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Chapitre 13
Salut à tous et merci pour les retours que j’ai eus, ça fait plaisir de voir que mes histoires vous plaisent.
Dans les premiers chapitres, je racontais que j’ai hébergé pendant 3 semaines Thomas, mon beau-frère. Il m’avait joui pendant quelques nuits dans la bouche jusqu’à ce que je le surprenne... et c’est là qu’avaient commencé des jours de baise de folie. J’étais sa pute et il me baisait matin, midi et soir avec sa grosse queue de 30 cm. Et depuis ceci, je ne pouvais plus me passer des 30 cm de mon beau-frère ! On a baisé ensemble à Noël...et même lors de leur mariage : c’est moi qui ai consommé le mariage avec Thomas, et non pas ma sœur. Six mois après, Thomas est venu passer la nuit chez moi car il avait un enterrement de vie de garçon d’un de ses potes sur Toulouse. On a passé une nuit ainsi qu’une matinée torride. Ces potes sont arrivés à l’improviste et un d’eux a remarqué que du sperme me coulait le long de la jambe. Ils ont alors eu envie de profiter de moi... ce qui n’a pas vraiment plu à Thomas qui m’a dit, après tous ses potes sont partis, qu’il avait été hyper jaloux. Sur ces mots, il m’a laissé en plan sans qu’on puisse parler de tout ceci.
Ça fait 6 mois que je n’ai plus de nouvelles de Thomas. Il n’a pas répondu à mes messages et à mes appels. Je ne pouvais pas non plus aller chez lui pour parler entre quatre yeux, car ma sœur aurait été là. Elle est enceinte, elle me l’a annoncé quelques jours après la visite de Thomas et elle a été très vite mise en arrêt maladie car la grossesse présentait des complications.
Et finalement, aujourd’hui, je me rends à l’hôpital pour aller voir ma sœur. Elle vient d’accoucher. Je suis allé chercher des fleurs et un gros nounours pour la naissance de leur fille. Quand j’entre dans la chambre de ma sœur, une de ses amies est là. Thomas aussi est dans la pièce. J’embrasse ma sœur en disant :
- Félicitations aux parents, m’écrié-je.
- Merci, Nico. Voici ta nièce, Caroline.
Elle me montre une petite avec une bouille toute mignonne. Voilà donc ma nièce. Je me rends alors compte que je ne peux pas mettre en danger leur couple. Ils ont maintenant un enfant qui fait partie de ma famille. Je ne sais pas ce qui se passe dans la tête de Thomas mais je dois arrêter de courir après lui. Je prends des nouvelles de ma sœur, je pose des questions sur ses derniers jours de grossesse, sur son accouchement.
Ensuite, elle se remet à parler avec sa copine. Puis elle allaite ma petite nièce. Elle est si mignonne. Je sors pour la laisser en paix. Thomas me suit. Je me prends un café au distributeur et je m’assois sur un banc. Thomas se pose à côté de moi. On ne parle pas pendant de longues minutes. C’est cependant lui qui finit par rompre le silence :
- Je suis désolé de ne pas avoir répondu à tes appels et à tes messages.
- C’est pas grave. Je me doute que tu as eu beaucoup de choses à faire avec la grosses et tout.
- Non, c’est pas ça...
-
Il ne termine pas sa phrase et je n’essaie pas de savoir ce qu’il veut dire. Après deux minutes, il reprend :
- Viens, je vais te montrer.
Je le suis. Il ouvre une porte et on se retrouve dans un placard à balais. Il referme la porte sur lui et il enclenche le verrou. Sans me laisser le temps de réagir, il prend ma tête délicatement dans ses mains et il approche ses lèvres des miennes. Elles se touchent et il m’embrasse tendrement. Je réponds à son baiser qui commence à se faire plus torride. On se roule de grosses pelles et ses mains se mettent à me caresser mon corps. Très vite, mes vêtements volent et Thomas se déshabille aussi. Il bande déjà.
Thomas a 31 ans. Il est de carrure est normale. Il ne porte pas de barbe. Il n’est ni beau ni moche. Il a un corps poilu, avec un petit ventre. Son pubis et ses couilles sont très velues. Il a une bite et des couilles très foncées. Sa queue fait 30 cm. Elle est énorme, si large que je n’arrive pas à referme la main dessus.
Je suis à chaque fois fasciné par ce morceau ! Thomas me colle contre lui et il m’embrasse en tenant ma tête entre ses mains. Je sens son gros anaconda collé entre nous deux. Il m’embrasse ensuite dans le cou. Ses mains parcourent mon corps. Je suis chaud... et je prends sa queue dans mes mains. Je finis par me mettre à genoux devant sa bite... devant ce monstre que j’adule. Je le saisis et je l’enfonce dans ma bouche. J’en prends la moitié et je suce doucement. Je dois avouer que cette queue m’a manqué. J’ai eu quelques plans entre temps mais personne ne peut rivaliser avec mon beau-frère.
Thomas se met à me caresser les cheveux. Je joue avec ma langue sur son gland avant de le reprendre en bouche. Ma mâchoire est ouverte en grand. Je la retire et je m’occupe de ses boules, grosses comme des mangues. Je les lèche, je les lape. Elles sont simplement magnifiques ! Puis, je reprends sa queue en bouche. J’en enfonce les trois quarts dans ma gueule et je la suce frénétiquement.
Quand je reprends mon souffle, il secoue sa teub et me bifle avec. Je le regarde droit dans les yeux, dociles. Putain ! Ma place est vraiment là, à servir son python ! Je ne peux me résoudre à arrêter de m’occuper de sa queue !
Je finis par avaler complètement sa bite qui passe du fond de mon larynx à ma gorge. Je l’y sens glisser, descendre pour aller titiller mon œsophage. Mon nez se retrouve dans les poils de son pubis. Et il commence alors à donner des coups de reins. Sa bite coulisse le long de ma gorge. J’ai la mâchoire, la bouche et l’œsophage ouverts à fond par cet anaconda. 30 cm de chair enfoncés au travers de ma bouche. Je sens ma gorge gonflée. Elle se soulève sous le passage de ce monstre. Thomas pose sa main sur mon cou et il sent son engin monter et descendre.
Après 10 minutes, il me fait me relever et il me retourne. Il m’entoure d’un de ses bras pour me coller contre moi. Il m’embrasse dans le cou pendant que sa main restée libre me farfouille l’anus qui est toujours aussi béant. Je ne peux pas me passer de son gros morceau et à défaut de sa queue, je me suis godé avec mon gode de 32 cm.
Il n’a pas besoin de bien me lubrifier... je mouille à fond. Il dirige alors son gland contre mon anus et il s’enfonce dans mon trou lentement. Quel bonheur. Je me sens écartelé et rempli par son morceau dont je ne peux plus me passer. Il enfonce lentement en moi sa queue en entier jusqu'à ce que je sente ses poils de pubis collés contre mes fesses.
Il m’attire contre lui, il m’enlace dans ses bras, il m’embrasse dans le cou tout en donnant des coups de rein lents. Je suis comblé. J’adore sa bite !
Après quelques minutes, il se met à me baiser plus sauvagement, ce qui me plaque contre le mur. Il me défonce et j’encaisse bien. J’essaie de retenir mes gémissements, mais ce n’est pas facile avec ce gros morceau. Il imprime un rythme rapide et soutenu. Parfois, il ressort totalement et il s'enfonce à nouveau avec force. Ses grosses couilles se balancent en-dessous de sa bite et elles me fouettent le cul et les cuisses.
Son monstre de chair entre et coulisse dans mon cul, il me baise en donnant de grands coups de butoir. Chaque coup de rein brutal et violent me donne envie de gueuler de plaisir... mais j’essaie de me retenir. J’adore quand il donne de grands coups de reins qui enfoncent sa queue entièrement en moi et je sens alors ses grosses couilles poilues contre mes cuisses. Des fois, il fait sortir entièrement sa queue pour la faire re-rentrer. Puis, il se met à me pilonner à fond. Sa queue me fouille les entrailles à fond. J’ai l’impression de la sentir au milieu de mon corps, jusque sous mes poumons. Elle me déchire, elle me défonce. Je sens son gros gland s'enfoncer en moi à chaque coup de reins. Il saisit ma queue et il me branle au rythme de ses pénétrations. Je jouis très vite de longs jets qui éclaboussent les murs tandis qu’il m’embrasse dans le cou.
Au moment de jouir, il me prend par les cheveux, il m’attire vers lui et m’embrasse sauvagement. Il ressort sa langue de ma gorge et il me murmure à l’oreille :
- Nico... je t’aime tellement !
Je suis tellement surpris que je ne réponds pas. Il reprend :
- J’ai été tellement jaloux en voyant mes potes te baiser. Je trouvais ça insupportable... et j’ai dû me rendre à l’évidence que je suis amoureux de toi.
Et dans un ultime coup de rein, il s’enfonce en moi et il éjacule. Une très grosse dose de sperme m’envahit. J’ai l’impression qu’il ne peut plus s’arrêter de juter. Je sens son sperme chaud bouillonner en moi. Il me donne encore 3 ou 4 coups de queue puis il ressort. Je sens déjà son jus qui coule le long de ma cuisse.
Il reste en moi tout en m’embrassant et me caressant. Sa queue ramollit. Moi, je dégouline de sperme et j’ai le cul explosé. Il remonte son pantalon, je fais de même. On ressort, épuisés, en nage. On se pose devant un ventilateur et on ne dit rien. Thomas finit par me dire :
- Je le pensais vraiment, ce que je t’ai dit.
- Thomas, moi aussi j’éprouve des sentiments très forts pour toi.
- C’est vrai ?
- Oui !
- Tu peux pas savoir comme ça me ravit ! Je t’aime tellement.
Il me prend dans ses bras et il m’enlace longuement. Quand il me relâche, je murmure :
- Et ma sœur alors dans tout ça... ?
A suivre...
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Meetmemz
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