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soumission & Domination 199
PH, Vacances à la maison -15 décisions Ernesto Escort-boy 1
Nous nous réveillons Ernesto et moi enlacés. C'est le premier jour de sa série de prestation. Cet après midi, nous allons chez Xavier et Laure.
Nous passons la matinée à nous préparer, joues rasées de près comme nos couilles, muscu. Déjeuner plus que léger, pas question d'un retour de couscous en pleine fellation !
Ernesto est impatient. Il tourne et vire jusqu'à ce que je le mette dans la voiture et que nous allions à notre rendez vous. Durant le trajet, il s "inquiète quand même un ,peu des dimensions de Xavier. Il n'est pas sur d'arriver à prendre ses 26cm. Il me rappelle qu'il y a quelques semaine son trou servait uniquement à ses fonctions organiques et que le plus gros qu'il ai pris a été son frère qui ne fait que 24cm. Je le rassure, le plus dur à prendre c'est le diamètre et celui du sexe de Xavier avoisine celui de Pablo, de plus je ne le laisserais pas se faire monter sans une préparation adéquate.
A moitié rassuré, nous arrivons chez Xavier.
Il nous ouvre comme d'habitude en short synthétique et marcel athlétique. Nous le suivons jusqu'au salon. Nous y retrouvons Laure, sa femme, en tenue légère : string en dentelle qui ne cache rien de sa chatte épilée et c'est tout !
Voir la plastique de nos hôtes ainsi étalée, je bande et Ernesto aussi.
A peine les présentations terminées, Xavier et Laure s'attaquent à nos vêtements. C'est assez rapide vu que nous étions justes en pantacourt et T-shirt. Nos slips laissent voir les barres bien gonflée de nos sexes. Deux secondes plus tard, nous sommes nus. Je m'attaque à mon tour à Xavier et arrache son marcel et fait tomber son short. Ses 26cm triomphants se dressent bien cerclés par un gros cockring métallique.
Ernesto, comme hypnotisé ne peut s'empêcher de venir mettre la main dessus. Xavier le laisse apprivoiser la " bête ". je les laisse et part mettre quelques doigts dans Laure pour vérifier son état d'excitation. Elle est trempée ! C'est autre chose que lors de nos premières rencontres où elle était tellement coincée que j'avais eu du mal à la pénétrer. (cf. E_soum11 en 2008).
Le string vole, et, alors que j'enfonce deux nouveaux doigts (main gauche) dans a chatte, je fais pénétrer les deux (de l'autre main) lubrifiés de sa mouille dans son anus. Elle me prend le visage entre ses mains et me roule une pelle. J'agite un peu mes doigts, elle se décolle pour haleter. Xavier qui nous voit, me dit que je peux y aller, il arrive maintenant à la faire jouir plein de fois consécutives. Le clito écrasé par la masse de mon pouce, mes doigts reprennent leur sarabande dans Laure. Elle jouit bruyamment au point de faire sursauter Ernesto qui venait de s'agenouiller devant Xavier.
Je la dépose dans le canapé et rejoint les " Hommes ". Ernesto tente de sucer le pieu de Xavier. Si la première moitié rentre sans difficultés, il me semble qu'il bloque pour finir le taf.
Je prend les choses en main. J'avise la table basse déjà dégagée de tout encombrement et le fait coucher dessus sur le dos, la tête en dehors du plateau. Xavier connaît bien le truc. En poussant la tête d'Ernesto vers le bas, sa bouche va se placer dans l'enfilade de sa gorge. Ce qui, pour une bite bien droite comme celle de Xavier, va faciliter la pénétration. Je m'assois à ses coté pour lui dire ce qu'il faut faire pour aider à la gorge profonde.
Avant de démarrer, je lui fait miroiter tout le plaisir qu'en retirera Pablo s'il arrive à faire ce genre de truc.
Ernesto est motivé, la preuve, il ne débande pas.
Xavier se place devant Ernesto et lui remet sa queue en bouche. Première moitié toujours facile. Je vois quand il bute sur la luette. Je glisse alors à l'oreille d'Ernesto que c'est le moment d'avaler. Il dégluti et se prend le gland dans sa gorge. Rejet immédiat. Xavier ne se vexe pas, je lui avais assuré la primeur de la gorge d'Ernesto (et il avait payé cher pour cela) il est rassuré.
Je susurre à l'oreille de mon " apprenti " qu'il va falloir recommencer et que cela sera de plus en plus facile. Xavier se replace et, à mon ordre de déglutir, Ernesto se prend le gland et un peu plus dans sa gorge. Retrait du monstre et on recommence. Xavier ne s'est arrêté que lorsqu'il a réussi à coller ses couilles contre le nez d'Ernesto. Pour distraire un peu notre ami en pleine progression, je lui avais relevé et écarté les jambes pour lui bouffer l'oignon alors que Laure le suçait.
Laure nous a alors demandé de la prendre à deux. Ok de Xavier, je me couche au sol, Laure vient me chevaucher à l'envers (elle préfère dans un premier temps prendre mes 20cm dans le cul et les 24 dans sa chatte) et Ernesto se place dans l'autre trou. Je sens son gland progresser dans le vagin et compresser ma queue. Quand il rejoint le mien (de gland) son passage au delà ajoute un nouveau stimulus. Je le sens taper au fond et ce n'est qu'à la troisième pénétration qu'il arrive à tout lui mettre. Xavier nous enjambe entre sa femme et Ernesto et fait de nouveau avaler sa tige à Ernesto. Laure s'accroche à ses hanches et enfoui son visage entre ses fesses pour lui manger l'anus. Je suis surpris, car je ne l'avais jamais vu se laisser faire cela lors des partouzes auxquelles il avait participé à la maison.
Je manque de jouir dans ce tableau ! par contre Laure en profite bien et tout d'un coup elle entre en contractions/convulsions de plaisir intense. Deuxième orgasme féminin.
Nous nous déboitons. Xavier veux se faire un cul de mâle. Ok je vais m'y coller en premier. A 4 pattes, le torse soutenu par la table basse, je me fais préparer la rondelle par les langues d'Ernesto et Laure. Bientôt ce sont leurs doigts pleins de gel qui me pénètrent. Malgré cela je dis à Xavier de faire " péter " le poppers. Il me passe deux fois le flacon sous chaque narine et je sniff à me les saturer. Ernesto qui ne connaissait pas encore les effets de ce puissant aphrodisiaque, sent sous ses doigts s'ouvrir ma rondelle. La chaleur me monte à la tête et c'est moi qui demande à Xavier de m'enculer.
Il ne se le fait pas dire deux fois et je sens aussitôt la pression de son gland enkpoté. La pression sur la rondelle précède celle que je me mets à ressentir intérieurement avec la progression inexorable de sa bite. Ernesto, a mes cotés, me caresse machinalement le dos, les yeux rivés sur la pénétration en cours.
Il est fasciné par la capacité de mon anus à laisser entrer Xavier (ou plutôt sa bite de cheval).
Moi, sous poppers, je me laisse saillir comme une salope qui en redemande d'ailleurs ! Ok je ressens bien l'écartement de ma rondelle mas c'est une info dans mon cerveau, le plaisir lui est nettement plus fort que la gène.
Xavier me lime le cul avec une grande dextérité, il devient bon à ce petit jeu. Je demande à Laure si Xavier ne préfère pas maintenant lui défoncer le cul plus que sa chatte.
Réponse positive de la dame qui m'assure qu'elle prend maintenant aussi bien son pied à se faire sodomiser que se faire ramoner la chatte.
Ça ne tombe pas dans l'oreille d'un sourd et Ernesto présente ses services enkpotés. Ernesto la pousse à mes cotés et épaule contre épaule avec Xavier, il pénètre sa femme. Préparée par ma sodomie précédente et habituée à prendre Xavier, Laure n'a pas de difficultés à se faire défoncer par Ernesto et ses 24 cm.
Le changement de ton dans les gémissements d'Ernesto me font tourner la tête pour le voir. A sa tête je devine que Xavier est en train de lui assouplir la rondelle avec ses doigts. Emma en profite par l'enculage désordonné qui s'en suit. Je dis quand même à Xavier d'y aller progressivement avec Ernesto. Un clin d'oeil et un " t'inquiète " sont censés me rassurer.
Comme il me libère de l'omniprésence de son chibre, je me déplace pour ajouter des litres de salive sur les doigts qui préparent Ernesto. J'avise le flacon de poppers et ouvert le passe sous le nez d'Ernesto. Même produit, même effets il s'ouvre et chauffe. Les 3 doigts péniblement supporté sont rejoint par un quatrième attendu avec impatience. Comme moi tout à l'heure, Ernesto demande à se faire enculer.
Ça me redonne méchamment envie moi aussi.
Je me rekpote, écarte Ernesto pour me glisser entre lui et Laure et encule cette dernière. Je pénètre trop facilement il lui faudra quelques minutes pour resserrer sa rondelle et que je me sente prisonnier de son anus. Ernesto, kpote neuve m'encule. Il est étonné de trouver une rondelle aussi serrée après l'avoir vue se faire élargir par Xavier.
Je ressens quand ce dernier s'enfonce dans Ernesto. Le souffle sur mon cou se fait plus saccadé et la pression sur mes fesses plus forte. Malgré la préparation, les tonnes de salive et de gel et le poppers, Ernesto grogne à l'écartèlement de son oignon.
Nous restons immobiles jusqu'à ce que Xavier soit enfoncé jusqu'aux couilles.
Puis c'est à qui profitera le plus de la queue qui lui rempli le cul. Chacun y va de son propre mouvement jusqu'à ce que naturellement il y ai coordination et enculage et retrait en cascade.
C'est bon, très bon. Sous moi, Laure ajoute avec ses doigts un stimulus clitoridien et jouit bruyamment. Elle m'entraine dans son sillage et au fon de son cul, je rempli ma kpote.
Comme nos mouvements, les orgasmes se déclenchent en cascade. Quand j'éjacule, mon anus masse la bite qui est en train de le perforer et Ernesto se repousse brusquement (ce faisant, il s'empale un peu plus sur le pieu de Xavier) et je sens tomber sur mon dos les gouttes brûlantes de son sperme.
Xavier, coincé sous Ernesto, le retenant enfoncé sur son sexe par ses mains accrochées à ses hanches rempli à son tour sa kpote. Puis il sort rapidement d'Ernesto. Soulagement de ce dernier, même s'il a apprécié l'enculage.
Nous restons quelques instants hébétés sous le souvenir prégnant du plaisir que nous venons de partager.
Ernesto est le premier à se relever, les jambes un peu écartées malgré lui. Il voit la queue de Xavier en train de dégonfler et nous demande s'il a vraiment pris " ça " dans le cul. Deux voix le lui confirment. Il se demande encore comment il a pu faire.
Je me lève à mon tour et l'entraine dans la salle de bain sous la douche. Nous la prenons ensemble. Je le caresse pus que je le savonne. J'y vais doucement avec son anus qui, je le sens sous mes doigts, commence à se refermer. Je lui glisse à l'oreille qu'heureusement les trois prochains rendez vous, il sera actif seulement.
Il me roule une pelle et me dit que pour ma bite, il sera présent si je veux. Je lui retourne ma langue et nous nous mangeons jusqu'à ce que Xavier nous chasse pour prendre sa douche avec sa femme.
Quand ils en sortent nous sommes rhabillés et près à partir. Xavier me confie l'enveloppe et nous les quittons. Dans la voiture, comme nous rentrons, je donne l'enveloppe à Ernesto et lui demande de compter. Je l'entends s'arrêter à 1500. Ok, je lui dis que c'était le prix de sa gorge. Il ne comprend pas tout de suite. Je suis obligé de lui expliquer que c'était le tarif que je lui avais fait pour avoir eu le privilège d'être le premier mec à mettre son gland au fond de sa gorge.
Il me dit que les mecs en France payaient beaucoup plus que les meufs en Espagne.
Je lui dis que cela tombait bien puisqu'il ne détestait pas cela et que des mecs qui voudraient son cul et sa queue j'en connaissais plein. Il rit.
Le lendemain c'était avec le père de Jean que nous avions rendez vous. En milieu d'après midi à son bureau.
Quand j'arrive à son entreprise, nous tombons sur le jeune gardien que j'avais eu le plaisir d'enculer, comme nous sommes en pantalon et chemisette, il croit que je suis accompagné " normalement " et n'ose qu'un clin d'oeil.
Je retrouve sa secrétaire particulière qui me saute dans les bras. Elle me glisse dans l'oreille que depuis que j'ai passé mon job d'entraineur sportif, son patron n'est plus tout à fait le même. Je lui dis que nous allions remédier à cela. Je pousse la porte et la verrouille dernière Ernesto. A son bureau, le père de Jean au téléphone, dit à sa secrétaire de ne pas le déranger jusqu'à ordre contraire.
Nous approchons, il se lève et je présente Ernesto. Alors qu'ils se serrent la main, une des miennes est déjà collée à son cul, le caressant deux doigts enfonçant le tissus au niveau de sa rondelle.
Je dis à Ernesto de défaire sa ceinture et les boutons de son pantalon pour donner sa queue à faire grossir. Dès que cette dernière est à l'air libre, Le " patron " se jette dessus et l'avale. Trois aller et retour et mon jeune apprenti bande comme un taureau, son gland caresse direct les amygdales du père de Jean à genoux devant lui.
Je m'occupe de le déshabiller. Veste, cravate, chemise et le reste prennent place sur un fauteuil alors que je libère aussi ma bite de sa contrainte vestimentaire.
Je me kpote et m'enfonce direct dans son trou de salope. C'est bien ce que je pensais. Mon successeur à bien continué à lui élargir la rondelle et je la trouve plus que souple d'ailleurs. Les seuls bruits qui émanent de notre trio sont les " slurp slurp " de la pipe.
Comme je vois qu'Ernsto est bien bandé, je lui passe une kpote et lui dis de me remplacer. Comme il se met entre les genoux du " boss ", je lui dis qu'il peut y aller franchement. Il m'obéit avec enthousiasme et Le père de Jean en avance de 10cm !
Alors qu'il se fait enculer sévère par Ernesto, je le questionne sur ce qu'il fait de son cul.
Il m'avoue avoir acheté un gode assez monstrueux dont il se sert entre les séances de " sport ". Je lui demande où il est et du menton, il me désigne sa salle de bain privé. Je vais le chercher et le trouve. Effectivement ça m'a l'air d'être un gode moulé sur une bite d'acteur porno monté XXL.
Ok, on va pouvoir réitérer le coup de la double sodo.
Je reviens auprès du coupe et montre à Ernesto le gode que monsieur se prend régulièrement dans l'anus. Il n'en revient pas. Je le mesure et m'aperçois qu'il dépasse de loin le maximum que je me suis jamais pris. A la règle, il fait 30cm de long pour une circonférence de 27cm soit, calcul fait, un diamètre de 8,5cùm à la base !
A l'énoncée de ces chiffres je lui annonce qu'il aura sa double sodo. Par contre comme ce n'était pas prévu, il y aura rallonge sur le tarif. Il est d'accord. Je m'en doutais un peu !
Ernesto se couche sur la moquette et le père de Jean e ré-empale sur les 24cm qu'il venait de quitter. Je m'approche et place mon gland contre sa rondelle. Alors qu'Ernesto sort presque totalement, je place mon gland sous sa couronne et nous poussons ensemble. Je n'ai jamais entré aussi facilement à deux dans un cul. Ernesto est ravi et bande encore plus. Je traite notre client de grosse salope, que ce n'est plus un anus mais une chatte qu'il a maintenant.
Je lui demande de serrer son anneau que nous ayons plus de sensations. Il y arrive difficilement. Je lui demande de faire mieux puis me souvient que c'est un mec qui aime être dominé assez fermement.
Je commence par lui pincer les tétons. Il se redresse et nous ressentons comme un mieux coté rondelle. Une de mes mains descend jusqu'à son sexe et ses couilles que je trouve pour l'un flasque et pour les autres recroquevillées. Je m'en empare et commence à serrer tout ça. Il gémit un ton au dessus et son anneau commence à nous serrer un peu. Je ferme un peu plus ma main et là nous avons enfin droit à un anus ferme. Bon, d'un autre coté il commence à être vraiment bruyant. Ernesto est étonné de ce que je fais et comment je " maltraite " notre client. En attendant il apprécie le nouveau tonus anal de notre hôte !
Il s'y met aussi et je lui laisse les tétons à triturer. Ma main libre vient crocheter sa bouche et lui tirer la tête de coté.
Je prend un plaisir fou à dominer et enculer ainsi ce patron. Je suis le premier à joui et rapidement je ressens le gonflement de la kpote d'Ernesto contre mon gland.
Nous plantons encore deux trois fois le père de Jean sur nos deux bites et il se met à juter sans avoir bandé un seul instant.
Nous nous retirons et j'entraine Ernesto sous la douche. Quand nous en sortons, je passe mes ècher dans le bureau et trouve notre client assis à son bureau en train de signer un chèque. Je regarde par-dessus son épaule et lui dis qu'il peut le refaire en ajoutant 500 de plus. Je connais ses moyens, il peut assurer le nouveau tarif.
Je lui dis que c'est le tarif de la double sodo et pour qu'il nous revoie encore avant le départ d'Ernesto.
Chèque en main, nous nous glissons hors du bureau. La secrétaire toujours au poste me demande si elle nous reverrait bientôt. Je lui dis que nous avions rendez vous dans deux jours et lui claque un gros bisou sur la joue.
Le gardien en sortant ne peut s'empêcher de me demander si je reviens comme coach sportif. En riant je lui dis qu'uniquement pour son boss et au coup par coup. La formulation de ma phrase le fait rire aux éclats (il nous a vus plus d'une fois baiser ensemble sur ses caméras de surveillance). Il déshabille Ernesto du regard et me dit " dommage ".
Le retour à la maison se fait dans un silence ponctué de sorties d'Ernesto en train de cogiter sur la vie.
Jardinier