pas vers le chemin interdit, mais pas le dernier, je peux vous le garantir !

Les mois passèrent…
Mon entourage familial avait fini par remarquer les changements dans mon comportement. Il faut dire que je n’y allais pas de main morte.
Depuis mon éclosion, je prenais plaisir à prendre soin de mon apparence, passais 2 heures dans la salle de bain, m’étais acheté de nouveaux jeans, avais troqué ma coupe de petit ange pour un look plus sexy à la Justin Bieber. Mes parents étaient exaspérés par ma mèche devant les yeux, mes jeans au raz des fesses et mes chemises cintrées. J’étais plus épanoui, moins coincé, mieux dans ma peau. Mes pauvres parents, qui avaient dû supporter les frasques de mon frère cadet pendant un certain nombre d’années, imaginaient le pire avec moi et ils avaient bien raison.

Quant à mon frangin (ce beau mec qui m’a toujours fait craquer), nos rapports changèrent peu à peu.  Il commençait à se confier et me proposait régulièrement de se joindre à son groupe lorsqu’il sortait. Je devenais un grand… Enfin !!! J’aimais entendre mon modèle, me dire, d’un ton affectueux, qu’il avait maintenant un rival sur son toit.
Au bahut, je n’étais plus Raphounet, mais Raph ou Gossbo (ce que je trouvais aussi ridicule que mon ancien sobriquet, mais bon…). Même si j’étais toujours l’intello, toujours premier de ma classe ; les mecs les plus cools du lycée étaient devenus sympas avec moi. Je devenais populaire.

En ce qui concernait ma découverte du sexe, j’étais tout de même un peu perdu, fallait-il bien l’avouer. Étais-je gay ou juste une bombe d’hormones qui venait d’éclater ? À l’époque, je me voyais mal faire mon comingout (enfin un faux comingout, étant donné que j’apprenais seulement à me connaitre).
Et puis, si je pensais régulièrement poser des questions sur le sujet à mon frère, hétéro très actif (d’après les bruits qui courent), comment lui confier que j’avais déjà gouté une partie du fruit défendu avec un mec plus âgé ? Et aussi, comment lui dire que, mon initiateur faisait partie de la future belle famille de ma sœur ? Pfff, tout se chamboulait en moi !!!

Une certitude, c’était que j’avais aimé la queue de mon rebeu et le gout de son sperme. Et même si les poitrines opulentes des meufs de mon frère m’excitaient toujours autant, j’avais envie de renouveler l’expérience de sucer une queue, mais comment faire ? Publier un post sur Facebook ? Je n’en pouvais plus !!!!! Le sexe… je ne pensais plus qu’à ça. J’étais un devenu un fauve ou plutôt devrais-je dire que j’étais à l’affut des fauves.
Surtout que l’effet escompté de « mon nouveau Moi » ne se fit pas attendre : je sentais les regards lubriques, y compris de beaux mecs hétéros. Je réalise aujourd’hui que c’est à ce moment que j’ai commencé à prendre conscience de mon arme fatale : mon charme (désolé de paraitre prétenscieux).
Je ne pouvais pas m’empêcher de mater les bassins de tous les mecs virils que je croisais. Impossible de me contrôler ! Malgré cela, je ne réussissais pas à franchir le pas.

J’avais tout pour être bien dans ma peau ; pourtant un détail me gênait : c’était l’attitude de Julien, mon prof préféré, math/physique qui avaient fait une partie de ses études avec ma sœur. Son comportement avait changé à mon égard, et ce malgré ma moyenne de 19/20 dans les matières scientifiques. Qu’avais-je dit ou fait qui avait pu provoquer cette situation ? (Question que j’ai pu élucider plus tard et que je conterai dans un épisode prochain).

Plutôt que de m’isoler dans ma frustration, je m’étais mis à pratiquer deux fois plus de sport. En plus du judo, du volley et du foot, j’adonnais à la natation intensive.
Dès le premier jour, je pus croiser de beaux mâles en maillot de bain bien fourni. Étant le seul jeune à venir 3 fois par semaine, je finis par être reconnu par certains habitués.

Tout le monde était sympa avec moi, notamment un jeune couple de 25 ans que j’appréciais particulièrement. Élodie était enceinte et pratiquait de l’aquagym pendant que Quentin partageait son couloir avec moi. Élodie était pas mal, mais j’avoue que mes yeux étaient plus attirés par son mec sexy dont la belle bosse me rappelait bien évidemment celle de mon cuisto rebeu.

Après quelques mois de grossesse, Élodie préféra laisser Quentin s’entrainer seul (à mon grand bonheur). Un soir nous étions que deux dans le bassin ; après une bonne heure d’alternance 4 nages, je commençais à fatiguer. Je restais au petit bassin et optai pour la planche, les yeux fermés, histoire de me détendre.

Quand soudain je fus surpris par la présence de Quentin à mes côtés, qui cherchait à me faire boire la tasse. En cherchant à l’esquiver, j’agitai les bras en essayant de m’accrocher à ce que je pouvais. C’est ainsi que ma main accrocha son maillot de bain sans le vouloir. Je crois d’ailleurs que je n’aurais pas fait mieux si cela avait été fait exprès, car quand je dis « accrocher », devrais-je plutôt dire « saisir à pleine main », d’abord son slip puis étant donné qu’il persistait à vouloir me faire boire la tasse, ma main pressa sa queue. Je me rendis compte de ma gaffe et la lâcha aussi rapidement que je l’avais saisie ; mon geste l’avait estomaqué.
Étant donné ses 1,90 cm, je pouvais facilement discerner le volume que prenait son boxer, qui était juste au niveau de l’eau. Malgré le malaise de la situation, j’étais hypnotisé par son paquet et ne réussissais pas à en détacher le regard ; ce qu’il ne tarda pas à remarquer.
Il s’approcha de moi, calmement, tout en me fixant avec son air de chien galeux. J’avais du mal à avaler surtout quand il pressa sa queue. Je ne pouvais pas y croire. Ce dieu sur pattes voulait se donner à moi alors qu’il était maqué avec une meuf que tout hétéro aurait voulu serrer. Au moment où je m’apprêtai à toucher son boxer, il se recula et sortit rapidement de l’eau pour se diriger vers les douches.

Je restai bouche bé ! Je me demandais bien quelle mouche l’avait piqué : il pensait peut-être que se faire sucer par un jeune à la majorité sexuelle c’était tout de même risqué pour lui ou tout simplement avait-il réalisé qu’il était marié et bientôt papa.
Je fus tout de même vexé par son départ sans explication. J’attendis 10 bonnes minutes avant de prendre aussi le chemin des vestiaires. Je passai par mon casier pour prendre mon gel douche et mon shampoing.

Quand j’arrivai aux douches, il était là, dos à moi, en train de se shampouiner. Sans pudeur, il avait quitté son maillot et se donnait en spectacle. Et quel spectacle !!! À ce moment je ne sais plus si j’enviais Élodie de pouvoir caresser, sans modération, ce cul musclé et ces biceps gonflés ou si je l’enviais lui tout simplement d’être si beau.
Je me posais à la douche opposée en essayant de l’ignorer. Pour éviter de bander face à lui, je pris la même position que lui et commençai à me laver les cheveux. Le shampoing dans les yeux je frottais énergiquement. Je n’entendis plus l’eau couler derrière moi. Je me rinçais puis sans me retourner, je descendis mon maillot de bain et me retournai pour ramasser mon gel douche. Il se tenait face à moi, la bite à la main, appuyé au mur.

Ses 25 cm à la main, il s’approcha de moi d’un pas de félin. Il me regarda et me demanda si j’étais sûr de vouloir continuer. Comment dire non à un mec aussi beau ? J’aurais été inconscient. Mon hochement de tête eut l’effet d’un starting-bloc : il fit à nouveau un pas, prit ma main pour la poser sur sa queue et m’embrassa tendrement. C’était la deuxième fois qu’un mec m’embrassait, à la différence près que ce moment je l’avais rêvé plus d’une fois. J’étais sur un petit nuage. Je continuais à le masturber quand il quitta mes lèvres. J’ouvris les yeux et je compris qu’il attendait que je me concentre davantage sur sa queue. Avant qu’il me le demande, je me mis à genoux et entamai ma deuxième pipe.

Je crois que je n’ai, jusqu’à présent, jamais autant donné à un mec que ce jour-là. Vous allez penser, quel cœur d’artichaut ce keum ! Eh bien je ne sais pas si c’était d’avoir, si longtemps enfui en moi cette part sensible, mais ce mec, je l’ai aimé tout de suite.

Il fut surpris de ma performance et me demanda combien de mecs j’avais sucés avant lui. Quand je lui avouai que sa belle queue n’était que ma deuxième en bouche et que j’étais encore vierge, il me lança un regard enflammé, que dis-je affamé.
J’avais en effet prononcé les mots qui transformèrent mon beau prince en loup vorace. Quand il me retourna pour me pencher en avant, je me mis à paniquer ; je me sentais sous son emprise, y compris physique, car il était nettement plus baraqué que moi, à cette époque.

Il m’écarta les fesses et caressa mon petit trou tout en commentant ce qu’il n’avait pas vu depuis longtemps : un petit cul vierge. Contre toute attente, il se mit à genoux et m’écarta les lobes pour réfugié sa langue dans mon petit anus rose. Quelle sensation !!! Chaque parcelle de mon corps frissonnait sans que je réussisse à m’empêcher de gémir. Il avait beau m’ordonner d’être plus discret, je ne pouvais pas faire autrement.
Quand mon petit trou fut suffisamment dilaté, iI commença à m’enfiler un doigt et à le faire tourner puis je me rendis compte qu’on était passé à deux, puis trois. Je gémissais et me mordillais mes lèvres, car la douleur se faisait sentir. En voyant ma grimace, il se releva et me retourna vers lui.

        « Ça fait des semaines qu’Élodie ne veut plus rien faire, plus me toucher et tu joues l’allumeuse depuis trop longtemps avec moi, tu vas prendre cher »
Que pouvais-je répondre ? De toute façon il avait raison, j’en avais autant envie que lui. J’avais attendu qu’il se rapproche pour baisser son maillot et libérer la bête ».

Il appuya sur mes épaules pour me mettre à genoux et me donna une bifle pour me faire ouvrir la bouche. Impatient de fourrer sa matraque au fond de ma glotte ; j’étais au bord de la suffocation et de l’étouffement. J’avais beau vouloir ralentir le rythme, cet obsédé appuyait davantage sur ma tête.
        « Allez, mon petit Raph, montre-moi que tu suces mieux qu’Élodie »
Ces paroles m’encouragèrent à me surpasser ; il fallait que j’utilise les grands moyens pour l’amener à revenir souvent vers moi. Sa meuf avait encore deux ou trois mois de grossesse et qui sait, elle serait peut-être dégoutée du sexe après l’accouchement. Je redoublais donc d’efforts en serrant bien les lèvres et essayant d’aller le plus loin possible. Il n’en revenait pas que je puisse avaler sa queue en entier (moi non plus d’ailleurs). Depuis ma première expérience, j’avais vu des centaines de films pornos pour m’instruire et je m’étais entrainé en mangeant des bananes bien vertes (on fait avec les moyens du bord !)  J’avais vu que les mecs adoraient l’alternance entre « gorges profondes », léchage de gland, bouffage de boules (qui, dans le cas de Quentin, ressemblaient davantage à des balles de billard) et léchage de la queue, du pubis au gland. Il était ouf le Quentin !

        « Dis donc, tu es sûr que c’est ta deuxième pipe ?
        —  J’apprends vite ».
Je me remis à la tâche en aspirant un peu son gland ; quelle idée ai-je eue !!
Il se déchaina sur moi en me tenant à nouveau la tête et en ne prenant plus aucune précaution. Il me baisait la bouche en m’insultant et me donnant des petites claques. Ses coups de bites étaient de plus en plus profonds ; je voulais qu’il prenne son plaisir alors j’acceptais d’être pilonné comme une pute.

Au bout de 15 minutes, il sortit sa queue et se branla rapidement.
        « Ouvre la bouche, petite salope que je te donne mon jus »
Je le regardais d’un air inquiet, ce qui l’excitait et il entra à nouveau son chibre. Moins de deux secondes plus tard, son nectar envahissait ma bouche et coulait sur mes lèvres.
        « Eh petite pute, on ne fait pas de gaspillage surtout ! »
 Incroyable, comment pouvait-on jouir autant ; il prit dans ses mains le jus qui coulait sur mon visage et l’introduit dans ma bouche.
 Quand il voulut me relever, je préférais laver sa queue ; ce qui le fit gémir.

        « Désolé bébé, je ne pensais pas venir aussi vite, mais depuis le temps que je ne me suis pas vidé…
        —  Parce que tu peux tenir plus longtemps ? »
L’innocence de ma question le fit rire aux éclats.
        « Ah oui, on voit que tu n’as pas beaucoup d’expériences »
Sa phrase me vexa. Mais voyant ma réaction, il me prit dans ses bras. J’étais touché par sa gentillesse et sans pouvoir contrôler mes mots je lui annonçai mon amour.
       « Je suis flatté et moi aussi j’ai de l’affection pour toi, sans parler du fait que jamais personne ne m’a sucé comme tu l’as fait. Mais tu sais, je suis avec Élodie.
         —  Ça, je sais, merci ! Je ne t’ai rien demandé. C’est simplement une réaction au plaisir. » 
Bien évidemment je mentais, cela avait beau être ma deuxième fois, je me sentais amoureux.
         « La prochaine fois, je te promets un moment inoubliable. Je veux t’offrir ma virginité. »
Quand je repense à ces mots, qu’est-ce que je pouvais être culcul la praline !!!
Il ne répondit rien, mais se baissa pour me sucer à son tour. Il était très doué. Sauf s’il avait, comme moi, utilisé la technique de la banane, je me disais que ce n’était certainement pas sa première pipe.

Speedo

raphael.valle2002@gmail.com

TEXTE IMPLIQUANT DES MINEURS,
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IL FAUT ME LE SIGNALER :
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💦 Dernère mise à jour:
13 Novembre | 74 pages

Les nouvelles | 9 pages

Lopé sur l'autoroute NicoLope
Comment se taper son prof marié Ceven-X
Nouvelle expérience Lolo
Mon garagiste GL
Ton plaisir est le mien Greg
Mon journal intime Chopassif
Premier pas Rik71
Le vendeur et la cabine d’essayage Glenn
Embauche Glenn
Envoie ta première histoire !

Les séries : 65 pages

L’enterrement de vie de garçon | 2 | +1 JulesP
1 | 2
Vie étudiante | 5 | +1 Alexandre
1 | 2 | 34 | 5
Le vrai visage de mon fils | 5 | +1 Adreprofeco
1 | 2 | 3 | 4 | 5
Arthur et Maxime | 12 | +1 Sylvainerotic
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 FIN
En groupe à la piscine | 3 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3
Mon beau-frère | 18 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18
L’ensemenceur | 4 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 34
L’amant de ma femme | 8 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8
Bénévolat en Australie | 8 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 67 | 8

ET CE N'EST PAS TOUT !
Il y a 115 pages en + ici

RETOUR AUX HISTOIRES

21 ans d'histoire :
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IMPORTANT
Rêve ou réalité, ces histoires ne sont pas un art de vivre
N’oublie pas les dangers d'une relation sexuelle sans protection,
que tu sois sous Prep ou pas.
PROTEGE-TOI ET METS DES CAPOTES !

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IL FAUT ME LE SIGNALER :
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