Mon téléphone vibrait et je voyais ce logo jaune facilement reconnaissable par la plupart des gays de ma génération sur mon téléphone. J'attendais à vrai dire avec impatience un message de Hans, le séduisant quadra avec qui j'avais copulé la nuit dernière. Hans était d'origine allemande, plutôt petit mais très bien bâti et avec beaucoup de charme. En une nuit j'avais réussi mon but : le rendre accroc !
Je n'ai pas tellement de mérite, je suis parfaitement son type, un jeune minet brun, mignon et très coquin. Je ne me considèrerais pas comme beau, ce terme étant je pense réservé à une certaine élite esthétique, mais j'avais un corps qui transpirait le sexe : une jolie frimousse, un corps fin, mais bien dessiné, de belles proportions, des cuisses fermes et des mollets musclés. Mère nature m'a aussi bien gâté tant au niveau des fesses avec un très joli petit cul que de l'entrejambe ! Bref, je me sers de mes armes naturelles pour obtenir ce que je veux, un Daddy !
Mais je chercher un Daddy de première classe, avec de la culture, de l'intelligence et une bonne situation, le tout avec un charme que seuls les hommes matures peuvent avoir. Hans habitait l'un des derniers étages du Park Palace à Monaco, une résidence avec vue sur le casino de Monte-Carlo où les prix avoisinent les 80 000 € au mètre carré, cette seule adresse avait déjà commencé à m'exciter. Cet argument me convainc d'aller le visiter dans son humble demeure et je ne fus pas déçu.
Hans m'accueillit amicalement chez lui tard le soir même pour faire plus ample connaissance. Le courant passa tout de suite et on parla de tout et de rien, des Hommes et même un peu de sexe, mais je sentais qu'il n'était pas à l'aise qu'il était un peu stressé et paraissait presque timide. Voyant qu'il n'allait pas faire le premier pas, je lui caressais la cuisse pour voir sa réaction. Il me sourit et nous avons commencé à nous embrasser. Ma main remonta sur son pantalon pour toucher ce qui m'intéressait. Il était assis sur le canapé et je m'asseyais face à lui sur ses genoux. Notre baiser commençait à devenir intense et je décidais d'enlever le haut et il fit de même. Il me porta pour rejoindre la chambre à l'étage du dessus, me mit sur le lit et enleva mon pantalon et le sien. Je me relevais pour pouvoir sucer sa bite par dessus son caleçon.
J'aime la sentir cette odeur de mâle et de bite, voir son caleçon devenir humide et son chibre grossir. Elle était toute belle et d'une belle taille, mais surtout très large, quel bonheur ! Son gland était particulièrement proéminent et je commençais à jouer avec, à le mettre dans ma bouche, à l'embrasser langoureusement comme une sucette et à lui rouler des pelles. Je sais qu'il aimait ça, alors je mis les deux tiers de sa bite dans ma bouche en la pompant tendrement tout en le regardant dans les yeux. Je lui caressais les tétons quand il se mit à mouiller dans ma bouche ! Hummmm.
Je le poussai pour qu'il se couche sur le lit. J'étais tellement excité que j'en voulais plus, qu'il me prenne et me pénètre de toute sa longueur, que je le sente à l'intérieur de moi. J'étais tellement excité que j'étais littéralement ouvert, mon cul voulait de la bite et allait en avoir. Il était maintenant assis sur le lit, le dos sur la tête de lit, alors je me mis à califourchon face à lui. J'avais maintenant son chibre dans ma petite chatte qui brulait littéralement de désir. Je sentais ses poils sur mon cul et j'adorais ça. Alors je commençais à agiter mon cul sur lui, je faisais des va et viens, soit je me cambrais vers lui pour pouvoir l'embrasser, soit je me penchais en arrière pour la sentir entièrement en moi. Il me prenait par les hanches et je lui caressais les pectoraux. Il se leva pour me prendre en missionnaire, il m'écartait les jambes avec les bras et commença à me marteler le fion. Je sentais que ça tapait le fond, qu'il était en train de m'ouvrir en deux avec son glaive. On était en parfaite harmonie, sa bite et mon trou ne formait plus qu'un, ils avaient fusionné. Il savait être à la fois doux et rude pour dompter une jeune petite pute rebelle comme moi. Et il commença à faire des bruits de bête, de plus en plus fort, avant de me féconder et de me remplir le trou. Je sentais sa semence en moi, ce foutre chaud qui me recouvrait les parois.
Il enleva son sexe pour le remplacer par ses deux doigts, j'étais couché sur le dos le cul dégoulinant de sperme et je devenais un objet sexuel. Il me branlait tout en me doigtant, de temps en temps il reprenait son doigt pour lécher sa propre semence et me la faire gouter. Je jouis si fort que j'ai réussi à me mettre du sperme sur le visage. Il me lécha en commença par le bas avant de remonter jusqu'à ma bouche pour m'embrasser langoureusement puis il me fit signe que je n'avais pas encore terminé alors je m'agenouillai pour nettoyer ce membre qui m'avait donné tant de plaisir.
Elle était maintenant toute propre et déjà prête à repartir !
BigBlue
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