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Chapitre 16
Dans les premiers chapitres, je racontais que j’ai hébergé pendant 3 semaines Thomas, mon beau-frère. Il m’avait joui pendant quelques nuits dans la bouche jusqu’à ce que je le surprenne... et c’est là qu’avaient commencé des jours de baise de folie. J’étais sa pute et il me baisait matin, midi et soir avec sa grosse queue de 30 cm. Et depuis ceci, je ne pouvais plus me passer des 30 cm de mon beau-frère ! On a baisé ensemble à Noël...et même lors de leur mariage : c’est moi qui ai consommé le mariage avec Thomas, et non pas ma sœur. Six mois après, Thomas est venu passer la nuit chez moi car il avait un enterrement de vie de garçon d’un de ses potes sur Toulouse. On a passé une nuit ainsi qu’une matinée torride. Ces potes sont arrivés à l’improviste et un d’eux a remarqué que du sperme me coulait le long de la jambe. Ils ont alors eu envie de profiter de moi... ce qui n’a pas vraiment plu à Thomas qui m’a dit, après tous ses potes sont partis, qu’il avait été hyper jaloux. Sur ces mots, il m’a laissé en plan sans qu’on puisse parler de tout ceci. Six mois plus tard, à la naissance de sa fille et de ma nièce, il m’a entrainé dans un coin de la clinique où il m’a baisé avant de m’avouer son amour. Je lui ai dit que je l’aimais aussi. Il a trouvé alors une solution pour mentir à sa femme et pour passer une semaine chez moi qui a été particulièrement intense. Puis, il lui a dit que je traversais une mauvaise passe et elle m’a ordonné de venir chez eux pendant quelques temps. Thomas venait me rendre visite la nuit. Mais un soir, alors qu’il me baisait, sa femme, et donc ma sœur, est entrée dans la chambre et elle nous a pris en flag alors que j’avais la queue de Thomas plongée dans mon cul...
Ma sœur sort catastrophée de la chambre, son mari sur ses talons. Quant à moi, je reste complètement sonné sur le lit... Mes pensées se bousculent dans ma tête ! C’est comme si je sentais soudain le monde s’écrouler autour de moi. J’ai alors une vision de ce que pourrait être notre vie si jamais elle le prenait mal... Je secoue vite la tête pour chasser ces horribles pensées, je me rhabille et je pars à leur poursuite, espérant pouvoir encore sauver ce qui peut être sauver...
Quand j’arrive dans le couloir, je trouve mon beau-frère, complètement anéanti. Je brise au bout de quelques secondes le silence :
- Elle est où ?
- Partie...
- Elle te quitte ?
- Je sais pas... Elle a simplement dit qu’elle avait besoin de réfléchir, que je n’avais pas intérêt à la suivre et elle a claqué la porte.
- Ok.
Pendant 3 jours, Thomas et moi, nous nous occupons du bébé. On a peu parlé. Et aucun de nous n’a la tête à baiser. Ces 3 jours sont vraiment l’enfer, pour mon beau-frère comme pour moi.
Au bout de 3 jours, on entend une clé dans la serrure. Ma sœur entre dans l’appartement et elle ferme la porte. Thomas et moi nous regardons. Nous ne savons pas comment la situation va évoluer. Ma sœur va voir le bébé, elle le prend dans ses bras et elle l’embrasse. Après quelques minutes, elle se pose dans le salon avec nous, silencieuse. Elle brise le silence au bout de 5 minutes :
- Depuis quand vous baisez ensemble ?
- Ecoute, voilà, je voulais te dire que...
- Thomas ! Ferme-la ! Réponds simplement à ma question !
- Depuis le stage sur Toulouse, intervins-je.
- Depuis si longtemps, murmure-t-elle. C’était même avant notre mariage.
- Oui, souffle Thomas.
Le silence s’installe. Puis ma sœur reprend la parole :
- En fait, au plus profond de moi, je le savais. Mais je ne voulais pas me l’avouer. Que mon mari me trompe... avec mon frère ! Thomas, tu es donc bi ?
- Oui...
- Depuis combien de temps ?
- Depuis mon adolescence.
- Et tu n’as pas jugé bon de m’en informer ?
- Je ne voulais pas te perdre...
- Mais par contre, baiser mon frère dans mon dos, c’est beaucoup mieux, c’est ça ? Et toi, Nico, tu es bi aussi ?
- Non...
- Gay ?
- Oui.
- Et tu n’as jamais voulu me l’avouer... à moi... ta propre sœur.
- Personne n’est au courant en fait.
- Je m’en fous ! Tu me faisais si peu confiance...
- Je n’étais pas sûr.
- Ok...
Le silence s’installe de nouveau.
- Vous vous aimez ?
- Oui, dis-je sans détour.
- Mais je t’aime aussi, ma chérie, s’empresse d’ajouter Thomas.
- Moi aussi, malheureusement, souffle ma sœur.
Thomas et moi nous taisons et nous l’observons.
- Thomas, je t’aime vraiment. Et je ne pourrais jamais te quitter. Pas pour ça, en tout cas. Et Nico, imagine les réunions de famille... Si on se disputait, ta nièce Caroline ne verrait jamais son oncle. Les fêtes de Noël, les anniversaires seraient gâchés si je vous en excluais tous les deux.
- C’est vrai... Je n’ai pensé qu’à ça durant 3 jours..., dis-je.
- Je vous propose un truc : vous pouvez continuer de vous voir et de baiser ensemble. Thomas pourrait passer une semaine chez toi, Nico. Nico, tu pourrais venir un week-end ici. Je ne suis pas jalouse. Je veux votre bonheur. Mais Thomas, en contrepartie, il va falloir m’aider... et surtout ne plus me mentir. Moi, de mon côté, je vais aussi rencontrer d’autres mecs. Tu sais que ta grosse queue me fait mal depuis longtemps, encore plus depuis la naissance. Je ne veux plus la sentir en moi... mais j’ai aussi envie de me faire plaisir avec d’autres bites.
Thomas et moi nous regardons, surpris.
- D’accord, répondons-nous, soulagés.
- C’est très adulte de ta part, ajouté-je
Ma sœur lui tend la main et elle la serre, puis la mienne. Nous scellons ainsi notre pacte.
- Allez, j’ai faim. Chéri, tu m’aides dans la cuisine.
Les deux vont faire à manger. Puis après le repas, nous regardons un film. Une fois le film fini, ma sœur se lève et elle dit :
- Je vais me coucher. Thomas, tu passes la nuit avec Nico ?
- Si tu n’as rien contre.
- Je n’aurais jamais rien contre.
Elle l’embrasse sur la bouche et elle sort de la pièce. On se regarde. Et Thomas se jette sur moi. Il me roule une grosse pelle et il m’entraine vers ma chambre. On se déshabille et on s’installe sur le lit.
J’admire Thomas et sa trompe qui est déjà au garde-à-vous. Thomas a 32 ans. Il est de carrure est normale. Il ne porte pas de barbe. Il n’est ni beau ni moche. Il a un corps poilu, avec un petit ventre. Son pubis et ses couilles sont très velues. Il a une bite et des couilles très foncées. Sa queue fait 30 cm. Elle est énorme, si large que je n’arrive pas à referme la main dessus.
Je me couche sur mon amant et on s’embrasse goulument. Je sens sa grosse queue plaquée contre mon corps. Elle est si énorme ! Thomas me masse les fesses et ses doigts entrent dans mon anus qui est béant, démoli par son anaconda. J’en ai tellement envie que je me glisse hors de ses bras et que je m’approche de son monstre. Je le saisis, je le branle un peu, puis j’avale sa grosse teub presque d’un coup en gorge profonde. Dire que ma sœur ne veut plus de cette bite ! Moi, je rêve de me faire prendre par tous les trous sans arrêt par cette énorme queue !
Je la sors de ma bouche et je l’admire : son gland est rose, aussi gros qu’un abricot. Il surmonte cet anaconda qui lui sert de bite qui est épaisse, marron, veinée. Il a aussi de grosses boules velues qui sont très foncées... et énormes ! Aussi grosse que des mangues !
Je remonte et je passe ma langue le long de sa queue et je prends son énorme gland sur ma langue.
Ensuite, je referme la bouche autour de son gland et je me mets à la sucer. Il pousse un gémissement. Encouragé, j’enfonce sa bite dans ma bouche. Je sens son gland traverser ma gorge et passer dans mon œsophage. Je suis satisfait de moi. J’avale sa queue sans aucun problème. Je suce son énorme bite. Je sens sa grosse trompe en travers de la gorge. Je fais de grands va-et-vient et je lui fais des gorges profondes...J’adore avoir le nez dans son pubis sentant le mâle. Puis, je ressors et je déglutis, reprenant mon souffle. Il me tend de nouveau sa teub, mais je m’occupe d’abord de ses grosses couilles. Ensuite, je reprends ma suce pendant une dizaine de minutes.
Il me fait me redresser, il m’embrasse un peu puis il me dit en massant mes fesses :
- Ton cul m’a manqué, bébé... J’ai envie de t’en mettre un coup !
Souriant, je me dégage hors de ses bras et je me place à quatre pattes, le cul tendu. Son gland entre d’abord en moi, suivi de son anaconda qui atterrit au plus profond de mon bide. Je le sens me fouiller à l'intérieur. Je sens ses poils de pubis contre mes fesses ainsi que ses grosses couilles contre mes cuisses. Il entame de lents coups de queue... qui accélèrent assez vite. Je mouille du cul. Le liquide sort par petites vagues à chaque fois qu'il rentre et qu'il sort de mon trou. Son rythme s'accélère au fil des minutes. J’essaie de retenir mes gémissements... ce qui n’est pas facile. J’encaisse ses bons coups de bite.
Thomas fait des va-et-vient maintenant impitoyables. Je sens sa queue me trifouiller les entrailles et le ventre. Ses couilles me cognent les cuisses. Il devient de plus en plus bourrin et il commence à me défoncer. Il me baise maintenant avec une rare violence. Chacun de ses coups m'arrache un cri de jouissance. Il est comme une bête qui me pilonne. Je la sens me labourer l’intérieur de mon anus et de mon ventre. Il fait d’amples mouvements de hanches, faisant presque entièrement sortir sa queue de mon anus pour la faire re-rentrer de tout son long, tapant ainsi bien le fond de mes entrailles.
Au bout de 16 minutes, il accélère le rythme. Il pousse alors un soupir et il décharge dans mon cul. 16 jets mitraillent l’intérieur de mon ventre. Il tasse un peu son jus avant de ressortir. Je sens son sperme couler le long de ma chatte. Je touche mon trou, il est super ouvert, ruiné, béant. Thomas se glisse dans mes bras et il m’embrasse pendant que je me branle et que je jouis sur mon ventre. Je m’endors dans ses bras, la tête sur son torse.
En pleine nuit, Thomas se glisse derrière moi et il frotte sa bite contre ma raie... ce qui me réveille... et je décide de remettre le couvert en chevauchant son monstre. Il jouit une deuxième fois en moi et il me prend par les bras, il me fait tourner sur sa queue et il me place sur le côté. Il se couche contre moi, en cuillère, sa bite toujours dans mes entrailles. On s’endort ainsi.
On se réveille vers 8h. on s’étire... On est heureux. Thomas me regarde droit dans les yeux et il me dit :
- Je t’aime, Nico.
- Moi aussi, Thomas.
- Ma sœur a été géniale !
- Oui ! J’aurais jamais cru ca possible. Elle est vraiment plus mature que nous !
- C’est sûr ! On va pouvoir vivre notre passion... notre amour !
- Je t’aime, Nico !
Thomas se penche sur moi et il m’embrasse tendrement. Nous restons dans le lit, savourant cette proximité et cette liberté nouvelle...
A suivre...
Merci à David et à Jojo pour leurs idées.
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Meetmemz
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