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Chapitre 17
Dans les premiers chapitres, je racontais que j’ai hébergé pendant 3 semaines Thomas, mon beau-frère. Il m’avait joui pendant quelques nuits dans la bouche jusqu’à ce que je le surprenne... et c’est là qu’avaient commencé des jours de baise de folie. J’étais sa pute et il me baisait matin, midi et soir avec sa grosse queue de 30 cm. Et depuis ceci, je ne pouvais plus me passer des 30 cm de mon beau-frère ! On a baisé ensemble à Noël...et même lors de leur mariage : c’est moi qui ai consommé le mariage avec Thomas, et non pas ma sœur. Six mois après, Thomas est venu passer la nuit chez moi car il avait un enterrement de vie de garçon d’un de ses potes sur Toulouse. On a passé une nuit ainsi qu’une matinée torride. Ces potes sont arrivés à l’improviste et un d’eux a remarqué que du sperme me coulait le long de la jambe. Ils ont alors eu envie de profiter de moi... ce qui n’a pas vraiment plu à Thomas qui m’a dit, après tous ses potes sont partis, qu’il avait été hyper jaloux. Sur ces mots, il m’a laissé en plan sans qu’on puisse parler de tout ceci. Six mois plus tard, à la naissance de sa fille et de ma nièce, il m’a entrainé dans un coin de la clinique où il m’a baisé avant de m’avouer son amour. Je lui ai dit que je l’aimais aussi. Il a trouvé alors une solution pour mentir à sa femme et pour passer une semaine chez moi qui a été particulièrement intense. Puis, il lui a dit que je traversais une mauvaise passe et elle m’a ordonné de venir chez eux pendant quelques temps. Thomas venait me rendre visite la nuit. Mais un soir, alors qu’il me baisait, sa femme, et donc ma sœur, est entrée dans la chambre et elle nous a pris en flag alors que j’avais la queue de Thomas plongée dans mon cul... Après des jours à réfléchir, elle nous a surpris en proposant ceci : « Vous pouvez continuer de vous voir et de baiser ensemble. Thomas pourrait passer une semaine chez toi, Nico. Nico, tu pourrais venir un week-end ici. Je ne suis pas jalouse. Je veux votre bonheur. Moi, de mon côté, je vais aussi rencontrer d’autres mecs. »
Thomas et moi avons donc planifié de passer une semaine chez moi. Ma sœur a donné son accord et je sais qu’elle va en profiter aussi pour voir son nouvel amant. Quand Thomas arrive, il est impressionné par ce que j’ai préparé : un dîner aux chandelles. Après, il a le droit à un bain et un petit massage. On est nu dans l’appart et on profite de notre intimité. On savoure aussi cette nouvelle liberté, car nous n’avons plus rien à cacher. On se caresse et on s’embrasse sans arrêt. Ma sœur sait tout, elle nous a donné sa bénédiction. Thomas et moi vivons notre amour. Certes, je dois partager Thomas avec elle, mais ce n’est pas un problème. La pression de ce terrible secret a disparu et c’est un magnifique sentiment.
Après le massage, il se relève et il me dit :
- Viens, tu as le droit de venir chercher ta récompense !
Il s’assoit sur la table de massage que j’ai acheté exprès pour lui et moi, je m’agenouille directement devant lui. J’enlève la serviette qui est posée sur son entre-jambe et je mate l’anaconda qu’il a entre les cuisses :
Thomas a un corps normal, avec un petit ventre qui pointe le bout de son nez et un corps bien poilu. Son ventre est à moitié recouvert de poils, son pubis et ses couilles sont très velues. Sa queue est posée au milieu de ses cuisses. Elle lui fait comme une troisième jambe. Elle fait bien la moitié de la longueur de son avant-bras. Sa bite et ses couilles sont en plus très foncées.
Je m’avance vers sa bite que je caresse. Elle est vraiment énorme, même au repos !
Cette queue est géante, je la saisis, elle est lourde, je la fais retomber sur son poignet ... Oui, elle fait bien la longueur de son avant-bras. Je me sens hypnotisé par cet anaconda que je vénère. Il se met à prendre du volume sous mes caresses. Je tète un peu le gland et quand je me redresse, sa queue bande à fond : elle est presque aussi longue que sa cuisse ! Plus de 30 cm ! Son gland est rose aussi gros qu’un abricot. Il surmonte cet anaconda qui lui sert de bite. Elle est épaisse, toute brune, veinée. Il a de grosses boules velues qui sont très foncées... et énormes ! Aussi grosses que des mangues !
Je remonte et je passe ma langue le long de sa queue, puis je prends son énorme gland dans ma bouche que je ferme autour de son gland et je me mets à le sucer. Thomas pousse un gémissement. Encouragé, j’enfonce sa queue un peu plus loin dans ma bouche. Je continue et son gland finit par toucher ma gorge... et j’ai seulement la moitié de sa teub dans ma bouche ! Mais très vite, j’arrive à prendre ses 30 cm en entier dans mon gosier... je ressemble à un crapaud tellement la queue prend de la place dans ma gorge. Thomas soupire et gémit.
Je la ressors et je m’approche de ses couilles que je lèche. Ma langue va-et-vient sur les couilles tandis que ma main branle son monstre. Puis, ma langue remonte le long de son pubis poilu, puis de son ventre que je malaxe avec mes mains. Ensuite, elle arrive sur le torse. Je m’occupe de ses tétons avant de passer à ses aisselles transpirantes que je hume et que je lèche. Thomas en profite pour me mettre 3 doigts dans mon cul tendu. Ils s’y enfoncent sans problème... Le traitement de sa bite a rendu mon trou plutôt ouvert. Il utilise sa bave et il entre la moitié de sa main en moi pendant que je m’occupe de ses aisselles et de ses tétons.
Quand il se redresse, je vais chercher ses lèvres et on s’embrasse tendrement... avant de se rouler des pelles bien baveuses. Nous devenons plus sauvages, plus bestiaux. On a envie du corps l’un de l’autre. Je replonge vers sa queue que je suce avec envie, rapidement, en faisant des gorges profondes.
La suce dure une vingtaine de minutes. Ensuite, il me fait me redresser et il me colle contre lui. Ses mains malaxent mes fesses. Sa queue est coincée entre nous. Elle dépasse son nombril, elle arrive sous son sternum. Puis, il me lèche le torse, il descend vers mon ventre et il gobe ma queue qu’il suce. Pendant ce temps, ses mains me massent toujours les fesses. Il me fait me retourner très vite et il se met à me bouffer le cul. Je gémis fort. Je suis aux anges. Je sens sa langue tournoyer dans mon anus et ça m’excite vraiment beaucoup. Il prend ensuite un peu de gel et il enfonce sa main entièrement jusqu’au poignet dans mon anus.
Ensuite, il s’assoit sur le lit et il m’attire vers lui. Je monte sur lui et, petit à petit, je m’enfonce sur son énorme pieu qui s'enfonce en moi. Quand je me retrouve assis sur sa bite, mes boules dans ses poils de pubis, je me détends et je savoure cette énorme bête plantée dans mes entrailles. Puis, je commence à monter et descendre sur la bite de mon amant... de mon amoureux. Mon cul rebondit sur ses énormes couilles pleines. Je prends appui sur son torse. Je monte et bien 20 cm de la bite sortent de moi. Je mate la scène dans le miroir de mon armoire, j’admire ce mât bien dur qui m’ouvre l’anus en grand. Ça fait bizarre, mon petit cul paraît ridiculement petit comparé à cette énorme queue plantée dans mon trou, tel un tronc d’arbre ! Puis, je redescends jusqu’à me retrouver sur ses couilles, grosses comme des mangues, comme si elles appartenaient à mon petit fessier. Et je monte et descends en rythme, me faisant plaisir sur cette monstrueuse bite.
Puis, il se met à prendre les commandes. Il me tient le cul en l’air et il donne des coups de reins. Je suis comme un pantin désarticulé empalé sur son monstre ! Il me pilonne avec une force incroyable. Je gueule de plaisir. Je sens son anaconda sonder mes entrailles, y rentrer et sortir rapidement. Ses grosses boules me fouettent le bas du dos. Je suis aux anges. Je ne veux plus jamais d’autres bites, aucune autre ne pourrait d’ailleurs me satisfaire. Je suis désormais taillé pour le gros calibre de 30 cm de ce monstre.
Après quelques minutes, je me mets à quatre pattes sur le lit et Thomas, debout, se pose derrière moi. Il présente son énorme gland à l'entrée de son cul. Il n’a pas besoin de pousser bien fort, sa bite entre toute seule. Il me pénètre d’un coup jusqu’à la garde. Je gémis sous le passage de son gland dans mes entrailles. Je le sens traverser mon cul, mon intestin et mon ventre. J’adore cette sensation ! Quand ses couilles claquent contre mes fesses, je gueule de plaisir. Il se met à me limer le cul à une cadence régulière et ample. Très vite, il se met à me défoncer avec bestialité. Son anaconda sort entièrement de mon cul pour re-rentrer au plus profond de mon ventre et en fouiller l'intérieur.
Par la suite, Thomas me fait mettre sur le ventre... sans sortir de mon cul ! Je fais un tour de 180 degrés sur moi, sa queue plantée dans mon bide ! Il me baise, il entre et sort de mon trou tel un piston coulissant et je pose ma main sur mon ventre. Je sens son monstre aller et venir en moi. A un moment, il me saisit derrière les épaules et il me soulève. Il est debout, moi, toujours empalé sur son anaconda. Il passe ses mains sous mes fesses et moi, je passe mes jambes autour de ses hanches. Il me roule une pelle pendant qu’il me baise, toujours en me portant. Quel amant hors pair ! Je crie fort mon amour pour lui ! Je suis au septième ciel !
Il me repose après 2 minutes, et il reprend sa défonce, moi sur le dos... Je sens bien ses grosses couilles taper contre mon cul. Il accélère le rythme et il entame des va-et-vient de plus en plus violents, tel un marteau piqueur... Sa teub me maltraite la prostate et au bout de quelques minutes, je jouis 3 grosses giclées sur mon ventre sans même m’être touché ! Il continue de me pilonner tout en me tenant fermement. Je me laisse faire et je savoure énorme queue en moi, j’observe son corps poilu, j’entends les flocs de son bassin contre mes fesses. J’ai certes déjà joui mais j’adore le sentir se faire plaisir en moi, j’adore sentir son anaconda me fouiller les entrailles.
- Je ne vais pas tenir longtemps !
- Oh, Thomas, vas-y, fais-moi des bébés.
Ses coups de reins redoublent de vigueur et soudain, sa queue est prise de soubresauts. Il donne un énorme coup de bite en poussant un cri guttural... et je sens ses jets de de sperme gicler dans mon ventre. Je compte 8 giclées puissantes et hyper abondantes ! Thomas se penche sur moi, il m’embrasse, je sens sa queue dégonfler dans mon anus. Il la fait sortir après quelques secondes. Mon trou béant laisse échapper une partie de son sperme. Puis, il y renfonce son anaconda, à moitié bandé. Je me sens cassé, dévasté.
Soudain, je ressens une vague de chaleur m’envahir : je comprends très vite que Thomas est en train de pisser en moi. La sensation est incroyable. Mon ventre se remplit de la chaleur de son liquide. C’est tout nouveau pour moi, mais je sens que ma bite frémit sous cette action. Sa pisse qui se mélange à son sperme. J’ai l’impression qu’il urine des litres. Mais tout reste en moi, comme si mon corps absorbait tout. Quand il a fini, il m’embrasse tendrement et il me caresse.
Je m’accroche à Thomas. Sa bite est toujours dans mon anus ! J’ai envie qu'il reste en moi, c'est comme s'il faisait partie de moi ! Thomas me saisit et on se retrouve sur le lit, en cuillère, sa queue toujours plongée dans mes entrailles. Un peu de pisse mélangée à sa semence coule hors de mon trou sur les draps. Mais ce n’est pas grave. Ça a été une soirée exceptionnelle avec l’homme que j’aime... l’homme à la bite de cheval ! Il me prend dans ses prends et on s’endort, son monstre toujours planté dans mon cul !
A suivre...
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Meetmemz
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