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soumission & Domination 200
LE 200ème épisode !!! Un franc merci à toi cette rubrique est un peu beaucoup la tienne !
PH, Vacances à la maison -16 Ernesto Escort-boy 2
Journée libre.
PH nous rejoint. Pendant qu'il était en vacances avec nous, ses parents lui ont acheté une voiture. Une Mercedes SLK, gosse de riche !
Ok moi j'ai le modèle au dessus mais j'ai bossé pour cela ! Enfin, non c'est un cadeau d'Emma, j'avais oublié, oups ! Il n'empêche que j'aurais pu me l'acheter si j'y avais pensé. Bon d'accord je suis aussi un gosse de riche, mais d'adoption !
Il nous dit que cela ne l'empêchera pas de passer son permis moto. Tout contents de se retrouver, nous faisons l'amour tous les trois dans le baisodrome du premier. Voir nos corps emmêlés se réfléchir dans les murs et plafond en glace nous excite encore plus. Avec PH on peut se sucer jusqu'au bout (avaler nos spermes) comme s'enculer sans kpote. Avec Ernesto par contre nous continuons à nous protéger. C'est bon quand même. Les pipes se font profondes, les glands chatouillent les amygdales qu'ils frottent à chaque passage.
Ph me suce tellement bien que je l'arrête vite avant de jouir. La première fois ou PH encule Ernesto, il remarque tout de suite sa souplesse nouvelle. Quand je lui dis que l'avant-veille il s'était pris un monstre de 26 x 6,5, il comprend mieux mais me demande de lui expliquer plus tard ce que nous avons fait ces deux jours sans lui.
Ernesto serre son anus et il arrive à bloquer PH. Ok il s'est assouplit mais reste bien tonique. Je lui dis qu'il va falloir qu'il s'en occupe si il continu à se faire enculer. En trois mots je lui explique les exercices que je fais pour éviter le syndrome " chatte de mec ".
Il s'y exerce aussitôt et PH gueule qu'il ne peut l'enculer tranquille.
Je passe derrière lui et avec un peu de salive sur mon gland, je le pénètre. Ça le fait taire le temps que je sois complètement entré en lui.
Il s'arque boute contre moi et je dois pousser encore après être entré à fond afin qu'il s'enfonce, lui, dans Ernesto. Du coup mes mouvements sont forts et violents. PH aime ça et me le fait savoir. Il se penche en arrière et me tend ses lèvres. Nous nous emmêlons nos langues alors que nos bassins se choquent régulièrement. En dessous de nous Ernesto profite de ce déchainement de passion.
PH est le premier à céder. Il jute dans sa kpote, bien ancré au fond d'Ernesto.
A chaque éjaculation son anus me comprime et à la 6ème fois je ne retiens plus rien et lui rempli le cul de ma semence.
Nous basculons sur le coté sans nous séparer. Ernesto se fait jouir de deux/trois coups de poignet. Nous restons un bon moment anéantis par les effets de nos orgasmes. Je crois même que nous piquons un petit roupillon.
C'est Ammed qui nous réveille en venant demander où nous désirions diner.
Il sourit de nous voir emmêlés et son short en cuir se tend sous la poussée de sang qui vient gonfler sa queue.
Samir et Ammed nous servent un repas roboratif qui, en plus d'être bon, aura eu le mérite de recharger nos batteries.
Je passe le reste de la soirée à expliquer à PH ce que j'ai fait ces deux derniers jours avec Ernesto.
Je sens comme un soupçon de jalousie dans ses remarques. Ça me fait plaisir quelque part !
Il me dit qu'il comprend que je veuille faire un pécule à Ernesto mais que maintenant il aimerait participer à mes " sorties ".
Je réfléchi rapidement et passe en revue la longue liste de mes clients. Pour les amis, il était évident que PH les rencontrerait un jour ou l'autre. Pour mes clients, c'est autre chose. Je le lui explique en précisant qu'il rencontrera quand même André, le père de Ric et accessoirement mon banquier, Xavier et Laure qui, comme les parents d'Ed et Théo, préfèrent baiser à 4.
Nous nous endormons tous les trois dans ma grande chambre.
Le lendemain.
Après une matinée consacrée au sport, muscu et natation. Je les bats question kilogrammes de fonte soulevés mais nous faisons jeu égal à la natation. Je crois même, si j'étais honnête qu'Ernesto est le plus fort dans l'eau.
Nous terminons notre séance par une triple pipe triangulaire à même la terrasse. Ok cet après midi nous devons assurer auprès du couple infernal (parents d'Ed) mais nous sommes jeunes et nos couilles se rechargent rapidement !
Comme PH va prendre son premier cours de pilotage moto, nous partons, Ernesto et moi " travailler ".
Quand nous arrivons, comme l'autre fois, la maison est vide, pas d'enfants, pas de personnel. Madame vient nous ouvrir en string seulement, c'est dire comme la salope est chaude ! Du coup, quand ma main se pose sur son fessier, mes doigts glissent dans sa raie et j'égare mon majeur dans son oignon. Il rentre facile, ça ne doit pas faire longtemps qu'elle s'est fait enculer ! Elle avance, troublé par le jeu de mon doigt dans son fondement. Nous retrouvons son mari dans le grand salon.
Alors qu'elle s'avance pour rejoindre son homme, je la retiens avec mon doigt dans son cul.
Le mari se lève et nous pouvons voir qu'il est en jock, le paquet comprimé dans une poche un peu petite et les fesses encadrées par les deux élastiques.
Sans attendre d'y être invités, Ernesto et moi même nous nous mettons en sous vêtements. Ce coup ci, nos clients inversent. Madame s'occupe de faire glisser sur mes chevilles mon boxer qui s'accroche à ma queue bandée, alors que Monsieur oeuvre déjà sur le sexe d'Ernesto par l'intermédiaire de sa bouche après qu'il lui ait baissé son slip aux genoux.
J'attrape la tête de la meuf et plante ma bite au fond de sa gorge. Si, les premières fois j'avais du mal à y mettre mes 20cm entiers, maintenant c'est facile et elle ne tousse même plus alors que j'enfonce mon gland loin derrière sa luette.
La chaudasse ! Elle me tend une kpote pressée de se faire saillir. Je la lui rends, qu'elle me la mette elle même. A peine posée sur mon gland, elle déroule la kpote avec ses lèvres jusqu'à la base de mon sexe.
Je la retourne et la place à 4 pattes comme la chienne qu'elle est. Entre ses cuisses, je m'agenouille et je l'enfile deux/trois fois par la chatte. Un peu de lubrification facilitera la sodomie !
C'est une moule de meuf et pour moi cela manque de tonus musculaire. On y est jamais autant serré que dans un cul. Je quitte vite cet endroit très féminin et investi son cul. Avec mes pouces qui tirent ses fesses vers l'extérieur, je dévoile sa rosette encore plissée. A peine mon gland posé dessus, je m'enfonce, retenant son bassin qui aurait tendance à vouloir s'éloigner du mien.
Une fois au fond, mes mains gagnent ses épaules et je les tire vers moi pour valider le fait que je ne peux rentrer un cm de plus dans son anus.
A nos cotés, Ernesto, sans passer par la case chatte, est arrivé au même résultat dans le cul du mari. Ce sont les souffles/moitié-cris de l'enculé qui avait attiré notre attention. Faut dire que se prendre 24cm bien large quasiment à froid dans le cul, c'est pas donné à tout le monde ! Mais une fois la bite bien planté au fond de lui, c'est une autre chanson qu'il nous a fait entendre. Il est devenu soudain très salope, exigeant d'Ernesto qu'il l'encule comme la chienne qu'il était, accentuant de lui même les coups de rein d'Ernesto par de fréquentes reculades. Ça a eu l'effet de stimuler sa compagne décidée à ne pas se laisser distancer sur la question. Elle s'est mise à s'enculer elle même sur ma bite avec le même empressement que son homme sur celle d'Ernesto.
C'était pas mal du tout cette compétition. Mais il me manquait quelque chose. J'ai cherché quoi quand je me suis fait la remarque que le vagin de la meuf que je tirais était vide. C'est ça qui me troublait ! Du regard balaye la pièce. Pas de Gode ni de plug, j'avise sur un plateau les rafraichissements. Il y a du Coca . Réflexion rapide, soda = pression= verre très épais = pas de risque de casse. J'en attrape une par le goulot et la fait glisser entre ses jambes. Le cul froid de la bouteille pleine arrache un frisson à la meuf qui se répercute à ma queue par un serrement anal. Je fais glisser la petite bouteille entre ses lèvres pour titiller le clito et enduire le verre de son lubrifiant intime.
Progressivement j'appui de plus en plus fort et la petite bouteille entre. La forme galbée semble ajouter au plaisir de se faire écarteler la chatte. Je sors quelques instants de son cul pour mieux faire les choses. Je continu à pousser et la bouteille rentre complètement, ne laissant apparaître entre les grandes lèvres que la capsule métallique et 5mm de goulot. Je m'assure qu'à ce stade elle ne peut entrer plus loin et du coup peut reprendre ma sodo.
Son cul est nettement meilleur maintenant que de l'autre coté de son sphincter je suis compressé par la multinationale américaine.
Le massage de ma bite est génialement fluctuant au gré de la forme particulière de la bouteille.
Le mari et Ernesto sont stupéfaits de mon audace. Et comme le mari veut voir cela de plus près, ils nous rejoignent. Le mari sur le dos glisse sous sa femme et ainsi à les yeux à 5cm de ce qui s'agite dedans (sa meuf) et Ernesto reprend son enculage après avoir relevé ses jambes sur ses épaules.
Je pousse la tête de la meuf jusqu'à ce qu'elle suce son mari et me penche pour embrasser Ernesto. Nos langues se cherchent, se trouvent, se battent entre elles sans que nous ne cessions d'enculer nos clients.
La meuf, bien que bâillonnée par la bite de son mari réussissait à nous indiquer, par un volume sonore croissant, que son orgasme n'allait pas tarder.
Je glissais mes mains sur ses seins et " torturais " ses tétons pour augmenter son plaisir.
Il n'a pas fallu une minute de plus de cette quintuple stimulation (chatte, clito, cul, seins et bouche) pour qu'elle parte ! Tout comme son mari pourtant moins diversement excité.
Entre nous, nous avons pu les voir jouir simultanément, le sperme de son homme sortant des commissures de sa bouche et retombant sur sa toison pubienne.
Cette vision, plus les contractions anales multiples, m'ont fait jouir à mon tour et calé au fond de son cul, j'ai rempli de foutre ma kpote.
Ernesto m'a suivit de près. Il a juste eu le temps de sortir du cul du mec, de jeter sa kpote sur le coté avant d'éjaculer sur la chevelure et le dos de la dame une quantité impressionnante de jus.
Ok de mon coté, la kpote était bien pleine à la sortie !
Le taf est terminé, nous laissons le couple redescendre en pression, au mari de retirer la bouteille de Coca. J'entraine Ernesto dans la salle d'eau que nous avions utilisé la dernière fois. Ensemble sous la douche, nous nous lavons réciproquement. Ernesto me dit qu'il aura plus appris pendant les 3 semaines passées à la maison que pendant ses 18 premières années. Je ris et lui réponds que surtout il avait du y avoir 14 ans de vide avant les branlettes et peut être deux de plus avant les meufs.
Réponse de l'intéressé comme quoi je me trompais de deux bonnes années sur les deux choses.
Il m'avoua s'être branlé jeune même si il ne jutait pas à tous les coups et que deux ans plus tard il se faisait sa première meuf.
Ok, c'est un gamin précoce ! D'autant que c'est très tôt, d'après son dire, sa bite avait acquis ses caractéristiques actuelles (24cm de long par 6).
Sans oublier nos émoluments, nous regagnons la maison.
PH est déjà rentré. Il me saute au cou dès que nous passons la porte d'entrée et me glisse à l'oreille qu'il avait bien failli céder aux avances d'Eric rien qu'en pensant à ce que nous étions en train de faire avec le couple.
Je lui dis de ne pas être impatient, il aura aussi l'occasion de se les faire lui aussi.
Il me dit alors que c'est pas ça, c'est de s'imaginer, moi en train de baiser sans lui.
Va falloir que je lui réexplique quelques trucs. Comme Ernesto monte se changer, j'en profite.
Tête à tête je remets les choses au point.
1/ Ok je l'aime......il en rougit sous son bronzage, quelle fleur bleue !
2/ Ok j'aime le cul.......il souligne qu'il l'avait deviné,
3/ J'aime aussi Marc et Emma...... il est Ok avec ça,
4/ Je baise avec qui je veux.... C'est avec ça qu'il a plus de mal.
Je lui dis que c'est le deal. Je suis sûrement égoïste avec cette façon de vivre, mais c'est le choix que tous ont déjà acceptés et que j'accepte de leur part, même de ceux que j'aime.
Je crois voir une petite larme aux coins de ses yeux. Il me dit qu'il m'aime lui aussi.
Je le serre très fort dans mes bras et il fini par me rouler une pelle qui nous laisse tout bandant.
Je l'entraine dans note chambre. Dans l'escalier nous croisons Ernesto qui m'interroge silencieusement. Je lui fais signe de continuer à descendre, je veux un moment seul avec PH.
Arrivés au pied du lit, je le déshabille et nus, je nous couche sur le grand lit.
Caresses, bisous, patin, pipe, annilingus, je m'occupe de son corps comme je ne l'ai jamais fait, même pas la première fois.
Pas un cm² de peau n'échappe à mes attentions. Il se laisse faire. Puis retournement de situation, il prend les commandes. A mon tour de laisser faire.je m'aperçois vite qu'il en connaît un bout lui aussi sur l'anatomie masculine. Son prof de danse avait été très complet dans sa " formation ".
Je bande comme un fou et l'effet du lourd cockring en or renforce cette érection. Quand il s'estime prêt, il enjambe mon bassin, ses genoux encadrent ma taille et il vient s'assoir sur moi. Quel plaisir de sentir son gland se poser sur une rondelle, percevoir sa résistance puis son relâchement volontaire, savourer son lent glissement dans les entrailles d'un être aimé jusqu'à sentir les deux bassins se coller. Le temps s'est ralenti et j'ai l'impression que chaque seconde dure des heures. Il se penche et me roule un patin. Il pénètre ma bouche de sa langue comme ma bite envahi son cul.
Sans que nos lèvres ne se décollent, il commence à onduler du bassin. Le rythme et l'amplitude augmente et il s'encule tout seul sur ma queue.
Après l'avoir laissé faire quelques minutes, j'ai repris le commandement. Je l'ai basculé sur le dos, j'ai pris ses chevilles entre mes mains et écartant les bras, je me suis mis à lui labourer le cul. Qu'il est bon ce salaud ! Il me laisse faire avant d'écarter plus encore les jambes. Plus il les écarte et plus ses fesses se resserrent et compriment mon sexe. Il me demande de peser un peu avec mes mains. J'y vais doucement et je n'arête que quand il est en grand écart avec ma bite comme axe central. Je ne cesse de lui bourrer le cul. Il aime et me le fait savoir bruyamment.
Je le fat jouir dans cette position sans qu'il ne se soit touché. De long traits de sperme barrent son ventre et son torse de grandes trainées blanches découpant son corps bronzé.
Chaque éjaculation resserre un peu plus son anus et me masse la verge.
C'est à mon tour de céder et je le dose de ma production personnelle avant de s'écrouler sur lui.
Nous nous roulons un patin comme je sens ses jambes enserrer ma taille et me retenir tout contre lui.
Ma bite flasque glisse hors de son trou. C'est un peu le signal du retour dan la vie normale. Sans dire un mot, nous nous douchons ensembles nos mains savonnant/caressant le corps de l'autre.
Quand nous rejoignons Ernesto, cela va faire presque deux heures que nous l'avons quitté, nous avons droit à un "réconciliés les amoureux ? ".
Un coup d'oeil à PH et nous nous jetons sur lui pour le faire souffrir de chatouilles.
Jardinier