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HISTOIRE

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Premier épisode | Épisode précédent

Mon beau-frère

Chapitre 4

Salut à tous et merci pour les retours que j’ai eus, ça fait plaisir de voir que mes histoires vous plaisent.

Noël arrive... pour les vacances, je rentre dans ma famille. J’arrive le week-end avant les fêtes pour aider mes parents. Ils sont contents de me revoir. Ils espèrent passer une bonne fête...

Moi, par contre, j’ai une boule au ventre. C’est la première fois que je vais revoir mon beau-frère, le fiancé de ma sœur, après que je l’ai hébergé pendant 3 semaines. Je repense souvent à nos séances de baise... Rappelez-vous, il m’avait joui pendant quelques nuits dans la bouche jusqu’à je le surprenne... et c’est là qu’avait commencé des jours de baise de folie. J’étais sa pute et il me baisait matin, midi et soir avec sa grosse queue de 30 cm. Depuis, plus de nouvelle... seul un SMS reçu, il y a peu m’annonçant sa venue pour Noël ... ce qui m’avait mis dans un état second, bandant immédiatement rien qu’à l’idée de reprendre sa queue en main... mais depuis, je suis aussi inquiet par peur que les fêtes dérapent.

Le vendredi, début des vacances pour les étudiants, je rentre chez mes parents à Tours. Ils sont contents de me voir, moi pareil. Je regrette seulement d’avoir du temps de libre et de ne pas pouvoir en profiter pour retrouver mes amants toulousains... mais ce n’est pas grave.

Le dimanche, ma mère m’annonce :

- Tiens, Thomas m’a dit qu’il remontera plus tôt que ta sœur. Il est en déplacement professionnel dans la région et au lieu de redescendre, il va venir et Sarah (ma sœur) remontera en train.

Je sens alors ma queue frétiller à cette nouvelle...

Le lendemain, je me réveille et je jette un coup d’œil au réveil... 10h30. Je remarque que j’ai bien besoin de récupérer en ce moment. Tout d’un coup, je sens quelque chose de bizarre sur mon visage. Je m’y passe la main et je me rends compte que j’ai plein de sperme au coin de la bouche, dans le cou... sur les lèvres ... et je sens que ma bouche a aussi goût de sperme. Une pensée me vient alors à l’esprit: Thomas est là ! C’est son œuvre (voir chapitre 1). Ma bite se dresse sur le champ. J’allume mon ordi, je démarre la vidéo qu’il a prise de notre dernière baise, je me branle et j’éjacule en moins d’une minute. Après une bonne douche, je descends et ma mère m’accueille :

- Alors, mon petit Nico. Tu dois être bien fatigué. Thomas n’a même pas réussi à te réveiller tout à l’heure. Tu dormais comme un loir.

Je vois alors Thomas apparaitre dans l’embrasure de la porte, en me faisant un clin d’œil. On passe très vite à table. Je jette souvent des coups d’œil à Thomas et à son paquet qui ne semble pas bien gros par rapport à ce qu’il cache. Mais pourtant, en y regardant plus longuement, son jean laisse entrevoir sa trompe... on pourrait penser que ce sont les plis du pantalon... mais non. C’est son chibre épais qui apparait bien net ! Mon regard est attiré par cette bosse. Et je crois alors distinguer ses grosses couilles. Oui son bulge laisse deviner sa queue très épaisse et ses grosses couilles. Je salive devant ce spectacle.

Toute l’après-midi, Thomas a des visio-conférences. Le soir au dîner, il dit à mes parents qu’il a été ravi de passer 3 semaines chez moi :

- On s’est bien entendu. Nico s’est montré être un hôte de premier choix. Je me suis senti comme un roi chez lui. Il m’a fait tester des choses dont je ne soupçonnais pas l’existence...

Et il fait quelques allusions au temps passé ensemble... sans que mes parents comprennent qu’il s’est servi de moi comme de sa pute. Je suis gêné, mais mes parents ne captent rien. Une fois le repas terminé, j’aide à débarrasser, à faire la vaisselle. Tandis que ma mère se dirige vers la salle de bain pour se laver et que mon père s’installe devant le JT de 20h, je sors les poubelles. Dehors, il fait bien sombre. Je mets les ordures dans le bac... J’entends alors :

- Nico, je n’ai pas menti sur le fait que je me suis senti comme un roi chez toi. Mon engin se souvient très bien de toi et de ton trou.

- Chut, tais-toi ! Pas si fort ! Tu veux te faire prendre ?

- N’aie pas peur et approche plutôt !

Je vois que Thomas est en train de fumer. Puis il s’approche de moi. Discrètement, il prend ma main et il la pose sur son paquet :

- Elle t’a pas manqué ? Moi, en tout cas, il m’a bien manqué, dit-il en me frôlant le cul. Ta sœur n’a jamais pu supporter comme toi ma queue. Et c’est pas faute d’avoir essayé !

- Pourquoi tu n’as pas répondu à mes messages alors ??

- Oh, je vois que je t’ai manqué aussi !

Il me prend alors le poignet et il m’entraine vers l’abri de jardin. Mon père laisse tout le temps la clé dessus. Thomas ouvre la porte et il me pousse à l’intérieur. Il laisse la porte entrouverte pour que la lumière de la terrasse nous éclaire un peu.

- Allez, montre-moi comme elle t’a manqué.

Il ouvre alors son pantalon et son anaconda s’en dégage. Je suis comme hypnotisé... puis je me ressaisis :

- Non, j’ai pas envie que mes parents nous prennent en flag ! Imagine le drame !

- Tu sais que ta mère se douche pendant une heure et que ton père va s’endormir dans quelques minutes devant la télé.

- Oui mais...

Il me pose alors son index sur la bouche, me demandant de me taire... et il me roule une grosse pelle. J’essaie de résister... mais je laisse vite tomber mes défenses et je réponds à ses baisers endiablés. Mais très vite, il m’appuie sur les épaules, je n’oppose aucune résistance et je me retrouve devant son anaconda. Quel morceau ! Sa queue est tellement énorme, épaisse et veineuse. Elle pend entre ses jambes comme s’il en avait une troisième. Elle doit bien faire la moitié de la longueur de son avant-bras. Se bite et ses couilles sont très foncées. C’est vraiment la plus grosse bite que j'ai jamais vue, même au repos. J’enfonce son gland dans ma bouche. Le gland me remplit la bouche. Je le lui tête comme un chaton. Je bande immédiatement. C’est tellement bon d’avoir dans ma bouche ce morceau exceptionnel qui grossit de plus en plus. Ma bouche se retrouve remplie par ce monstre. Ma mâchoire craque. Et très vite, ses 30 cm sont déployés sous mes yeux.

- Ah oui suce-moi. C’est trop bon.

Il met alors un coup de rein et sa teub glisse dans ma bouche. J’ai un tiers du morceau dans ma bouche. J’ai l’impression qu’il ne va pas en passer plus. J’ai bien perdu la main. Je ressors la queue de ma bouche et je l’observe. Quel beau morceau ! Son gland rose est aussi gros qu’un abricot. Il se trouve au sommet de cet anaconda qui lui sert de bite. Elle est épaisse, toute brune, veinée. Elle surmonte ses grosses boules velues qui sont elles aussi très foncées... et énormes ! Aussi grosse que des mangues !

Je le remets en bouche et je l’enfonce plus loin. Je fais des allers-et-retour sui sa queue. Je déguste déjà bien. De la bave coule de ma bouche. Mais je réussis à avaler les deux tiers de son morceau. Ma mâchoire me fait souffrir, elle est ouverte en grand. Je recommence et je vais encore un peu plus loin. D’un coup, il me prend par la nuque et il enfonce son monstre à fond. J’ai le souffle coupé, de la bave me sort par les narines. J’essaie de me dégager mais sa main m’en empêche. Je commence petit à petit à me faire à sa teub. Puis il relâche la pression et je me dégage. Après avoir repris mon souffle, je me renfonce sur sa teub et là, surprise, j’arrive à la prendre en entière. Elle glisse dans ma bouche, puis dans ma gorge et arrive enfin à titiller mon œsophage. Mon nez atterrit dans ses poils de pubis. Ils sentent le mâle.

- Ah oui, c’est trop bon ! Tu es vraiment le meilleur !

Je recommence à le sucer et il pousse de longs gémissements. Puis il me relève, me fait assoir sur un vielle transat de jardin. Comprenant le message, je me mets en position couchée et il se place au-dessus de moi. J’ai une belle vue sur ses grosses couilles. Ses énormes boules velues sont poilues et très foncées. Elles me font envie.

Je penche ma tête en arrière, il s’accroupit et pose son gland sur ma langue. Puis il le fait lentement coulisser, repoussant ma glotte pour s’enfoncer toujours plus loin pour descendre dans ma bouche puis dans ma gorge. Je sens ma gorge se faire pénétrer, sa queue descendant centimètre par centimètre, et une fois le gland passé, ma gorge se referme sur son chibre. Il s’enfonce tellement loin au fond de mon gosier. Je sens sa queue rentrer dans mon œsophage jusqu’à ce que ses couilles poilues s’écrasent sur mon front. Puis il ressort, je reprends une profonde inspiration. Voyant ses 30 cm flotter au-dessus de moi, je les prends en main et je les branle. Puis ma langue s’occupe de ses couilles, les léchant seulement. Vu la taille, impossible de les gober !

Puis il reprend sa descente dans mon gosier. Il s’arrête à la moitié et il commence à me baiser la bouche, allant toujours plus profondément jusqu’à ce que ses grosses couilles s’étalent sur mon front et mon nez. J’arrive à combattre le réflex vomitif à merveille. Je sens sa queue presser ma gorge, mon cou. Il met alors sa main sur ma gorge et fait de lents allers-retours.

- C’est trop bon de voir et de sentir ma grosse queue t’ouvrir la gorge. Tu ressembles à crapaud tellement elle t’ouvre bien. Un rien s’épare ma main de ma queue !

Il donne alors des coups de queue de haut en bas. Je sens ma gorge se gonfler, prête à exploser. Je pose moi-même ma main dessus et je sens sa queue coulisser dans ma gorge et son gros gland donner des coups et soulever et gonfler le bas de mon cou. Quelle sensation incroyable. Il ressort précipitamment de ma bouche et je vois sa queue se secouer de haut en bas...et un jet de sperme m’arriver en plein dans la figure.

- Putain, je jouis déjà !

Disant cela, il me renfonce immédiatement ses 30 cm dans le gosier qui n’oppose plus aucune résistance. Sa queue est secouée de spasmes. Il n’arrête pas d’éjaculer. Des litres de sperme sortent de sa bite.

- Oui, vas-y ! Régale-toi ! Prends tout !

Ses mains toujours autour de ma tête, il donne un coup de rein dans ma bouche... ce qui fait gicler du jus hors de ma bouche, qui coule le long de mon visage. Puis il donne encore un coup plus sec et son foutre déborde de ma bouche et va s’écraser par terre. Un autre coup fait voltiger le jus partout autour de nous. Sa queue n’arrête pas de juter. Et il donne toujours des coups de queue, faisant déborder le jus de ma bouche qui coule maintenant en rasade le long de mon visage et dans mes cheveux. Le flux de sperme se tarit. Il me lâche la tête et sa queue ressort de mon gosier, elle est pleine de sperme. Je la lèche. Il range son matériel dans son pantalon et après un baiser rapide, il retourne dans la maison.

Je me nettoie avec un vieux torchon qui traine sur un cageot. J’enlève mon pull recouvert de foutre, je m’essuie la tête avec, et je rentre en polo. Personne ne me capte. Je vais me doucher et je fais comme si de rien n’était. On regarde ensemble un film puis on va se coucher.

Vers 2h du matin, je suis réveillé par quelque chose. Je me rends compte que c’est Thomas qui, nu, comme à son habitude, s’est faufilé dans ma chambre. Il saute sur le lit, s’approche de moi, s’assoit sur mon torse et me pose son anaconda sur la joue. Il me bloque de tout son poids, je ne peux faire aucun mouvement. Il pose ses énormes couilles sous mon nez, il les frotte. Elles sentent le mâle, ses poils me chatouillent les narines et les lèvres. Puis il descend et il prend sa massue en main, il en tapote le gland sur mes lèvres.

Puis il met son gland sur ma bouche que j’ouvre, comme par reflexe. Toujours bloqué par son poids, je bouge tout simplement la tête, de haut en bas. Je sens sa queue qui se met à gonfler dans ma bouche, comme un ballon de baudruche. Ma bouche se remplit, ma mâchoire craque. L’anaconda gonfle et s’allonge le long de ma langue, puis il va frapper le fond de ma bouche pour s’engouffrer dans mon gosier. J’essaie de réprimer des haut-le-cœur. La queue s’allonge toujours autant... et il commence à donner des mouvements de bassin, je la sens très bien dans mon œsophage. Et moi, je commence à m’étouffer. Thomas sort de ma bouche, se couche à côté de moi... et il m’embrasse. On se roule alors une pelle d’enfer. Il me caresse de partout, enlève mon pyjama de ses mains tout en continuant de m’embrasser. Moi, je passe mes mains sur son corps. Je remarque qu’il a un peu grossi ... son petit ventre est devenu plus rond... mais son corps est toujours bien poilu. Son ventre est à moitié recouvert de poils, son pubis et ses couilles sont très velues.

Ma main descend vers son membre qui est posé le long de sa cuisse, à moitié mou. Sa queue reste quand même impressionnante, elle est aussi longue que mon avant-bras. Je la caresse, je joue avec. Je la masse, je caresse ses boules aussi grosses que des mangues. Puis je descends le long de son corps et je pose ma langue sur son membre. Je monte et je descends lentement, je passe sur son gland puis je repars vers ses couilles. Je lui fais bien de l’effet, le monstre s’allonge. Il est maintenant bien dressé, il est tellement long, il arrive presque en-dessous de son torse. Je prends le morceau mais il est tellement épais que je ne peux pas en faire le tour complet d’une main. Alors, de mes deux mains, je me mets à le branler doucement. Quelle belle teub ! Son gland rose est aussi gros qu’un abricot. Il se trouve au sommet de cet anaconda qui lui sert de bite. Elle est épaisse, toute brune, veinée, massive, bien lourde.

Je la prends en bouche, descends lentement le long de sa tige. Je m’arrête, j’ai les deux tiers de ses 30 cm en moi. Il me laisse faire. Déjà bien entrainé par la baise buccale de tout à l’heure, je ressors l’anaconda de ma bouche puis le replonge immédiatement. Très vite, j’ai mon nez dans son pubis velu et son monstre dans mon œsophage. Il se met alors debout, je reprends mon travail et une fois que ses couilles touchent mon menton, il pose sa main sur ma tête et il se met à donner des coups de rein. Son gland m’ouvre bien le gosier. Je prends ses fesses dans mes mains et je le pousse vers moi pour lui faire une gorge profonde. Il gémit de plaisir. Puis il commence à me baiser la bouche. Au bout de quelques secondes, il ressort, me laissant reprendre ma respiration. Mais des litres de bave me sortent de la bouche et viennent s’écraser sur le sol. Il recommence et cette fois, il est plus brutal. Ses grosses couilles me frappent le cou. J’ai le nez dans ses poils qui sentent le mâle. On répète cette opération plusieurs fois.

Il me fait me lever, me retourne, me fait pencher vers l’avant et il me lèche bien le trou. Le pointe de sa langue s’infiltre lentement dans mes entrailles. Puis c’est toute sa langue qui rentre dedans. Puis il se met à me doigter. Un doigt, puis deux... et enfin cinq ! il pousse alors sa main encore plus profondément en moi. Elle arrive là où les phalanges du pouce s’arrêtent, là où la main est la plus large. Il commence des va-et-vient. Je sens que sa main s’enfonce toujours plus loin en moi

- Putain, ton trou s’est bien fermé depuis notre dernière fois. Il va falloir remédier à ça !

Je sens mon premier sphincter ne plus opposer de résistance. Il fait tourner son poing et essaie d’aller toujours plus loin. Puis il commence à faire entrer et sortir doucement sa main. Il rentre plus loin à chaque fois. Au bout de quelques minutes, il fait sortir et rentrer sa main sans difficulté. Je sens son poing m’ouvrir l’anus et me le fouiller. Mon trou finit par n’opposer plus aucune résistance. Son poignet s’enfonce toujours plus loin en moi. Il accélère le rythme. Mon trou s’élargit encore plus. Il passe le 2e sphincter et rentrer dans mon intestin. A chaque fois qu’il sort, je ressens un vide et une douleur excitante... Mon cul est complétement explosé. Il continue ce fist jusqu'au poignet pendant une dizaine de minutes.

Il ferme ensuite son poing et le rentre de nouveau dans mon cul. J'ai mal, il pousse doucement mais fermement. Et son poing est lentement absorbé par mon trou. Il ressort et recommence. Il va à chaque fois plus loin dans mes entrailles. Il arrive pratiquement au coude. Sa main s’ouvre en moi et me fouille l’intérieur.

Quand il ressort sa main de mon cul, je jette un coup d’œil dans le miroir et je vois mon trou béant, dont les lèvres sont déformées, elles pointent vers l’extérieur comme un cratère. Mon cul ne peut même plus se serrer.

- Ouah ! Tu es complétement ouvert !

Il positionne alors son gland sur ces lèvres et il joue avec. Puis il le fait entrer et sortir de mon qui n’oppose aucune résistance. Son traitement a été efficace. Son gland passe en moi puis sa bite continue. Il s’arrête alors et je comprends que c’est à moi de travailler. Je m’enfonce sur son monstrueux membre. Mon anus s’ouvre en grand, le laisse passer, sans résistance. Son fist m’a vraiment bien ouvert. Il m’aide et pousse aussi, je me crispe, j’essaie de réprimer un cri de douleur. Mon intestin se dilate pour accueillir le monstre. Et enfin son anaconda s’enfonce jusqu’aux couilles. Je me sens comme écartelé. Il se met alors à bouger lentement. Il ressort de temps en temps pour cracher des mollards sur mon trou et reprendre sa pénétration. De mes deux mains, j’ouvre mon trou et il se met à accélérer le rythme.

- Ah oui, Nico ! Enfin je retrouve mon antre ! C’est trop bon !

Je sens sa bite me travailler le ventre, juste en-dessous de l’estomac. Putain ! Que ce gourdin est volumineux ! Il m’entoure le torse de ses bras, m’embrasse dans le cou et il me baise sensuellement.

- T’es trop serré, je vais pas tenir longtemps !

Mais il me baise sans pause, son corps plaqué contre le mien, donnant des petits coups de rein. Ses couilles claquent contre mes fesses à chaque mouvement. Sa queue dilate considérablement mon anus. D’une main, j’essaie de ressentir comment sa bite me défonce. Et en effet, c’est comme si une grosse main était plongée en moi et m’ouvrait le cul. Il est ouvert dans toute sa largeur, comme si un tronc d’arbre me défonçait.

Au bout de 5 à 10 minutes, il gémit doucement et me met un gros coup de queue. Je sens alors mes entrailles se remplir. Sa queue expulse des tonnes de sperme en une dizaine de gros jets puissants. Je sens mon trou gonfler sous la pression. Il reste quelques instants, couché sur moi puis il se remet à donner des coups de rein. Son érection est toujours au maximum. Il continue sa baise ! Quel étalon ! Il ne débande même pas, il reprend tout simplement là où il s’en est arrêté ! Son jus coule sous la pression de sa teub hors de mon trou. Il ruisselle le long de mon périnée et tombe sur le lit et sur le sol. Une flaque se forme.

Il me retourne sur le dos sans que sa bite sorte de moi. Maintenant, il ne prend plus de gant. Il martèle mon cul de plus en plus fort. J’essaie de ne pas gémir afin de ne pas réveiller mes parents, mais c’est dur ! Ses couilles projettent une partie du ruissèlement sur mon ventre, sur mes jambes, sur le lit... Sans s’arrêter, il m’embrasse avec panache. Ses coups de queue sont très rapides et brutaux et ses énormes couilles brunes, aussi grosses que des mangues, frappent bruyamment mon cul. Je passe alors ma main sur mon ventre et je le sens gonflé et soulevé par la teub de Thomas. Cette sensation est incroyable. Je toucherais presque sa bite en train de me baiser.

Je ne sens plus que mon cul explosé par ses coups de queue. Il me détruit le cul pendant bien 40 minutes... sans en sortir. Il est très rapide et très brutal. Avec ses mains, il écarte bien mes cuisses pour pouvoir s’enfoncer le plus loin possible en moi. Nous sommes recouverts de sperme, qui continue de voler partout, résultat de sa première insémination !

Il me détruit la prostate. A un moment, je jouis sans me toucher. De bonnes doses de sperme viennent se loger sur mon ventre et mon torse. Sa queue ravageant toujours mon anus, mes sphincters souffrent pendant l’orgasme... ce qu’il ressent et il accélère ses coups en beuglant. Et il jouit une deuxième fois. Sa queue expulse une bonne dose de sperme ... et tout atterrit dans mon ventre. Je sens les nombreux jets chauds jaillir de sa queue, comme une vraie fontaine ! Quel étalon ! Il a joui trois fois en l’espace de quelques heures et sa source ne s’est pas encore tarie. Le jus ruisselle lentement de mon cul et tombe avec de gros plouf dans la mare déjà formée sous mes fesses. Le jus est plus crémeux cette fois, plus blanc. Il sort de mon cul, épuisé, et se pose à côté de moi. Mon anus tente de se refermer... mais il semble rester ouvert et béant.

On s’embrasse, il me prend dans ses bras et, dégoulinant de sperme, je m’allonge à côté de lui. On se met en cuillère et nous nous endormons.

Nous baiserons plusieurs fois pendant la nuit et au petit matin, il ira rejoindre sa chambre discrètement.

Les vacances de Noël s’annoncent prometteuses !

A suivre...

J’espère que cette suite vous a plu. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).

Meetmemz

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