Je vais commencer par me présenter, je m’appelle Cédric. Je suis un aide-soignant de presque 30 ans. Je vais vous raconter ce qui m’est arrivé il y a quelques mois dans mon service hospitalier.
Cette nuit-là, je n’avais pas envie d’aller bosser. J’étais fatigué de la semaine et la chaleur de l’été rendait le travail encore plus pénible. Le téléphone de l’infirmière sonna vers 23 h 30. Une entrée sans aucun doute, ce patient viendra remplir la dernière chambre qu’il nous restait.
- Encore un alcoolique ! Me dit-elle blasée.
- Quel âge ? Dis-je, curieux de savoir si j’allais voir une habituelle personne âgée débarquée.
- 38 ans. Homme avec risque de passage à l’acte. Il a aussi pris des médicaments.
Dans ma tête, je me demande à quoi il ressemble. Mes questions doivent paraitre le moins intéressées possible, personne ne sait que j’aime les hommes. Je suis très discret et d’apparence virile par ma carrure et ma pilosité.
- Je vais préparer la chambre pour le transfert de lit, lui dis-je en sortant du bureau de transmissions.
Quinze minutes plus tard, je vois un homme arrivé en fauteuil plutôt qu’en brancard. Il est saoul mais pas assez pour ne plus pouvoir marcher. Le brancardier me tend le dossier. Le patient se prénomme Gregory. Il a les yeux rouges et la mine triste. Je lui lance un bonjour auquel il ne répond pas. Il se lève, tant bien que mal, et manque de s’écrouler. Je le colle à moi pour avancer, un bras sous l’épaule gauche en guise de soutien.
- Merci, mec. Sans toi, je me serai fait encore plus mal au dos, me remercie-t-il dans des vapeurs d’alcool qui aurait réveillé un mort.
- De rien, je ne fais que mon boulot. Je vais vous installer au lit et vous servir à manger.
- Je n’ai pas faim, s’écrie-t-il soudainement.
- Votre glycémie est basse d’après mes collègues, je dois donc vous donner du sucre lent pour tenir la nuit. Avec ce que vous avez bu, c’est plus que nécessaire.
Le brancardier nous souhaite une bonne nuit en regardant le patient, ce dernier a le comportement de quelqu’un qu’on devra surveiller avec attention au risque de le retrouver au sol.
Il porte toujours ses vêtements qu’il a remis sur lui à la place de la tenue d’hôpital. Je sais qu’il va falloir négocier qu’il retire le tout afin d’éviter les fugues et tout danger potentiel telle la pendaison avec sa ceinture, entre autres. Un repas chaud me permettra surement d’obtenir plus de lui que si je l’agressais directement.
Une demi-heure a passé. Son repas à moitié englouti, il me remercie de l’avoir sustenté. Je vais donc pouvoir commencer la négociation.
- Monsieur, je dois vous demander de vous changer, car vos vêtements sentent l’alcool. Puis-je vous aider à les retirer ?
- Euh… oui, si tu veux, me tutoya-t-il naturellement.
- On va commencer par votre gilet puis votre t-shirt. Je mêle les gestes à la parole et le patient debout devant moi me tourne le dos. Il doit se tenir à la barre des pieds du lit pour garder la position. Il mesure 20 centimètres de moins que moi qui suis très grand. Cela me plait.
- Doucement, s’il te plait ! J’ai le dos en compote, se plaint-il de nouveau.
- Vous êtes tombé après avoir bu ?
- Non, c’est une douleur suite à une altercation en prison. Ça fait 6 ans que j’en suis sorti et j’ai toujours mal.
- Vous avez fait quoi pour aller en prison ? Lui — demandais-je surpris.
- Conduite en état d’ivresse et vols. J’ai passé 9 mois là-bas. J’ai perdu ma femme, qui me cocufiait, et mes deux enfants qui refusent de me revoir depuis.
- Ça doit être compliqué pour vous et boire est votre façon d’oublier ?
- Oui, c’est à peu près ça. Je vis depuis auprès de mes parents qui sont malades. Et je n’en peux plus, j’ai beaucoup de mal à me faire à la situation.
Je vois qu’il est sur le point de pleurer. Je lui propose donc un massage du dos afin de le détendre et qu’il pense à autre chose.
Je débute par les épaules. Il est très tendu. Son dos est imberbe, quelques grains de beauté par ci par là. Je pulvérise de l’huile de massage entre ses omoplates. Il a un léger mouvement vers l’avant.
- Je suis désolé, c’est un peu froid, m’excusais-je.
- Non, ce n’est pas ça. Vos mains me font plus d’effet que ma femme pendant nos 15 années de mariage.
Je fais celui qui n’a pas entendu et replace mes mains sur ses épaules, il gémit. Je descends dans son dos et il parait vraiment détendu maintenant.
- Monsieur, vous devriez prendre une bonne douche avant de dormir, la salle de bain et les toilettes sont derrière cette porte.
- Accompagne-moi ou je vais tomber, me demande-t-il d’une voix plus agréable qu’auparavant.
- OK.
Nous nous dirigeons vers les w.c. en premier, je lui tiens le bras, car il veut uriner debout et il n’arrive pas à enlever sa ceinture. Je tends directement ma main pour ouvrir cette dernière puis j’ouvre sa braguette et descend son pantalon jusqu’à ses genoux.
Il sort un sexe de 10 centimètres, dont j’aperçois l’épaisseur. Cela occupe mon esprit le temps qu’il urine. Il le rentre ensuite machinalement.
- Vous savez, la douche est juste là. Déshabillez-vous maintenant, je règle la chaleur de l’eau.
Gregory ôta ses vêtements, d’abord les chaussettes, puis le pantalon et me regarda dans les yeux avant de descendre son boxer gris. Je découvre son sexe avec une fine pilosité au pubis, un prépuce entre ouvert qui montrait un gland rose foncé. Ses 10 centimètres reposaient sur une paire de testicules qui semblaient lourdes. Il tira dessus avant d’aller sous la douche.
Il est de nouveau dos à moi, ses fesses sont magnifiques et son corps également. Il doit plus boire que manger pour avoir un torse si svelte, de fins abdos et un nombril peu profond. La forme en V qui descend sur son sexe a attiré mon regard de célibataire.
- Je peux vous nettoyer le dos si vous voulez ? Osais-je demander au risque d’être rejeté. La situation commençait à me chauffer la queue.
- Ouais, vas-y.
Je saisis un gant que le mouille sous le jet de la douche chaude et commence mon travail de nettoyage. Je redécouvre sa nuque, son dos et je laisse libre cours au savonnage de ses fesses imberbes. Je passe le gant dans la raie de ses fesses. Il ne dit rien. Je touche son trou fermé à double tour et continue sur l’arrière de ses jambes en me mettant accroupi. Dans un mouvement que je pense involontaire, il se tourne vers moi. Je tombe nez à nez avec son sexe qui a profité de la douche pour grandir sans pour autant être à son maximum.
- Whooo doucement ! Vous allez me crever un œil ! ! Dis-je en rigolant. J’en profite pour me relever. Il sourit.
- Ça ne risque pas, elle est endormie là, me répondit-il en commençant à s’essuyer.
- Rien que vos boules auraient pu me mettre K.O. Plus sérieusement, pour en revenir à votre problème, j’ai l’impression que vous pensez beaucoup aux autres, mais peu à vous.
- Oui, c’est vrai, dit-il. Je ne prends pas soin de moi.
- Si je puis me permettre, vous devriez faire la vidange de temps en temps, en plus ça éliminerait pendant un temps vos douleurs.
- La vidange ? S’étonna-t-il alors qu’il essuyait son paquet.
- Oui… la masturbation quoi !
- Je ne le fais jamais, déclara-t-il tristement.
- C’est un tort. Comment vous avez fait pour tenir 9 mois en prison ?
- On était obligés de trouver des solutions là-bas. Pas le choix.
- C’est-à-dire ? Je fis l’idiot pour le faire parler plus de son expérience.
- Bah… il y a pas mal de mecs qui cherchent à sucer ou se faire prendre le cul. Ce n’était pas pareil qu’avec ma femme, eux au moins, ils bougeaient bien du boule !
- Aucun souci, chacun est libre de faire ce qu’il veut. Je ne vous juge pas.
- Merci, vous avez une bonne écoute. C’est facile de parler avec vous.
- On va aller dans la chambre, je vais vous passer la chemise de l’hôpital avant de vous laisser vous coucher.
- On peut encore parler un moment ? Ou si vous avez le temps de me masser encore un peu, ça me changerait les idées, dit-il en enfilant sa chemise fine.
- D’accord, je vais juste prévenir ma collègue que je discute avec vous au cas où un autre patient sonnerait.
Je prends alors 5 minutes pour reprendre un air professionnel. Ma collègue me dit que le service est calme et que j’ai tout mon temps. Je lui explique que le patient a pris une douche et que j’ai récupéré ses affaires. Je les lui dépose et elle reprend son travail sur l’ordinateur.
- A toute à l’heure, prends ton temps ! Enchaîna l’infirmière.
Je frappe à la porte. Gregory me dit d’entrer.
- Tu en as mis du temps ! Me lance-t-il. Il était étendu sur le lit, pour seul vêtement que celui enfilé un peu plus tôt.
- Bon, on continue ce massage, j’ai vingt minutes devant moi.
- Tu as déjà massé l’arrière, tu peux me masser devant maintenant ?
- Oui, pas de souci. Je peux vous enlever la casaque ?
- Arrête de me vouvoyer, on doit presque avoir le même âge, me dit-il avec son boxer gris pour couvrir son anatomie virile.
- Bon d’accord. Je me mets à genoux le long du lit et commence à lui masser le torse, je m’attarde sur ses tétons, doucement. Ils commencèrent à durcir. Je prolongeai les mouvements de mes mains sur son ventre. L’alcool devait l’avoir affaibli à cet endroit, un rictus de douleur vint s’afficher sur son visage.
- Je te fais mal ?
- Un petit peu. Mais avec l’huile de massage, ça va me soulager.
Je remets donc de l’huile et appuie plus délicatement sur son ventre avec mes deux mains. Les cercles que j’exécute stimulent ses abdos et viennent à passer sur son pubis coupé court.
- Vous devriez retirer votre boxer, l’huile va le tâcher, dis-je excité intérieurement.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Il relève les jambes et me montre sans le vouloir son anus velu. Cela m’émoustille de plus en plus. Il retrouve la position allongée. Son sexe au repos est couché sur sa jambe.
- Je finis votre ventre et ensuite j’aimerais que vous repensiez à ce dont je vous ai parlé tout à l’heure après la douche.
- C’est-à-dire ? me dit-il en se rapprochant de quelques centimètres du bord, manquant de me toucher le visage de son sexe. Il est surpris de mon mouvement de recul.
- De prendre du temps pour vous faire plaisir… de penser à vous…
Son regard est figé dans le mien, je sais qu’il m’appartient et que son désir ne va faire que grandir.
Gregory porte la main à sa verge qu’il décalotte me laissant seul témoin de ce spectacle bandant. Mon boxer doit commencer à être humide tant la situation me fais rêver.
Les vas et vient s’accélèrent sur son sexe qui a doublé de volume. Deux belles veines épaisses montaient de la base jusqu’à son gland turgescent. La pression sanguine lui donnait une teinte violette foncée. Il fermait dorénavant les yeux. Je ne savais pas quoi faire, j’étais gêné d’être là en tant que professionnel de santé, mais en tant qu’homme qui aime les hommes, je me savais chanceux d’être présent dans cette chambre. Le stress que ma collègue puisse rentrer à tout moment se mêlait à mon excitation. Je ne devais pas être le seul à ressentir ça. Gregory soufflait tant la cadence le menait sur le chemin de la jouissance.
Il se rapprocha encore de moi d’un mouvement de bassin vers la droite et arrêta sa masturbation. Le rideau venait-il de se baisser ?
- J’aime pas le faire moi-même, tu peux m’aider ? Allez s’il te plait, t’es doué de tes mains… Me dit-il sensuellement.
- Et pas que de mes mains, d’après ce qu’on m’a dit, dis-je d’un air malicieux.
J’approchai ma main de son membre gonflé à bloc. Une épaisseur pareille me donnait envie de plus, mais je n’osai pas. Il se rapprocha dans un ultime geste au plus près du bord du lit, son sexe à quelques centimètres de ma bouche. Je me laissai enfin tenter. Son gland bien dur gonfla sur ma langue chaude, je suçais comme si je n’avais pas sucé depuis des mois. Il trouva sa place en frottant sur mon palais, mes lèvres charnues épousaient les 15 premiers centimètres de sa queue. Ses gémissements se faisaient de plus en plus forts. Je tirai sur ses boules après l’avoir vu faire. Ses tétons passés au crible, il n’en pouvait plus.
- Putain, tu es doué ! On ne m’a jamais sucé comme ça ! S’exclama-t-il. Viens avec moi sous la douche et je vais t’élargir la rondelle, tu vas couiner ! Me dit Gregory en mode actif dominateur.
- Je n’ai plus que trois minutes avant de devoir retourner bosser. Tu vas devoir éjaculer vite fait, sinon ma collègue va venir me chercher.
Il accéléra la cadence de sa bite dans ma bouche, je la gobais entièrement, les larmes perlant aux coins de mes yeux, mais j’aimais cette sensation de gorge profonde. Ses boules dans ma main droite et l’autre sur sa tige, je l’astiquai avec passion. Soudain, il me dit qu’il allait venir, je redoublai d’efforts pour le satisfaire et sa semence vint garnir mes papilles. Je pressai sa bite jusqu’à la dernière goutte. Son front était en sueur, je dirigeai mes lèvres vers les siennes et poussa une faible quantité de son sperme dans sa bouche.
- Tu es sauvage toi, déclara-t-il apaisé de la vidange que je venais de lui procurer.
- Ouais, mais je bande à mort là, tu ne vas pas me laisser comme ça ? Suce-moi pendant une minute, ça sera toujours ça de prit.
Gregory baissa l’élastique de mon pantalon blanc et une goutte de pré cum pointait au bout de mon gland déjà bien gonflé. Il lécha ce liquide épais et avala ma verge à son tour. Mes dix-huit centimètres vinrent buter contre sa glotte. Il n’avait pas l’habitude de sucer, mais s’appliquait. La minute passa, une deuxième la suivit et les autres minutes ne comptèrent plus jusqu’à ce que je jouisse sur son visage et son torse, mes boules se faisant lustrer par sa langue jusqu’à l’extase.
Gregory me demanda de revenir dans la nuit pour un deuxième round et nous avons remis le couvert, nos bourses désormais vides.
J’espère que cette première histoire vous a plu, à bientôt pour de nouvelles aventures.
Cédric95
liam815@gmail.com
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