Pour info : histoire "crade"
Il y a quelques années, avec mon homme (à l’époque on n’était pas encore mariés), on s’était organisé un plan cul à l’autre bout du département. Mon mec s’était occupé de tout et avait trouvé un gars assez jeune et plutôt bien bâti.
On arrive dans un bled paumé et on réussit à trouver la maison, une grande bâtisse. On rentre dans une grande pièce un peu sombre et pas très propre avec des poutres au plafond et on découvre le mec qui nous reçoit : un grand gaillard d’une trentaine d’années avec de larges épaules.
Je remarque assez vite sa tenue plutôt négligée : un T-shirt déchiré et tâché qui a été blanc dans une vie antérieure, un jeans bien usé, déchiré et tâché aussi et des baskets élimées qui ont bien vécu. Il plane dans la pièce une odeur de renfermé et de crasse qui interpelle mes narines.
On entame la conversation sur des banalités et le gars nous propose une bière. On boit assez rapidement, on n’a pas fait tous ces kilomètres pour boire un coup, on est quand même venu pour un plan cul avant tout !
Je prends l’initiative de commencer à le déshabiller. Je m’approche de lui, caresse ses pectoraux à travers le tissu puis commence à remonter son T-shirt avec de grandes auréoles de sueur au niveau des aisselles.
Je découvre son ventre poilu et remonte jusqu’à ses tétons eux aussi bien couverts de poils. J’approche mon visage de son téton gauche et commence à le pincer avec mes dents. L’odeur de son aisselle en sueur me submerge.
Au bout de quelques instants, je finis par virer complètement ce T-shirt. Son corps est vraiment baraqué, bien velu, bien viril… et bien odorant. Moi qui suis fan d’odeurs corporelles et autres, ça me convient plutôt bien mais pour mon homme qui n’apprécie pas vraiment ce genre de choses, le plan risque de sembler bien long.
Je décide ensuite de m’attaquer aux chaussures de notre hôte. Je suis à genoux, dans une position de dominé, devant ce mâle alpha et je m’occupe de dénouer les lacets des pompes complètement déglinguées. Une fois les lacets défaits, j’enlève la première basket et une odeur immonde m’assaille. Je ne me démonte pas et m’occupe de défaire la deuxième pompe et encore une fois une bouffée très forte me monte au nez.
Je commence à me poser des questions sur ce qui m’attend dans le fond de son slip.
Je me décide à défaire les boutons de son jeans, écarte le tissu pour dégager le dessous de son nombril et le chemin de poils qui mène à son slip. Sa peau est moite de transpiration.
J’arrive à baisser le jeans pour faire apparaître son slip qui, comme son T-shirt, a dû être blanc il y a… très longtemps. Le tissu est usé, râpé et constellé de tâches diverses. Il n’est plus blanc mais hésite entre gris, jaune, beige et marron. Un gros renflement me laisse présager d’un bel engin. J’approche mon nez de sa bosse et je commence à sentir une forte odeur de sexe mal lavé. Hmmmm, je sens (LOL !) que je vais me régaler !
Je commence par bien lécher le tissu puant et je caresse sa tige avec ma langue à travers le slip défraichi, histoire de bien la faire gonfler. La bosse dans le slip commence à prendre de belles proportions.
Au bout de quelques minutes de ce traitement, je glisse ma main dans l’élastique du slip et commence à tâter directement son engin puis je me décide à baisser son sous-vêtement, ce qui libère brutalement sa queue.
C’est vrai qu’elle est de bonne taille, un bon 20-22 cm. Malgré sa belle érection, un long prépuce recouvre le gland et dissimule l’objet de mes convoitises.
J’approche mon nez du bout du prépuce et je capte déjà les bonnes effluves, hmmmm, ça promet ! Je saisis sa bite fièrement dressée et commence à tirer lentement sur la peau pour décalotter ce membre qui m’attire. Je découvre progressivement son gland et découvre un spectacle qui me ravit particulièrement. La peau rose de son gland est couverte d’une épaisse couche de fromage de bite, un ravissement. Immédiatement, une odeur infâme envahit la pièce. Intérieurement, je plains mon homme, mais moi, je prends un pied d’enfer.
L’odeur de ce gland hésite entre le poisson pas frais et la crevette avariée, un régal !
Je rapproche encore mon nez jusqu’à frotter mes narines sur son gland pour bien me tartiner de from, histoire de bien profiter de l’odeur pendant le reste du plan.
Je relève les yeux, mon regard rencontre celui de notre hôte. Je suis là, à genoux à ses pieds et je lui fais comprendre que j’aime me sentir dominé ainsi. J’approche ma bouche de son gland puant, ouvre les lèvres et sors ma langue qui vient au contact du dépôt blanchâtre et gluant. Je racle son fromage avec ma langue et mon regard lui montre combien j’aime ça. Je laisse fondre le from immonde contre mon palais, le goût est fort mais c’est si bon !
Pendant ce temps, mon homme s’occupe de ma rondelle. Je comprends qu’il aurait bien envie de me prendre, vu qu’avec ce mec bien crade il ne fera rien.
Moi je continue de m’occuper de la queue de notre hôte, je le pompe bien à fond en lui flattant les couilles.
Au bout d’une dizaine de minutes de ce traitement, j’entends sa respiration qui s’accélère, je devine qu’il ne va pas tarder à gicler dans ma bouche. C’est à ce moment-là qu’il me tient fermement la tête, histoire de vraiment me défoncer la gorge et il envoie toutes ses bonnes giclées de jus chaud dans ma bouche.
Je me retiens d’avaler et me retourne vers mon homme puis je lui roule une pelle bien baveuse, histoire de partager avec lui le sperme que je viens de recevoir.
Rapidement, le mec me tape sur l’épaule et me fait signe de reprendre mon travail sur sa bite. Sans me faire prier, je m’exécute et re-gobe son beau gland qui est maintenant bien rose.
Au bout de quelques secondes, je sens un liquide qui m’envahit la bouche. Le salaud me pisse dans la gueule !
Comme on est au milieu de la salle à manger, je dois faire gaffe de pas en mettre partout. Je m’applique à tout bien avaler et je n’en perds pas une goutte, tout en m’astiquant le manche.
Une fois qu’il a fini de se vider la vessie, j’envoie mon jus sur le sol et il me félicite en me tapotant la tête.
On se rhabille et on laisse notre hôte. C’était vraiment un plan hors norme mais je me suis bien éclaté !
Cradyon
cradyon@orange.fr
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