Note
Voici une histoire qui m’est arrivée lors de ma 1ère année d’étude supérieure il y a de ça une dizaine d’années.
Chapitre-1
Dans une ville universitaire bien connue du nord de la France, j’avais loué une chambre d’étudiant dans une résidence appartenant à cette même université. J’avais 18 ans.
Le bâtiment en lui-même était vétuste. Il avait dû être construit fin des années 1970. Il était composé de 5 étages dont le dernier était déjà condamné à l’époque pour insalubrité. Économiquement c’était parfait mais ça ne faisait pas rêver.
Je m’étais installé dans une chambre du 4 ème étage. Un long couloir desservant 12 chambres. 6 à gauche, 6 à droite. 4 Chambres étaient également condamnées. Un avis avait été collé sur les portes. Au milieu du couloir, se trouvaient 4 toilettes à partager. Ma chambre se trouvait au début du couloir (la « 2 »). Les chambres n’étaient pas grandes mais elles avaient toutes un coin douche. La cuisine était en commun. Le bâtiment ne possédait pas d’ascenseur.
Le jour de mon emménagement, fin de l’été, il faisait encore très chaud. La ventilation du bâtiment n’était pas très efficace, même en short de sport et t shirt je dégoulinais de sueur pour déballer mes cartons. Le bâtiment était très calme et je n’avais croisé personne depuis le matin.
Je laissais la porte de ma chambre ouverte pour créer un courant d’air. J’installais mon imprimante, assis sur ma chaise de bureau, quand soudain j’entends des pas dans le couloir. Je me retourne vers la porte et vois passer, les bras chargés de caisses de déménagement, un grand black également en short de sport et débardeur noir. Il devait faire 1m90, pas musclé « bodybuilding » mais « costaud musclé ». Lui aussi avait chaud, son front était moite. Depuis l’encadrement de la porte, il me remarque également et me lance un grand sourire chaleureux.
- Salut ! dit-il
Il pose ses cartons à terre, fait quelques pas à l’intérieur de ma chambre et me tend la main.
- Bonjour ! Je m’appelle Alexandre lui dis-je.
- Moi c’est Raymond !
Nous nous serrons la main. Il a de la poigne.
Toujours assis sur ma chaise, lui face à moi, je pouvais mieux le détailler. Raymond portait une barbe de quelques jours et des cheveux courts crépus. Il était carré d’épaules. De lui, émanait une force tranquille.
- R (Raymond) : Quelle chaleur !
- A (Moi Alexandre) : Tu l’as dit ! Je pense qu’on va souffrir pour encore quelques jours.
- R : Tu viens d’arriver ?
- A : Oui ce matin. Tu as quelle chambre toi ?
- R : la 12, la dernière à droite.
- A : Tu as besoin d’aide pour monter des trucs ?
- R : Je n’ai pas grand-chose en réalité mais je veux bien de l’aide pour monter mes poids
- A : Tes poids ?
- R : Oui mes altères dit-il en rigolant
Nous descendons tout les deux au rdc. Raymond est devant moi dans les escaliers. Il est encore plein d’énergie et saute les marches 3 par 3. L’élastique de son short à l’air un peu vieillot et dans le mouvement 1 cm de fesse apparaît. Pas de trace d’élastique de slip. N’en porte-il pas ? Raymond remonte négligemment son short. Je ne me pose pas plus de question.
Nous remontons donc dans sa chambre la caisse de ses altères. Heureusement que nous sommes à 2 car c’est très lourd. Nous suons. Nous arrivons dans la chambre et déposons les altères à terre.
- A : C’est super lourd tes trucs là !
- R : C’est pour te faire du muscle mec ! dit-il en rigolant.
Raymond me saisit le biceps droit pour le serrer avec sa grande main. Face à sa musculature je fais pâle figure. L’ambiance est amicale et nous rigolons tout les deux.
- A : Tu fais quoi comme étude ?
- R : Kiné sportive et toi ?
- A : C’est pour ça que t’es un vrai camion ! dis je en lui donnant un léger coup de point sur le pectoral pour rigoler.
Évidemment, avec sa masse musculaire, Raymond ne bouge pas d’un poil.
- R : Si tu veux je peux te donner quelques conseils pour prendre un peu de muscle mec
- A : On verra, je préfère me concentrer sur mes cours dans un 1er temps. Mais c’est gentil de proposer.
- R : Comme tu veux !
- A : Je te laisse t’installer tranquillement, à plus tard Raymond.
- R : A plus tard
Je quitte sa chambre et retourne dans la mienne. Nous ne nous sommes pas recroisés de la journée.
La nuit fut très chaude et j’avais dormi nu.
Au matin, en sortant de mon lit. Je me regarde dans le miroir. Mes 1m70 pour 60kg ne paient pas de mine. Je n’ai pas d’abdo et très peu de poils. Je suis loin d’être un exemple de virilité. Mon sexe n’a rien d’extraordinaire non.
- A : Je devrais peut-être faire du sport en fait… me dis-je à moi-même.
Je décide de me doucher avant d’aller faire quelques courses. J’entre dans la cabine de douche, tire le rideau, j’ouvre le robinet et là… rien ! Pas une goute d’eau ne sort sur moi.
- A : Putain ! ça commence bien ! me dis-je
Je ressort de la douche. Que dois je faire ?
Je me résous à aller voir Raymond si il a le même problème.
Je noue une serviette autour de ma taille et sort de ma chambre.
Face à la chambre de Raymond, je frappe à la porte.
A : Raymond ! T’es là ? T’es réveillé ?
J’entends Raymond qui remue à l’intérieur. Malheureusement j’ai dû le réveiller.
Raymond ouvre sa porte, les yeux encore mi fermés. Je ne vois que son visage.
- A : Désolé de te réveiller Raymond mais j’ai un problème. Je n’ai pas d’eau à ma douche. Tu peux regarder si tu en as toi ?
- R : Oui bien sur mec, entre….
Là Raymond ouvre grand sa porte et je le découvre en slip !
Raymond a un physique incroyable. Proche de celui d’un haltérophile mais moins « lourd ». Ses bras sont musclés. Il a de larges épaules, des pecs imposants avec de belles boucles de poils, de larges tétons bruns, un ventre légèrement poilu qui dessinent un chemin vers son slip. Slip un peu ringard avec le logo de superman dessus. Son gros paquet déforme le « S » du logo de Superman. Ses cuisses sont épaisses et puissantes. Elles aussi avec un peu de poils bouclés.
L’espace de quelques secondes je suis soufflé par ce grand gaillard.
Nous nous approchons de la douche. Moi toujours avec ma serviette autour de la taille, lui en slip. Raymond tourne le robinet. Quelques secondes plus tard, de l’eau arrive. La douche de Raymond fonctionne parfaitement.
- A : Putain ! Pourquoi ça ne fonctionne pas chez moi !?
- R : c’est pas grave mec, tu peux prendre ta douche ici, tu sais. Tu peux même passer en 1er si tu veux.
- A : merci c’est gentil !
- R : Pendant ce temps je vais me faire un café à la cuisine.
Là, Raymond sort de sa chambre direction la cuisine commune. Il ne pense même pas à mettre un short au dessus de son slip.
- A : C’est pas un grand pudique lui, me dis-je
J’entre dans la douche, retire la serviette de ma taille, la lance sur son lit et tire le rideau. L’eau n’est pas chaude, limite glacée même par cette chaleur. Je ne reste pas longtemps. Je me savonne, me rince et basta. Je ne veux pas abuser de la gentillesse de Raymond.
Je sors de la douche et attrape du bout des doigts ma serviette. Je suis totalement nu au milieu de la chambre de Raymond. Je remarque une photo de famille sur son étagère : 1 dame et 3 enfants d’environ 4-6-8 ans.
J’entame de me sécher les cheveux. Et là, alors que j’ai la serviette sur ma tête, Raymond ouvre la porte et entre dans la pièce.
- R : Il n’y a vraiment que nous à cet étage. Je n’ai croisé personne ! Incroyable !
Moi je suis tétanisé. Je suis face à lui, nu. Je me dépêche de cacher mon sexe avec la serviette.
Raymond se rend compte de ma gène. Il rigole aux éclats sa tasse café à la main.
- R : AHAHA mais ne t’inquiète pas petit Alex ! On est entre mecs ! Il n’y a pas de gène à avoir !
Moi, j’essaie de faire bonne figure mais je sens bien que je rougis.
- A : J’ai été surpris c’est tout… Me forçant à rigoler.
Là, Raymond s’approche de moi et me tire contre lui. Je suis littéralement plaqué contre son corps. Ma tête est au niveau de ses pectoraux. Son paquet se presse au dessus de mon nombril tellement il est grand.
- R : T’inquiète mec ! Pour moi tu es comme un petit frère.
Raymond me relâche.
- R : Entre frères il y a pas de problème.
Je suis étourdi par cette abondance de sympathie virile. Je regarde mes pieds.
- R : Bon à mon tour de prendre ma douche. L’eau est chaude ?
- A : Pas tellement en fait… c’est limite glacé…
- R : J’ai cru voir ça dit-il en souriant
- A : Ah ?
- R : Ton petit serpent n’était en grande forme AHAHAHA !
Je suis hyper honteux. J’avais toujours su que je n’étais pas hyper bien membré mais jamais personne ne me l’avait dit face.
- A : Je… Je… J’en ai pas une si petite que ça ! dis je blessé dans mon orgueil, cependant j’étais peu crédible.
- R : Tu veux voir la mienne ? De toute façon, tant que ta douche ne sera pas réparée tu vas devoir venir prendre ta douche ici.
- A : ah eu oui si tu veux, faisant semblant de ne pas être curieux.
- R : D’abord remontre moi le tienne alors, dit-il en me fixant dans les yeux.
Face à son charisme de « grand frère », j’ai obtempéré. J’ai ouvert ma serviette et l’ai laissée tomber au sol. Je me révélais totalement nu devant Raymond, cette bête imposante et dominante par nature. Raymond regarda mon sexe. Ma queue était toute rabougrie dans +- 4cm et mes couilles étaient très remontées à cause de l’eau glacée.
Raymond fit un pas vers moi. Il était à 1 mètre de moi. Il regarda mon sexe sans jamais le toucher.
- R : Si tu veux je peux te donner un gèle traditionnel de mon pays. Ça fait grandir les petits serpents en gros anaconda ! Il rigole fier de sa blague.
Moi j’étais une main dans mes cheveux et l’autre sur ma hanche. Ne sachant pas quoi répondre.
- A : Oui peut être mais….
Je n’ai pas eu le temps de répondre que Raymond enchaîna sur sa lancée.
- R : Moi j’en ai jamais eu besoin !
Raymond écarta alors l’élastique de son slip Superman et laissa entre voir son sexe. Son pénis avait l’air grand mais il était difficile de dire à quel point car son pubis était fort poilu. Je me suis approché encore un peu plus de lui pour mieux voir.
- R : Attends, là tu vois rien. Tu vas voir l’anaconda.
Raymond descendit son slip jusqu’au genoux. C’est vraiment à ce moment là que je pus voir les réelles dimensions de son sexe.
Raymond avait un sexe énorme ! Aussi bien long que large. Même au repos sa queue reposait lourdement sur ses couilles elles aussi énormes telles 2 kiwi légèrement velu. Il était circoncis, son gland étant légèrement plus rosé que sa queue d’un brun sombre.
- A : Mais c’est énorme !
- R : AHAHA je te l’avais dit ! Pas besoin de pommade magique moi.
Raymond fit balancer sa queue de droite à gauche. Je regardais la mienne. J’étais ridicule.
- A : C’est combien de cm comme ça ?
- R : 18 cm au repos Alex ! dis Raymond très fier de lui.
- A : Tu déconnes !
- R : Je te jure !
Nous sommes restés comme cela, dans le silence, à admirer sa queue quelques secondes.
- R : Tu veux la toucher ?
- A : Quoi ? Mais non ! C’est pas…
- R : Allé vas-y, n’ai pas peur AHAHA L’anaconda ne va pas te manger !
Hypnotisé, ma main se leva et empoigna délicatement le sexe de Raymond. Sa queue était encore plus épaisse en la tenant.
- A : C’est dingue…
- R : Prends la tienne et mets là à côté de la mienne pour comparer.
Je pris mon propre pénis et l'ai mis dans la longueur de celle de Raymond. Nos peaux de pénis se touchaient presque. En comparaison mon sexe était lilliputien.
- R : Là ça fait longtemps que je ne me suis plus raccourcis les poils du pubis, sinon elle parait encore plus grande ! Il passa ses doigts dans sa toison fournie.
- A : Moi je n’ai pas beaucoup de poils…
- R : Et c’est une bonne travailleuse, dit-il en montrant sa photo de famille.
C’est là que le franc est tombé dans ma tête.
- A : C’est ta copine et tes enfants !?
- R : Oui, Ils sont restés au pays.
- A : je pensais que c’était tes frère et sœurs ! Mais tu as quel âge alors ?
- R : 26 ans !
- A : tu les as eu tôt !
- R : Au pays c’est normal
Mécaniquement ma main se dirigea vers ses grosses couilles pour les soupeser. Ma main était presque trop petite à elle seule pour les tenir en même temps.
- A : Tu as tellement de la chance
- R : Je vais demander à un ami de revenir du pays en Belgique de prendre la gelée magique. Ça pourrait t’aider.
- A : Merci mais ne t’inquiète pas trop…
- R : Si si j’insiste ! Comment tu vas donner du plaisir aux filles avec ça ?
Soudain, la montre de Raymond bipa.
- R : Putain ! j’avais oublié mon rdv avec l’assistante administrative de l’Unif’. Désolé mec je dois filer
- A : Pas de problème je comprends Raymond.
Je lâcha ses couilles qui étaient toujours dans ma main. Raymond entra dans la douche à toute vitesse et tira le rideau.
- R : A plus tard, petit Alex ! Je te tiens au courant pour la gelée !
- A : Merci Raymond c’est sympa !
Je remis ma serviette autour de ma taille et retourna dans ma chambre m’habiller.
Je ne croisa pas Raymond du reste de la journée.
Pendant que je faisais mes 1ères courses dans le centre ville, je fis le résumé de cette matinée avec Raymond :
1. Raymond était d’un naturel sympathique et près à rendre service. Sa force tranquille faisait partie de son charme.
2. Raymond n’avait eu qu’à me demander de montrer mon sexe 1 fois pour que j’obtempère.
3. Il m’avait montrer son gros sexe et m’avait dit de le toucher et je l’avais fait.
4. Lui n’avait jamais voulu toucher mon pénis.
Alexandre
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