Ça remonte à la fin des années 90, mais c’est imprimé à jamais dans ma tête !
J’avais vingt-six ans, sportif athlétique, mais on ne s’en fait pas une gloire quand la Nature vous porte à la soumission…
Un peu désœuvré à la veille du 8 mai, à Marseille, la ville est pas mal désertée et je décide d’aller au sauna. Walid, à l’entrée, me fait son grand sourire. Je lui demande s’il y a du monde. Il fait une petite moue et me répond : « quelques mecs… »
Je me désape et serviette autour de la taille, je fais un petit tour des lieux. Pas grand monde en effet. Je croise 2 mecs pas terribles et j’entends que ça gémit dans le labyrinthe… ceux-là sont déjà occupés.
Je passe au hammam, je suis seul. Je décide de me détendre un peu au chaud. Dehors quelques mouvements, mais personne n’entre.
Lorsque j’en ressors, le sauna semble complètement vide ! C’est bien ma chance ! Apparemment tout le monde s’est cassé de la ville…
Je suis bien chaud et j’ai besoin de me vider. C’est con, il ne me reste qu’à me taper une branlette devant un porno dans la salle d’en haut.
En débouchant de l’escalier, je vois l’écran où s’activent deux Américains bien montés avec chaines et harnais… et trônant sur les sièges centraux, un mec magnifique et musclé, jambes écartées et train de mater en s’astiquant une queue majestueuse.
Mon cœur s’emballe. Il a des pecs bombés et des épaules massives ; son ventre plat et incurvé par sa position amène naturellement le regard vers son sexe imposant. Ses jambes sont longues et ses cuisses splendidement puissantes et galbées ! Il se tient les jambes bien écartées et sa main branle ferment sa colonne puissante.
Comment approcher un tel chef-d’œuvre de la Nature ? Un mâle que tout désigne à l’adoration.
Il n’a même pas tourné la tête vers moi. Il regarde le porno avec attention.
Je m’assois sur la même banquette. Il ne réagit pas. Je m’approche prudemment avec respect. Ce mec pourrait me casser en deux, mais il n’a bien sûr pas besoin d’user de sa force pour me soumettre et faire de moi un simple objet pour son plaisir ou mieux encore son esclave.
Comme il ne réagit absolument pas, j’ose avancer ma main et caresser son épaule massive qui bouge au rythme de sa main en action. Sa peau est lisse, chaude, son muscle roule puissamment. Je voudrais descendre sur le galbe parfait de ses pecs, mais les yeux rivés sur l’écran, sans me regarder et sans même une expression du visage, il m’ordonne :
- « À genoux ! »
Je tombe à genoux à côté de lui, débordant de reconnaissance, conscient de ma chance !
- « Entre mes cuisses ! »
Sa voix mâle donne des ordres secs. Je m’installe docilement entre ses cuisses de dieu. Je regarde son visage avec reconnaissance, ses pommettes hautes, ses yeux en amandes, ses lèvres ourlées ? J’essaie de capter son regard, mais il ne me regarde même pas. Je n’existe pas, je suis juste une opportunité pour augmenter son plaisir. À genoux entre ses jambes, je caresse ses cuisses.
Le regard toujours fixé sur le film, il me jette :
- « Tu ne me touches pas ! Tu lèches mes couilles ! »
Sa grande main va et vient sur sa queue magnifiquement bandée. Je dois faire attention à ne pas gêner son mouvement. Ses couilles sont lourdes et à la mesure de son sceptre ! J’ai envie de le prier comme un dieu, je déborde de gratitude. Il faut que j’augmente son plaisir. C’est mon rôle… c’est mon rôle sur terre, je le comprends mieux que jamais.
Ma langue s’active sur ses boules, tantôt langoureuse et enveloppante, tantôt dardée et frétillante. Je descends bien sous les boules, je remonte jusqu’à la base de la large queue en évitant sa main qui pourrait s’abattre sur mon visage dans son mouvement. Son sexe sent bon, une sueur suave sans aigreur. Je voudrais empaler ma gorge sur sa colonne brulante, mais je sais que c’est un privilège et je n’y serai pas admis.
Je lèche et je le regarde, épiant une expression de plaisir ou un regard sur moi, mais il est en parfaite maitrise : il se branle avec art et souplesse, je lèche, il ne voit que son film d’où me parviennent, sans que je voie rien, râles et gémissements.
Il bascule légèrement sur son siège, me permettant d’aller un peu plus bas sous ses couilles massives.
Je bande comme un malade, mais je n’ose pas trop me branler, je risquerais de jouir d’un coup et peut-être sur ses jambes… je sens que c’est un risque à ne pas prendre.
À genoux, je me contorsionne du mieux que je peux pour lécher le mieux possible et servir ce mâle alpha absolu. Sans le vouloir, je pose une main sur son pied. Il ne réagit pas. Ma main sur son pied est un signe supplémentaire de ma soumission qui électrise toutes mes fibres. Si je m’écoutais, je me jetterais sur ces pieds puissants, sculpturaux et magnifiquement cambrés pour les adorer, les lécher, les nettoyer, les baiser avec passion et respect. Il pourrait me fourrer tous ses longs orteils dans la gueule, m’écraser le visage avec, je le remercierais avec émotion. Mais j’ai bien compris que ce ne sont pas les ordres et je continue d’activer ma langue là où il le désire.
Tout à coup, sans que rien ne puisse l’avertir, il jouit ! Un jet puissant, épais et chaud qui retombe en partie sur ma gueule. Mon humiliation se mêle à mon bonheur. Je suis heureux d’avoir participé à son orgasme de mâle. Il étale un peu le sperme sur ses abdos parfaits avec sensualité.
Il reste là en reprenant ses esprits. Je le regarde avec une vraie dévotion ! Quel mâle ! Quelle assurance ! Quelle supériorité évidente, naturelle, assumée !
Je n’y tiens plus et je commence à me branler à ses pieds. Il ne sait même pas à quoi je ressemble. Je suis comme un esclave sans visage, un ver de terre, une larve. Je n’avais jamais été traité ainsi, mais j’en vibre de tout mon corps. Je suis au-delà de l’excitation ! J’aimerais jouir sur ses pieds, prendre ce risque, ou qu’il me le permette, et lécher ma semence sur la voute parfaite de son cou-de-pied. J’en perds la tête.
Il se lève soudain. Il déploie son corps parfait où chaque muscle est une démonstration de puissance et d’élégance. Je lève la tête vers lui qui ne regarde toujours pas ce mâle au-delà de l’humiliation qui rampe à ses pieds. Je le vois au-dessus de moi, grand et fort comme une tour, ses mollets où palpitent ses veines, ses cuisses pleines d’une force incroyable, son ventre plat et ses pecs larges et bombés, ses bras d’athlète et son sexe épais, impressionnant, lourd et encore humide de sperme.
Je pressens qu’il va partir. Mon cœur se vide et j’avance vers lui à genoux de quelques centimètres, mes couilles viennent par accident se poser sur son pied parfait. Dans un souffle, j’implore :
– « s’il te plait !... »
Il retire son pied et pour la première fois jette sur moi un regard où se mêlent ironie et pitié. Il me regarde ! Il sourit avec condescendance et tout en enveloppant le bas de son corps dans sa serviette, il me lâche comme une évidence :
– « j’ai joui »
Je le regarde sortir et le sexe entre les mains, la tête basse, seul dans la salle, humilié, vaincu, j’explose et je jouis à mon tour, répandant mon foutre sur le sol, là où, quelque instants plus tôt, ses pieds s’étaient posés.
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Antoine
esclaveaupied@yahoo.fr
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