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Défouloir pour hommes mariés 8

Le baptême de mon neveu (dernière partie)

Je me réveillai avec un peu de retard... La maison était déjà en pleine agitation, et j'avais raté mon frère à la douche. Il fallut vite me préparer pour la messe... Tous étaient déjà habillés, élégants ; mon frère rayonnait dans son costume. Il me fit un clin d'oeil qui me rendit déjà très chaud. A l'église, les cathos sont toujours aussi modernes, hommes et femmes étaient répartis sur la droite et la gauche. Ce fut un peu long et ennuyeux, même si je remarquais que le prêtre n'était pas mal du tout ; je l'aurais bien soumis à la tentation et m'imaginais quelques scénarios de contact où je me trouvais nu... Après la messe, le baptême eut lieu au fond, et j'avais une vue plus directe sur mon frère, dont je matais bien le paquet dessiné par le pantalon ; il ne pouvait que me remarquer...

Enfin tout fut bouclé, le pauvre petit fut arrosé (vous imaginez bien que je n'avais en tête que d'autres formes d'aspersion, pour moi-même...), et nous partîmes tous à l'auberge pour le repas. Nous étions une cinquantaine, répartis sur une très longue table et plusieurs autres petites rondes. Je me retrouvai comme par hasard à celle d'Azou et de sa femme enceinte, avec ma soeur et mon beau-frère et leur fils aîné. J'étais loin de mon frère, mais il pouvait nous voir sans problème. Il y avait aussi deux serveuses et un serveur bien viril, qui s'occupait du bar et de notre partie de la salle.

L'apéro dura un long moment et chauffa vite tout le monde. Avant que nous nous installions pour manger, les hommes se trouvaient concentrés au bar, et j'étais entouré de testostérone : à part ceux de ma famille, il y avait des amis de mon frère aussi ; mon frère dont le pantalon moulait les fesses à un point que je palpitais de partout...Les blagues de cul commençaient à fuser déjà. Et Azou ne me quittait pas des yeux, formant avec le regard de mon frère un triangle qui revenait sans cesse à moi. A la première annonce d'Azou qu'il allait pisser, je trouvai le moyen de partir aux toilettes en avance, et m'installai dans la cabine du bout. Puis il entra en toussant, et je lui répondis en toussant... Il entra dans ma cabine, sourit sans rien dire, déballa sa grosse bite brune et molle sous mes yeux émerveillés et gourmands. Le jet de pisse dura un sacré moment, et je ne me lassais pas du spectacle.

Nous entendîmes quelqu'un entrer et se soulager à son tour. Azou éjecta les dernières gouttes, et je m'accroupis : je pus alors prendre sa queue en bouche, et la téter pour la faire bander, ce qui ne tarda pas. Il mit sa cravate sur l'épaule et se laissa pomper. Le gland fut bientôt énorme et le barreau remplissait bien ma bouche en coulissant. L'autre personne quitta les toilettes. Il me tenait la tête de temps à autre et s'enfonçait lentement au maximum. A une crispation de ses rudes mains d'ouvrier je sentis la récompense arriver. Azou eut un long soupir maîtrisé et me balança une sacrée dose de sauce dans la bouche, en continuant de la ramoner doucement. Je déglutissais encore en savourant qu'il enferma comme il put sa queue qui ne débandait pas dans son slip et se rhabilla, puis sortit. Je le retrouvais au bar ensuite ; il lança à mon frère " putain que ça fait du bien ! " ; et quand mon frère me demanda si je m'étais perdu, je lui répondis que non, que j'avais une grosse envie, et que maintenant je commençais à avoir une grosse faim. La situation était bien excitante, au milieu de tout le monde... On se mit à table.

Tout en mangeant l'entrée je ne pensais plus qu'à me faire la bite de mon beau-frère ou du serveur, en même temps que celles de mon frère et d'Azou. Mon beau-frère présentait quelques qualités, et ses blagues étaient particulièrement grasses ; mais je fixais surtout le serveur, jusqu'à ce qu'il se sache regardé. Alors que ma soeur et la femme d'Azou je rejoignis les hommes au bar avec le serveur. Azou me dit : " va aux chiottes " discrètement à l'oreille, ce que je fis. Je repris la même cabine, et c'est mon frère qui entra peu de temps après. Je m'étais assis sur la lunette et il n'eut qu'à déballer sa bite, déjà bien raide et à me la mettre en bouche. Je l'aurais bien savourée une petite heure, mais il fallait être efficace, et le plaisir trop bref de la suce allait être compensé par le jus délicieux de mon frère. Il me limait vigoureusement la gueule et je lui palpais les fesses, se branlait sur mon visage et je lui léchais les couilles ; je lui enceignis la taille et me l'enfonçai jusqu'aux amygdales, qu'il ramona lentement, en soupirant.

Il me laissa respirer puis recommença ; on se regardait : il essayait d'imiter ma gueule déformée par son barreau et se creusait les joues. Il se moquait un peu, mais j'entrepris d'intensifier mon pompage et là il se soumit au plaisir, plissant les yeux, pinçant ses lèvres ; quand il se mit à hocher la tête je compris que ça montait. Je limitai ma pipe à mi-bite tout en insistant avec ma langue le long du gland. Je le sentis se raidir, et il m'envoya plusieurs bons gros jets crémeux, que j'avalais au fur et à mesure. C'est là qu'une voix l'appela ; je crus reconnaître le serveur. Mon frère dit juste : " Ici ", et ouvris le loquet dans son dos : la porte s'ouvrit, et j'aperçus en effet la tête du serveur sur l'épaule de mon frère.
- Miky, j'ai tout arrangé, ok ? Hervé, je te cède la place.

Il retira sa queue, qu'il remballa, et fut remplacé par Hervé donc, qui eut vite fait de remonter son tablier et de l'enfoncer à moitié dans une poche de son pantalon, de baisser sa braguette, et d'extraire une bien belle bite, plus courte mais large, avec une superbe tétine rose. Mon frère me dit de m'appliquer, avant de partir, mais je ne répondis que la bouche pleine. Hervé s'alluma une clope tranquillement en refermant le loquet. Cette nouveauté me fit bien plaisir et je n'eus pas d'efforts à faire pour m'appliquer ; il fumait d'une main et me tenait gentiment la tête de l'autre pendant que je pompais, faisait quelques mouvements de reins.

Il sortit sa bite, et me dit tout bas de lécher, en se la tenant. Je me consacrais donc à son énorme gland, à son frein ; et j'avais sorti ma queue, que je branlais par à-coups. Il répéta plusieurs fois ou " tète " ou " lèche ". Puis, après avoir jeté sa clope derrière moi dans la cuvette, il me prit à deux mains et me ramona sévèrement la bouche ; il se bloquait bien au fond et moi, les lèvres dans ses poils, je déglutissais sur son gland, ce qui le faisait grogner de plaisir. Puis il sortit sa bite et se branla, en me donnant un doigt à sucer, qui sentait fort la nicotine. Il respirait bruyamment, m'ouvrit la bouche et regarda en jouissant les jets qu'il y dirigeait. Je devais avoir une belle petite mare blanche sur la langue. Et dès qu'il m'eut redonné son gland, je pus avaler et téter les dernières gouttes.

Je n'allais pas tarder à juter moi-même. Il m'invita à me lever et me tourner, et pendant que je me branlais au-dessus de la cuvette, il me travailla le trou d'un doigt. Impossible de résister : je me cambrai, m'appuyant sur la chasse, et ouvris bien mon cul ; je l'entendis cracher avant de recevoir 2 doigts bien glissants. Je perçus juste un " hmmm, salope ", et mon cul se crispa au moment où je balançais mon sperme. Puis chacun se rhabilla en silence, et il sortit avec un clin d'oeil, et je revins dans la salle, adressant un grand sourire à mon frère et à A!
 zou, de nouveau attablés et souriants eux-mêmes.

Les doigts d'Hervé dans mon cul avaient bien sûr éveillé une autre grosse faim...Mais je dus attendre la fin du repas. Ma grand-mère piquant du nez, je me proposai pour la ramener. Je repassai aussitôt fait par la maison, et me mis à me travailler le cul comme un malade dans la salle de bain, pantalon et boxer à mi-cuisses, et trois doigts élargissant mon anneau. Je n'y allais pas de main morte, pensant tantôt à la bite de mon frère, tantôt à celle d'Azou, et aussi celle d'Hervé ; il fallait absolument que je m'en prenne une avant la nuit. Je me repris une douche rapide, vérifiant la dilatation de mon conduit, et sa propreté impeccable. Quand je revins à l'auberge, je n'avais pas débandé. L'ambiance était électrique : tout le monde était un peu éméché.

Il était 20h et un deuxième dessert venait d'être servi, les coupes de champagne re remplies. Mon frère et Azou quand ils me frôlaient, me collaient au bassin, brièvement, mais il ne faisait pas de doute qu'ils commençaient à avoir furieusement envie de m'investir le cul. Le soir tombait, les gens abandonnaient la table, allaient digérer dehors, fumer, etc. Mon frère me coinça dans un cagibi, pour m'embrasser goulument, et me dire d'aller au fond du parc, qu'il me rejoignait, qu'il voulait mon cul, qu'il n'en pouvait plus... Cinq minutes après, je sortis, remarquai qu'il parlait avec des gens, et m'enfonçai ostensiblement dans le parc. Dans le bosquet du fond, il faisait déjà sombre. Surprise : je vis qu'une couverture avait été étalée par terre entre les arbres et les buissons. Je crus comprendre que tout avait été préparé, peut-être par Hervé ? Je m'assis et attendis une petite dizaine de minutes, en me caressant à travers mon pantalon. C'est en fait Azou qui apparut et s'assit à mes côtés.
- Ton frère est pris là, c'est moi qui commence, ok ?
- Avec plaisir, dis-je en l'embrassant
- J'ai jamais oublié ton cul, Miky...
- Donne-moi ta bite, ajoutai-je en palpant son paquet et en fouillant sa bouche

On s'installa en 69, froc aux genoux, et je me jetai sur sa queue, raide et gonflée. La position était idéale pour la prendre en entier ; je me calai sur une cuisse et Azou comprit qu'il pouvait me ramoner bien à fond. Il commença, tout en fouillant mon trou. Ses deux doigts me limèrent au même rythme que sa bite. Il prenait bien son pied à me dilater la gorge et le cul, et ça s'entendait. Finalement il vira mon pantalon, mes chaussures et mon boxer, et m'installa sur lui pour me bouffer le cul, d'une force qui m'étourdit un moment, tantôt un pouce, tantôt sa langue s'enfonçait complètement. Je me dilatai de plus en plus et ne voulais plus que ça s'arrête. Lui commençait à grogner, marmonner des " putain ", des " cul de salope ", etc. Il me mit à 4 pattes par terre, me dit de me cambrer, de m'ouvrir, et s'occupa de dilater encore plus mon trou, avec 3 doigts trempés, puis il me libérait et me disait de pousser, et il admirait l'entrée de plus en plus béante. Je n'en pouvais plus d'attendre et couinais. Et enfin, il m'enfonça son gros morceau, lentement, accompagnant sa poussée d'un " mange-toi ça, salope ".

Il plaqua mes fringues sur mon visage de côté, et commença à pilonner sauvagement, d'abord en levrette, puis étendu sur moi, en appui sur ses bras, et moi presque couché mais avec le cul levé. Je faisais tous les efforts du monde pour ne pas crier, et pour soutenir l'assaut en maintenant mes fesses en l'air ; et je me faisais transpercer d'une force ! Au bout de 10 mn, il me remit en levrette, et me bourra comme une bête en lâchant des mots d'arabe que je ne comprenais pas ; mon cul était chauffé à blanc. Il ravala un long cri, saccadé, et je sentis son jus pulser violemment dans mon cul, entraînant des coups de reins terribles ; heureusement qu'il m'empoignait les hanches... Puis il s'écroula sur moi, bougeant sa queue de plus en plus lentement. Son souffle me chauffait l'oreille, ses mots sortaient comme ils pouvaient, qualifiant mon cul, sa bite, sa dose, et il rit même un peu.

Quand il se retira avec précaution, je restai allongé, littéralement broyé, il faut le dire. Il s'assit devant moi, jambes écartées de part et d'autre, et se fit téter la bite, commençant à s'amollir doucement, gluante de jus et de mouille ; il reprenait son souffle et appréciait la douceur de mon nettoyage. Il s'accouda même, et s'abandonna 5 mn que j'employais à lécher ses couilles, toutes dures, en admirant le morceau fameux qui débandait. Puis il redressa mon buste le temps d'un baiser, et me dit de ne pas bouger, qu'il allait chercher mon frère. Je me recouchai donc, et tentai de récupérer.
Mon frère m'appela bientôt à voix basse.

- Azou m'a dit... oh, t'es beau comme ça... Non, reste comme ça, écarte un peu les jambes.
Je fermai les yeux et lui obéis. J'entendais qu'il baissait ses fringues. Il s'allongea sur moi, sa bite entre mes fesses, qu'il fit raidir (mais elle était déjà bien partie !) en se frottant lentement et en me parlant : " il t'en a mis plein le cul, il m'a dit... hein ? t'as pris cher ?...t'en veux encore ? tu veux ma bite, Miky ? ". Ses mots, ses frottements m'ouvraient déjà le cul, et son gland n'eut pas à chercher longtemps pour trouver l'entrée ; détendue et glissante, elle accueillit sans problème la matraque de mon frère, qui me remplit lentement, en soupirant de plaisir et continuant de parler : " hmmm, putain il t'a bien préparé !...t'es chaud ! ". Il me suçait l'oreille, et une fois planté au fond de mon cul, il donna de petits coups secs, qui me faisaient gémir. " C'est bon, mon ptit chat ? hein ? frérot, tu sens la grosse bite là ? ".

Alors il commença un enculage en règle, progressif, qui me fit décoller complètement. Il me donna son pouce à sucer, et continuait de déverser dans mon oreille des mots qui me brûlaient pendant qu'il y allait de plus en plus vigoureusement. Après 5 mn de pilonnage, il se mit sur le dos et me fit bosser : je m'accroupis sur sa bite et me la plantai du mieux que je pouvais, serrant et dilatant mon anneau pour lui masser la bite à chaque mouvement. Le visage de mon frère ne mentait pas : il prenait un pied terrible, ce qui décupla le mien ; je me mis à me défoncer de plus en plus violemment, je sentais le jus d'Azou qui s'échappait et collait. J'ouvris sa chemise et m'appuyai sur son torse tout en lui massant les tétons. Puis épuisé, je laissai faire mon frère, m'effondrant sur lui et tandis qu'il me sondait la bouche de sa langue il empoigna mes hanches et son bassin commença un matraquage d'enfer ; nos cris se perdaient dans nos bouches ; son gland forçait mon second trou et l'idée qu'il allait me traverser tout entier n'était pas loin de me faire gicler tout seul.

Les frottements de ma queue sur son ventre m'achevèrent ; je jouis alors que sa langue envahissait complètement ma bouche, et il continua de me harponner jusqu'à venir avec force soupirs et grognements. Après deux minutes de repos, je me dégageai lentement et libérai sa queue. Je descendis pour lécher tout le sperme que j'avais répandu sur ses abdos, pendant qu'il me caressait la tête ; ensuite je nettoyai consciencieusement sa bite, collante de son jus, de ma mouille et du foutre d'Azou : je savourais bien ce gourdin encore gros et dur, le tétais, le léchouillais, sous les compliments de mon frère. Enfin je m'occupais des couilles, assez couvertes de jute, les gobais et les léchais, les précieuses productrices... Lavé par moi et séché par l'air, mon frère se rhabilla en même temps que moi, et nous retournâmes à l'auberge. Hervé était occupé à la vaisselle, sinon je l'aurais bien pompé pour le remercier pour la couverture. La salle commençait à s'éclaircir ; en m'asseyant à ma table, je pris un repos bien mérité. Azou et mon frère éclatèrent de rire en me regardant. Mes parents sonnèrent le départ.

Une fois dans ma chambre, bien sûr, je ne pus m'empêcher de me caresser la rondelle, bien défoncée et collante, et de me branler jusqu'à juter en repensant à la journée. Mon frère ne passa pas ; d'ailleurs j'étais si crevé que je n'entendis personne. Tôt le matin ce furent les au revoir, et voilà la dernière fois que mon frère me prit le cul... j'attends évidemment la prochaine occasion !

mike

cherchebiberon64@hotmail.fr

Suite de l'histoire

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