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HISTOIRE

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Autoroute A10

Il fait nuit. Je roule à vive allure. Cette journée d'août a été chaude. La température ne redescend pas vraiment. La vitesse me grise, j'ai envie de sensations fortes. 

Je reviens de la plage et rentre chez moi à 2h de route. Cette plage est celle de la Palmyre. Le nom évoque l'Orient...une très ancienne reine... Le lieu offre tous les délices de l'exotisme. Certaines portions de la grande étendue bordant la mer sont réservées à des personnes assez libres pour oser enlever leurs vêtements, les uns après les autres, et ne garder que la trace éventuelle, blanche, d'un tissu ayant caché le reste de l'année des attributs parfois impressionnants. Les couples se prélassent sur le sable. Le soleil cuit la peau. Les mains glissent à travers les sillons et cherchent le frémissement de cette chair entièrement détendue.

De petites dunes, en arrière plan, couvertes de chênes et de pins, surplomblent cette étendue de parasols. Là l'ambiance est toute autre. Dans la pénombre, des corps nus, masculins, principalement déambulent au milieu des arbres et des bosquets. Ils cherchent. Ils marchent, s'arrêtent aux aguets, dans l'espoir d'une proie à regarder, parfois approcher. Selon la chaleur, les yeux qui touchent se changent en doigts et parfois même la victime est partagée. Car il ne faut pas s'y méprendre, la proie est tout autant prédatrice...elle aime consommer autant que l'être...

C'est tout à ces réflexions, à ces souvenirs d'une journée si chaude et si charnelle, que j'avance dans la nuit, au volant de mon véhicule filant. Je n'en peux plus, j'ai encore faim ! Je ne suis pas vraiment  passif mais là je sens une tension dans mes reins qui me démange et me donne envie d'être culbuté sauvagement. Tout du moins dans mon imaginaire. J'ai déjà consommé aujourd'hui mais très simplement; caresses, suces et branle au milieu des bois, sous les regards de passants temporaires.

Je décide de m'arrêter à la prochaine aire de repos ! Il n'y a pas grand monde sur la route, il est 23h, je fantasme déjà en imaginant de sexys routiers virils mais sait très bien que tout ça n'est que dans ma tête. C'est pas grave, je vais m'astiquer un bon coup et je pourrai repartir bien décontracté.

Clignotant à droite. Petite aire. Effectivement seulement quelques camions à l'arrêt, dans le noir complet, pas une voiture, pas un bruit. Je me gare. 
Pourtant l'aire est stimulante. Il fait chaud, le ciel dégagé luit de ses étoiles, on entend des grillons, des tables sont disposées à quelques endroits, prêt d'arbres ou de buissons. Le lieu dispose de nombreux recoins sombres mettant mes pensées en ébullition. Je vais déjà pisser et voir si quelqu'un n'attend pas... L'éclairage blafard montre des toilettes désertes. Je sors ma queue, pas très longue mais épaisse, avec une jolie paire de couilles, tondues, tout en gardant la toison brune au dessus du chibre. Je suis à l'urinoir, le fait d'être exposé m'excite. Je baisse par provocation, doucement, mon bermuda, sur le dessus de mes fesses. Ces dernières, même si elles servent peu, ont toujours reçu les félicitations et les mains du public. Elles sont particulièrement rebondies au point où j'en avais un vrai complexe à l'adolescence face aux réflexions sur ce "cul de négresse" qui me mettaient très mal à l'aise.( L'expression est affreuse mais c'était les années 90). Depuis à presque 40 ans j'ai su savourer ce potentiel...

La musique de l'espace m'empêche de me concentrer. Je trouve surtout dommage d'être si près de mâles potentiels et de ne pas en profiter. Je ne sais pas du tout comment m'y prendre mais je vais tâcher de surmonter ma peur et d'aller tourner au pied des cabines voir si un poilu veut m'inviter à monter, sa grosse pine à la main !

Je sors des toilettes, emprunte un petit chemin et prêt à traverser la route, une voiture me coupe devant ! En ce quart de seconde, j'ai eu l'impression d'apercevoir un homme, seul m'a-t-il semblé, passer très rapidement et qui va maintenant se garer à une place de ma voiture. Je me sens complètement con. Je ne peux pas continuer tout droit vers les camions et fouiner autour alors qu'une personne vient de s'arrêter.
Je retourne donc tranquillement à ma voiture. L'homme est descendu, effectivement seul et au lieu d'aller aux toilettes comme je m'y attendais, il se fume une cigarette. Bon, petite pause clope. Je vais faire celui qui se détend aussi, je regarde les étoiles et me balade vers les tables en attendant qu'il reparte et que je mette mon plan à exécution. Le temps passe. Il se balade aussi en fumant... 

Je décide de me diriger quand même vers les camions car l'un d'eux vient d'arriver et j'ai crû distinguer un beau brun trentenaire et surtout torse nu qui vient se garer. Je me balade toujours près des bois et ne peut pas vraiment approcher. Je vois mon chauffeur descendre, juste vêtu d'un petit short et j'ai l'impression qu'il parle à un autre routier. Mais je suis trop loin pour arriver à bien voir.
Un craquement derrière moi ! Le fumeur passe tranquillement. Je prends à nouveau mon courage à deux mains et tente une approche :
-  il fait chaud encore ce soir... (C'est bidon mais sur le moment je ne trouve rien d'autre....)
- oui oui...me répond-t-il..je viens de Toulouse (humm la ville rose) et c'est encore plus chaud...
-ah oui ?! suis-je en train de baver mentalement.
- Oui il a fait pas loin de 37 degrés..

Et merde c'est un hétéro ! Il n'a pas saisi la perche malgré mon visage rouge d'émotions. C'est dommage, il avait une belle allure, et à le voir de plus près, je distingue un homme bien bâti, la cinquantaine, des lunettes soignées sous des cheveux ébouriffés, plutôt joli mais pas du tout cette étincelle vicieuse dans le regard... 

Je m'éloigne un peu et tente de voir ce que devient mon beau routier. Il parle finalement avec un collègue, très virilement et je sens que mes fantasmes vont rester dans ma tête.
Je fais demi-tour et vois mon fumeur assis sur un banc de table à pique-nique, me regardant sans insistance, mais me regardant quand-même alors que j'espionais. Je me dis, allez courage, tente encore !
- Excusez-moi, auriez-vous une autre cigarette sur vous par hasard ?
- Bien sûr. Tiens. (On se tutoie donc...) 
Je m'assois à côté de lui, en mode identique, viril, bien hétéro, les cuisses grandes écartées, les coudes en arrière sur la table, la clope au coin de la bouche. 

-Tu matais quoi là bas ? ( Oh merde, je perds toute contenance) Les routiers c'est quasiment que des étrangers maintenant! ( ouf. oui oui, c'est ça, je regardais l'invasion polonaise, bien sûr) Après je sais pas si c'est toujours vrai ce qu'on raconte...sur les routiers...
Oh putain, je sens à nouveau mon visage cramoisir, mon corps trembler et j'ai du mal à balbutier : 
-Qu...quoi ? Qu'est-ce qu'on...?
- Ben tu sais bien...un peu comme les marins...une femme dans chaque port ( et merde encore une remarque hétéro), sauf que sur la route il y a moins de femmes.
- Ah oui, c'est vrai... (je vais exploser sous l'afflux sanguin, et le pire c'est que tout se gonfle et tremble, mon visage comme ma teub qui cogne distinctement sous mon bermuda !)
- Heureusement ils arrivent toujours à se vider les couilles paraît-il, soit entre eux ou mieux,  ya toujours une ou deux pseudo femelle sur les aires qui sont prêtes à les vidanger...
Cette remarque fait exploser mes hormones, je baisse instinctivement les yeux sur son short mais je ne distingue rien. Merde ! 
Mais lui a capté mon regard. Re-merde ! Il continue : 
- Mais on dirait que c'est mon jour de chance hein, c'est moi qui t'ai déniché en premier...
- Co.. comment ça ?
Il met soudain brutalement la main sur mon paquet.
- Tu bandes bien mon cochon à ce que je vois !! Je crois que tu as tout compris ! Détend bien ta mâchoire maintenant. Ta bouche va travailler.

Je n'ai pas le temps de répliquer qu'il m'attrape par le cou, doucement mais fermement et pose ma tête sur son entrejambe.
Je suis tellement excité que plus rien ne compte. Ni les routiers, ni les voitures qui pourraient arriver, ni même ma dignité.

- À genoux. Merci. Défait mon fut'...
J'ouvre le short et le fais glisser à ses pieds. Je relève la tête et aperçoit sa bite moulée dans son slip blanc. Il a des cuisses épaisses et peu poilues. J'ai tellement envie de le sucer, de l'avoir lui en bouche, ici, obéissant. Je suis un peu déçu du petit paquet caché. Il baisse lui-même son slip pour offrir sa verge molle. Elle est posée sur deux grosses couilles, bien poilues pour le coup, avec un gland plutôt gros étonnamment, et un corps assez large, d'une belle couleur brune. Finalement elle a plutôt belle allure.
- Approche ta tête... ( Je suis un peu sur mes gardes) tu es venu là pourquoi de toute façon ? Pomper du routier non ?! (Oh putain il me réexicite le con) Et ben commence par ma teub ! Fais moi durcir. Viens passer ta langue entre mes poils déjà. Et lèche moi bien ces burnes que tu reçois en cadeau !
Je m'exécute, et de façon même un peu précipitée. Je salive à mort, bave sur ses couilles qui sentent le mâle. Je descends et remonte ma langue avec application pendant que lui savoure, la tête rabattue en arrière, tirant régulièrement sur une énième clope. 

Le long de ma joue le miracle se produit alors, l'étendard doucement se déploie, gonfle, gonfle et gonfle encore. Cela m'excite tellement que je gobe une boule puis l'autre en faisant un maximum de bruit. Lui me plaque alors la tête et m'appuie fermement entre ses cuisses, plusieurs fois. Sa tige, son braquemard devrais je dire vue la grosseur, est à présent très dure et fièrement dressée !
C'est une belle teub, plutôt large avec surtout un gros gland, bien rond, bien gonflé. Je suis aux anges. J'ai envie de le sucer direct mais je me suis pris au jeu et j'attends un peu pour voir ce que lui veut, le nez continuant tout de même à frotter ses testicules pour signifier mon envie.

Il me repousse la tête d'un coup, le front dans sa paume et plonge alors ses yeux profonds et noirs dans les miens. Je le regarde aussi, intensément, un peu fébrile.
- j'aime beaucoup ta p'tite gueule, me dit-il... Tu as des beaux yeux, en amande comme ça, presque fermés. Et cette bouche putain ! Elle a dû en voir passer des bites !!
Je ne sais que répondre. Je veux la sienne c'est sûr...
-Ouvre là pour voir, m'ordonne-t-il calmement. Regarde mon gland la remplit bien. D'habitude les mecs ont du mal à l'avaler mais toi tu l'attendais on dirait. Tu vas me montrer maintenant comment tu aimes ça!

J'hésite entre sucer goulûment ou travailler doucement avec la langue mais je n'ai pas le temps de réfléchir ! Il m'enfonce directement sa teub en fond de gorge. L'épaisseur m'étouffe mais il maintient la pression. 
- Hummm, mais quelle salope ! Je vais bien te limer la gueule tu vas voir ! 
Et joignant le geste à la parole, il prend ma tête au dessus des oreilles, entre ses deux mains puissantes et me fait coulisser la bouche le long de son chibre. Il ne s'arrête pas. Il m'appuie, me remonte, m'appuie, m'enfonce encore plus, me remonte. Je souffre un peu de cette rudesse mais putain sous mon calbut' qu'est-ce que je peux bander ! J'étouffe. Il me remonte. M'ouvre la bouche face à lui. Me forçant à le regarder droit dans les yeux. Il me crache sur la langue et les lèvres. Et me replonge la tête entre ses cuisses, la bite bien enfoncée. Les jambes se soulèvent, se croisent et se posent sur mes épaules m'empêchant tout mouvement de la tête. Il donne simplement maintenant des petits coups de reins pour me limer la gorge bien en profondeur.
- putain t'es vraiment un bon suceur. T'avais vraiment faim toi hein ? Profite. J'ai une queue spéciale petite pute et vous vous êtes trouvées !

Il relâche enfin la pression et me laisse respirer. Je suis comme lessivé. Il se lève et m'invite à m'assoir sur le banc.
- Mets toi à poil, vas-y, enlève ton short, ton t-shirt...
Quelle soirée ! Je suis sur une aire d'autoroute, des camions à proximité, le silence règne, mes gémissements ont peut-être même été perçus et maintenant je dois me mettre nu avec la possibilité qu'une voiture débarque ! J'ai l'adrénaline à fond les veines ! Je me rassure en me disant qu'on est un peu retirés et qu'on aura le temps de se cacher si jamais...

Il se tient debout, face à moi, fier de sa belle tige luisante de salive dans la pénombre. J'attends la suite. Il me regarde, me détaille, apprécie mon buste poilu, aux pecs légèrement dessinés, mes cuisses fines et mes mollets ronds, s'arrête sur ma queue très raide, perlant déjà de l'intensité précédente. Et là doucement il se penche vers moi et m'embrasse très sensuellement, à pleine bouche, sa langue me remplissant, caressant ma propre langue. J'apprécie cette soudaine douceur, se calant sur le rythme serein de la nature qui nous entoure. Il me lèche à présent, les épaules, les pecs, le téton droit, il le mordille et joue avec. Je lui attrape la tête et l'embrasse sur les oreilles que je lèche et mordille à mon tour.
Il descend , lentement, je sens son souffle sur mon ventre. Sa tête approche ma tige. Il prend ma queue en bouche, délicatement. Il est incroyablement chaud et humide. Il s'applique doucement à coulisser le long du tube et m'avale finalement entièrement. Quel bien. Je profite à mon tour sous les étoiles. 

Il me fait m'assoir sur la table à présent. Il reprend ses succions ravageuses. C'est tellement bon , surtout sous ses accélérations, que je dois lui retirer la tête pour ne pas jouir. Il revient quand-même à la charge mais s'occupe plutôt de mes boules  à ce moment là. Il lèche, gobe, triture entre ses doigts et continue de lécher toujours plus bas. Ohhh oui, j'ai tellement envie de sentir ton organe humide sur ma rondelle... Il me relève les jambes pour bien me bouffer le fion, et je me pâme, et gémis de plus en plus. Je dois avoir l'anus bien dilaté tant il semble enfoncer sa langue dans mes entrailles.

Je l'entend déchirer un plastique et je me doute, à ses mouvements et par les coups d'oeil furtifs jetés, qu'il enfile une capote. J'en ai tellement envie ! Mais je suis très rarement passif et vu la largeur de l'engin et surtout la grosseur du gland, je doute que cela passe. Il crache sur ses doigts et me remet de la salive. Je sers d'instinct mon anus ! J'ai du mal à me détendre. Le cadre exposé ne me rassure pas non plus. Il remonte doucement vers moi, je suis crispé, me lèche le cou, colle doucement sa bouche à mon oreille et me sussure : 
- excuse moi... je pense que tu n'as pas compris....mais là je vais te défoncer. Je vais t'attraper à poil sur la table, tu pourras gueuler, les camions sont loin et je vais te limer jusqu'à ce que tu jouisses de tout ton cul. Tu vas avoir ce que tu es venu chercher ! Une bonne grosse bite de mec qui va te fourrer l'oignon!!
Ces paroles vulgaires et machistes sont un électrochoc. Je suis à nouveau rouge, bouillonnant et prêt à m'abandonner plus facilement au chauffeur inconnu.
Il me retourne,  ventre sur la table et vient placer sa grosse teub sous mon nez. J'ai envie de cette bite mon dieu ! Je la dévore. Pendant ce temps je sens ses gros doigts qui fouillent ma rondelle. Comme je ne m'ouvre pas assez sûrement, une première claque cinglante tombe sur mes fesses rebombies. Je ne sais pas ce qui m'arrive, je me cambre un peu plus. Une autre tombe rapidement. J'ai le derrière douloureux, qui chauffe mais bizarrement cela s'accompagne d'une plus grande excitation. Je gémis, suce de plus belle et tend encore un peu plus mon derrière.  Le vent souffle sur ma rondelle et de nouvelles fessées tombent sans retenue, cuisantes mais tellement stimulantes. C'en est assez pour lui !
- Allez tend moi ta croupe maintenant p'tite salope! m'ordonne-t-il avec sa pine bien lustrée. Je vais exploser ta p'tite chatte !
Je gémis un : ohhh ouiii.. au moment où il présente son gland énorme sur mon trou.
Il force, doucement, mais facilement, s'enfonce presque jusqu'au bout. Je sens l'engin passer et une douleur fulgurante me fait lâcher un énorme : Aïe !!
- Ta gueule ! Regarde !

Tout en restant figé en moi, il m'indique les sous bois, et là caché dans la pénombre, on distingue un corps. Dans l'ombre des branches et avec la dizaine de mètres qui nous sépare, on ne distingue que le bas. Un ventre rond, mais surtout une main qui s'agite, frénétiquement sur une longue queue fine, le pantalon baissé aux chevilles. Un routier, puisqu'il n'y a pas de voitures, a dû nous entendre et tel un satyre profite du spectacle.
- Alors tu lui montres comme tu aimes ça ? me dit vicieusement mon fourreur.
L'effet est immédiat ! Je m'ouvre totalement et là il me bute jusqu'au fond. Je râle de plaisir et aussi plus fort pour notre spectateur. Commence alors un long va et viens de sa grosse teub entre mes fesses, il va doucement mais toujours au fond pour m'entendre expirer. Le routier s'agite, suit le rythme de mon chauffeur. Ce dernier me fait me relever, me place face au routier, que je devine seulement mais dont je sens le regard chaud, et vient se placer debout derrière moi, contre mon dos. Il m'enserre dans ses bras, me pince les seins, colle sa pine entre mes fesses et me dit à l'oreille :
-alors p'tite salope, c'est bon les aires de routiers hein ?
Je cambre aussitôt les reins et lui  s'introduit aussitôt, me démontant à grand coup de pilon, me maintenant la tête en arrière, face au mâle se branlant. Je m'offre entièrement, jouissant sous  les coups de bites et montrant cette fièvre à notre invité. Je sens que mon chauffeur s'excite, il accélère les coups de reins,  me fait baisser le torse pour bien me cramponner les hanches, ses boules claquent contre mes fesses et je gémis sans retenue à présent. Je sens qu'il va venir, moi aussi par la même occasion. Soudain il m'attrappe par les cheveux, me relève la tête et j'ai au dessus de moi le routier rondouillard et sa longue teub. Il gueule plus fort, me déboitant plus violemment et râle en jutant dans mon cul. Les giclées du routier suivent immédiatement, tombent sur mon visage et me font venir à mon tour dans une jouissance rarement égalée !

Et je tombe à genou. 
Mon chauffeur me prend dans ses bras et me relève alors que le routier a disparu. On reprend doucement nos esprits, on atterrit. 
On finira par se quitter sans grandes paroles, savourant peut-être encore l'incroyable. Jamais je ne reverrai l'inconnu de l'A10 mais probablement jamais ne l'oublierai....

AuteurCho

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