Tout d'abord je me présente, Laurent, 1m86 pour 92 kg et oui, la rançon de 10 années passées dans un club de rugby, cheveux rasés, poilu sur le corps mais je me rase.
Je suis président d'une association qui organise des manifestations dans le petit village ou je réside.
Les fêtes de fin d'année arrivant à grand pas, nous nous devons de préparer la descente du Père Noël.
Je prends donc rendez-vous avec le capitaine des pompiers de la caserne proche de chez moi, un mec d'une cinquantaine d'année, musclé par la pratique des entrainements quotidiens, cheveux poivre et sel coupés en brosse, un mec qui doit faire tourner des têtes aussi bien chez les femmes que chez les mecs.
Le samedi 13 décembre, c'est le jour de la manifestation.
Le matin je reçois un appel de la caserne m'indiquant que le capitaine est souffrant et qu'il ne pourra honorer son rendez-vous, toutefois, il fallait que je me rassure, qu'ils n'allaient pas me laisser tomber et qu'ils m'envoyaient un pompier spécialisé en descente en rappel.
15heures, j'attends sur le parvis de l'église, je vois arriver un mec dans une voiture SDIS de la caserne, je ne peux pas en croire mes yeux, c'est une apparition divine, un mec d'1m90 pour 90kg à peu près, cheveux rasés, yeux bleus des mers du sud, une peau bronzée.
Moi : bonjour, moi c'est Laurent
Lui : bonjour moi c'est Emmanuel, je remplace le capitaine souffrant
M: dites-moi comment nous allons procéder ?
L : tout d'abord offrez moi un café on se gèle les fesses.
Je me régale de voir ce corps magnifique, café pris, nous partons reconnaitre les lieux, je le précède dans les escaliers qui montent au sommet du clocher, lorsque je sens une main me caresser le haut de la cuisse, je m'arrête et me retourne avec un regard étonné, il me fait un grand sourire.
M : tu fais quoi là ?
L : ah bon on se tutoie maintenant, et arrête de jouer les vierges effarouchées j'ai bien vu ton regard quand je suis arrivé et ton regard tout au long de notre café.
M : ah !
L : alors on continue, tu montes ou il faut que je te pousse ?
Nous continuons donc notre périple, je ne sais plus ce que je fais, j'ai la tête " à l'envers " nous poursuivons jusqu'à la plateforme qui surplombe le clocher.
Arrivé en haut lui en uniforme de pompier moi en survêtement et grosse doudoune nous inspectons les lieux, il prend ses marques, tout va bien pour lui, nous redescendons, il est déjà 16h30, comme le temps passe vite, je le conduis jusqu'aux vestiaires de la salle de sport, qui est à quelques mètres de l'église, il retire son blouson, je ne me suis pas trompé, il est magnifique, une musculature de rêve apparaît sous son pull bleu marine avec la bande rouge, le pantalon de treillis bleu marine également semble prêt à lâcher sous la puissance des cuisses, la braguette semble elle aussi prête à lâcher sous l'énorme entrejambe qu'il présente.
Je retire mon blouson et m'assieds sur un banc, quant à lui, il s'est installé sur le banc qui me fait face, il a ouvert son gros sac de sport contenant tout son attirail ainsi que son costume de Père Noël.
Il veut faire une descente avant ce soir, histoire de reconnaitre le terrain.
M : comment tu penses faire ?
L : ben la tout de suite sur un banc.
M : pardon je ne comprends pas.
L : t'en veux tellement que tes yeux pétillent d'envie.
M : quoi ?
L : arrête !!! Dessape toi j'arrive.
Comme dicté par un subconscient, je retire mon sweat et reste là torse nu, lui il s'est approché de moi, il a également retiré son pull et est également torse nu, il commence à me caresser les pecs et descends sa main sur mes abdos, pas très apparents je l'avoue contrairement aux siens qui sont très saillants et très durs.
Je tente une main sur ses pecs, je n'en ai jamais senti d'aussi dur, je descends et caresse les tablettes de chocolat, je tente de descendre la main vers la ceinture de son pantalon, il n'oppose aucune résistance, j'ai le loisir de pouvoir approcher la barre de chaire qui déforme l'entrejambe du treillis, un vrai monstre, il m'appuis sur les épaules, je suis contraint de me mettre à genoux et je me retrouve directement avec cette grosse bosse face au visage, je n'ai qu'à ouvrir la bouche et sortir ma langue pour lécher le tissus du treillis, les caresses de ma langue font grossir ce montre de chair. J'ouvre la braguette et sens ce sexe prêt à jaillir hors de sa prison que constitue à première vue le slip. Mes caresses ne font qu'accentuer le degré d'excitation de ce beau pompier, mon objectif : engloutir cette colonne de chaire, ce gland rosé et doux. Je dégrafe les boutons de la ceinture du pantalon, celui-ci se retrouve directement sur les pieds. Quelle ne fut pas ma surprise de voir que le slip supposé était en fait un jockstrap. La trique qu'il a, déforme le devant du slip ce qui me laisse un passage, je glisse ma langue dans l'espace qu'il y a entre la bosse de son sexe et sa jambe et commence à lui lécher les couilles, qu'il a bien grosses et fraichement rasées. Je ne peux m'empêcher de gober cette grosse colonne de chair, alors que son sexe n'est pas totalement bandé, ce qui ne tardera pas... Cette demi molle prise dans un environnement chaud et humide a pour effet de la faire durcir.
L : tu aimes salope
M : moui, Hummmmm
L : allez lèche bien, mouille la bien si tu ne veux pas avoir trop mal
Avoir mal ? Ça veut dire quoi ? Mon esprit tourne à plein régime, que veut-il me faire ? Si c'est pour une sodo, pas de soucis ça va rentrer, enfin j'espère.
Je m'applique à lui faire une pipe mémorable en alternant des applications sur le gland et des fonds de gorge, je lui aspire la bite, je sens qu'il apprécie, il émet des gémissements qui vont crescendo, je lui gobe les couilles qui sont énormes et bien pendantes, je joue avec ma langue sur son gland et sur la totalité de son sexe.
Il se retourne et me demande de lui lécher la rondelle, toute rose, fraichement rasée... tout ce que j'aime, je commence à tourner autour puis par à-coup, je durcis ma langue et commence à le pénétrer, il gémit, le jock fait tout son effet, il est habillé et je peux lui titiller la rondelle, j'en conclus qu'il adore au vue des sons qu'il émet...
Il me demande de me dessaper et de venir m'asseoir sur le banc à 4 pates, il enfouit son visage entre mes fesses et commence à me lécher la rondelle, sa barbe de 3 jours me chatouille, c'est divin. Il commence à me pénétrer avec sa langue, je suis sur une autre planète, jamais je n'aurais pu imaginer.
Il m'attrape par-dessous les épaules et m'attire contre lui, je sens son corps collé au mien, ses abdos et ses pecs me caressent le dos, sa colonne de chair est collée contre mes fesses, il fait tomber le jock. C'est génial....
Il sort un préservatif de son sac et me demande si je suis prêt, pas de soucis, je n'attendais que ça...
Il me demande de le sucer, histoire de lubrifier son sexe énorme, il me badigeonne le cul avec du gel puis me fait me cambrer, il pose délicatement son gland à l'entrée de mon être et pousse doucement, je sens que le gland est passé, la sensation est entre la douleur et le bien-être. Il me pénètre doucement et avance dans mes entrailles avec délicatesse. Il est arrivé au bout, je sens sa paire de couille me taper sur les fesses.
Je lui demande d'accélérer la cadence, il me pilonne pendant 20 mn puis d'un coup il se raidit et je sens que le préservatif se remplit, ou c'est un gros juteur ou il n'a pas joui depuis des lustres, il se retire délicatement et me demande, après avoir retiré le préservatif de le nettoyer, chose que je fais volontiers, son sperme a un gout sucré, il est bien épais.
Il se met en tenue du père noël et nous partons pour la plateforme du clocher, je ne peux m'empêcher de lui caresser les fesses, je sens le contact de sa peau sur le pantalon de survêtement qu'il a enfilé pour la descente. Il y a les agents de la voirie qui sont venus nous aider, mon père noël me gratifie de clin d'oeil régulièrement. Il commence sa descente après m'avoir glissé à l'oreille, " attends-moi en bas je te fais ta fête ".
Le regard des enfants brille de mille feux, ils ont le Père Noël a porté de main, nous distribuons des bonbons aux enfants présents, quelques photos avec le Père Noël histoire d'avoir un souvenir, après une bonne heure passée, il est temps de repartir, alors que les gens de la mairie s'affairent à démonter les installations, je me dirige avec le Père Noël vers le vestiaire, je pénètre le premier dans les locaux, étant le seul à avoir les clés, il me suit et referme la porte et me prend les clés.
M : oh mes clés
L : t'occupe pas t'en aura pas besoin.
M : pourquoi ?
L : devine...
C'est alors qu'il referme la porte à clé et commence à se caresser le corps, il en profite pour retirer ses bottes et son pantalon de survêtement.
M : arrête tu m'excites
L : c'est le but.
Il m'attire contre lui et me roule une énorme pelle, je lui caresse le dos, et j'ose même une main vers les fesses, elles sont extrêmement dures, il me pose les mains sur les épaules, et applique une pression qui me fait me mettre à genoux.
Il lève son costume de Père Noël et me glisse la tête dessous, il est raide comme un bâton, son gland dépasse de son jock, avec les dents je baisse l'élastique et m'affaire à téter mon biberon, il ne tarde pas à gémir et commence même à être un peu directif et me donner des ordres, j'aime assez cette situation.
Je tente de me relever mais il me bloque dans cette position et commence à me baiser la gueule d'une violence extrême, il m'enfonce sa queue jusqu'à la garde, j'ai ses couilles qui me tapent le menton, et son gros gland qui me titille la glotte, j'ai des hauts le coeur tellement il va profondément dans ma gorge.
Après une dizaine de minute à me bourriner la gueule, il me fait sortir de dessous ma cachette et me propose de m'allonger sur le dos sur la table de massage qui est dans le fond du vestiaire.
Je suis sur le dos, il s'approche de moi m'écarte les jambes et s'allonge sur moi, il me roule une pelle magnifique et me caresse le corps, je me laisse faire, je suis aux anges.
Après avoir calmé ses ardeurs, il me soulevé les jambes et met bien ma rondelle à sa vue, il laisse couler un filet de bave afin de bien lubrifier ma rondelle puis il pose son gros gland à l'entrée de mon être, il pousse doucement afin de commencer à dilater l'entrée, mais c'est inutile, avec l'excitation qu'il m'a déjà procuré, je suis bien ouvert.
Il me lâche les jambes et s'empresse d'enfiler un préservatif qu'il avait pris soin de poser à portée de main, puis il me remet en position et repose à nouveau son gland sur ma rondelle, il pousse légèrement, les anneaux cèdent petit à petit et il pénètre jusqu'à s'enfoncer entièrement, il reste un moment dans cette position sans bouger afin de savourer sa victoire puis doucement il commence ses vas et viens puis de plus en plus vite, quand soudain il s'arrête et me demande de me retourner, il veut me prendre en levrette pour me pénétrer plus profondément, je me soumets à ses désirs puis il recommence sa pénétration en premier lieu lentement puis plus rapidement, la inutile de s'introduire doucement, je suis tellement dilaté que ça rentre tout seul.
Après 20 minutes de sodomie et pour le dernier assaut après avoir testé plusieurs positions, celle qu'il préfère et celle où je suis allongé sur le dos les jambes écartées, lui face à moi, il se déchaine et lâche 5 ou 6 jets de sperme dans le préservatif, il n'en peut plus il est tout en sueur, il se retire doucement et arrache le préservatif, je peux m'apercevoir que la quantité de sperme est énorme.
Je lui propose d'aller nous doucher, chose qu'il accepte volontiers à la condition que nous soyons dans la même cabine, aucun risque que nous soyons séparés, ce sont des douches collectives.
L'eau qui sort de la douche commence à chauffer, et la vapeur commence à envahir la pièce, il vient se frotter contre moi, j'en profite pour lui caresser les pecs et finir par les abdos et son derrière musclé, quant à lui, il se colle contre moi et me roule une pelle monumentale, j'adore et me laisse aller à toutes les rêveries.
Je m'agenouille, alors que le jet de la douche nous inonde, et j'engloutis son sexe qui n'a pas totalement débandé, il reprend rapidement vigueur, je lui mordille le gland et j'alterne avec quelques gorges profondes, je lui lèche les couilles qui sont toujours aussi grosses et qui semblent toujours bien pleines.
Il me tient la tête et m'impose les mouvements, il va doucement dans un premier temps puis il accélère la cadence en m'enfonçant sa queue au fond de la gorge, parfois il est tellement violent que j'en ai des haut le coeur, après quelques vas et viens lents, il recommence à être un peu plus directif. Il me tient la tête bien ancrée sur sa bite et bien au fond de la gorge, je sens son gland qui frémis, il est proche de l'explosion, je le titille avec ma glotte, il ne se contient plus et voulant se retirer afin de jouir sur mon corps, je lui plaque les mains sur les fesses et l'empêche de se retirer tout en le laissant se dégager du fond de ma gorge, j'ai alors son gland juste sur la langue.
Il n'en peut plus il est à ma merci, je vais le faire cracher, je continue à le biberonner rapidement afin qu'il puisse venir, chose qu'il n'a pas fallu que j'attende trop longtemps, il se raidit et je sens sur ma langue une quantité astronomique de jus bien chaud et bien épais, il a bon goût, il est sucré, la quantité est tellement important que j'en avale une bonne partie mais en garde tout de même un peu dans la bouche, j'ai une petite idée.
Alors que lui savoure sa jouissance les yeux mi-clos, je me relève, m'approche de son visage et pose mes lèvres sur les siennes, il ne tarde pas à ouvrir sa bouche, j'en profite pour avancer la langue, nous nous embrassons goulument en échangeant les restes de sa semence que j'ai en bouche, il ne me lâche plus, sa langue tourne dans ma bouche pour un combat singulier avec la mienne.
Nous sortons de la douche tous les deux repus mais heureux, il se balade à poil dans le vestiaire, il commence à se rhabiller en enfilant son jock puis son pantalon de treillis bleu, il termine par son tee-shirt, ses chaussettes et ses rangers, il est super excitant dans sa tenue, si je m'écoutais je lui sauterai bien dessus une nouvelle fois.
Avant de sortir du vestiaire, il s'approche de moi et me roule une pelle comme pour un adieu. Il me demande si je suis contre le fait que nous puissions nous revoir, pas du tout c'est même plutôt un plaisir de me retrouver dans le bras de cette 8ème merveille du monde.
Nous nous échangeons nos numéros de portable avant de se séparer, nous sortons du vestiaire, c'est là que nos routes se séparent, avant d'avancer, il se retourne et me dépose un doux baiser sur les lèvres.
Quelques jours après j' ai reçu un sms me demandant de mes nouvelles, et si sa prestation m'avait bien plu.
Je lui ai répondu que j'allais bien depuis que j'avais reçu son sms et que toutes les prestations m'avaient totalement enchanté, que l'année prochaine je comptais bien sur sa personne pour refaire le père Noël et que s'il voulait faire une prestation complémentaire je n'y voyais aucune objection.
Depuis décembre nous nous sommes déjà revus au moins une 10aine de fois et comme toujours sa prestation est exceptionnelle, mais ceci sera l'objet d'une autre publication.
Plongeur144
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