Mon service militaire
Salut à tous, je me prénomme Sébastien, j’ai 45 ans et je suis gay. En couple fidèle depuis plus de 15 ans et heureux.
Ma vie sexuelle n’a pas débuté très tôt, les années SIDA y sont sans doute pour beaucoup.
Bien sûr je me branlais en regardant des pornos gays que je louais au vidéoclub du coin (je vous parle d’un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaitre !! LOL), mais je n’osais pas franchir le cap avec les mecs.
A 23 ans j’étais encore puceau, excepté les quelques branlettes entre potes et une pipe au meilleur ami de mon grand frère (je vous raconterai un jour cette histoire).
Après avoir repoussé l’échéance grâce à mes études me voilà obligé de partir faire mon service militaire.
J’étais à la fois totalement flippé et excité, j’allais me retrouver avec des mecs de mon âge pendant 10 mois nuit et jour.
Après l’arrivée à la caserne et la remise de notre paquetage (tenues et chaussures), je me rends dans ma chambrée. Une pièce dans laquelle se trouvent 10 lits (5 de chaque côté) avec de petites armoires individuelles. Il y a également un coin avec une douche et un lavabo.
Sur les 10 lits, seuls 6 sont occupés, 4 mecs habitent la ville et sont autorisés à dormir chez eux.
Les 5 gars avec qui je partage la chambre s’appellent :
– Olivier, 1m70, 70 kg, blond, yeux bleus,
– Franck, 1m80, 75 kg, brun, yeux verts,
– Samy, black, 1m90, 85 kg, brun, yeux noirs,
– Nicolas, 1m78, 73 kg, châtain, yeux marrons,
– Guillaume, 1m85, 80 kg, brun, yeux couleur noisette.
Ils ont tous à peu près mon âge, entre 20 et 25 ans. On s’est très vite plutôt bien entendu tous les 5. On est tous dans la même galère donc ça rapproche !
Il a fallu instaurer des règles entre nous, pour le ménage de la chambre et l’ordre de passage à la douche.
Pendant qu’un de nous se douchait, un autre se rasait devant le miroir ou se brossaient les dents pour gagner du temps.
Mes « colocataires » n’étaient pas très pudiques et se promenaient souvent à poil dans la chambre, en sortant de la douche par exemple ou en se levant de leur lit (ils dormaient presque tous nus).
Pour ma part, je ne me montrais pas beaucoup dévêtu, ils me charriaient souvent à ce sujet. Ce n’était pas un problème de pudeur, je suis plutôt à l’aise avec mon corps (et franchement je ne suis pas trop mal foutu !), c’était plutôt par crainte que mon anatomie ne trahisse mon excitation.
Je l’avoue je fantasmais toutes les nuits sur leurs corps de rêve. Ils avaient un physique différent les uns des autres, mais étaient tous vraiment bien gaulés et hyper bandants !
Je m’imaginais entre leurs jambes musclées, à sucer leurs queues dressées.
Ah leurs queues ! Je les matais dès que j’en avais l’occasion, du coin de l’œil, sans en avoir l’air.
Guillaume avait indéniablement la plus longue. Les autres le surnommaient « cheval ». Samy était deuxième par la longueur, mais numéro 1 par la grosseur, ça bite devait faire au moins 5 cm de circonférence, énorme ! Il était le seul à être circoncis.
Franck et Nicolas étaient membrés dans la moyenne.
Quant à Olivier, ce qui était impressionnant c’était ses couilles, bien plus lourdes que la norme et qui semblaient constamment pleines.
Les mecs prenaient bien soin de leur corps, ils étaient sportifs et ça se voyait.
J’adorais le torse de Guillaume, bien poilu. Franck avait de beaux pieds, que j’aurais adoré lécher… Quant à Nicolas, il avait un cul à se damner ! Bien cambré, bien rebondi. Quand il portait son pantalon de treillis, ça le mettait vraiment en valeur.
J’étais aux anges de partager leur chambrée, mais il me fallait rester prudent pour ne pas éveiller leurs soupçons.
Le soir, après les journées éreintantes que nous avions, nous étions affalés sur nos lits, certains fumaient (c’était autorisé à cette époque…), d’autres lisaient ou discutaient entre eux.
Les sujets étaient souvent les mêmes, le sport, les filles et le cul !
Les confidences allaient bon train, on se faisait confiance, on se racontait nos vies, nos expériences passées.
Enfin, eux se confiaient, moi j’écoutais simplement.
Certaines de leurs histoires me mettaient dans un état second. Je bandais comme un taureau.
Un soir, Franck posa une question directe à Guillaume, qui me brûlait les lèvres depuis déjà plusieurs jours : « Elle fait combien ta queue en quand tu bandes ? »
Guillaume : « Je me demandais quel serait le premier d’entre vous à me poser la question ! » dit-il en riant. « Les paris sont ouverts les gars, allez y faites vos jeux ! »
Franck : « Je dirais au moins 22 cm ! »
Olivier : « Oui je suis d’accord, 22 ! »
Samy : « 20 et ça me semble bien payé »
Nicolas : « C’est vrai que souvent une bite longue au repos n’est pas immense en action… je vais dire 21 ! »
Guillaume : « Et toi Seb, tu dis quoi ? »
Moi : « Je dirai un bon 25 cm »
On regardait tous Guillaume pour connaitre l’information tant attendue.
Là, calmement il a baissé son boxer et a commencé à se branler lentement.
Olivier : « Tu fais quoi là mec ? Tu te crois seul ou quoi ! »
Guillaume : « Vous voulez savoir oui ou non ? Donc patience, ça ne va pas tarder. »
Et en effet, en à peine quelques va-et-vient, sa queue a pris un beau volume et s’est allongée rapidement en devenant dure comme une barre de fer dressée.
Guillaume : « Et le gagnant est… Seb ! Bravo mec, tu as le compas dans l’œil, elle fait 26 cm, 28 même quand je suis en grande forme ! »
Les mecs n’en croyaient pas leurs yeux et restaient ébahis devant un tel morceau. De mon côté, je mouillais grave ! Mon cul était ouvert comme jamais.
Quelle bite ! Longue et rigide. Bien veinée. Un gland parfaitement décalotté et luisant. Une envie irrésistible de me jeter dessus pour le lécher, le sucer m’envahit !
Guillaume : « Bon les gars c’est pas tout ça, mais maintenant que je suis au taquet, il va falloir que je me vide, sinon je ne pourrais jamais débander. Vous n’y voyiez pas d’inconvénient j’espère ? »
Je n’en croyais pas mes oreilles ni mes yeux. Ce pur beau gosse était en train de se branler sous mes yeux en toute simplicité, sans aucune gêne. Je pense même qu’il prenait son pied à jouer les exhibitionnistes.
Olivier : « Pas de problème pour moi mec »
Franck et Nicolas : « Fais-toi plaisir ! »
Samy : « Si personne n’y voit d’inconvénient, je serai partant pour me soulager aussi. Franchement ce serait plus sympa de faire ça ici que dans les chiottes comme je le fais tous les soirs ! »
Les autres se mirent à rire.
Franck : « Et si on faisait une branlette party les mecs ? Vous avez sans doute dû faire ça entre potes à l’adolescence, non ? »
Nicolas : « Oui, mais c’était il y a un moment déjà, on était jeune ! »
Olivier : « Moi ça me dit, ça me rappellera ma jeunesse avec mon frère, on partageait la même chambre et on faisait des compétitions !
Là tout est allé très vite. Chacun d’eux s’est foutu à poil sur son lit et a commencé à se caresser.
J’étais tétanisé. Je regardai ces mâles chauds se paluchaient comme si j’étais devant un bon porno gay.
Guillaume : “Tu attends quoi pour te joindre à nous Seb ? Tu ne vas jouer les timides comme toujours ? Là, tu n’as pas le choix, tu dois te vider aussi ! Allez, à poils mec !”.
Les autres : “Oui, à poil et bite à la main, soldat !”
(A suivre…)
N’hésitez pas m’écrire pour me donner vos impressions et me dire si vous souhaitez la suite.
Curieux84
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