Premier épisode | Épisode précédent
Nous sommes samedi soir et quelques amis me proposent d'aller boire un verre. Malheureusement je suis bien enrhumé (peut être que la séance d'observation sur mon balcon de l'autre soir y est pour quelque chose) et je n'ai vraiment pas la motivation pour sortir. Je décide donc de m'installer dans mon salon, sur le canapé, afin de regarder un bon vieux western. Malgré la qualité du film je ne tarde pas à somnoler puis à m'endormir complétement. Je suis réveillé à 3h du matin par une lueur se projetant sur mon visage, il s'agit en fait de la lumière du salon de mon jeune voisin qui vient de s'allumer. Je ne peux m'empêcher de regarder par la fenêtre ne serait ce que par curiosité. Apparemment la soirée fut bonne pour Samir puisque c'est accompagné d'une magnifique jeune femme qu'il vient de rentrer chez lui.
La fille semble être elle aussi d'origine méditerranéenne, cependant je ne saurai pas dire de quel pays, peut être une espagnol ou une italienne.
Le rebeu ne perd pas de temps et emmène directement la fille dans sa chambre. Aussitôt je me précipite sur mon balcon afin de connaitre la suite des événements. Heureusement pour moi Samir semble aimer faire ça la lumière allumé.
Les deux jeunes sont installés sur le lit se caressant le visage tout en s'embrassant langoureusement. Très vite l'instinct reproducteur naturel du bel Algérien prend le dessus puisque d'une main experte il ôte le t-shirt et le soutien-gorge de sa conquête. Une monstrueuse érection déforme le jeans de Samir, sa belle tige doit être terriblement opprimée à l'intérieur de ce pantalon serré. A la vue de cela, la jeune femme aventure doucement sa main sur le paquet du beur, elle semble impressionnée par la taille de la chose puisqu'elle glisse un sourire en coin au rebeu. Poussé par la curiosité sans doute, elle s'empresse d'ôter à la fois le t-shirt et le pantalon du jeune mâle. Le bel étalon se retrouve donc en boxer blanc Calvin Klein allongé sur son lit. Il bande tellement que le bout de son gland de beur circoncis dépasse de l'élastique. La fille pose sa main sur ce monstre de chair et semble jouer un instant avec ses boules à travers le tissu, du liquide pré-éjaculatoire coule maintenant de l'urètre du rebeu. Elle se décide enfin à baisser doucement le boxer du mec et j'étouffe un juron devant le spectacle qui s'offre à moi. La bite de Samir en érection est d'une beauté à couper le souffle. Elle doit faire au moins 22cm tout en étant d'une largeur impressionnante. Sa tige brun foncée est totalement droite et pointe vers son nombril d'une manière quasi géométrique. Le gland est gonflé au maximum est semble près à exploser, des goutes de précum coule le long de la large cicatrice de sa circoncision. Ses deux bourses sont gonflées à bloc, l'usine à sperme de l'arabe semble déjà s'être mise à tourner à plein régime. Samir va se caler au fond de son lit avec un coussin derrière la nuque et indique par un regard soutenu ce qu'il attend de la jeune femme. Sa conquête descend au niveau de ses cuisses et commence à les caresser doucement, même si cela me semblait impossible le sexe de Samir semble gonfler encore plus. Elle se baisse et embrasse le haut des cuisses du beau mâle tout en remontant doucement vers ses deux grosses boules contractées. La fille donne un premier coup de langue sur ces dernières et aussitôt une marée de liquide pré-éjaculatoire se déverse du gland du beur. Motivée par cette preuve d'efficacité elle prend maintenant la queue de son jeune amant à pleine bouche, elle est tellement grosse qu'elle ne peut qu'en avaler la moitié. Samir a les yeux clos et affiche une expression apaisée, il a croisé les mains derrières sa tête exposant ses aisselles à l'air libre. Inconsciemment son corps semble vouloir dégager le maximum de phéromone possible. La pièce doit être inondé de l'odeur du jeune homme en rut. Je n'avais pas remarqué mais le pantalon de la fille commence à être bien mouillé, elle n'attend surement que de se faire pilonner par le morceau basané du rebeu. Samir ondule maintenant du bassin et impose le rythme à la bouche de la fille. Il y va doucement mais la vitesse augmente petit à petit, l'animal semble être en train de se réveiller. Pris par une impulsion soudaine il sort de son état de transe, ses yeux noirs perçants fixe maintenant la jeune femme d'un éclat passionnée. Il s'empresse de descendre le pantalon et le boxer de cette dernière pour accéder à l'objet de ses fantasmes. Par des gestes précis et mesuré, quoi que trahissant l'excitation qui est la sienne, l'étalon donne du plaisir à sa compagne. Son érection toujours aussi puissante pointe vers le haut de son nombril. N'y tenant plus il se met à quatre pattes et avance son sexe vers le refuge chaud et humide dans lequel il souhaite se déverser. J'ai pendant ce moment une vue sur son postérieur galbé et légèrement poilu que j'aimerai tant pouvoir caresser. Samir commence donc à pénétrer doucement la jeune femme mais, tout de suite quelque chose ne semble ne pas lui convenir. Il glisse sa main dans le tiroir de sa table de chevet et sors un tube de lubrifiant dont il applique une bonne dose sur son sexe. J'avais lu que la circoncision rendait les arabes plus endurant mais je ne me doutais pas que cela asséchait le membre comme cela. Semblant enfin à son aise, c'est de large coup de boutoir que le beur assène maintenant à sa conquête. Samir a vraiment l'air de prendre son pied. Ils sont en position du missionnaire et j'ai une vue imprenable sur son dos puissant et sur ses magnifiques fesses se contractant au rythme de la pénétration. J'ai l'impression de voir un lion en train de se reproduire. Les mouvements du bassin de Samir sont régulier et semble quasiment réglé par automatisme, comme si le jeune homme était programmé pour cela.
Les positions s'enchaine et l'étalon fait preuve d'une résistance impressionnante pour un mec de son âge. Je ne sais pas si cela est du à la pratique ou au léger avantage propre aux hommes de son ethnicité. Samir est sur le ventre, la fille est sur lui et il la pénètre de plus en plus rapidement et profondément. Ils sont face à moi je vois donc parfaitement bien la tige du maghrébin rentrant et sortant de sa conquête. L'Algérien semble maintenant décider à se vider. Ses deux grosses dates sont gonflées au maximum, prête à déverser la semence chaude du jeune mâle en rut. Samir s'arrête, et retourne à la position dans laquelle il s'était fait sucer. Il doit vouloir en finir comme ça, certainement parce qu'il adore se faire sucer mais aussi sans doute que n'ayant pas mis de capote il ne doit pas désirer se vider au fond de la jeune femme et ainsi risquer une grossesse. Il prend la main de son amante et la pose sur son bâton bronzé. Sans doute habitué aux fragiles prépuces Européen elle commence d'abord par le masturber lentement, ce qui ne semble pas convenir au jeune beur qui lui prend le poignée pour lui imprimer un rythme plus soutenu.
Elle semble avoir compris et adapte sa technique. Elle se sert du liquide qui coule du gland afin de pouvoir lubrifier sa queue. Caressant ses bourses de l'autre main elle réchauffe de ce fait la semence de Samir qui la fixe maintenant avec un regard vague. Il est totalement drogué par le plaisir.
Soudain, il est pris d'un spasme. Ses pieds se ferme tandis que ses cuisses et ses mollets puissants se contractent. Tout son corps n'est maintenant que muscle et sueur. Ses mains s'agrippent au bord du lit, ses yeux noirs ardents semblent implorer la jeune femme d'arrêter. Comme si le plaisir était trop intense, presque insupportable. Sa tige circoncise est gonflée à son maximum, son gland est un noeud de plaisir suintant abondamment de mouille. Dans un dernier effort, ses grosses bourses basanée et orientales se resserre au maximum. Samir a maintenant les yeux révulsés. Il ne contrôle plus rien. La jeune fille va de plus en plus vite, elle y met toute sa technique et son expérience. N'y tenant plus l'organe reproducteur du maghrébin se lâche et Samir tombe dans ce moment de faiblesse ultime qu'est l'orgasme. L'éjaculation est impressionnante. C'est d'abord un petit peu de sperme qui déborde du gland du beur pour couler le long de sa tige et atterrir sur son pubis. Le jus blanc contraste avec la couleur foncée de sa peau. Ce sont ensuite de puissants jets qui sortent en rafale du volcan en fusion qu'est la queue du rebeu. Samir est complétement révulsé, il est arc bouté, sa queue circoncise pointe vers le plafond. Le liquide chaud et crémeux se répand partout, aussi bien sur les abdos et les pecs du beur que sur les draps et le mur. Ce ne sont pas moins de 8 jets qui vont s'écraser tout autour de lui, je n'ai jamais vu une telle quantité de jus. La capacité génétique de production de l'usine de cet étalon arabe est hors du commun.
L'explosion de plaisir s'arrête enfin et les muscles de Samir se relâchent. Il arbore maintenant un sourire béat qui lui donne des airs d'ados amoureux. Son regard exprime un remerciement sincère envers celle qui a su l'aider à se vider entièrement. Sa queue basanée encore recouverte du précieux liquide se dégonfle peu à peu. Samir ne semble pas se soucier du sperme répandu un peu partout autour de lui. Certainement une manière de marquer son territoire. Exténué par l'exercice, l'Algérien prend doucement sa partenaire dans ses bras et la serre contre son corps nu et mat débordant de transpiration et de testostérone avant de tomber paisiblement dans un sommeil réparateur
Licko
Autres histoires de l'auteur : Un rebeu chez le dermato | Les deux potes rebeux | Mon voisin le rebeu
