Je connaissais Aurélien depuis le lycée, avec le temps nous étions devenus amis, des amis intimes, nous partagions beaucoup ; tant dans le discours que dans le non-dit, j’entends par là tout ce que les mots ne peuvent traduire, mais que les attitudes expriment si bien.
Aurélien est un être doux et fort bien fait de sa personne, extraverti et sachant mettre en confiance, toujours soucieux de l’autre, très délicat et très raffiné. Après le lycée il a commencé des études de médecine, alors que j’entrais à la faculté des lettres. Moi le grand timide j’ai toujours envié son aisance et son assurance, il ose, il fait, il réalise ses envies !! Nous avons toujours eu cette attirance, l’un pour l’autre, cette complicité silencieuse et mutuellement désireuse ; Aurélien est gay et vit très bien cet état de fait, moi, je n’ose l’affirmer et vivre ce désir intime que pourtant je ressens au plus profond de mon être ....
Comme je sortais de l’université, je vis Aurélien je l’appelais il vint vers moi, souriant, il me salua chaleureusement « cela fait longtemps que nous nous sommes vus, tu as un peu de temps ? » « bien sûr, on va prendre un pot ? » « bien volontiers, viens chez moi on pourra discuter tranquillement autour d’un verre »
Nous étions au mois de juin, il faisait très beau, la maison des parents d’Aurélien est une belle villa avec un jardin superbement fleuri, une agréable piscine… paradisiaque ou presque !
Alors, dis-moi, comment vas-tu ? Comment vont tes amours ? … Je ne dis mot, alors il enchaîna « Je te sers un cocktail au rhum tu vas adorer et puis ça va te détendre, on parle mieux ainsi, il fait beau, ça te dit de te baigner ? » L’idée du bain me ravissait, je pensais que comme autrefois, lorsque nous allions à la piscine nous nous déshabillions sans complexe, et l’idée de voir à nouveau Aurélien nu me séduit. Il apporta les boissons, je pris place sur une chaise longue et je commençais à boire par petites gorgées son excellent breuvage, puis un autre...., il était non seulement savoureux, mais aussi très enivrant, Aurélien me regarda et me dit « on va se baigner ? “Je ‘n’ai pas de maillot !!” répondis je un peu contrarié, je ne pouvais pas savoir !
Aurélien sourit, » ça te gêne de te baigner nu avec moi ? Tu es devenu pudique ? Je vais me déshabiller le premier et puis.. Ensuite ce sera toi. « Sans hésiter, il enleva son jean et sa chemise, il apparut devant moi avec un mini slip en tulle noir très fin et très… transparent, il s’approcha de moi, » tu me l’enlèves, je sens que tu en as très envie ».
C’est vrai, j’en avais très envie, l’alcool me rendait un peu euphorique, plus osé, je posais ma main sur le fin tissu, j’effleurais de mes doigts câlins les testicules sous le fin tissu en remontant jusqu’au haut de ses cuisses, très doucement, touchant à peine la peau, puis de légères pressions sur les testicules, enfin je glissais subtilement un, puis deux doigts sous le fin élastique du slip et je les laissais descendre imperceptiblement jusqu’au pubis, jusqu’à la naissance de la verge, sa peau parfaitement épilée, était d’une douceur indescriptible, je passais mes doigts de chaque côté et je fis glisser voluptueusement le léger tissu noir jusqu’aux chevilles, son sexe m’apparut alors entièrement, une verge bien sculptée qui surmontait gracieusement ses testicules sur une peau bronzée et absolument imberbe, lisse, douce.
Je parcourais d’un doigt avide et doux son périnée, je remontais vers l’anus et je revenais sous les testicules, son sexe commençait a s’ériger avec splendeur, je l’entourais alors de mes deux mains pour le saisir dans ma bouche gourmande, mais Aurélien m’arrêta : » ne vas pas plus loin, je te propose de continuer en pratiquant la soumission sensuelle, tu connais ? « – » Pas du tout « confessai-je – » je t’explique, à partir de maintenant, c’est moi qui mène le jeu, toi tu te laisses aller dans une soumission sensuelle, tu te laisses porter par le vent de mes caresses, si ce que je fais te met mal à l’aise tu me le dis, j’arrêterai et je passerai à des caresses plus conventionnelles ! « » Je suis passif en somme ? !! « – » Non, de la soumission consentie et de la sensualité qui en découle naît le plaisir, on essaie ??..
J’hésitais un court instant et je dis “je suis à toi”, avec une petite appréhension que compensait très largement une grande excitation.
Aurélien avait revêtu un peignoir, il s’approcha de moi “Enlève tes vêtements, sauf le slip ‘J’ôtais mon polo et je commençais a défaire le pantalon lentement, en hésitant beaucoup a le faire descendre le long de mes jambes, pour gagner du temps j’ôtais mes chaussettes, je n’osais retirer le pantalon, non par pudeur, mais, ignorant totalement ma rencontre avec Aurélien et ce qui allait se dérouler, je n’avais pas mis une jolie lingerie, je portais un slip blanc, taille haute avec une braguette latérale, en coton à fines mailles, rétro en somme, confortable pour le quotidien, mais pas pour un moment sensuel !! Mal à l’aise je laissais glisser le pantalon, je ne portais plus que mon slip blanc.
Aurélien sourit en s’approchant de moi –’ Sympa ton slip, j’aime bien ces dessous surannés qui invitent à découvrir leur contenu, totalement invisible et pourtant si suggestif par leurs formes joliment bosselées ! ‘Il s’approcha encore, il écarta un peu la braguette et y introduisit deux doigts à la recherche de mon sexe, ne le sentant pas à cet endroit il enfonça totalement sa main et effleura alors mes testicules et mon sexe au repos. ‘Tourne-toi !’m’ordonna -t-il. Je sentis ses doigts parcourir ma colonne vertébrale doucement, arrivé au bas il écarta l’élastique de mon slip et continua son chemin jusqu’au sillon fessier dans lequel il pénétra jusqu’à la limite de l’anus puis il fit glisser ses deux mains, toujours à l’intérieur de mon sous-vêtement, par devant et saisit mon sexe assez brutalement me pressant légèrement les testicules, sa main se promena ensuite sur mon ventre et sur mon pubis… Il me commanda’ allonge toi dans la chaise longue, relève un peu tes jambes, ferme les yeux ‘Je m’exécutais, je sentis qu’il s’asseyait sur le rebord de la chaise longue, sa main s’approcha, écarta mon slip, puis doucement son doigt titilla mon petit trou, caressant, conquérant, mais doux, son doigt me pénétra lentement, insinuant un léger va et vient, je gémissais de plaisir, son autre main se posa sur mon sexe, le pinçant en douceur à travers l’étoffe du slip.
‘Tu bandes mou ! Ça ne te plait pas ?’ s’étonna il ‘Non, ce n’est pas ça, mais je préfère plus de douceur et puis, autant te le dire j’aurais préféré que l’on joue au docteur, en particulier avec toi !! ‘Comme tu voudras, je suis le docteur, viens dans ma chambre on sera mieux installé.’
Nous allâmes dans la chambre, il enfila une de ses blouses blanches, je m’étais rhabillé pour profiter du plaisir de me déshabiller à nouveau devant lui, il s’installa derrière son bureau et moi je m’asseyais sur la chaise en face de lui.
- Alors de quoi souffres-tu ?
- Je viens pour un certificat pour la pratique du sport
- D’accord je vais t’examiner, enlève tout, sauf le slip !
Je me déshabillais en gardant mon slip blanc qui plaisait à Aurélien, en prenant soin cette fois de placer ma verge dans la braguette, je vins m’asseoir sur la chaise qu’il m’avait désignée. Il me prit la tension, puis me fit mettre debout, passa derrière moi et commença à me prendre les épaules, descendit le long de la colonne vertébrale, baissa le slip un peu sur les fesses, mit ses deux, mais sur mes hanches, me fit faire quelques mouvements vers l’avant, il commenta’ parfait, maintenant tourne-toi » il passa ses mains chaudes sur ma poitrine me pinçant légèrement les tétons, puis il me palpa le ventre, il écarta le slip et descendit sa main jusqu’au pubis, il sourit, ‘je n’avais pas vu que ton sexe était si joliment épilé !! !! (en effet j’avais une minuscule touffe brune très discrète juste au-dessus du sexe, le reste étant parfaitement doux et galbé), je vais devoir t’examiner de plus près, il ajouta :’enlève ton slip, je te veux totalement nu et va t’allonger sur le lit ‘j’obéis, ma verge commençait à trahir mon émoi, Aurélien approcha en gantant sa main, il me fit mettre à quatre pattes, les fesses bien relevées, je sentis son doigt me pénétrer, puis un deuxième, son autre main appuya sur le bas de mon dos effleurant et caressant les fesses, il enleva son doigt et me dit de ne pas bouger, j’entendis qu’il enlevait son gant et je sentis sa main qui se saisissait de mes testicules, les pétrissant, les fouillant, si je puis dire, en profondeur, ‘maintenant, mets-toi sur le dos, bien détendu les bras le long du corps, les cuisses ouvertes’ il plaça un oreiller sous chacune de mes cuisses et me demanda ‘on t’a déjà fait un massage prostatique ? ‘je lui dis que non et que j’ignorais totalement les plaisirs de cette pratique. Il m’expliqua alors que c’était la ‘jouissance suprême’ que je devais m’abandonner à ses mains expertes, me laissait totalement faire et atteindre ainsi cet état second. ll commença par des effleurements subtils sur le pubis s’attardant quelque peu sur ma petite toison qu’il semblait beaucoup apprécier, puis descendait à l’intérieur des cuisses, remontait jusqu’à l’entre-jambes attentif à ne pas effleurer mon sexe, il se leva prit un flacon, dont il versa une petite quantité sur ses doigts et sur mon anus, il enfonça son doigt profondément et me dit de bien respirer, de me détendre complètement, plus je serai relax, plus intense sera le plaisir.... ce que je fis. Je sentais en moi son doigt qui faisait de petits cercles, de petites pressions et d’un seul coup ce ne fut qu’une extraordinaire caresse qui envahit tout mon bas ventre jusqu’au bas du dos, un vrai torrent de plaisir, une avalanche suprêmement intense, immensément meilleure qu’une éjaculation ; cela me semblait ne pas finir et je ne voulais pas que ça finisse… J’étais ailleurs, parti dans les sphères insondables du plaisir, là où on voudrait rester pour l’éternité.... il retira son doigt avec une grande douceur, me caressa les cuisses et posa sa main sur mon sexe, qui étrangement n’était pas érigé, » je m’occupe de lui maintenant ? ‘souris – il.’Avec grand plaisir, mais enlève ta blouse, je veux que ce soit l’ami qui finisse de me caresser, plus le docteur ! » Il acquiesça, s’éclipsa dans la salle de bain voisine et revint avec un flacon d’huile de massage parfumée ; il avait ôté sa blouse et portait un slip rouge taille haute en lycra, moulant à souhait, qui mettait en valeur son joli sexe il vint se mettre près de moi sur le lit, je posais ma main sur son sexe, il la retira doucement en me disant qu’il voulait m’offrir encore un plaisir… Il releva mes jambes en les écartant et s’installa entre elles, pour un plus grand plaisir je mis un oreiller sous ma tête, ainsi je voyais ce qu’il me faisait et ça m’existait encore plus.
Ses mains étaient magiques, il prit mon sexe qui commençait à se tendre quelque peu et il lui fit de légères caresses, à peine des effleurements puis il le décalottait avec une douceur extrême ou au contraire sans ménagement, l’autre main s’occupait des testicules, les pétrissant ou les caressant. Il prit mon sexe entre ses deux pouces après y voir déposé quelque goutte de l’huile parfumée, il fit tourner ses deux doigts autour du gland, s’arrêtant sur le prépuce qu’il caressait plus longtemps par petites touches appuyées circulairement, il approcha sa langue et avec délicatesse il refit le même geste qu’il faisait avec ses pouces, j’étais au paradis !! Aurélien me regarda tendrement ‘maintenant ??’ souffla-t-il, » fais-moi jouir ‘dis je ; alors il serra le gland dans ces pouces et absorba mon sexe dans sa bouche plusieurs fois, il cessa juste avant l’explosion de ma substance abondante et chaude entre ses doigts, il continua un faible mouvement de va-et-vient quelques secondes avec l’une de ses mains, alors que l’autre me caressait le pubis répandant ma substance encore tiède sur mon ventre dans un toucher raffiné et jouissif.
- Tu as aimé ?
- Plus que ça, c’était sublime !
Nous étions allongés dans la quiétude de cette fin d’après-midi chaud et sensuel, Aurélien me regardait avec tendresse’tu as un très joli fessier, et un beau petit sexe ‘dit il, tandis qu’il me parcourait de son index de la nuque jusqu’au sillon fessier, je frémis de plaisir, je me mis sur le dos il prit alors dans ces doigts experts mon sexe,’c’est vraiment un jolie petite virgule, lorsqu’il est au repos », il me décalotta plusieurs fois avec une subtile délicatesse, fit quelques effleurements doux comme du duvet et y déposa un petit baiser.
Il était déjà tard, je me rhabillais et je quittais Aurélien, encore ivre de ce merveilleux moment imprévu, que nous avions bien l’intention de répéter lorsque le hasard déciderait que nous devions nous rencontrer.
Reverotic
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