Bénévolat en Australie

Chapitre 1

Salut à tous,

Je m’appelle Benjamin, j’ai 23 ans. Je suis étudiant en littérature moderne et je viens de terminer mes études. J’ai décidé il y a 2 mois de prendre une année sabbatique pour aller vivre en Australie. Sur Internet, je suis tombé sur une annonce : une ferme en Australie cherche des jeunes prêts à faire du bénévolat contre le gîte et le couvert.

Moi, je ne suis pas très grand, je suis gracile, blond avec une paire de fesses qui attire le regard tant elles sont bombées. Pour être honnête, je me cherche encore sexuellement. Je suis hétéro, je n’ai pas de copines, j’ai quelques plans d’un soir... même si je rame un peu tant ma bite est petite. Je sais que mes atouts sont mes fesses, je me suis assez souvent fait draguer par des mecs qui voulaient profiter de mon cul pour se soulager... mais je ne suis jamais passé à l’acte. Je dois quand même avouer que je regarde souvent le paquet volumineux des hommes, sans être un jour passé à l’acte.

J’ai pris contact avec la ferme en Australie et j’ai tout de suite sympathisé avec le propriétaire, John. Il a l’air d’être gentil et il m’a fait tout de suite un effet chaleureux... ce qui a fini par me faire prendre la décision d’accepter. Je lui ai communiqué mon heure d’arrivée et il m’a écrit qu’il viendrait me chercher.

Je prends donc l’avion vers l’Australie. Et comme prévu, John m’attend à l’aéroport pour ma ramener à la ferme. Je suis agréablement surpris par le mec qui m’attend à l’aéroport. Je pensais trouver un mec bourru, en bleu de travail... et pas ce que j’ai devant les yeux : John a 45 ans, il est grand, brun, avec une barbe de 3 jours, il est taillé comme un athlète. Il porte un short court et un marcel blanc qui laisse entrevoir une peau bronzée ... et les poils d’une toison très sombre dépasse de son t-shirt. Mais ce qui me laisse bouche bée est plutôt son paquet. Il laisse deviner un bulbe monstrueux !

John me tend une main calleuse, que je serre. Il me casse presque le poignet. Il se présente, il me demande si j’ai fait bon voyage et il m’entraine vers le parking.

Je m’assois dans sa jeep et il démarre. Il me dit qu’on a 1h30 de route. John me pose quelques questions auxquelles je réponds. Je fais aussi la conversation... mais très vite, je ne trouve plus quoi dire. Un malaise s’installe. Mais moi, je n’arrive pas à détacher mon regard de l’énorme paquet de John. Quand il s’est assis dans la voiture, son short est remonté ... et son short sert encore plus le gros morceau qui est posé contre sa cuisse. Je peux deviner une queue très large et longue de 15/16 cm ... et ça, au repos ! Parfois, John se remet le paquet en place... et je constate alors qu’il ne porte pas de sous-vêtement ! Sa bite est posée le long de sa cuisse puissante et poilues ... et je devine parfois le gland quand il se touche sa bosse.

Au bout d’un moment, John finit par remarquer que je mate son paquet. Et je sens alors son regard sur moi qui me scanne de la tête aux pieds. Puis, son attention se tourne de nouveau vers la route, il ne prononce pas un seul mot. Quelques minutes plus tard, je me détache et je me penche à l’arrière pour récupérer une bouteille d’eau dans mon sac à dos qui est sur la banquette arrière. Je sens alors son regard sur mon cul qu’il découvre. Comme à chaque fois qu’on me mate, je sens son regard posé sur moi. John apprécie mes fesses rondes et bombées qui le laissent sans voix ! Quand j’arrive enfin à attraper ma bouteille, je me rassois et je mets à boire... mais je m’étrangle presque quand je vois l’effet que j’ai fait à John ! Sa bite s’est mise à gonfler jusqu’à sortir d’un bon tiers du pan de son short ! La bite est monstrueuse avec un gland énorme et belliqueux ... John s’empresse de se réajuster !

Je suis sans voix... John n’arrive pas à cacher le morceau qu’il a entre les jambes. Je suis gêné et je remets ma bouteille dans mon sac, toujours en montrant bien mon cul. Je sens le regard du mec sur moi. Quand je me rassois, je constate que sa queue est de nouveau hors de son short. Il me regarde avec un regard de braise. Comme dans un rêve, je vois ma main s’approcher lentement de son gourdin et toucher le gland bien gros et bien dur. Je regarde la réaction de John qui me regarde avec envie. Mon pouce se met à caresser son gland.

John arrête alors le voiture. Je me rends compte qu’on est sur un chemin paumé, derrière de grands arbres. Personne à l’horizon. Il me regarde alors. Je ne sais pas comment réagir. Je veux retirer ma main de sa queue ... mais il plaque sa main sur la mienne. Je continue alors de masser son gland.

- Ma queue te plait ?

- Je sais pas...

- Elle te fait envie...

- Je suis hétéro... vous savez.

- Et pourquoi tu as attrapé ma bite.

- Je ne sais pas...

- Tu es un hétéro curieux ?

- Oui, peut-être.

- Tu peux la soupeser si tu veux.

Je me mets alors à soupeser son monstre. Il est dur et hyper lourd.

- Vous avez une magnifique queue. Elle fait combien ?

- 25 cm !

- J’ai jamais vu de bite comme ça !

- Et la tienne ?

- 10 cm.

- Tu es en fait une petite salope ?

- Non. Je suis vierge du cul.

- Avec un cul comme le tien... c’est dommage d’en avoir fait profiter personne.

Je ne sais pas alors ce qui me prend... et je dis :

- Vous voulez l’essayer ?

- Oui.

- Il va falloir faire doucement...

- T’inquiète, j’ai l’habitude.

Je ne sais pas du tout ce qui m’arrive... Je commence à branler sa bite.

- Elle est vraiment énorme.... Elle est magnifique !

- Merci !

Il s’approche de moi... et il me roule une pelle. Puis, sa main derrière ma nuque, il me fait descendre vers sa queue. Elle sent le mâle. Je me retrouve penché sur sa bite. Doucement, je prends son gland en bouche. Puis, j’y enfonce son anaconda qui atteint vite le fond de ma gorge. Je le ressors, je le branle et je replonge dessus. J’en prends la moitié et je fais des va-et-vient dessus. J’essaie de l’enfoncer encore plus loin. Mais pas facile...

Je me redresse et je branle sa bite. Ma main n’arrive pas à en faire le tour ! Il sort de la voiture et il ouvre la porte du passager arrière. Il s’assoit, les jambes posées sur le sol poussiéreux de la nature. Je me mets alors entre ses cuisses et je m’applique à le sucer. Il pose sa main sur ma tête et il me force à enfoncer sa bite toujours plus loin. Parfois, je lèche ses couilles et sa grosse tige avant de reprendre ma suce. Il se met complètement à poil et je peux l’admirer dans toute sa splendeur :

John a un corps musclé avec des pectoraux gonflés, un ventre plat et des bras bien rond et parcourus de veines saillantes. Son corps est recouvert de poils noirs, drus et épais. Ses poils de pubis sont fournis et longs. Ses jambes musclées sont aussi très poilues. Sa queue ressemble à une massue. Elle est épaisse et longue, elle fait 25 cm. Elle est un peu recourbée vers la gauche. Elle est marron et il a un gros gland rose recouvert d’un long prépuce, Il a de grosses couilles telles de gros kiwis, bien velus.

Je reprends ma suce. C’est incroyable comment son énorme morceau m’ouvre la bouche à fond. Je m’applique vraiment à la prendre entièrement mais je n’arrive qu’à en prendre les trois quarts. Je ne sens plus mes lèvres. J’ai la mâchoire complètement explosée. Il finit par dire :

- T’inquiète, tu finiras bien par t’y habituer. Viens, j’ai envie de ton petit cul de puceau...

Il me lève, il se met lui aussi debout et je le vois nu, dans toute sa splendeur. Sa bite est comme une troisième jambe. Elle est presque aussi longue que sa cuisse. Il pose ma main sur ses tétons que je triture. Il fait passer ses mains autour de ma taille puis il me masse les fesses. Puis, il me plaque contre la voiture.

Il prend du gel qui se trouve dans la boite à gants. Il en tartine ses doigts et mon trou et il se met à me doigter. Pendant un bon moment, il prépare le terrain. Il enfonce un doigt, puis deux, ensuite trois. Et il arrive à en mettre 4. Je n’ai pas mal. Il me doigte bien pendant 20 à 30 minutes. Il enfonce ensuite son gland dans mon trou sans capote. Je ne dis rien, je le laisse faire. Il fait de petits mouvements de reins, enfonçant petit à petit son énorme queue que je sens bien déformer et écarter mon trou.

Une fois la moitié en moi, il commence à donner de petits coups plus énergiques et rapides. Il ne s’enfonce pas plus, il me baise avec la moitié de sa queue. C’est au bout de 10 minutes qu’il commence à aller plus loin. Ça ne me pose pas de problème. Il est vraiment doué avec ses 25 cm qui ouvrent mes entrailles en grand. Parfois, il ressort et je sens comme un vide ou un manque dans mon trou... manque qu’il comble immédiatement en me pénétrant de nouveau. Il me caresse mon cul qu’il semble adorer. Je le remue un peu et je sens mes fesses vaciller de gauche à droite.

Puis, il ressort et il me fait poser sur la banquette, le cul dans le vide. Il s’enfonce en moi, il n’utilise pas ses mains. Je suis tellement bien ouvert. Il reprend sa baise. Ses coups sont toujours plus puissants, et toujours plus profonds. Je sens maintenant ses boules qui se balancent sous lui et qui me frôlent. Et finalement, je me retrouve avec sa bite entièrement en moi. Il se met alors à me baiser à fond. Il va hyper vite, il est sauvage et sexy. J’admire son corps velu et musclé qui est placé devant mes yeux. Ses couilles me frappent le cul tel un fouet. Je sens un plaisir inconnu monter en moi. Plus ses coups sont profonds et rapides, plus je sens le plaisir me subjuguer... et alors ma bite explose. De gros jets de sperme éclaboussent mon corps et la banquette, alors que je ne me suis même pas branlé. Tel un pantin désarticulé, je me détends sur le siège tandis que John continue de me défoncer.

Quelques minutes plus tard, son souffle s’accélère et il sort sa bite de mon trou. Un jet puissant qui m’atterrit sur la tête gicle de sa bite. Sans réfléchir, pris d’une envie soudaine de me faire marquer par cet « inconnu », je saisis sa queue et je l’enfonce dans mon trou béant alors qu’un deuxième jet éclabousse mon périnée. Il s’enfonce en moi et il continue de gicler. Je sens bien 5 ou 6 jets me fouetter les entrailles. Putain, quelle sensation ! Quel magnifique dépucelage !

John continue de me baiser pendant 2 minutes. Puis, il ressort, sa bite encore assez dure. Elle est recouverte de sperme. Il me la donne à lécher et je me délecte de ce nectar sucré et âpre. Je sens son jus dégouliner de mon trou.

On se rhabille et on monte en voiture. Personne ne parle pendant le trajet. Je trouve la situation très bizarre. Que va dire sa famille si elle apprenait que John m’a baisé. Est-ce qu’il va me mettre à la porte maintenant ? Je suis un peu angoissé.

Finalement, je remarque qu’on arrive à la ferme. Il arrête le moteur, on descend et il me fait immédiatement visiter la ferme... ce qui me rassure un peu ! John me fait découvrir le lieu, le corps de ferme, les bâtiments d’élevages et pour finir toute l’équipe qui s’est réunie devant la maison pour m’accueillir. Elle est composée de 6 hommes, tous musclés, la peau bronzée par le soleil, avec une virilité à fleur de peau ! Mon regard tombe sur leurs entre-jambes... et elles ont toutes l’air bien gonflées ! John fait les présentations :

Il y a d’abord Draven, le contremaitre. Il est grand, il a la cinquantaine, il porte une salopette sans rien en dessous, ce qui laisse entrevoir une musculature impressionnante.

Ensuite, c’est Steve, le fils de John. Il est grand lui aussi, mince et musclé sec. Il a 25 ans. Il porte un t-shirt noir moulant et un short bleu.

Les 4 autres mecs sont dans la même situation que moi : ils font un année de bénévolat. Il y a 2 polonais : le premier, Jeremy, est blond, grand, assez musclé. Il a 30 ans. Le deuxième, Igor, est plus baraqué mais aussi musclé. Il est brun avec une moustache et plus petit que son pote. Il a 20 ans.

Il y a aussi un grand black, Sam, originaire des Etats-Unis, il a 40 ans. Il a une peau café au lait. Il porte une chemisette rouge trop petite qui serre ses bras et son torse hyper musclé.

Le dernier est un rebeu originaire d’Italie de 40 ans. Il s’appelle Icham. Il est hyper sexy. Il a le crâne rasé, un visage d’ange et il semble aussi bien monté. Il a de gros biceps et de gros pecs.

Je ressens immédiatement un malaise devant ses hommes qui puent le sexe, qui ont une suffisance, une assurance de bonhomme, sûrs d’eux et de ce qu’ils ont entre les jambes.

Devant mon malaise évident, John dit :

- Je vais te montrer ta chambre. Tu peux te reposer si tu veux, tu dois être fatigué après un tel voyage, dit-il en me faisant un clin d’œil.

- Oh oui, merci. C’est gentil. C’est une très bonne idée

Trop content de cette échappatoire, je tourne les talons et je suis John, tel un petit garçon. J’entends alors un sifflement discret d’un des hommes. Je comprends que j’expose mon boule à ces 6 mâles. Je sens leur regard posé sur moi. Je jette un coup d’œil derrière moi... et je suis surpris de constater qu’ils me matent ... en se touchant le paquet, sans s’en rendre compte !

- John me montre ma chambre, il m’explique où sont les draps, les serviettes.

- Pour le reste, on verra plus tard. Repose-toi bien !

Je me pose alors sur le lit tandis que John ferme la porte. La fenêtre est ouverte, il fait chaud. Je sens la torpeur m’envahir. Je vois encore l’image de ces hommes virils et transpirants... je me mets de nouveau à bander. Soudain, j’entends clairement John, qui est maintenant dans la cour, sous mes fenêtre, en train de dire au mec :

- I think, we found our cumdump (je crois que nous avons trouvé notre vide-couilles).

Je ne suis même pas choqué ! Je sens mon anus se contracter et relâcher encore quelques restes de sperme que j’ai encore en moi. Ma queue se met immédiatement à gonfler... et à devenir très dure ! Ça promet...

Merci à Thierry pour ses idées.

A suivre...

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