Les histoires de confinement sont purement fictives, un fantasme.
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LE VIRUS A DEJA FAIT DES MILLIERS DE MORTS
Bonjour à tous. Tout d’abord, ce récit est un pur fantasme.
Donc tout a commencé le weekend avant la grande annonce qui allait bouleverser le quotidien de pas mal de français.
Vendredi en milieu d’après-midi, je commence à me préparer pour aller retrouver mon plan prévu depuis 1 semaine maintenant, petit lavement, je retire les quelques poils qu’il me reste afin d’être parfait pour ce soir.
À 18 h, je prends ma voiture et parcours les quelques kilomètres qui me séparent de ce mec que j’ai hâte de rencontrer. Il s’appelle Christophe, début 40aine, et d’après les quelques photos que j’ai pu voir, il est brun, une barbe entretenue, un corps musclé juste comme il faut, un torse poilu comme j’aime, et surtout, un sexe au repos assez impressionnant avec des bourses pendantes.
C’est tout ce qu’il a voulu m’envoyer, en me disant « Tu pourras en voir davantage quand on se verra. »
Après avoir roulé pendant presque 1 heure, j’arrive enfin. Mais n’ayant pas donné son adresse exacte, je prends mon téléphone et lui envoie un message pour le prévenir de mon arrivée.
Quelques secondes après, mon téléphone se mit à vibrer, c’était lui. Une voix de dingue, qui fit monter mon excitation encore d’un cran.
Enfin je suis devant sa porte, quelques secondes d’hésitation et me voilà dans son entrée sans m’en rendre compte. Lui, identique a la description que je m’étais faite de lui, PARFAIT. Nous nous sommes ensuite installés dans son salon, nous avons bu une bière tranquille comme deux potes. Nous avons discuté de nos vies, de nos boulots. Je lui dis que je bossais dans une école, mais au vu des circonstances, j’étais un peu au chômage forcé, et à ce moment-là, j’ai vu dans son regard une étincelle et un petit sourire barrer son visage. Sur le coup, je n’ai pas porté attention là-dessus. Lui avait quitté son poste de manager, je ne lui posais pas plus de question, cela ne me regardait pas vraiment à vrai dire, et je n’étais pas là non plus pour tout savoir de sa vie perso.
Après 2-3 bières avalées, la discussion a vite dérapé sur le sexe. Il a commencé à rendre un ton un peu plus autoritaire, ce qui n’était pas pour me déplaire, et m’a dit qu’il aimait les relations Domi/soumis, c’était exactement ce que je cherchais, cela commençait bien. Il cherchait du sexe sans trop de blabla, il faisait ce qu’il avait à faire, prenait son pied, se vidait et basta.
Sa façon de parler a eu son petit effet sur moi, je commençais à chauffer de l’intérieur, et je sentais mon cul qui commençait à mouiller d’envie. Je lui racontais mes derniers plans, que j’aimais être soumis !
Et là, machinalement, j’ai baissé la tête et ai remarqué une bosse énorme déformer son pantalon. Je suis devenu rouge, j’avais chaud. À ce moment-là, je n’avais qu’une seule envie, me mettre à genoux entre ses cuisses et prendre son sexe en bouche. J’ai relevé la tête pour lui montrer mon envie et là il m’a dit :
– Ne t’inquiète pas petite salope, tu vas l’avoir, sois patiente.
Je n’avais pas fait attention qu’il avait parlé de moi au féminin. Habituellement, je ne suis pas trop fan de ça, mais avec lui, je ne savais pas pourquoi, c’était différent.
Il a pris mon visage dans sa main, m’a regardé droit dans les yeux, et là :
– Écoute-moi bien, je ne vais pas y aller par 4 chemins, j’ai envie d’une petite pute pour ce weekend. Quand je t’ai vu, je me suis dit que tu ferais parfaitement l’affaire. Si ce soir tout va bien entre nous, que tu obéis, je te proposerai un deal, sinon, je te laisserai partir et je prendrais le mec que je dois voir demain matin.
À ce moment-là, je fus un peu apeuré quand même, il n’était pas question de ça quand on a commencé à discuter. Il a vu la réaction sur mon visage :
– Je vois bien que tu es un peu surprise, me dit-il, je te laisse encaisser tout ça, je reviens dans 5 minutes.
Et il est sorti de la pièce.
Je suis resté sur le canapé à regarder dans le vide et à réfléchir : « Ce mec me plait, si je refuse, je risque de le regretter, mais si j’accepte, je vais dire quoi à mes parents ? »
Et à ce moment-là, il a réapparu dans le salon, portant simplement un slip CK.
– Alors, partante ?
– Oui.
J’avais répondu sans hésitation, c’était sorti tout seul. Un clin d’œil, un grand sourire sur son visage, et il me dit :
– Suis-moi, on va se mettre dans la chambre, là-bas, on ne sera pas surpris par le voisin.
Cette phrase aurait dû m’angoisser un peu, mais c’est comme si je ne l’avais pas entendue, je me suis levé, et l’ai suivi.
En arrivant dans la chambre, j’ai été surpris de ne trouver uniquement un lit placé au centre de la pièce. D’un ton autoritaire, Christophe m’a dit :
– Déshabille-toi, mets-toi à 4 pattes et tends-moi bien ta petite chatte.
Une fois en position, une fessée m’a fait pousser un gémissement de surprise.
– Mais c’est qu’elle aime ça la salope, dit-il avec air moqueur.
J’ai senti un doigt commencer à me caresser la rondelle, j’ai commencé à remuer mon cul pour lui montrer mon désir.
– Reste comme tu es, ne bouge pas je reviens.
– Reviens vite, je veux être ta chienne, lui ai-je dit.
– Ne t’inquiète pas ma chérie.
Au bout de 5 minutes, qui m’ont paru une éternité, il est revenu avec une boite de rangement. Il en a sorti plusieurs petites fioles, m’en a tendu une et m’a dit :
– Snife 2 fois dans chaque narine pour commencer.
– Qu’est-ce que c’est ? Lui demandai-je d’un air innocent.
– Fais ce que je te dis salope, avec ça tu vas vraiment te comporter en bonne chienne, m’a-t-il répondu sèchement.
J’ai fait ce qu’il m’avait demandé, et là, le kiff ! Je ne me suis jamais senti aussi bien de ma vie. Sans m’en rendre compte, il a commencé à me doigter avec 2 doigts directement.
– Je crois que j’ai tiré le gros lot avec toi, m’a-t-il dit, 4 doses de poppers, et déjà tu es tout ouverte, ça promet pour la suite ma salope !
– S’il te plait, redonne-m’en encore, j’étais hors de moi déjà, fais de moi ta chienne, lui ai-je dit.
– Maintenant prends — en 5 à chaque fois !
Il m’a tendu le poppers et j’ai snifé. Je gémissais de plus en plus fort, et au fur et à mesure, il me rajoutait un doigt.
– Prends-moi, je suis tout à toi !
– Tu vas commencer par me sucer, faisons les choses dans l’ordre.
Il s’est placé devant moi, m’a pris le visage entre ces mains et m’a enfoncé sa bite directement au fond de la gorge. Il avait pris les choses en main, j’étais sa chose.
– Je vois que je ne suis pas le premier à passer par ici.
D’une main, il a commencé à travailler ma chatte, mais j’ai été surpris de la grosseur. Sans m’en rendre compte, il avait récupéré un gode dans la caisse, et me l’a enfoncé direct. Il s’amusait à faire aller et venir le jouet dans mon trou. Il m’a tendu le poppers. J’étais complètement hors de moi, je n’étais plus moi-même. Il s’en rendit compte, me gratifia d’une claque sur la joue, et me dit :
– Je crois qu’il est temps de passer aux choses sérieuses maintenant, je pense que tu es prête.
Entre 2 doses de poppers, j’ai réussi à lui dire :
– Oh oui vas-y, défonce-moi.
Une bonne fessée sur mon cul, quelques allers-retours avec ses doigts, et le voilà rentré en moi jusqu’aux couilles.
– C’est que tu es bien là, je suis vachement bien là-dedans, tu mouilles comme une vraie femme toi.
Il a fait sortir sa bite complètement de moi, et l’a réintroduite direct, il a refait ça plusieurs fois de suite. À part des gémissements, rien d’autre ne pouvait sortir de ma bouche. Je couinais en continu.
– C’est bien ma pute, prends encore du poppers.
Il m’a fait changer de position, je me suis retrouvé sur le dos, mes jambes sur ses épaules. Il m’a remis sa bite directe au fond de moi. Je prenais un plaisir de dingue.
Il était super endurant, il m’a pris pendant 10 minutes avant de changer de position.
Cette fois, il s’est allongé et je me suis empalé sur son sexe tendu au maximum.
Après plusieurs allers-retours, sans même me toucher, j’ai juté sur son torse. J’ai vu sur son visage qu’il était fier de lui, il m’a sourit et m’a dit :
– Maintenant c’est à mon tour.
Et au même moment j’ai senti son sperme me remplir, ça ne s’arrêtait pas, un vrai geyser.
Je me suis écroulé sur lui, en étalant mon sperme sur nos 2 torses.
– Ce n’est pas le moment de s’endormir, tu vas me nettoyer le torse, je n’aime pas être sali par une pute comme toi, et ensuite, tu me vas me nettoyer la bite, histoire ne ne pas salir mon slip.
– Oui Maitre.
J’ai fait ce qu’il m’a demandé, je ne voulais pas le décevoir.
Une fois tout propre, il m’a demandé de me remettre à 4 pattes, le cul bien tendu, et il m’a enfoncé un plug.
Il m’a regardé, droit dans les yeux et m’a dit :
- Alors voilà le deal, je te propose de t’héberger tout le week-end-end. Mais en échange, je t’utilise quand et où je veux. Si tu acceptes mon marché, rejoins-moi au salon nu et avec le plug encore en place. Sinon, tu te casses, sans m’adresser la parole.
Il m’a laissé seul dans la pièce, j’ai réfléchi un peu quand même.
J’ai pris mon téléphone, j’ai envoyé un message à mes parents, et je suis descendu retrouver mon mâle au salon.
Il n’a pas été surpris de me voir arriver, il m’a souri et m’a dit :
– On va bien s’amuser.
À suivre…
C’est mon premier récit, n’hésitez pas à m’envoyer vos remarques, vos avis ou me dire si vous voulez la suite. S’il y a de la demande, je publierai la suite !
Avec l'aimable correction de Florian
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Gay51
Jeune_soumis51@outlook.fr
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