Histoires de fantasme...
Chapitre 1
Je m’appelle Clément (je suis assez petit 1 mètre 50, faible) je suis mandaté pour faire des tests antidopages au hasard chez différents sportifs. Ma technique préférée c’est d’aller les voir dans leurs hôtels de luxe à des moments où ils ne s’y attendent pas.
Mon premier chapitre se déroule chez un célèbre joueur portugais qui était encore joueur à Madrid.
Normalement la procédure impose qu’un garde du corps m’escorte, je m’avance donc avec lui. Je toque à la porte, le joueur nous ouvre la porte et il comprend tout de suite ce qu’il se passe, il glisse un mot à une femme (probablement une prostituée) et cette femme fait semblant de s’évanouir (en réalité je vais découvrir que dans son sac il y avait de l’argent pour corrompre mon garde du corps qui doit s’assurer de la tenue du protocole). Nous étions devant la porte de la chambre Cristiano me saisit par le col me fait rentrer dans la chambre.
Une petite description de ce parfait au corps magnifique des muscles de partout et une assurance incroyable. Je prends mon courage à deux mains « Monsieur, j’ai besoin d’un test urinaire et d’une prise de sang c’est le contrôle anti dopage ». Crisitano commence à rire et lui qui était en caleçon commence à se trifouiller le caleçon dans ma vue périphérique j’observe un colosse je n’ai jamais vu un organe aussi grand.
Il me dit alors en rigolant « je veux voir ta carte espèce de sous merde » je lui ai répondu très bien monsieur je cherche dans ma petite mallette et je sens une balayette me mettre à genoux.
Cristiano portant un boxer et des chaussettes blanches s’assoit sur son fauteuil et il me dit « tu veux rire sale pute, hé bien on va rire » avant que je puisse crier j’avais ses deux pieds sur la tête je suffoquais je me débattais pour sortir de l’emprise de ses pieds. « Pitiés pitiés » je suppliais cet homme qui puait atrocement des pieds jusqu’à ce que la force me manque et que j’accepte ma nouvelle position.
Cristiano se mit à rire et se leva, il s’allongea sur le ventre et saisit ma tête, je compris ce qu’il voulait faire j’essayais de me débattre une nouvelle fois, mais en vain j’étais à présent la tête dans son caleçon il remuait les fesses pour bien y enfoncer ma tête. J’étais dans la même situation qu’avant, je n’arrivais plus à me débattre, je n’avais plus de force je décidais qu’il était temps pour moi de me soumettre.
Cristiano avait senti cela et décida d’enlever son boxer, j’étais à genoux devant sa toute-puissance, il m’obligea à regarder son membre. Une bite qui était aussi grande que mon avant-bras et encore molle. J’étais subjugué, je n’avais jamais vu bite avec des couilles aussi grandes, je me rappelais alors Rafael Alencar. Il se mit à rire et mit les choses au clair : « écoute-moi sale chienne ici t’es à moi, t’es chez moi, tu vas me bouffer la bite puis et le cul et ensuite tu vas pisser dans ton gobelet et le ramener à la fédération et tu pourras recommencer à chaque fois avec moi »
Ici, un retour de force semblait me revenir, je tentais alors de me relever, mais il se remit à rire et j’eus le droit à une grosse tarte dans la gueule, j’étais à genoux et il me maitrisait la tête, je réussis à me dégager, mais je me retrouve contre le mur sur les fesses, j’essayais de me le repousser, mais il avançait toujours. Il me biffla pendant 15 minutes en me forçant à le regarder, j’étais humilié, soumis complètement à son membre.
Puis lorsque soumis à sa bite, sans qu’il le demande, j’ouvris la bouche, moi qui ne savais pas sucer. Une envie de vomir m’a prise je toussais, je griffais ses cuisses, il prit mes deux bras pour les mettre dans mon dos celui qui permis d’ouvrir ma gorge. Mon dernier rempart était ma langue, je tentais de repousser ce gourdin avec ma langue, mais un énorme coup de hanche fit rentrer l’engin dans ma gorge, mais je ne pouvais plus me débattre, pour conserver mon peut d’air, il prit ma main pour la mettre sur ma gorge et je sentais son gland à travers la peau, il prit un marqueur sur le buffet et fit un trait en bleu au marqueur indélébile et dit « je pourrais voir jusqu’où je suis allé avec toi salope ».
Pendant 20 minutes, je me suis étouffé sur sa grosse bite, je tentais d’avaler ses couilles, quand soudain je sentis un truc en plus il était au fond de ma gorge quand ses premiers jets sont sortis. Il est ressorti de moi et j’étais comme une pute à son service je n’avais plus rien à dire.
Il me dit : « voilà je prends 3 photos, maintenant t’es à moi sale chienne, je suis plus fort, j’ai plus d’argent que toi, mais tu vas rester à ton boulot, tu vas me servir comme ça espèce de salope » .
Je me recroquevillais en boule par terre et je sentis un liquide chaud il était entrain de me pisser dessus « comme ça mon échantillon d’urine tu vas l’avoir ».
À suivre…
Pamélie
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