- Nous allons commencer Messieurs ! La vente démarre à 800 Rits
- Je propose 900 !
- Et moi, 1000 !
- C’est incroyable ! en moins d’une minute la vente a explosé nous sommes actuellement à 1000 Rits !
Qui en propose plus ?!
- Moi ! j’en propose 1200 !
- Hors de question !! iI sera à moi, je vous en donne 3000 !
-3000 Rits ! c’est du jamais vu messieurs, est-ce que vous allez laisser passer votre chance ? Qui en propose plus ?
- Moi ! Je vais le prendre.
- Combien en donnez-vous mon bon Monsieur ?
-9000 Rits
Le silence retomba sur la salle des ventes, plus personne n’osait parler. 9000 Rits, c’était du jamais vu pour la vente d’un simple esclave.
- Waouh, en êtes - vous sûr ? Cet esclave n’en mérite pas autant. 9000 Rits c’est colossal !!!!
- Je le sais ! je le veux quand même.
- Bien ! Quelqu’un a-t-il quelque chose à rajouter ? Très bien ! Donc 9000 une fois, 9000 deux fois et enfin 9000 trois fois. Adjugé et vendu à Monsieur le Marquis !!!!!
Toute la salle se leva pour applaudir. À mon tour je venais d’être vendu. Une vague de colère me transperça le ventre. Je leur avais promis de me sauver et de devenir libre. Une promesse balayée en une fraction de seconde. Toute une vie détruite en quelques instants. Les larmes commencèrent à couler, la gorge nouée, je baissai la tête en signe de défaite.
Mon nouveau maitre ne m’avait pas encore vu, pourquoi m’acheter à un tel prix ? Qu’importe ! Mon destin était écrit. Maintenant j’étais devenu son esclave comme tous mes frères avant moi.
J’étais assis dans une pièce sombre derrière la salle des ventes. Je ne pouvais rien voir sauf le visage blafard de mes vendeurs. Ces visages qui me dégoutaient tant. Ils m’avaient capturé et vendu. Je les détestais plus que tout au monde.
Mais ma plus grande haine était dirigée vers celui qui venait de m’acheter. Comment un être humain pouvait-il acheter un autre humain et le réduire simplement en objet sans intérêt ?
- Faite attention Mr Humézakia il est très fougueux et ne se laisse pas faire ! J’ai eu tellement de mal à l’avoir. Mais bon ! Il en valait la peine.
Il était derrière la porte. Mon cœur battait tellement vite. À quoi ressemble-t-il ? Un vieux pervers édenté ? À un .......Je n’eus pas le temps de me prendre plus la tête. Il était déjà dans la pièce et quelle ne fût pas ma surprise en me retrouvant face à.... un ange.
Malgré la noirceur de la pièce, j’étais face à une incarnation divine, des yeux d’un vert émeraude, un teint très noir comme on en trouve que dans le sud du pays, sans doute 1 m 90 pour environ 90/100 kg… de muscles. Des cheveux noirs comme du charbon et des lèvres pulpeuses. Mon Dieu, comment pouvait-on être aussi beau ?
Je ne savais plus quoi dire, mon propre souffle était coupé. Pourquoi un jeune homme comme lui aurait-il voulu d’un simple esclave comme moi ?
- Le voilà Mr Humézakia, il vous plait ?
- Il est un peu maigre et plus petit par rapport à ce que j’espérais, mais bon je le prends quand même !
- Oh vous savez, comme je vous l’avais dit, il est très fougueux ! méfiez-vous de son apparence de petit garçon.
- Comment s’appelle -t-il déjà ?
- Il n’a pas de prénom
- son âge ?
-19 ans
- bien, est-il en bonne santé ?
- oui ! Tous les tests ont été faits ! .
- est-il toujours puceau?
- oui, par contre il n’est pas circoncis.
- Et pourquoi cela ?
- Nous avons préféré ne pas le faire, car de là où il vient il y a bon nombre d’épidémies et de virus, et étant donné qu’ils n’ont pas de soins médicaux conséquents ! nous avons préféré le laisser en l’état ! Cela vous dérange-t-il ? Souhaitez-vous que je le fasse avant votre départ ?
- Non ça ira, merci ! Je vais m’en charger ! .
- Allez-vous le prendre aujourd’hui ?
- Oui, préparez tous les documents et ramenez-les-moi !
- On peut les signer directement dans le bureau ?
- non, je vais rester avec lui un moment pour faire connaissance.
- Bien, je reviens dans cinq minutes avec les documents.
Mon vendeur s’en fut, nous laissant seuls dans la pièce. Mon cœur battait encore plus vite. C’était insupportable ! Il m’observait et je l’observais. C’était incroyable ! il était vraiment beau, il s’avança vers la chaise face à moi et s’y assis. Son aura régnait dans la pièce. Quel âge pouvait-il avoir ? Et surtout quel était son prénom ? .
- Comment t’appelles-tu ?
-...
- Je t’ai posé une question !
-....
- Tu ne comprends pas ma langue ?
Je comprenais parfaitement ce qu’il me disait, mais sa présence me mettait mal à l’aise et surtout que dire ?
- Je sais que tu comprends ma langue, mais tu sais ce n’est pas en évitant mes questions que tu vas changer quoi que ce soit à ta situation !
Il avait raison, j’avais été vendu ! Et la mort mise à part rien ne pourrait me sauver. Je soupirai et baissai la tête.
- Je m’appelle Leyllane-Sama
- Leyllane-Sama, drôle de prénom ! Tu as un surnom ?
- Oui ! Bébé
- Bébé ! (il se mit à rigoler) c’est vraiment drôle. Moi je suis Sphynx Humézakia.
- Sphynx ? Comme le monument égyptien ?
- Oui ! pour un esclave tu es cultivé !, es-tu allé à l’école ?
- Oui ! de mes trois ans à mes dix-sept ans.... avant d’être enlevé.
Mon cœur se serra, en repensant à cette époque où j’étais encore innocent. Et Sphynx le remarqua.
- Tu as de beaux cheveux, tu sais ! tu ressembles à une femme ?
Je souris, car ce n’était pas la première fois qu’on me le disait ! Avec mes longs cheveux teintés de blanc, j’avais l’apparence d’une femme. J’avais les mêmes yeux verts que Sphynx, la peau claire et je mesurais un mètre soixante-dix. Je n’avais pas de muscle, j’étais plutôt maigre et chétif.
- Tu m’écoutes quand je te parle ?
- Désolé j’étais absorbé par mes pensées.
- Et à quoi pensais-tu ?
- À mon corps.
- Ton corps ? Qu’est-ce qu’il a ton corps ?
- Rien de spécial !
Sphynx se leva et s’approcha, il était à deux centimètres de mon visage, nos nez se touchaient presque. Il était si proche que je pouvais sentir son odeur. Un mélange de fleurs et de musc qui le rendait à la fois si bestial et si doux. Ses yeux encore plus beaux de près, brillaient ! Sphynx Humézakia vous êtes tellement beau. Il m’attrapa une mèche de cheveux et l’huma.
- Roses des iles
– Vous connaissez ?
- J’ai grandi avec des roses des iles, ma mère était fleuriste sur l’ile de Tarare.
L’ile de Tarare, il avait grandi sur cette ile ? L’ile de mon enfance. L’ile où tout avait commencé ! Était-ce le destin ?
- Nous ne sommes pas là pour parler parfums ! sais-tu pourquoi je t’ai acheté ?
- Non
– Ils ne t’ont rien dit ! Écoute ! Comme tu le sais, il a 50 ans, sur tous les continents de la Terre, on a vécu une guerre sanglante et incontrôlable.
- oui je sais
- Et comme tu le sais, l’Europe et l’Afrique ont été les seules à s’en sortir. Les autres continents ayant en disparus, il ne reste plus à ce jour que 3 milliards d’Hommes sur Terre ! Dont 2 milliards en Afrique.
Je savais déjà tout cela, mais je ne voyais toujours le rapport avec ma vente ! Voyant mon incompréhension, Sphynx continua.
- Bref, ce que je voulais dire, comme le continent africain a repris le dessus sur l’Europe, nous les noirs sommes devenus les maitres. Le temps de l’esclavage a changé de bord ! Et si tu ajoutes que cette guerre a réduit de 70 % la population féminine, il ne reste quasiment que des hommes sur Terre. Comme tu le sais E certains ont hérité du H-21, ce gène qui leur donne la capacité d’enfanter ?.
Un frisson parcourut mon dos, je compris immédiatement où il voulait en venir. Après la terrible guerre de 2025, la population des femmes avait été cruellement réduite et il ne restait plus que 700 000 femmes pour 2 milliards d’hommes.
Le gouvernement de chaque continent avait décidé de conserver le peu de femmes qui restait sur une ile cacher de tous. Elle pouvait y vivre en parfaite harmonie, entre elles, en attendant de trouver une meilleure solution. Malheureusement 50 ans plus tard, le nombre de femmes baissait… De plus en plus.
Chacun des deux continents s’arrangeait pour développer le H-21. Et sur les 2 milliards d’hommes, 300 000 avaient été transplantés ! Dont moi. !
- Je veux que tu portes mes bébés !
- Moi ?
- Oui
– Comment savez-vous que je porte le gène ?
- Je le sais c’est tout !
Pourquoi faisait-il autant de mystère ? Il retourna sur la chaise et m’observa encore plus intensément.
J’ai découvert à l’âge de douze ans que j’avais le gène après des saignements en bas du ventre. Et j’ai essayé toute mon adolescence de le cacher. J’ai bientôt 25 ans et toujours pas d’enfants et d’où je viens c’est très important.
Je n’ai jamais fait l’amour
Merde, pourquoi avais - je dis ça ?
- Tant mieux, je n’aurais jamais acheté quelque chose de déjà souillé. Quand tu viendras vivre au palais nous aurons tout le temps.... jusqu’à ce que tu tombes enceinte. Sais-tu au moins sucer ?
- Non
Il me regardait étonner, se levait à nouveau et s’approchait de moi. Mon cœur battait encore à mille à l’heure. Il me caressa le visage jusqu’aux lèvres qu’il effleurât légèrement. Une nouvelle décharge électrique traversa mon corps tout entier. Et brusquement il m’embrassa. Un simple baiser où sa langue humide et chaude se déposa sur la mienne. Un baiser timide et délicat ! nos langues s’enroulèrent, se quittèrent pour se rencontrer et se resserrer à nouveau…..
- Hum
Je rougissais et je remarquais un début de bosse contre mon jarta (sorte de pantalon en lin). Il bandait ! Notre baiser avait été intense, mais Sphynx y mit fin brusquement sans raison. C’était tellement bon.
Il s’adossa alors au mur derrière lui et ouvrit légèrement sa braguette.
- Ferme la porte !
- C’est trop tôt, nous n’allons pas le faire maintenant. Je ne suis pas prêt.
- Ce n’est pas ça, ferme la porte. !
Je m’exécutais ! Mon vendeur pouvant arriver à n’importe quel moment, hors de question qu’il tombe sur un moment gênant entre mon nouveau maitre et moi. Bizarrement je commençais à beaucoup moins le détester ! Après avoir refermé la porte. Sphynx se colla à moi, je sentais sa bite à travers le tissu fin de mon jarta.
- Baisse-toi ?
Pourquoi ?
- Je vais te montrer comment on suce
- Je ne suis pas prêt
- Ce sera rapide et en même temps, je vais pouvoir me rendre compte à qui j’ai à faire !
Je me baissais donc et me retrouvais face à une magnifique bite en érection, d’environ 23/24 cm. Comment allais - je pouvoir mettre ce monstre de chair dans ma bouche ? Elle était si énorme.
- Cesse de réfléchir et ouvre ta bouche. De toute façon tu seras bien obligé de le faire au palais.
- Quel palais ?
- Je suis prince du continent africain, et ton futur roi ! .
- Série...... humm
Je n’eus pas le temps de comprendre que Sphynx enfonça sa bite d’un coup, je laissais échapper un filet de bave et il resta un moment sans bouger ! Quel mystère ! Je découvrais ces premiers mouvements de va-et-vient ! Plutôt doux au début, puis sa bite vint taper le fond de ma gorge ! Me laissant échapper des râles !
Je mis alors mes mains sur ses cuisses pour avancer et reculer ma tête.
Il me tenait les cheveux et me guidait.
Je ressortais sa bite pour la ravaler tout entière, la suçant avec encore plus de baves, puis avec surprise il allait de plus en plus vite et de plus en plus violemment en fond de gorge. J’adorais cette nouvelle sensation dans ma bouche. C’était doux et en même temps tellement dur. Je suçais et mordillais son gland, il avait l’air d’adorer et au bout de 5 min minutes de cette fellation il lâcha 5/6 jets bien chaud et gluant sur mon ventre. Et le reste sur mon visage.
- Putain pour un puceau qui n’a jamais sucé tu t’en sors merveilleusement bien. Dommage qu’on n’ait pas plus de temps ! on se rattrapera dans notre chambre.
Il me releva et m’essuya le visage avec un mouchoir qu’il avait sorti de sa poche. Avait-il prévu cette issue ?
Nous sommes restés dix minutes encore à discuter jusqu’à ce que mon vendeur arrive et fasse remplir mes documents à Sphynx. Nous quittâmes l’a pièce et Sphynx me couvrit le visage d’un ruban (sorte de voile de couleur sombre) et me dit.....
- J’ai tellement hâte de te faire ces enfants, je vais te mettre enceint encore et encore jusqu’à ce que tu n’en puisses plus.
Je compris alors qu’elle allait être ma nouvelle vie…
Avec l'aimable correction de Michel
Pecheroses
pecheroses8@gmail.com