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Chapitre 4
Bonjour à tous, voici ma 4eme chronique ! Merci d'être toujours plus nombreux à me lire, cela me touche beaucoup. N'hésitez pas à utiliser mon mail afin de communiquer à propos de mes chroniques, je vous répondrai avec plaisir.
Lors de la dernière chronique, la troisième donc, nous nous étions arrêté à ma rencontre avec B.
Monsieur B m'avait littéralement baisé comme une chienne, et le plus surprenant, c'est que j'avais aimé cela. Sentir sa grosse queue raide dans mon cul vierge m'avait excité au plus haut point. L'entendre m'insulter, me fesser, me baiser comme si j'étais son vide-couilles préféré… bref, j'aimais appartenir à un homme mûr, que ce dernier me salisse sans ménagement.
Après cette expérience, je resta quelques temps dans la région, et le tableau n'était pas glorieux. Je crois avoir vidé la moitié des couilles des mecs de mon village, alors qu'ils se revendiquent hétéros et détestent les pédés bien évidemment, j'essayais tant bien que mal de m'amuser un peu. Mais ce n'était guère transcendants. Des plans rapides, et des queues qui gonflaient aussi vite qu'elles dégonflaient cela ne tarissait pas mon envie de queues. Si je baisais avec B assez souvent, j'avais aussi envie de nouveauté, et de voir autre chose. Et la chance décida alors de me sourire.
Je faisais défiler les profils lorsqu'un profil me tapa dans l'oeil. L'annonce était assez explicite. « Homme mûr cherche petite salope pour lui vider les couilles sans blabla.» Monsieur F correspondait à mes critères, 50 ans, plutôt costaud, une grosse queue avec un joli gland, une belle paire de couilles, des poils, viril, dominateur, c'était ce que je voulais. Il ne voulait pas de blabla, donc je lui ai direct demandé s'il était dispo, et il m'envoya son adresse. Je fus chez lui très rapidement, et je sonna. Il vint m'ouvrir, et il correspondait aux attentes, encore plus viril que dans ma tête. Très vite il m'amène vers le salon, s'assoit, défais son pantalon et garde son slip gris, les jambes écartées.
«Commence par lécher mon paquet à travers mon slip petite pute.»
Je m'exécuta rapidement. J'aimais son attitude, son aura de mâle dominant. Je me mis à genoux et je commença alors à lécher timidement son sexe, qui gonflait rapidement sous mes coups de langue. Son slip devenait humide, je prenais un malin plaisir à baver dessus, pour lui montrer à quel point j'aimais sa queue. Il me poussa alors pour enlever brutalement son slip et me laisser faire montre de mes talents de suceur.
«J'aime quand ma queue sent fort, j'espère que tu aimes.»
Sa queue sentait très fort, un mélange d'urine et de sperme. Je le soupçonnais d'avoir pissé et de s'être branlé juste avant. Et le pire dans tout cela ? C'est que j'adorais cette odeur. J'ai longtemps reniflé sa queue et ses couilles, avant d'accueillir le tout dans ma bouche. La queue de Monsieur F était honorable, un bon 17 centimètres, mais large avec un gros gland. J'adore les gros glands qui jutent beaucoup. Je commença alors à lécher le bout de son gland, avant d'avaler son sexe sur toute la longueur. F commença alors à pilloner mon gosier. Il baisait ma bouche, son gland tapait sur ma glotte, j'avais les larmes aux yeux mais j'adorais ça. Il m'insultait copieusement, et je tentais de lui procurer le plus de sensations en serrant mes lèvres autour de son sexe, tout en faisant tournoyer ma langue sur son gland humide. Son liquide pré-séminal était un délice, je le buvais avec plaisir, et F continuait à baiser ma bouche avec vigueur.
Je pris aussi ses couilles dans la bouche, et son paquet me remplissait totalement.
Ses couilles puaient le mâle, l'homme mûr qui aime la baise, et je les suçais puis bavait dessus avec envie, j'aimais appartenir à cet homme, il dégageait beaucoup de choses. J'arrivais au bout de quelques temps à avaler son sexe entièrement sans aucun problème, je léchais l'entièreté de sa queue avant de l'avaler et d'enchaîner les vas-et-viens afin de procurer un maximum de plaisir à ce mâle dominant.
Soudain, F retira son sexe et me retourna. Il baissa mon pantalon et me fessa violemment, avant de pousser son gland en moi sans aucune tendresse. Il me déchira le cul. Littéralement. Je cria, et F m'intima de fermer ma gueule de salope. Je me tus alors, et ce dernier commença à enfoncer l'entièreté de son sexe dans mon cul. Il me salissait de l'intérieur, me souillait, et encore une fois j'en était fan, j'adorais lui appartenir. Il continuait à me démonter sans faiblir, tout en crachant de temps à autre sur sa queue. F pouvait maintenant entrer et sortir sa queue de mon cul sans problème tellement j'étais dilaté, c'est dire à quel point il m'avait écarté la rondelle. F continuait à m'insulter, à me fesser, à me baiser. J'étais littéralement son vide-couilles. Il me baisa en levrette, et ses couilles claquaient contre mon cul, je gémissais de plaisir sous ses coups de reins, j'aimais me faire baiser par sa queue de mâle.
Sa queue quitta alors mon cul, et il m'attrapa par les cheveux pour me retourner et m'enfoncer sa queue dans ma bouche, jusqu'à la garde. Avant que je comprenne ce qu'il m'arrivait, 4 gros jet de sperme chaud vinrent s'écraser sur ma glotte, et j'avalai le tout avec difficulté. Je me surpris à aimer sucer cette queue venant tout droit de mon fondement, je suçais ce sexe humide m'ayant fouillé pendant une quinzaine de minutes, sans broncher, et en y prenant du plaisir.
F finit par sortir sa queue après un bon nettoyage, se rhabilla et me laissa 5 minutes avant de me remettre de mes émotions, avant de m'indiquer le chemin de la sortie. C'était bien ce qu'il avait expliqué, pas de blabla, un vide-couilles et au revoir. Et je crois que c'est ce que je préfère.
Merci de m'avoir lu. Encore une fois, si vous voulez réagir : jeune25@laposte.net
Jeune25
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