Premier épisode
Le problème de Kévin
Après quelques semaines, j’entendis frapper à la porte de mon bureau. C’était Kévin.
Comment ça va mec ? lui demandai-je
Hu, je me demandais si je pouvais te parler ?
Bien sûr, mais autour d’un verre, ça me fera une petite pause. Je te rejoins à la cuisine. Alors, qu’est-ce qui te tracasse ?
Kévin ne dit rien et fixait le fond de son verre, manifestement gêné.
C’est si grave que ça ? Tu sais, avec les autres, j’ai entendu pas mal de trucs, y’a pas grand- chose qui pourrait me choquer !
Alors que je terminais ma brillante réplique, Kévin se jeta à l’eau : « Je me masturbe trop »
Je restais interdit, assis à le regarder. Je dois dire que je ne m’attendais pas à ça ! Il continuait à fixer son verre, le visage rouge vif.
Revenu de ma surprise, je lui demandais pourquoi il pensait ça, après tout, il n’avait que 19 ans. Il me répondit qu’il se branlait 6-7 fois par jour et que ça le gênait et que partageant la chambre de Stéphane, il avait peur que celui-ci le surprenne.
Je lui demandais en quoi je pouvais l’aider, après tout, c’était sa main qui branlait sa queue ! Il me demanda si j’avais des suggestions pour résoudre son problème.
Je réfléchis un instant et lui répondit à moitié sérieux qu’on pourrait lui attacher les mains dans son lit la nuit. Sans se démonter, il me répondit qu’il y avait pensé, mais que ça ne résoudrait pas son problème la journée et qu’en plus, Stéphane se poserait des questions. Il était vraiment inquiet que les autres mecs de la maison ne découvrent son problème.
Je lui suggérais de faire des recherches sur Internet, puisque tous les problèmes du monde y sont résolus (de manière plus ou moins débiles) et je retournais à mon bureau en me disant que Kévin avait de VRAIS problèmes...
Une heure plus tard, je l’entendis à nouveau frapper à ma porte, il avait un grand sourire et semblait tout excité. « Je peux te montrer ce que j’ai trouvé ? »
J’étais un peu surpris qu’il ait pris ma suggestion au pied de la lettre, et qu’il ait de plus trouvé quelque chose ! « Bien sûr, fais-moi voir ».
Sur le laptop de Stéphane qu’il avait apporté, il me montra un appareil de chasteté pour homme. J’ignorais jusqu’à l’existence de ce genre d’engin mais la photo sur le site ne laissait aucune ambiguïté sur son utilisation ! Lisant le descriptif, je commençais à avoir une légère raideur dans mon slip.
Mais, Kévin, t’es sûr de vouloir porter ça ? ça ne va pas te poser des problèmes, surtout la nuit ?
Bah, la nuit, je dors en boxer et je me glisse sous les draps avant que Stéphane ne revienne des toilettes.
Ok, mais tu as vu que le fabriquant recommande une hygiène irréprochable pour le porter, tu es sûr ?
Oui, oui, je ferai très attention
Ok, mais, je vois un autre problème : ce bidule est muni d’un cadenas, si c’est toi qui gardes la clef, je ne vois pas ce qui t’empêcherais de te branler aussi souvent qu’avant ?
Oui, j’y ai pensé, mais justement, je voulais te demander... si tu ne voudrais pas garder la clef...
Je restais une fois de plus stupéfait. Je réfléchissais à 100 à l’heure. J’étais déjà le maitre de la maison et par extension, le maitre de ces 4 jeunes males, mais l’un d’eux voulait en plus que je sois le maitre de sa libido ?
Tu pourrais m’aider à le mettre en place aussi, s’il te plait...
Dans un air chargé de luxure, je m’entendis dire d’un air dégagé « Oui, pourquoi pas ? ». Mon boxer était devenu trop petit et il me semblait que Kévin aussi était tout excité parce que qu’il venait de me demander...
Faudra pas que les autres l’apprennent par contre... Oui, oui, bien sûr », répondis-je d’un air absent
Seulement, le prix de l’engin était un peu dissuasif et les finances de mon Kévin étaient au plus bas. Grand seigneur, je lui dis de le commander, à mes frais, ce serait son cadeau de Noël prochain, ou d’anniversaire...
Kévin me remercia chaleureusement d’un baisé chaste sur la joue, me laissant à mon travail avec une érection douloureuse...
Quelques jours plus tard, je vis débarquer Kévin surexcité dans mon bureau portant un petit paquet.
Je l’ai reçu, je l’ai reçu !
Ah !... Je vois. Ben, ouvre-le ?!
Frénétiquement, Kévin déballa le paquet pour découvrir le petit ustensile d’un plastique rose obscène. Au milieu des chips de transport, je me saisis de la notice, laissant Kévin admirer son nouveau joujou.
L’appareil se composait d’un anneau en métal assez large et d’un tube formé d’autres anneaux avec un système de fixation un peu complexe, et d’un petit cadenas à clef.
Kévin, je lis ici qu’il est conseillé de raser complètement la zone... Tu es prêt à cela ?
Il s’arrêta de gigoter et le visage rouge à exploser, il me répondit : « Oui, mais tu pourras me raser s’il te plait ». Avisant son entre-jambe, je voyais autre chose prêt à exploser... Moi-même, je cachais mon trouble sous mon bureau, mais mon caleçon était déjà trempé de mouille...
Ok, je vais t’aider. Bon, nous sommes tranquilles, les garçons sont partis pour plusieurs heures. Va prendre une douche et tu me rejoins dans le garage avec juste une serviette.
Bien Bastien », me répondit-il en se précipitant hors de mon bureau.
Je rassemblais mes esprits. Certes, le jeune Kévin ne me laissait pas indifférent, mais je n’avais pas envisagé que nos rapports prennent un tour si particulier... Non seulement j’allais être le gardien de sa queue, mais j’allais bientôt la raser. Inutile de dire que ma propre queue battait douloureusement dans mon pantalon !
Je descendis donc dans le garage, pris une paire de ciseaux, une serviette et un nécessaire de rasage. J’avisais le treuil que j’avais installé des années plus tôt et je me mis à sourire de façon diabolique. Kévin arriva, comme prévu, nu avec juste une serviette autour de la taille.
Approches-toi, mets-toi juste ici. Tends tes mains en avant.
D’un geste précis, je lui ligotais les poignets et les attachait à la moufle du treuil.
Mais..., s’exclama-t-il avant de se taire en croisant mon regard sévère.
Là, laisses-toi faire, lui dis-je en actionnant le treuil pour soulever ses bras. Ecarte un peu les jambes... voilà, on y est
Mon Kévin était debout, les bras en extension au-dessus de la tête, la serviette qui cachait sa pudeur glissa, dévoilant son sexe en semi-érection.
Bien, nous y sommes. Que les choses soient claires Kévin, une fois que j’aurai commencé, pas de retour en arrière. Tu veux vraiment que je rase ton sexe et que j’y installe cette cage de chasteté ?
Oui Bastien
Ok, on est partis
Assis sur un petit tabouret, Je me saisis des ciseaux et j’entrepris de dégager son sexe de l’épaisse touffe de poils qu’il avait. Cela ne le laissait pas indifférent et j’entendais qu’il gémissait faiblement. J’avais du mal à ne pas trembler, mais je ne voulais pas abimer un aussi joli matériel. Inutile de dire que son érection s’était affermie et il bandait maintenant complètement, affichant une belle tige de 18cm de long, d’épaisseur moyenne et avec un gland cramoisi. Il avait les yeux fermés et soufflait fort. Je revins à mon ouvrage avec le rasoir cette fois. Je tartinais son entre-jambe de mousse à rasé et j’entrepris de passer tout autour de son sexe, le manipulant pour ne pas être gêné. Une perle de mouille se formait lentement au bout de son méat et un long fil commença à en tomber. Je commençais alors à raser ses couilles, qu’il avait bien rebondies. Afin d’éviter la morsure du rasoir, je pris ses testicules à pleine main pour tendre la peau. J’entendais son souffle de plus en plus fort entrecoupé de hoquets lorsque la pression de ma main sur ses testicules s’affermissait. Je terminais mon ouvrage en rasant son périnée. Je terminais en essuyant son sexe avec la serviette pour enlever toute trace de mousse à raser. En me reculant pour admirer mon ouvrage, je remarquais que mon Kévin avait entrepris de léger mouvement de va-et-vient sans équivoque...
Vu que je ne pouvais enfiler le dispositif que si Kévin ne bandait pas, je décidais de lui octroyer une petite gâterie. J’approchais mon visage de sa queue. Il bandait si fort qu’un réseau de veine bleues battaient le long de la tige et la verge était animée d’une légère oscillation au rythme de son cœur. Du bout de la langue, je lui titillais la verge, d’abord la tige, puis, remontant doucement, je lui caressais le gland de petits lapements rapides. Au-dessus de moi, j’entendais Kévin gémir de plus en plus fort. Ma langue vient lécher le filet de mouille qui coulait maintenant jusqu’au sol et j’entendu Kévin grogner de plaisir. Je lui pris le gland en bouche et, chauffé à blanc par mes manipulations, il ne lui fallu que quelques secondes pour éjaculer dans ma bouche en criant son plaisir.
Exténué par son orgasme, il pendant maintenant au bout du câble, les bras en l’air et les yeux fermés. J’en profitais pour nettoyer son organe et je me saisis de la cage de chasteté. La notice indiquait qu’il fallait introduire d’abord les 2 testicules dans l’anneau le plus large, puis de glisser la verge. Je m’exécutais donc en observant les réactions de mon cobaye. Je vis ses traits se contacter lorsque je fais passer ses testicules et carrément avoir un mouvement de recul lorsque je fis passer sa verge flaccide mais ultrasensible dans l’anneau. Je terminais en plaçant le tube autour de sa verge et je plaçais le cadenas.
Entre temps, il avait réouvert les yeux et ne perdait pas une miette de mes manipulations. Ayant son attention, je lui demandais :
Toujours Ok ?
Toujours maitre !
Cette dénomination me surpris, mais je ne relevais pas, après tout, j’allais effectivement devenir le maitre de son génitoire...
Bien, mais c’est toi qui vas verrouiller le cadenas.
Sans briser notre contact visuel, il verrouilla le cadenas et me tendis la petite clef.
Comment tu te sens ?
Ça va, c’est tout bizarre, ça fait un poids autour de ma queue
Je le détachais et je le renvoyais s’habiller pendant que je rangeais le garage pour ne pas laisser de trace suspecte de notre petit arrangement...
Alors, comment ça fait une fois habillé ?
C’est déroutant, je sens que ça tire sur ma queue, mais lorsque j’essaye de la remettre en place, je sens la cage et je ne peux plus la toucher...
Oui, c’est l’objectif en même temps... Je te propose de la garder jusqu’à ce soir, on se revoit au garage et on avise. D’accord ?
Oui Bastien, bonne idée
Je retournais à mes occupations. Après le repas et la soirée avec les garçons, je fis un signe discret à Kévin pour qu’il me rejoigne au garage. Une fois rentré, je verrouillais la porte.
Déshabille-toi !
Sans un mot, il se mit nu et se mit en position, jambes écartées, les mains derrière la nuque, le regard droit devant. Impressionné par cette initiative, je tirais le tabouret et je commençais l’inspection.
Je secouais un peu la cage pour tester sa tenue, remontais l’ensemble pour observer ses testicules. A chaque mouvement, il avait de petits sursauts.
Calme-toi mon garçon. Je te fais mal ?
Non maître
Et la cage, elle t’a fait mal aujourd’hui ? Elle ne t’a pas pincé ?
Non, tout va bien. Sauf que j’ai eu une érection et ça a poussé la cage vers l’avant, ça m’a tiré sur les couilles le temps que je débande.
Je vois, mais c’est un peu l’objectif de la chose... Bon, je vais te l’enlever pour inspecter les points de contacts.
A peine avais-je retiré le tube de la verge que celle-ci se déploya à son maximum.
Excusez-moi maitre » me dit-il en cillant un peu, mais en gardant le regard droit devant.
J’étouffais un soupir et j’entrepris mon inspection le plus sérieusement possible, mais en bandant moi aussi furieusement. Il m’était impossible de retirer le cock-ring alors qu’il était dans cet état-là. Je me résolu donc à le branler cette fois. Recueillant la mouille qui sourdait de son gland, j’entrepris une masturbation sensuelle. Encore une fois, il ne tarda pas à venir et projeta cette fois 5 jets sur le sol du garage. Manquant tomber, il reprit la position. Ayant une idée un peu diabolique, je récupérais un peu de son sperme et je continuais à le masturber, insistant avec ma paume lubrifiée sur son gland. Il s’agitait et me demandais d’arrêter. Je lui aboyais de reprendre la position et de se taire. De mauvaise grâce, il tenta de rester immobile mais se tortillais beaucoup, jusqu’à ce que sa verge reprenne du volume et que je puisse à nouveau le masturber.
Je continuais méthodiquement mon ouvrage et je l’entendais gémir et souffler de plus en plus fort au- dessus de moi. Après quelques minutes, j’obtins à nouveau sa jouissance en quelques jets. Ses jambes tremblèrent mais il se remis assez vite en position. Cette fois, je laissais son sexe se dégonfler sans plus y toucher jusqu’à ce qu’il soit assez petit pour lui ôter le cock-ring. J’inspectais rapidement son sexe à la recherche d’une lésion, mais tout était parfait, en dehors de la rougeur due aux 2 orgasmes successifs que je lui avais infligés.
Bon, on va en rester là pour ce soir.
Oui maitre, merci maitre !
Je te laisse nettoyer ce foutoir. On se retrouve demain matin avant ton départ pour ton taff. Je te repose la cage et tu la garde toute la journée, ça te convient ?
Oui maitre ! me répondit-il avec un pétillement lubrique dans les yeux.
Et tâche de ne pas réveiller Stéphane en repensant à tout cas cette nuit !
Christophe
bcastafiore@hotmail.com