Premier épisode | Épisode précédent
Chapitre-4
Nous sommes samedi matin.
Raymond, très alcoolisé, a dormi dans mon lit pensant que c’était le sien.
J’ai dû dormir dans le sien.
9h, Je me réveille.
C’est le calme plat dans notre résidence. Y aura-t-il un jour d’autres personnes en plus que Raymond et moi ?
Je sort nu du lit de Raymond. J’enfile mon caleçon et quitte sa chambre pour aller vers la mienne. Raymond a dormi porte grande ouverte. J’entre sans prévenir (après tout c’est ma chambre). Raymond dort encore. Il est allongé nu sur le dos dans toute sa puissance. Une main derrière sa nuque, l’autre bras le long de son corps robuste. Son aisselle ainsi exposée est garnie d’une épaisse touffe de poils. Ces pectoraux velus et puissants se soulèvent au rythme de sa respirations. Ses abdos sont légèrement contractés dans cette position mais ne révèlent pas un « 6 packs ». Ses cuisses sont épaisses comme celles des rugbymans. Entre ses cuisses, malgré une toison pubienne bien fournie et crépue, repause l’énorme sexe de Raymond. Sa peau brun sombre tranche avec mes draps blancs.
Je m’approche du lit. Raymond ronfle légèrement. Il dort comme un bébé. A hauteur du lit, je remarque directement que Raymond est en semi érection ! Sa queue, d’une teinte encore plus sombre, est déposée sur sa cuisse droite. Son gland (il est circoncis) est brun-rose.
A : Raymond ! Raymond ! Réveille-toi !
Il continue de dormir. Qu’est ce que je peux faire ?
Je m’assieds sur mon lit, à coté de ses jambes. Je regarde le visage de Raymond puis redescends vers son sexe. Quelle chance il a d’avoir une si grosse queue !
Et là, je ne sais pas ce qui me prends, d’une main délicate, je saisis son pénis. Envieux de ne pas être aussi bien « équipé » que lui.
En mi -érection, j’ai du mal à faire le tour de sa bite tellement elle est épaisse.
Raymond ne se réveille pas. Je soulève légèrement son sexe pour la laisser retomber sur la cuisse. Je la reprends en main. Ces manipulations font un peu grandir la queue de Raymond mais elle n’est pour autant pas en plein érection. Je fais quelques vas et viens avec ma main. De mon autre main, je saisis ses grosses couilles et les tâte.
Mon petit jeu dure environ 1 minute quand soudain…
R : Qu’est ce que tu fais petit Alex ?
Je n’avais pas entendu que Raymond avait arrêté de ronfler et s’était réveillé ! Je le regarde, honteux. Je retire vite mes mains de son entre jambe.
A : Désolé Raymond, excuse moi… Je n’arrivais pas à te réveiller, je dois travailler …
R : Et tu voulais me réveiller tout en douceur AHAHAHAHA !
Encore une fois, Raymond me déstabilise par sa réaction. Comme si toucher le sexe de son colocataire était normal, comme si nous étions amis depuis des années, comme si…
R : Mais qu’est ce que je fou à poil au fait ? C’est ta chambre en plus !
A : Hier tu étais vraiment très saoul. Tu as foncé sur mon lit en pensant que c’était le tien… Je t’ai aidé à te déshabiller… Je ne savais pas que tu n’avais pas mis de slip… désolé
R : T’inquiète Alex, on est entre mec.
Raymond se met alors sur ses coudes pour se relever.
R : Merci de t’être occupé de moi, je perds facilement le contrôle quand j’ai bu.
A : De rien c’est normal… et excuse moi pour ma façon de te réveiller
R : t’inquiète, t’inquiète… et puis tu as les mains tellement douces qu’on dirait que l’anaconda a aimé ça AHAHAHA !
Raymond porte sa main à sa bite puis à son gland qui n’ont pas perdu de leurs dimensions.
R : Regarde !
Du bout du doigt, il retire une perle de mouille qui sortait de son gland. Il joue avec entre son pouce et l’index devant mes yeux. Raymond est fière, il sourit.
Je suis sidéré comme hypnotisé.
Soudain, la sonnette de notre étage retentit. Je sursaute à moitié.
A : C’est qui ? Tu attends quelqu’un ?
R : Non personne.
A : Je vais voir.
R : Attends !
Raymond, dans un mouvement des plus naturel, s’essuie les doigts plein de mouille sur mon caleçon.
R : Allé va voir maintenant ! Moi je suis encore trop crevé.
Je vais à la porte d’entrée de notre étage en caleçon.
Un livreur m’y attend.
L : Raymond XXXX ?
A : C’est mon coloc’
L : J’ai un colis pour lui, vous pouvez lui remettre ?
A : Oui bien sur, il dort encore mentis-je.
Je signe et récupère le colis pas plus grand qu’une boite à chaussure.
Entre temps, Raymond est quand même retourné dans sa chambre. Il a enfilé son short de sport. Raymond est debout et fait quelques étirements d’épaule. Sous chaque mouvement, son paquet remue allégrement. J’entre dans sa chambre.
R : C’était qui ?
A : Un colis pour toi…
R : Super ! Ca doit être ce que tu sais dit-il avec un clin d’œil
Raymond me prend des mains le colis et l’ouvre en le déchirant. Il sort alors un petit pot de la taille d’un cendrier. Une lettre manuscrite accompagne le pot. Je n’ose pas comprendre qu’il s’agit de la fameuse gelée « magique » destinée à faire grandir mon petit zizi.
Raymond ouvre le pot délicatement et renifle le contenu.
R : Ca sent bon mmmmh
Raymond me tend le pot pour que je puisse aussi sentir l’odeur. L’odeur n’est pas désagréable. C’est proche de la rose, léger… quelque chose d’assez féminin en fin de compte.
Raymond referme le pot et déplie la lettre. Je m’assieds sur le bord de son lit. Raymond reste debout et commence la lecture du bout de papier.
R : « Bonjour Raymond. Je suis content que tu fasses appel à mes services et la médecine traditionnelle du pays. Il est bien connu que certains babtous ont de très petit sexe. Tu es généreux de porter aide à ton colocataire et nouvel ami. Tu seras un bon grand frère pour lui »
Raymond s’arrêta de lire pour planter son regard dans le mien. Je commençais à rougir et regarda mes pieds. Raymond reprit la lecture.
R : « Les photos que tu m’as envoyé de lui m’ont été d’un grand enseignement ahaha. J’ai pu ainsi préparer une gelée dosée parfaitement pour lui. Je sais que ce n’est pas la 1ère fois que tu utilises cette gelée. Pas pour toi évidemment ! Tout le monde ici au pays connait la légende de Raymond ! Cependant, je me permets de te rappeler les règles à respecter pour que la gelée soit d’une plus grand efficacité »
Raymond s’approcha de moi. J’avais une nouvelle fois mon visage à 1 mètre de son paquet.
R : « Il faudra fonctionner en plusieurs étapes mais commençons par la 1ère. Ton babtou devra s’appliquer de la gelée sur l’ensemble des couilles une fois par jour. Il devra aussi s’en appliquer sur le pénis et le gland. J’ai pu voir qu’il était peu poilu, ce qui est très bien. Les babtous ont la réputation de n’en faire qu’à leur tête. Vérifie régulièrement qu’il s’applique bien la gelée ! Il est également important qu’il ne se masturbe jamais pendant toute la période d’application de la gelée ! Sinon, ça ne sert à rien ! Il est aussi important qu’il pratique des sports qui le virilisent. Je te laisse le choix de sport à pratiquer avec lui. C’est toi le spécialiste »
A : Quoi !? je ne peux plus me masturber !? Mais c’est pas juste ! Je n’ai rien demandé moi initialement !
Raymond fit mine de ne pas m’entendre et finit sa lecture.
R : « Si au bout d’une semaine, son zizi n’a pas grand et grossit. Il faudra passer à l’étape 2. Salutation ami Raymond. PS : Je me permets de garder les photos de ton Babtou pour former mes élèves à la médecine traditionnelle. »
A : Quoi ?! En plus il va montrer les photos de mon cul à d’autres personne ?! Et c’est quoi les autres étapes ?
R : Tais toi un peu Alex… tout ça c’est pour ton bien. Il ne te fait même pas payer !
Je me tu et ne pu savoir ce que contenait les autres étapes.
Raymond me tendit le pot.
A : Quoi ?
R : Vas-y, montre moi comment tu fais
A : Ici ? Devant toi ? Maintenant ?
R : Tu as entendu mon ami, je dois vérifier si tu le fais bien
J’étais honteux de la situation mais me mit debout pour laisser tomber mon caleçon. Une nouvelle fois j’’étais nu devant Raymond. Je me rassis sur son lit, pris le pot, l’ouvrit et pris une noisette de gelée. J’écarte mes jambes et décalotta mon gland. J’appliqua la gelée dessus et massant un peu. Au contact de la peau la gelée se transforma en un liquide huileux qui coula le long de mon pénis. Je leva la tête vers Raymond.
R : Vas-y continue
Je repris une noisette de gelée et l’étala sur ma queue rabougrie. 3ème noisette, je l’étale doucement sur mes bourses. Enfin fini me dis je ! Je me relève face à Raymond.
R : eh là Alex ! tu n’as pas oublié un endroit ?
A : Non où ça ? dis-je un peu fâché
R : La base de tes couilles … derrière, dit il avec un grand sourire viril
A : ah euh… aussi ?
R : Oui ! Allé, met toi allongé sur le dos les jambes en l’air, je vais le faire moi-même ! Tu commences déjà à tricher !
J’étais tétanisé. Ca allait être Raymond qui allait me mettre la gelée magique à la base de mes couilles, presque à mon cul !
Raymond me lança un regard d’acier. J’obéi.
Une fois sur le dos, les jambes en l’air donc, Raymond prit son oreiller et me le mit en dessous des fesses pour me surélever. Dans cette position, je ne voyais plus que le haut du visage de Raymond. Rien d’autre.
R : Voilà c’est mieux. Tiens tes couilles maintenant.
Je pris mes couilles et les remonta pour laisser champ libre à Raymond. Sans prévenir il appliqua avec son doigt la gelée.
R : Reste comme ça c’est bien…
Pendant quelques secondes, il massa la base de mes couilles. Mais petit à petit, il descendit vers la partie de peau entre mes bourses et mon trou. Son doigt massait de plus en plus vers mon trou. Il reprit une noisette de gelée. Trop grosse apparemment car quand elle devint huileuse au contact de ma peau, le liquide coula sur mon trou.
A : Raymond tu en mets trop là, ça coule vers…
R : Je vois ça petit Alex, je vais régler le problème…
Raymond alors mis son doigt sur mon trou pour le remonter mes couilles et ainsi récupérer la gelée.
R : Il ne faut pas gaspiller ahahaha
Il remit ça une 2ème fois mais au moment où il déposa son doigt sur mon trou, celui-ci entra d’une phalange dans mon trou !
A : Raymond ! Qu’est ce que tu fais ?! Arrête !
R : Oh putain mais qu’est ce que se passe ? Ton trou est tout détendu tout d’un coup ! C’est dingue ! J’ai à peine appuyé et paf c’est entrer.
A : Je ne vois pas ce que tu fais mais arrête !
La sensation était étrange. Je sentais le début de son index dans mon trou mais je n’avais pas mal.
R : C’est surement l’huile qui a fait déraper mon doigt à l’intérieur
Raymond retira doucement sa phalange de mon trou.
R : On ne va pas en mettre plus aujourd’hui Alex. C’est terminé…
Je me remis debout en un bond. Raymond me pris une nouvelle fois dans ses bras pour me rassurer.
R : Comment tu te sens ?
A : Bien bien… j’ai juste l’impression que la gelée chauffe un peu là où elle a été appliquée.
R : Ta bite, tes couilles ?
A : oui…
R : et ton trou ?
A : Oui… dis je gêné.
R : c’est pas grave…
Je pris mon caleçon qui trainait à terre mais me rendit compte que je ne pouvais pas le remettre car tout mon entre jambe et mon trou étaient poisseux de gelée huileuse.
R : reste un peu tout nu Alex, le temps que ça sèche.
Raymond me tendit le pot.
R : Tu en remettras demain à la même heure. Cette fois je te fais confiance.
A : merci Raymond.
R : Et surtout ne te masturbe pas pendant 1 semaines !
A : Pffff....
Je retourna à ma chambre, nu comme un vers, parfumé de cette légère odeur de rose. Le reste de la journée se déroula normalement. La sensation de chaleur disparu début de soirée. Je croisa les doigts pour l’effet agrandissant de la gelée fonctionna vite.
Alexandre
recitspourcyrillo@gmail.com
