Premier épisode
Cet après-midi je suis allé promener ton chien le long de la plage.
Il faisait encore très bon, mais comme nous étions en semaine il y avait très peu de monde.
J'ai voulu aller faire un tour dans la petite pinède où nous nous étions amusés toi et moi l'été dernier.
Il faisait tellement bon que je n'ai pas pu résister à l'envie de me mettre entièrement à poil et de profiter des rayons du soleil.
La fatigue, mais aussi la chaleur a fait que je n'ai pas été long à m'endormir.
J'ai été réveillé par le bruit d'une voiture qui venait de se garer pas très loin.
Quelques minutes après en levant la tête j'ai vu que je n'étais plus seul.
J'avais en face de moi deux gendarmes en uniforme.
À part le fait que j'étais entièrement nu – ce qui n'est pas interdit surtout à proximité d'une plage nudiste… je ne faisais véritablement rien de mal.
Le plus âgé des deux s'est approché de moi.
– Vous savez que vous n'êtes plus dans la zone de tolérance pour les nudistes.
– Désolé, mais je pensais sincèrement que cette dune en faisait encore partie.
– Vous savez ce qu'il en coûte pour ce genre d'infraction ?
– Non j'en ai aucune idée – je vais m'habiller et je vais aller plus loin si ça vous va.
– Moi personnellement ça ne me dérange pas que vous restiez – Cela te dérange toi ? demanda-t-il à son collègue.
– Pas du tout au contraire ça peut être même très sympa !
J'étais un peu perdu et je les regardais tous les deux à tour de rôle. Ils étaient tous les deux hilares.
Ils se sont approchés de moi tout en baissant la fermeture éclair de leurs pantalons.
En quelques secondes ils avaient tous les deux sorti leur bite et commençaient à se branler devant moi.
Tu me connais… il m'en faut plus pour me perturber.
Je dois avouer que tous les deux avaient quand même des morceaux absolument incroyables.
J'ai commencé à téter le gland du premier et le deuxième est venu frapper ma joue avec sa grosse queue en essayant de prendre la place de son collègue. Ces deux-là ont l'air bien complice et à mon avis ce n'est pas la première fois qu'il s'amuse ensemble.
Je savourais pleinement le goût et la taille de cette superbe queue et je m'amusais à la lécher de la pointe du gland jusqu'à l'attache de ses couilles.
Le deuxième impatient le bouscula pour pouvoir prendre sa place dans ma bouche.
Il était circoncis et son gland en forme de gros abricot était absolument délicieux.
Il avait juste sorti sa bite et je voulais aller glisser ma main dans son caleçon pour faire sortir ses couilles. Il a anticipé mon geste en déboutonnant le haut de son pantalon et en baissant son caleçon.
Je n'en croyais pas mes yeux : les plus grosses couilles qu'il m'a été donné de voir.
On aurait cru que deux énormes mangues attachées sous son énorme manche. J'ai dû prendre du recul pour mieux les apprécier dans leur globalité.
– Maintenant que tu as déballé, il va falloir goûter.
– Et bien maintenant tu sais pourquoi on l'appelle le Bison !!!
J'étais au paradis !
Pendant que je me délectais de ces deux fruits goûteux, le premier est passé derrière moi et il a commencé à jouer avec mon cul. Il n'a pas été long à mettre un doigt puis deux puis trois…
Je bavais tout en suçant le bison et je me régalais de malaxer ces deux énormes couilles.
J'avais beau être enivré et par le gros membre qui s'agitait dans ma bouche, j'ai quand même bien senti que ce n'était plus des doigts qui s'approchaient de mon cul.
Pendant un instant je redoutais de ressentir un peu de douleur au passage de son gland, mais visiblement le gendarme prévoyant avait bien lubrifié mon trou avant de le perforer.
En bon expert il attendu quelques secondes que les muscles de mon cul s'habituent à la taille de son engin et il a commencé à me limer.
Je me suis cambré pour l'accompagner et surtout pour le recevoir encore plus profondément.
Pendant qu'il gagnait du terrain centimètres par centimètre, son collègue décida qu'il était enfin temps de défoncer ma gorge en enfonçant son pieu d'un grand coup, en passant une de ces grosses mains derrière ma tête et en la rapprochant violemment vers lui.
Dans un premier temps j'ai eu un haut-le-cœur, mais je me suis vite adapté et je l'ai gardé en gorge profonde.
Voulant reprendre le dessus je lui ai infligé une traite du gland avec les muscles de ma gorge.
Après quelques secondes il s'est retiré rapidement en me disant
– tu ne crois quand même pas que tu vas me faire jouir comme ça tout de suite.
Ce n'est pas que je n'en ai pas envie, mais je veux te faire couiner en te défonçant le cul.
Je le regardai effrontément droit dans les yeux en lui disant : je croyais que les forces de l'ordre étaient beaucoup plus résistantes que ça et que je n'aurais pas à choisir entre fromage et dessert…
– Fais ton malin ! une fois que tous les deux on en aura fini avec toi tu vas vouloir devenir végétarien tellement tu auras eu de viande…
Et il a replongé son énorme queue directement au fond de ma gorge.
Les pilonnages du premier dans mon cul devenaient de plus en plus intenses.
Le gendarme qui m'enculait savamment avait posé ses mains sur mes deux épaules et m'attirait violemment vers lui faisant claquer mes fesses sur ses jambes.
Son souffle devenait de plus en plus haletant et j'ai senti qu'il était sur le point de jouir. J'accompagnais ses mouvements pour intensifier encore plus la pénétration. Le sentant au bord de l'orgasme j'ai serré autant que j'ai pu mes fesses.
Dans un grand râle bestial il s'est figé au fond de moi et j'ai senti son gland se gonfler et ça pine tressauter dans mon trou : il était en train de se vider.
Heureusement que ma bouche était bâillonnée par l'énorme pieu du deuxième sinon j'aurais hurlé moi aussi mon bonheur
Une fois les couilles bien vides le premier se sont retirées et ont laissé la place à son collègue.
– La place est chaude et tu vas te régaler parce que je lui ai bien ouvert le cul.
– Tu lui as surtout rempli le fion de foutre…
– Tu vas en avoir besoin parce qu'il est très serré juste comme tu les adores…
Sans aucune retenue il m'a empalé en enfonçant d'un seul coup son énorme dard.
Certes sa queue était bien plus grosse que celle de son collègue, mais c'est surtout le contact de ses énormes couilles qui venaient frapper sur mes cuisses qui était le plus excitant.
Je me suis accroché à une branche pour mieux me pencher et mieux lui offrir ma croupe. Son collègue me maintenait les fesses bien écartées et semblait se régaler du spectacle de cette énorme tige qui me pistonnait.
Voulant changer de position mon fouteur s'est allongé sur le dos et m'a demandé de venir m'empaler sur lui. Son collègue qui matait la scène s'est remis à bander illico.
Ce dernier Alors que j'étais en train de faire des montagnes russes sur la queue de mon gendarme m'a fait basculer le dos contre la poitrine de mon enculeur et est venu se placer entre nos jambes.
– À mon avis il est prêt pour la double…
– Non non ! même pas en rêve ! j'ai trop peur
– La peur c'est une chose, mais est-ce que tu en as envie ?
– je ne sais pas je n'ai jamais essayé et ça me semble impossible vu la grosseur de vos bites
– Je vais y aller doucement et, mais à mon avis non seulement tu vas y arriver, mais en plus je suis persuadé que tu vas aimer.
Son collègue a commencé à retirer sa pine ne laissant que son gland dans mon cul pour lui laisser de la place.
Ces deux loulous à mon avis n'en étaient pas alors première expérience.
Les deux glands sont entrés sans aucune difficulté et petit à petit les deux énormes tiges soudées m'ont écartelé pour rentrer au plus profond possible.
À aucun moment je n'ai eu mal.
Je me sentais comblé et au bord de l'évanouissement de tant de bonheur et de jouissance.
Un pilonnage sévère, mais incroyablement synchronisé a amené rapidement mes deux étalons à jouir.
Celui qui me recouvrait s'étant retiré, celui de dessous réussi à saisir ma queue et a commencé à me branler tout en continuant à me sodomiser violemment.
Évidemment je n'ai pas été long à venir et j'ai expulsé de longues cordes de sperme qui s'écrasèrent sur mon torse, mais aussi dans l'herbe à côté.
Ma jouissance a dû faire contracter tellement mon anus que mon pilonneur recracha encore une dernière série de giclées de foutre dans mon cul.
Après une toilette à grand coup de langue mes deux queutards ont pris la poudre d'escampette sans oublier de me laisser un contact pour qu'on puisse se retrouver bientôt.
Il semblerait qu'ils ne soient pas les seuls à apprécier un bon cul endurant à défoncer dans leur brigade…
Je suis rentré à a maison avec leur jus qui me coulait le long des jambes et j'adorai cette sensation de plénitudes au physique comme au figuré.
J'ai bien gardé leur numéro et je sens que je ne vais pas être long à les contacter.
Cela serait vraiment bien que tu puisses t'amuser avec nous à ton retour.
À très bientôt !
Honey Bear
Autres histoires de l'auteur : Papa ! tu me manques…