Premier épisode
Bonjour à tous et merci pour toutes vos réponses ! Voici la suite du récit. J’espère qu’il vous plaira.
Petit rappel : je suis Alex, petit passif d’Amiens et on m’a mis en prison pour trafic de drogue il y a 4 ans de ça, j’en ai pris pour 5 mois. J’y ai rencontré là-bas Abdou et Sélim, mes compagnons de cellule, qui ont vite découvert mon potentiel en tant que vide-couilles attitré.
Après seulement quelques jours, Abdou et Sélim ont pris leurs petites habitudes avec moi. Je devais les satisfaire chaque jour.
Cela commençait au réveil. À peine les yeux ouverts, je sentais frotter sur mon visage la grosse bite d’Abdou, un immense Malien ultra bien monté (25 cm). J’ouvre instinctivement la bouche pour remplacer sa branlette matinale. Ça ne prend généralement pas beaucoup de temps, 10 minutes seulement. Le râle d’Abdou réveille Sélim, un rebeu sec avec 23 cm dans le caleçon. Il ne vient pas pour la même chose. Pour lui je suis surtout sa chiotte. Il avance vers moi, toujours allongé et à peine réveillé, me glisse sa bite déjà mi-molle dans la gueule et se met à pisser. C’est un peu dur, mais je dois tout avaler, au risque de me prendre une baffe monumentale et de devoir subir une sodomie très douloureuse. Après cela je continue de le sucer en lui caressant les boules jusqu’à ce qu’il jute en moi. Et c’est comme ça tous les matins. En début d’après-midi, et tous les soirs avant de dormir c’est double-péné obligatoire. Au début ils me gueulaient : « T’as intérêt à être bien propre et bien lubrifié ! Parce que nous on en a rien à foutre de ton plaisir. Par contre, nos bites ont plus de valeur que ta gueule donc ne va pas les salir sinon… ! » Et ils frappaient leur poing dans leur paume pour me laisser imaginer le châtiment qu’ils m’appliqueraient.
Un jour, ils se sont lassés. À 15h, Sélim m’a dit : « Allez p’tite pute ! Ça fait trop longtemps qu’on te baise c’est l’heure d’en faire profiter les copains ! Faut qu’on te rentabilise ! » Je n’ai pas compris tout de suite l’allusion, un peu sonné par la double sodo que je venais d’encaisser et les 10 charges de sperme qui m’avaient rempli…
J’arrive dans la cour à l’heure de la promenade, entouré de mes deux maîtres officiels. Tout le monde à la prison, y compris les gardiens, savent quel est mon rôle auprès d’eux. Ils n’hésitent d’ailleurs pas à régulièrement m’humilier en public en rappelant ce dont je suis capable. Les autres prisonniers me regardent donc, à ce moment-là, mi-dégoûtés, mi-excités.
Sélim s’approche d’un groupe de rebeus, leur parle en arabe et je vois qu’ils s’échangent des billets. Sélim m’explique : « Ces gars-là, ils sont maghrébins, autant te dire qu’ils sont chauds. Ils n’ont pas vu une meuf depuis des mois donc tu vas les vidanger tout cet après-midi, à 10€ de l’heure chacun, ça va me ramener un paquet de fric ! Allez à tout à l’heure ! » Il repart en souriant, un peu moqueur, et je me retrouve entouré de tous ces mecs complètement en chien. Ils m’amènent un peu à l’écart de la prison dans un endroit de la cour très peu fréquenté où il y a un matelas par terre. Ça pue la pisse. Un des mecs se poste devant le coin où l’on est pour faire le guet. Les autres me jettent sur le matelas et baissent immédiatement leurs joggings. Les mecs ont des queues assez grosses et assez longues (toutes plus de 18 cm, mais pas aussi grandes et volumineuses que celles de mes camarades de chambrée). Sélim a visiblement privilégié pour moi la quantité à la qualité Haha. Je commence par en sucer deux. Ils n’hésitent pas, ils s’enfoncent direct en moi. Un mec se fout derrière moi, me crache sur le trou, sur sa bite et me pénètre d’un coup. Aïe ! Je crie. Les autres me hurlent « Ferme ta gueule ! » et me crachent dessus. Putain, ils n’ont pas mis de capotes ! Dans un gémissement, je leur dis « vous n’avez pas de présos ? ». Ils se mettent à rigoler tout en se relayant dans mon cul. « T’inquiète ! On est clean nous ! » Je rage intérieurement, mais je me félicite de prendre ma PrEP tous les matins. J’avais accepté de le faire sans capotes avec Sélim et Abdou, car ils se plaignaient d’en avoir de trop grosses et que ça les faisait éclater. J’avais fait semblant de me laisser convaincre, mais je n’étais pas dupe. Ils se sont donc servis de moi durant une heure en me jutant dessus et dedans sans aucun scrupule. En guise de remerciements, ils m’ont lavé à la pisse en me faisant avaler certains jets que je buvais goulument. Je dus me rincer vite fait à l’extérieur avant de revenir en cellule avec Abdou et Sélim.
Ils m’accueillirent en souriant (grande première) et me félicitèrent : « Bravo ma pute ! Ils m’ont dit qu’ils s’étaient déchaînés et que tu les avais bien comblés, enfin je veux dire qu’ils t’avaient bien comblé plutôt ! Haha ! Au fait, tous les mecs qui rentrent ici sont testés et foutus sous traitement dès qu’il y a un truc qui ne va pas ! Y avait déjà eu une pute comme toi ici qui avait causé pas mal d’histoires, dont maintenant ils prennent des précautions ! » Ouf ! Pensai-je. Je me sens libéré ! Je vais prendre ma PrEP, mais je vais me lâcher désormais. Justement, Abdou m’interpelle : « Il a eu une bonne idée l’Sélim ! J’connais un groupe de Sénégalais qui ont aussi faim que ses potes. Ça te plairait de leur vider les couilles p’tite pute ? » « Carrément ! » Dis-je dans un sourire. « Ce sera pour demain, en attendant, viens te faire enculer sur ma queue ! » Et je reprenais mon manège habituel. Je m’assois sur ses cuisses et je bouge mon cul en rythme sur sa bite pour décupler les sensations de mon maitre. Il finit par jouir en feulant et je sens son sperme qui coule le long de mes fesses en sortant de mon trou. Je me rhabille et on part pour bouffer. C’est déjà l’heure !
Le lendemain, le scénario des rebeus se répète, mais avec les potes d’Abdou. Cette fois-ci je suis surpris ! Ils sont tous montés avec des queues d’au moins 23 cm et ils sont déchaînés. Ils ne sont que 4, mais je les sens bien. Et ils sont très endurants ! Après une série de pipes qui dure plus de 40 minutes, ils m’enculent pendant une heure ! Je sens que mon cul se moule à la forme de leurs bites. Ils éjaculent tous au moins deux fois et j’ai même recueilli le sperme d’Omar, le plus grand de la bande, 4 fois. Je jouis du cul comme pas possible et je sens limite mon ventre se gonfler à force d’accumuler autant de sperme. C’est de la pure fécondation ! Haha D’autant qu’ils ne s’arrêtent pas au sperme. Deux d’entre eux me pissent dans le cul après leurs éjaculations. Abdou a dû leur parler de mes vices et ils en profitent ! Et j’adore ! Je reviens après cette partouze grandiose (c’était si bon que j’ai joui sans éjaculer) dans ma cellule.
Abdou et Sélim me filent à bouffer en me félicitant. Ils sont fiers d’avoir réussi l’éducation de leur pute et de s’être fait autant de fric grâce à moi. Ils m’en font profiter en me roulant un long joint bien chargé que l’on se passe. C’est trop bon ! Je leur taille une dernière pipe en fumant, rien que pour eux ! Ils profitent de ce moment pour me demander quelque chose. Je sens qu’ils sont gênés. Sélim me dit : « Écoute, il y a un black ici, ancien clochard. Il s’appelle Driss. Il a un gros problème. Il a une si grosse bite qu’il a jamais pu se taper de meuf. 30 cm de long pour 8 cm de largeur. Il nous a demandé s’il pouvait te baiser. On a d’abord augmenté son prix à 50 euros, mais il a insisté et on a pas osé refuser vu que tu te fais troncher par plein de mecs déjà. »
« Driss, putain je pensais pas que c’était sa bite qui se balançait dans son pantalon ! Je me suis toujours demandé ce qu’il faisait là, il est toujours seul. Putain ça m’excite grave ! »
« Par contre on te prévient, il ne se lave quasiment jamais, je ne sais pas dans quel état sera sa bite… »
Je fis la moue, mais la perspective de me taper une bite de 30 cm l’emporta sur mon dégoût. J’acceptai. Le lendemain, Abdou et Sélim me conduisirent à Driss et c’est moi qui dus l’emmener au coin avec le matelas. Je me sentais plus power bottom cette fois-ci. Je descendis son pantalon. Sa bite ne sentait pas la rose, mais bon j’ai l’habitude. Je léchais d’abord sa bite de toute sa longueur. Je caressais et gobais ses couilles, la routine, jusqu’à ce qu’il bande, et là ce fut monstrueux. Un gland couvert de smegma blanchâtre se découvrit. J’eus la nausée. J’étais complètement partagé entre le dégoût que m’inspirait cette vision et cette odeur et l’excitation de me taper une bite aussi grosse et longue. Ce gars avait payé 50 euros. Il avait droit à son moment de plaisir aussi. Je pris mon courage à deux mains et le suce en avalant tout ce fromage. J’étais au bord de la gerbe, mais le plaisir qui se lisait sur son visage me faisait penser que j’étais bien à ma place ici et que je devais le satisfaire. Il n’avait pas dû en connaitre beaucoup de moments comme celui-là dans sa vie, lui. Après la pipe qui l’avait nettoyé, j’acceptai qu’il m’encule, non sans m’être abondamment lubrifié avec ma salive et sa mouille. J’écartais mes fesses avec mes mains et je me reculais sur sa bite pour l’accueillir progressivement. Bien sûr, il commença par me déchirer le cul, mais j’étais habitué et continuais à pousser pour la faire rentrer progressivement en moi. C’est moi qui menais la danse ce coup-ci. J’accélérais le mouvement. Il se laissait faire jusqu’à ce qu’il s’agrippe à moi et s’enfonce le plus profondément qu’il put avant de déverser une énorme quantité de sperme en moi. Wow ! Ce fut intense, mais très bon. À la fin il me demanda : « Est-ce que je peux ? Tu sais ? » J’avais deviné, je dis oui, même si je n’étais pas aussi excité que lorsque j’étais avec Sélim et Abdou. Il me pissa sur la gueule et nous repartîmes, chacun de notre côté.
Sélim et Abdou m’accueillirent en héros et me remercièrent toute la soirée pour ce que j’avais fait. Cela fait partie des gestes de solidarité qui étaient à ma portée en prison. Je dormis cette nuit-là à point fermé, épuisé par cette après-midi. Sélim et Abdou me laissèrent tranquille jusqu’au lendemain matin où leur petit manège reprit.
Quelques mois plus tard, j’étais libéré. Sélim eut la même chance deux semaines après. Il m’appela, car il était devenu accroc à mon cul et à nos habitudes. Il arriva chez moi et me dit « Je veux que tu sois ma pute ! Que tu sois à mes pieds dès que je veux baiser et que tu me files du fric aussi ! Bref que tu sois ma p’tite femme soumise compris ? ». J’hochais de la tête, trop heureux de reprendre la baise avec lui. Depuis ce moment, il vit chez moi. On a déménagé en banlieue dans son quartier pour être plus proche de ses potes, et même si ça m’a doublé mon temps de trajet pour aller au boulot, je le regrette pas. Chaque matin c’est pipe et pisse dans la bouche, agrémentés de quelques « Bois, Salope ! » « Avale p’tite pute ! » Je travaille pour ramener du fric qu’il dépense dès que je lui en file. Il vit à mes crochets, mais je dois juste fermer ma gueule et accepter la situation. Et chaque soir j’ai droit à ma sodo avec Sélim. À force de pénétration brutale, mon anus a pris la forme de sa bite. J’ai comme une chatte maintenant, mais c’est la chatte de Sélim, il en fait ce qu’il veut. Il me donne à baiser à ses potes parfois pour un peu de fric. Je prends trop mon pied ! Ça fait quatre ans que ça dure et ce n’est pas près de s’arrêter !
AlexBandry
revin.echebandry@gmail.com