Cette histoire se passe en été 2019, je venais d'avoir 18 ans. On peut dire que j'ai mon petit succès : 1m80, une corpulence moyenne, de beaux cheveux bouclés, des yeux bleus qui en font craquer plus d'un et une peau ni trop blanche ni trop bronzée. Tout le monde me dit que je suis mignon et que je serais bien leur "goûter". C'est un compliment pour certains. Personnellement, je ne m'intéressais pas trop à toutes ces personnes car seul un gars méritait mon attention. Il s'agissait de Louis, un beau garçon à la chevelure dorée et aux yeux qui reflétaient la mer. J'étais obnubilé par lui.
Son groupe d'amis n'était pas le même que le mien et, même si je m'amusais dans le mien, ce n'était pas l'envie qui me manquait d'aller le voir. A chaque fois, la même chose : je rêvais de m'approcher de lui d'un pas assuré, je m'asseyais sur ses genoux avant de l'embrasser devant tous ses potes. Ensuite, on se déshabillait l'un l'autre en ne prêtant pas attention au reste du monde. Tout cela m'excitait. Mais jamais je ne l'ai approché. Parfois, lors d'un cours que nous avions en commun, nous échangions quelques regards en rentrant dans le local. Je pensais, comme tout le monde, qu'il était hétéro. J'allais vite changer d'avis.
En plein milieu du mois de juillet, la chaleur était intense. Mes parents avaient eu la bonne idée de sortir la piscine gonflable. J'ai donc invité une très bonne amie qui n'habitait pas loin de chez moi pour éviter de me baigner seul. Durant les premiers jours des vacances, elle et Louis ont eu un petit rapprochement mais juste amical, m'a-t-elle précisé. Une heure avant d'arriver chez moi, elle m'a demandé si elle pouvait inviter quelqu'un pour se joindre à nous. Connaissant le type de personnes qu'elle fréquente, j'accepte sans trop réfléchir.
Lorsque j'ouvris la porte, je fus étonné de voir mon prince charmant devant ma porte. Il était seul.
- Désolé, j'arrive peut-être un peu en avance. Lili aura un peu de retard, elle s'est engueulée avec son père. Je peux entrer ? m'a-t-il dit.
- Oui oui bien sûr, entre, je t'en prie. Lui ai-je répondu. Mes parents ne sont pas là, on va pouvoir s'amuser.
Pourquoi ai-je dit ça ? Il va penser que je suis en crush sur lui et va partir sans que je n'ai pu admirer son corps d'étalon. Je n'avais qu'une seule envie : lui et moi dans ma piscine, maintenant. Je me suis mis à imaginer certaines choses et cela commençait à se voir dans mon maillot. Pour détourner l'attention, je lui dit qu'il peut aller se préparer dans la salle de bain. Sans attendre, il se déshabilla devant moi me laissant voir ce magnifique fessier. Un beau petit cul, celui que les dieux grecs avaient. Une véritable merveille. Et, lorsqu'il s'est penché pour ramasser son caleçon tombé au sol, je pu apercevoir le bout de sa queue.
- Je vais envoyer un message à Lili pour voir comment elle va. Tu peux déjà aller dans la piscine.
Il fallait absolument que je trouve un stratagème pour qu'il ne voit pas la barre bien droite que j'ai entre les jambes.
- Tu es où ? Tu oses me laisser seul avec Louis en sachant très bien ce que je ressens pour lui ?
- Petit cadeau de ma part. Profite un peu de lui.
Avant que je n'ai eu le temps de répondre, j'ai entendu mon bel Apollon m'appeler depuis la piscine. Sans attendre, je l'ai rejoins. Il était de dos donc j'en ai profité pour vite rentrer dans l'eau sans qu'il ne s'aperçoive de quelque chose.
Nous avons passé un petit moment à parler et quelque chose m'a vite frappé. Sans que je fasse quoi que ce soit, nos corps se rapprochaient l'un de l'autre, comme deux aimants attirés. En fait, c'est lui qui, en une fois, se mit à côté de moi. Il avait un regard de braise qui me réchauffait encore plus que le soleil au zénith. Comme dans mon fantasme, je me suis assis sur ses genoux, fasse à lui. Il m'a regardé droit dans les yeux. J'ai penché légèrement ma tête pour voir quelle allait être sa réaction. Il m'embrassa sans que je ne pu faire quelque chose. Ses mains se sont posées sur mes fesses. Il rapprochait mon torse du sien. Je bandais déjà depuis le moment où je me suis mis sur lui. Mes mains glissèrent toutes seules vers son maillot. Il était bien tendu, trop tendu. Je me suis dit que c'était trop cruel de laisser sa belle queue dans son piège. J'ai alors laissé s'échapper la bête avant de la prendre en main. Elle faisait au moins 20 cm.
- Dans ma chambre... On sera plus tranquille... Dis-je en essayant de reprendre mon souffle.
Sans se sécher, nous précipitions dans mon lit. Je l'ai couché sur mes draps avant de l'embrasser à nouveau. Petit à petit, je descendais vers mon graal. J'ai d'abord lécher ses boules avant de mettre lui faire une gorge profonde. Il gémit et appuya sur ma tête. Je ne savais plus respirer mais c'était tellement bon. Après l'avoir pompé, mon anus voulait avoir sa part. J'enlevais ce qu'il me restait d'intimité avant de mettre du gel sur mon trou. Ni une ni deux, il rentra en moi. Lui poussait un cri de plaisir et moi, un cri de douleur. Jamais je n'avais pris d'aussi grosses dimension en moi. C'était tellement bon, tellement divin. J'étais au septième ciel. Je sentais ses boules qui tapaient sur mon cul.
En une fois, il m'a arrêté, m'a mis à quatre pattes sur le lit et à recommencer le travail en remettant un peu de gel. Il m'a pilonné pendant quelques minutes qui me paraissaient trop courtes par rapport au bonheur que j'avais. Je me faisais sauté par le mec que je surkiffais. En une fois, j'ai senti sa respiration accéléré. Je l'ai mis tout au fond de moi et, en une fois, il a craché six longs jets de sperme avant de se laisser tomber. Il s'est retiré, m'a retourné et m'a sucé. Il ne m'a pas fallu longtemps pour que je lâche la purée. Il a tout avalé avant de m'embrasser de nouveau. Il passait sa main dans mes cheveux. J'ai juste eu droit à un "t'es génial" avant que l'on sonne à la porte. Ce sera notre petit secret.
Cette histoire est finie. Ceci est une fiction, tous les personnages sont inventés. J'espère qu'elle vous a plu. Peut-être que j'en écrirai d'autres si l'envie m'en prends et si je vois que cela vous plais.
Mengayx