Jour 1
Je me suis retrouvé en prison à cause d’un vol. Je devais faire 4 mois, c’était l’été et il faisait très chaud. On m’a mis en cellule avec un grand black d’une trentaine d’années qui s’appelait Moussa.
J’ai pris le lit du bas qui était disponible. Je n’étais pas préparé à cette expérience et j’appréhendais chaque instant, alors je choisis de m’allonger et d’attendre.
J’étais arrivé en début de soirée, l’heure du coucher n’était pas loin.
Moussa n’avait pas parlé et ça ne me dérangeait pas, quand les matons on sonnés l’extinction des feux, il s’est dirigé vers les toilettes situées près de la porte et a déversé un long jet d’urine qui n’en finissait pas.
Avec un soupir de soulagement, il se rinça les mains et alla se coucher dans le lit du haut.
Je n’arrivais pas a dormir, les yeux fermés je pensais aux mille situations qui pouvaient m’arriver dans cet endroit et comment y faire face. J’entendais mon coloc, respirer bruyamment alors qu’il sombrait dans le sommeil. Ce bruit avait quelque chose d’apaisant, de sécurisant et je me laissais aller aussi.
Je fus réveillé dans la nuit par un bruit sec, comme un objet qui tombe au sol. Les yeux toujours fermés et sans bouger, j’écoutais les bruits de la pièce. J’entendais Moussa qui haletait et au-delà un bruit régulier et humide. J’ouvrais les yeux pour découvrir un énorme sexe au-dessus de moi, Moussa était debout à côté de mon lit et se masturbait. Dans sa main il tenait un sexe énorme, long et plein de veines. Il a dû voir mon expression choquée, car son visage avait une expression de désir, et lorsque nos yeux se sont croisés, il a souri. À ce moment, il devait se caresser depuis pas mal de temps, car il a joui instantanément. Son gland énorme a craché des jets de sperme chaud qui sont venus inonder mon visage alors que j’étais toujours allongé. Pétrifié par la surprise je restais là alors qu’il se vidait et secouait sa grosse queue pour m’éclabousser avec chaque goutte. Une fois fini, il sauta sur son lit et se mit à l’aise pour dormir.
J’étais toujours allongé, immobile, le visage plein de sperme. Une giclée avait recouvert mes lèvres et un goût salé pénétrait dans ma bouche. Une bonne partie était venue se déposer sur mes yeux et je ne pouvais pas les ouvrir.
J’étais tellement choqué que je ne bougeais pas, pas même pour essuyer mon visage. Je restais comme ça jusqu’à ce que je m’endorme alors que son foutre séchait sur mon visage.
Avant que le sommeil n arrive, je me rendais compte que je bandais…
Nathaniel89
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