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Défouloir pour hommes mariés 9

Seb et Daniel (première partie)

J'aimerais vous en dire plus sur Seb, celui que j'avais sucé lors du weekend du baptême, tombant sur lui par hasard dans la ville de mes parents. Quand j'ai dit il y a longtemps que c'était mon frère qui m'avait rendu accro au sperme, je n'ai pas été juste : non seulement j'avais déjà vidé les couilles de quelques potes du quartier (et celles de quelques pères, eh oui !), mais surtout j'avais passé la moitié de mon année de terminale à pomper la bite de Seb, je crois pouvoir dire tous les jours de cours, et parfois plus. Et autant vous dire que j'adorais le faire, vu la queue superbe qu'il avait, et les doses bien bien abondantes qu'il déchargeait !

Mais l'affaire avait commencé plus tôt, dès l'année de première, où il commença à insister pour que je lui taille une pipe. Je ne saurais pas vous dire pourquoi j'ai résisté si longtemps, alors que je ne m'étais pas fait prier pour d'autres bites en dehors du lycée ; peut-être à cause de ça, de risquer d'être surpris au bahut et de passer pour la vidangeuse (ce que j'assume complètement depuis un bail maintenant). Aussi peut-être parce que son insistance, et l'état dans lequel il se mettait tant que je refusais, me faisaient un peu flipper : je le voyais bien souvent les larmes aux yeux de frustration, à faire pitié vraiment, ou alors contenant comme il pouvait une violence enragée (ou se défoulant sur une porte de chiottes, qu'il troua un jour...). Je ne comprenais pas pourquoi il se mettait dans cet état, alors qu'il sautait déjà des filles à droite à gauche et se faisait sucer - il me racontait tout. En quoi MA pipe aurait-elle été meilleure ?

Bref, pendant plus d'un an, toutes les semaines, il y avait des tonnes de sous-entendus sur sa bite et ma bouche, des demandes directes mi-amusées mi-sérieuses (" allez, tu me téterais pas la bite un petit peu ? "), des provocations dans les vestiaires, quand il venait coller son gros paquet sous mon nez ou ouvrait ses jambes sur une bite terriblement bandée, en cours quand il mimait une branlette ou une pipe s'il était loin de moi, et, quand il s'asseyait à côté, des graffitis, des phrases... En terminale il était toujours près de moi en philo, et me faisait lire des poèmes pornos, inspirés par les filles avec qui il sortait ; il me demandait mon avis ; il me faisait regarder à travers son jean l'énorme érection que ça lui donnait. Plusieurs fois au café il m'avait menacé de me violer sur la banquette, si je ne le suçais pas.

Et moi, de mon côté, je n'en ratais pas une miette : j'adorais son corps, massif, charnu, dégageant une telle puissance ! Dans les vestiaires, je l'aurais maté pendant des heures, en cachant l'effet qu'il me faisait : un cul très rebondi (quand il jouait au baby-foot et donnait des coups de reins, je n'étais pas loin de la syncope), une bite comme celle de mon frère, grosse et épaisse, des couilles qui avaient l'air bien lourdes, plein de petits poils blonds frisés, des épaules de fou, si larges ! des jambes de footeux, et des mains et des pieds gigantesques. Quand j'étais assis à lacer mes chaussures et qu'il se dressait devant moi, en slip, faisant mine de chercher un truc dans le sac qu'il avait lancé exprès tout au-dessus, c'est tout juste si ma bouche ne se mettait pas à sucer toute seule.

Bref, j'ai été bien con de le faire mariner tous ces mois, mais en même temps je me suis pris tellement de doses de sa bite ensuite, que ce ne sont pas les regrets qui l'emportent... Et pour lui non plus, comme je le compris en le revoyant ce weekend-là : tout en le pompant dans sa caisse, je me trouvais replongé des années plus tôt, occupé à faire la même chose ; je retrouvais le goût de sa bite, ses dimensions dans ma bouche, cette hampe impériale et ce gland parfait, que j'avais appris à adorer chaque jour ; et le flot de jus qu'il m'envoya ne me surprit pas : aussitôt la saveur, l'abondance, la consistance, je les reconnus comme si je l'avais vidé la veille.

Bref. Le jour où j'ai enfin cédé, nous étions en philo, et je m'ennuyais ferme. J'ai demandé à aller à l'infirmerie, pour en fait aller me fumer une clope aux chiottes. Je venais de l'allumer que j'entendis quelqu'un entrer et appeler " Mike ? ". C'était lui. Il me rejoignit dans la cabine, et nous fumâmes à 2 : le prof l'avait envoyé à ma suite au cas où. Il s'était adossé à la porte, et l'occasion était trop belle pour qu'il ne revienne pas sur le sujet. On n'avait pas tiré 2 taffes chacun qu'il se lança.

- Mike, allez, tu pourrais me sucer là, on est tranquilles...
- Seb... mais t'es fou, hein ? dis-je en souriant ; ça t'obsède !
- Ben oui, figure-toi - et il ne souriait pas du tout. J'en dors plus, je pense qu'à ça, toi qui me pompes, toi qui me fais juter ; j'arrive le matin, je te vois et je bande ; j'en peux plus ; je comprends pas pourquoi tu me fais ça !
- Mais Seb, arrête ! t'es pas en manque : tu t'es tapé deux filles la semaine dernière !
- Et alors ? c'est toi que je veux, quand elles me sucent c'est à toi que je pense...Mike, s'te plaît...

Il se jeta sur moi et me roula une pelle, me prenant fort dans ses bras. Déjà, enveloppé par une force pareille qui, je le sentais, faisait des efforts pour ne pas faire mal, j'étais en train de fondre... Et le baiser fut délicieux ; je sentais dans son étreinte des sentiments qu'il ne pouvait exprimer. Amoureux ? Quand nous nous regardâmes, je vis avec surprise qu'il avait les larmes aux yeux, et je fus complètement déstabilisé. Il m'embrassa de nouveau, bredouillant " Mike " plusieurs fois et collant son bassin plus fortement : je pouvais sentir qu'il bandait à mort. " Mike, Mike... ". Je ne résistai pas, et il le comprit. Il posa ma main sur sa braguette, et je l'y laissai, captivé par le barreau chaud et long que je sentais. " Touche-la au moins, branle-moi un ptit peu... s'te plaît...
- Remonte ton teeshirt, dis-je en l'embrassant, j'ai envie de te voir "

Il le releva et le coinça derrière sa nuque. J'admirai ce torse harmonieusement musclé, peau très blanche et poils d'or ; mes yeux et mes mains n'en finissaient pas de le parcourir. Pendant que je lui suçais un téton il déboutonna son jean et baissa la braguette, ouvrant largement sur son slip. Son téton saillait et lui semblait bien apprécier. Je suivis de la langue les poils épars qui se rassemblaient autour du nombril et descendaient en ligne jusqu'au slip. Je me mis à genoux, et baissait davantage son jean à mi-cuisses. Sa bite avait l'air énorme : elle soulevait le tissu en diagonale, prête à le déchirer, presque à hauteur de nombril.

Une large tache de mouille acheva de m'enflammer. Je levai les yeux vers Seb et ouvris la bouche ; tout en me fixant, il baissa son slip. Une odeur subtile s'en dégagea. Cette bite ! une merveille ! la plus belle que j'avais vue jusque-là, magnifique cylindre régulier, bien veiné, bien épais, avec un gland plus gros, comme une énorme tétine et l'ensemble pulsant légèrement, avec une goutte de mouille brillante qui s'écoulait... Je sortis la langue, goûtai à ce miel, toujours en regardant Seb, qui tenait sa bite à la base, et qui, après m'avoir laissé lécher le bout du gland et le frein, enfonça davantage sa queue et ma bouche se referma dessus et commença à pomper avec gourmandise. Seb soupira aussitôt de plaisir et moi j'éprouvais une sorte de révélation, qui me transforma en vraie ventouse, mes lèvres branlaient la hampe et ma langue se régalait à passer sur le frein et le gland.

Seb confia sa queue à une de mes mains (l'autre palpait avec admiration ses fesses) et me caressa la tête, en murmurant mon prénom, en m'encourageant, me félicitant. Je ne pouvais pas prendre sa bite en entier, pas encore habitué aux gorges profondes, mais tout de même je m'appliquais à déglutir en frottant le gland sur mes amygdales, tout en le masturbant. Je pompais de plus en plus frénétiquement, avide comme si je manquais d'air, caressant fesses, cuisses, le tenant à la taille et me pilonn!
ant la bouche avec cette grosse matraque chaude. Seb ne tarda pas à haleter : impossible de se retenir davantage après tant d'attente ! J'avais très envie de goûter son sperme ; je n'en avais essayé qu'une dizaine de différents depuis que je suçais les bites de mon quartier.

Il répéta qu'il allait jouir et tenta de se retirer mais il n'en était pas question : il n'eut que le temps de me demander " t'avales ? " et fut coupé par son propre cri, grave, profond. Je reçus une première giclée, puis une deuxième, puissante, qui frappa mon palais et remplit ma bouche ; j'avalai ; une troisième tout aussi abondante, et ensuite je ne pouvais plus sentir qu'un flot chaud, et je continuai d'avaler - et c'était un pur délice. J'en couinais de plaisir tandis que Seb n'arrêtait plus de gémir et tremblait dans tout le corps. En léchant avec délicatesse le gland qui ne libérait plus rien, je jetai un oeil à Seb : ses yeux étaient fermés, son visage traduisait un relâchement complet, sa bouche restait à demi-ouverte.

Il me regarda enfin, les yeux tout brillants, avec un sourire béat. Il me releva et me roula une pelle d'enfer, riant du fait que je sentais la bite et le jus, puis me tourna, le dos plaqué contre lui ; il m'approcha de la cuvette, et baissa mon froc, saisit ma queue raide et brûlante dans sa main géante, et il me branla en me grignotant l'oreille, me demandant si j'aimais son sperme, se félicitant, me promettant tous les jours sa queue et le jus de ses couilles. Il me maintint fortement contre lui quand les spasmes me secouèrent et je giclai très fort. Nouveau baiser ensuite, et nous nous rhabillâmes. Il ne fallait pas trop tarder à rentrer en cours...

A partir de là, tous les regards que nous échangions étaient remplis non seulement de désir mais aussi d'une grande affection ; je crois que pour lui il s'agissait bien d'amour. Les jours suivants on se retrouvait aux toilettes et, le temps nous étant compté, chacun se montrait très efficace : nos quatre mains s'occupaient de son jean et de son slip, puis je pouvais me délecter de cette grosse queue qui m'attendait depuis la veille - car il ne se branlait plus.

Quand nous avions sport, c'était plus simple de se planquer dans les vestiaires ; quand nous avions une heure de permanence, nous allions dans un parc proche, et là j'avais plus de temps pour profiter de ce membre que ma langue parcourait millimètre par millimètre, et Seb se régalait de me voir ainsi vénérer sa queue. Au bout d'une semaine de ce régime au jus, j'étais déjà dépendant ; à mon tour d'y penser dès le réveil. Nous trouvâmes aussi un cagibi des agents de ménage, où il fallait faire très vite, et ma pipe ressemblait vraiment à une purge rapide, mais d'une part j'avais toujours la récompense du lait abondant, et d'autre part il y avait ces fois où j'avais le temps de savourer ce que je faisais. Seb était heureux comme un roi. Bien que nous fassions attention à rester discrets, il fallait forcément que nous soyons découverts un jour, surtout avec les cris rauques qu'il poussait en jouissant, comme un animal qui souffre. Un matin, alors que tous les élèves étaient sur le parking, un mec s'approcha de nous, et me retournant par l'épaule me lança : " Alors t'es une bonne suceuse, tapette ? " ; je n'eus pas le temps de réagir : Seb lui envoya un poing dans la gueule qui le rejeta loin au sol - et dès lors, il n'y eut plus une seule allusion au lycée ; la force de Seb était un sacré argument...

Quelques samedis, on se voyait chez l'un ou l'autre, sous prétexte de bosser. Seb venait me chercher en moto, et il y avait parfois un arrêt en pleine nature... Je me faisais limer la bouche, adossé à un arbre, et bien vidé Seb pouvait finir le parcours moins tendu. Mais nous préférions le confort d'une chambre où tous deux à poil et allongés nous découvrions nos corps. Le sien me plaisait à la folie, je n'en finissais pas de le masser, de le baiser, de le lécher, d'en ressentir tous les muscles. Le jour où après avoir léché amoureusement ses couilles, que je visualisais se remplir juste pour moi, je descendis vers son cul et Seb n'hésita pas une minute et releva les cuisses : je me jetai sur ce petit trou tout ourlé de boucles blondes, adorable, et je crus vraiment perdre Seb noyé dans son paradis, tant il gémit et délira presque sous ma langue. Chacun déchargeait plusieurs fois ces après-midis-là, et nous nous quittions vraiment vidés et épuisés. Il ne me suçait ni ne me léchait, mais veillait à me branler et taquinait du doigt mon trou ; j'accueillais volontiers un doigt, qui devait faire une fois et demie le mien, mais je tremblais à l'idée de cette énorme bite me défonçant pour la première fois.

Quelques semaines plus tard, alors que nos rendez-vous étaient bien réglés, je surpris aux vestiaires une conversation entre Seb et Daniel, un de ses potes. Nous étions seuls, et moi caché dans le couloir des douches.
- Tu viens plus en boîte ? N* et P* demandent de tes nouvelles ; j'ai dû me les sauter toutes les deux samedi dernier.
- Bah j'y retournerai ptetre...
- T'es occupé ailleurs ?
- Non, non.
- C'est vrai ce qu'on dit ?
- Que ?
- Que tu te fais sucer par Mike ?
- Ouais, tous les jours.
- Hein ?!
- Tous les jours il me pompe, il adore ça et moi aussi ; et il avale, il peut pas s'en passer.
- Tu déconnes ?! il avale ?!
- Personne m'a sucé comme lui, et quand je le vois se régaler de ma jute, j'ai pas envie d'aller voir ailleurs.
- Purée... et tous les jours... Tu crois qu'il me sucerait aussi ?
- J'en sais rien ; je sais qu'il aime ça, oui ; deux bites ça lui ferait pas peur ; faudrait lui demander.
C'est le moment que je choisis pour me montrer, nu, la serviette à la main, avec une sacrée gaule. Les deux mecs les mieux bâtis du bahut étaient à poil aussi, là, à ma portée. Seb rit, et je lui confirmai que j'avais tout entendu.
- Tu veux bien sucer Daniel ? Je viens de lui dire que t'assurais...

J'étais déjà assis sur le banc, et ils vinrent me donner leur bite. Daniel avait la même corpulence que Seb, et à quelques détails près (Daniel plus brun mais moins de poils, aussi puissant mais les muscles moins dessinés) ils se ressemblaient énormément. Et même grosse bite, à cette différence que Daniel quand il bandait avait une légère courbe vers le bas. Je passais de l'une à l'autre, j'étais aux anges ! Les deux garçons ne commentaient pas ; ils ne me quittaient pas des yeux. C'était la première fois qu'ils faisaient ça ensemble : ils avaient déjà sauté une même fille mais l'un après l'autre. C'est moi qui, en en tenant un par la taille, les poussai à se rapprocher flanc à flanc. Seb passa un bras sur les épaules de Daniel, qui lui ceignit les reins, et moi, ravi du spectacle, je m'appliquai à les faire juter, pensant déjà à la double dose que j'allais m'avaler. Là encore, pris par le temps, il ne fallait pas traîner. Les soupirs plus fréquents m'indiquaient le moment. Daniel jouit le premier, m'avertissant et demandant gentiment si j'en voulais ; j'engouffrai sa bite juste à temps pour recevoir de bonnes giclées, plus visqueuses, et le pompai doucement en avalant, et sans oublier de branler Seb - lequel m'appela bientôt... Deuxième ration crémeuse, et pas une goutte de perdue ; j'en aurais juté tout seul, rien que par la situation.

Les deux bites bien propres, je remontai vers Seb et l'embrassai comme d'habitude. Il me touchait déjà la bite, prêt à me branler. Il me dit de m'allonger sur le banc : " Tu montres à Daniel ce que tu aimes faire aussi ? " Avec mon accord il proposa à Daniel de se faire lécher le cul ; il n'en revenait pas ! Il enjamba le banc et descendit ses fesses vers ma tête faisant face à Seb qui commençait à me branler. Quand ma langue pointa sur le joli trou imberbe, Daniel eut un sursaut, puis reposa sa rondelle sur ma bouche, et gémit du début à la fin ; il osa même relever une fesse pour me donner un accès plus direct. Il remplaça Seb pour me branler et Seb m'enfonça doucement un doigt dans le cul : trois fois comblé, je ne tardai pas à jouir, je sentis de longs jets s'échapper de mon gland en gueulant, à moitié étouffé entre les fesses de Daniel.

Donc, depuis ce plan aux vestiaires, il arrivait que Daniel se joigne à nous, mais irrégulièrement : il n'était pas dans la même classe, et difficile de se rencarder à trois chez l'un pour " bosser " un samedi. Quand Seb fut malade, il avertit Daniel qui s'arrangea pour trouver des créneaux. C'est à lui que je pus faire en premier une gorge profonde : la forme de sa bite allait mieux au fond sans forcer trop : il ne put se retenir longtemps, tenant ma tête et limant ma gorge, pour décharger avec fureur. C'est à lui aussi que je demandai une faciale : son visage s'auréola de bonheur à ma demande. Quand il m'aspergea toute la gueule, il se put s'empêcher de me traiter de salope, et constata que c'était loin de me déplaire...

Vous vous doutez bien que l'info passa vite à Seb, et les deux derniers mois de Terminale devinrent encore plus chaud (comme le temps) : tout en me traitant avec une grande affection pour le soin que je prenais de leur bite et de leur couilles, mes deux jeunes mâles montés comme des ânes se lâchèrent un peu plus dans le feu de l'action, et il y eut notamment un samedi que nous passâmes à trois de 15h jusqu'à la nuit (en boîte), dont je garde un souvenir exceptionnel sur bien des plans - mais je vous raconterai ça dans la deuxième partie... A plus.

mike

cherchebiberon64@hotmail.fr

Suite de l'histoire

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