Chapitre 1
Salut, je m’appelle Mathieu, 18 ans, châtain, yeux verts, et plutôt musclé.
Je suis étudiant et profite des vacances scolaires pour retourner voir mes parents que je n’ai pas vus depuis plusieurs mois.
Les retrouvailles se passent bien, je suis heureux de retrouver mon premier chez-moi, mon ancienne chambre et mes parents.
Mes parents ignorent que je suis gay, leur couple battant de l’aile aussi loin que je ne m’en rappelle, j’ai préféré taire ce détail de ma vie pour éviter d’envenimer la situation.
Un jour, alors que ma mère travaillait et que mon père jardinait, je matais un film porno et commençais à me tripoter.
Les acteurs étaient hot, 5 mecs musclés et montés comme des taureaux en train de baiser à tour de rôle un passif qui en demandait toujours plus.
Alors que j’étais allongé sur mon lit, jambes écartées à me branler frénétiquement, la porte de ma chambre s’ouvrit soudainement.
Mon père resta sans voix pendant quelques secondes, les yeux écarquillés vers l’écran au moment où le passif hurlait de plaisir comme jamais.
– Je voulais juste savoir si tu voulais venir avec moi, mais.. Peu importe, bredouilla mon père avant de sortir précipitamment de la chambre.
– Attends, Papa !
Décidant qu’il était grand temps d’avouer mon homosexualité, j’enfilai rapidement un boxer et le suivis dans sa chambre.
– Papa, je suis gay.
– Oui, c’est ce que j’ai cru comprendre.
– Désolé si ça te blesse, mais c’est ce que je suis, j’aime les hommes.
– Tu en es sûr ? Tu l’as déjà fait avec un homme ? Ou plusieurs comme dans le film ?
– Non ! Je n’ai encore jamais rien fait, j’ai… J’ai peur de mal faire les choses et d’être nul.
Mon père me dévisagea pendant plusieurs secondes, ses yeux se posèrent un instant sur mon boxer qui camouflait tant bien que mal une érection qui n’avait pas encore totalement disparu.
– Et si tu t’entrainais sur moi ? finit-il par demander.
– Comment ça ? demandais-je persuadé d’avoir mal compris.
– Et bien avec ta mère, cela fait des années que nous n’avons rien fait. Chacun y trouverait ton compte, tu pourrais t’entrainer et moi j’aurai du plaisir autrement qu’en me masturbant seul.
– Mais tu es mon père !
Pourtant à cette idée, mon érection repris de plus belle. Cela serait mentir de dire que je n’ai jamais fantasmé sur mon père, grand, musclé et encore beau gosse pour son âge.
Surtout au début de mon adolescence lorsque je plongeais le nez dans ses boxers pour renifler son odeur de mâle virile…
– Quand on est dans cette chambre, vois-moi plutôt comme un homme comme lequel tu peux disposer à ta guise.
Puis il se déshabilla entièrement. Ma respiration s’accéléra, son torse, ses bras m’attiraient, mais son énorme queue me faisait totalement perdre l’esprit.
Vingt bons centimètres accompagnés de deux énormes couilles qui ne demandaient qu’à être vidées se dressaient devant moi.
Chapitre 2
Mon père dû s’apercevoir que j’avais du mal à détourner les yeux de son engin et s’allongea sur le lit, pris sa queue en main et la masturba en me regardant droit dans les yeux.
– Alors tu as faim ? Tu ne veux pas savoir ce que ça fait d’avoir la bite d’un homme en bouche ? Elle n’attend que toi.
C’en était trop, je sautai sur le lit pour le rejoindre.
J’enfouis mon visage droit sur les couilles de mon père et son énorme queue déjà bien bandée. Je me délectais de cette odeur qui me rendait fou.
– Fais ce que tu veux, tout ça est rien que pour toi ! dit alors mon père.
Je lui léchai avidement une à une les couilles puis goba les deux. Cette sensation d’avoir la bouche bien remplie me faisait bander comme jamais.
Je tendis les bras pour caresser les pectoraux de mon père pendant que je m’étouffais avec ses couilles, admirant sa queue juste devant mes yeux.
Après 5 minutes à lui bouffer les couilles, j’entrepris de caresser sa queue, sur toute son incroyable longueur, avec ma langue.
– Oh oui, c’est bon, ça faisait si longtemps…
Entendre mon père gémir ainsi me donnait envie de lui donner encore plus de plaisir. Fou de désir, je gobai sa queue en gorge profonde.
La bite de mon père devint alors encore plus grosse et dure, je luttais pour ne pas m’étouffer sur cette énorme queue qui me remplissait la bouche tout en étant incapable d’arrêter, tant le plaisir était incroyable.
Les gémissements de mon père étaient de plus en plus bruyants et rapprochés.
– Attention, je vais venir !
Mais peu m’importait, j’étais bien décidé à goûter ce nectar qui m’avait conçu. J’éjaculai sans même me branler lorsque 8 gros jets de sperme chaud me remplirent la bouche, quelques gouttes coulèrent le long de mes lèvres.
Chapitre 3
Mon père et moi avions convenu de ne jamais parler à quiconque de ce qui s’était passé. Chacun avait pris son plaisir et aucun ne le regrettait.
Pendant les jours qui suivirent, j’espérais que mon père me propose à nouveau de l’utiliser comme cobaye, n’ayant pas eu l’occasion de réaliser tous mes fantasmes la première fois.
Mais voyant que celui-ci n’en faisait rien, je me couchai une fois de plus déçu.
Alors que je me douchais, mon père me plaqua soudain contre la paroi de douche et me baisa avec énergie pendant que je gémissais de plaisir.
Un bruit me réveilla soudainement frustré, je compris alors que l’épisode de la douche n’était qu’un rêve qui m’avait fait gémir et éjaculer dans mon sommeil.
Je me levai alors pour essuyer tout ça et décidai d’aller boire un verre d’eau. Alors que je passais devant la chambre de mes parents, je risquai un regard par la porte entre-ouverte.
Heureusement mes gémissements oniriques n’avaient pas réveillé mes parents. Puis je me rappelai que ma mère, souffrant d’insomnie, prenait des somnifères pour dormir la nuit.
J’entrai alors dans la chambre et rampai sous les couvertures jusqu’à arriver à l’entre-jambes de mon père.
Je baissai alors son boxer et moins timide que la dernière fois, j’entrepris directement de le sucer en gorge profonde. Sa queue devenant de plus en plus dure à chacun de mes mouvements.
Au bout de 10 minutes, quelqu’un retira la couverture.
– Qu’est-ce que tu fais ? Chuchota mon père, l’air inquiet, mais excité.
– Tu as bien dit que quand on était dans cette chambre, je pouvais disposer de toi à ma guise non ?
– Oui, mais…
– Alors chut ! Dis-je en m’asseyant sur mon père et en l’embrassant à pleine bouche. Sa queue caressant mes fesses aux mouvements des rythmes de son bassin.
Mes mains parcourant ses pectoraux pendant que ces mouvements devenaient de plus en plus ardents.
– Tu veux que je te baise ? Tu veux ma queue en toi ? murmura t’il
– Oui, oui plus que tout!
– Alors suce ma queue pendant que je prépare tes fesses.
Je m’exécutai, mon père me lécha le trou et me doigtait le cul pour me préparer pendant qu’une fois de plus j’étouffais sur son énorme bite.
– Empale-toi sur ma queue. Chuchota-t-il alors au bout de 5 minutes.
À nouveau je m’exécutai, la douleur fut-elle que j’en eu les larmes aux yeux, mais le feu en moi refusa de renoncer.
La douleur fit place à un plaisir que je n’avais jamais connu et je chevauchais à présent la bite de mon père comme un fou.
Il m’embrassait en me serrant fort contre lui pendant que je sentais son énorme membre sortir et venir en moi, me procurant un orgasme à chaque passage.
– Oh putain, quel cul ! ne put-il s’empêcher de crier pendant qu’il éjaculait à l’intérieur de moi, ses mains agrippées sur mes fesses.
Je m’écroulai sur lui, le caressant et l’embrassant.
– Heureusement que les somnifères de maman ont bien fait effet.
– Oui, elle n’aurait pas aimé me voir avoir l’orgasme de ma vie avec toi.
– Tu as aimé tant que ça ?
– Et bien, pour te rassurer fiston, sache que jamais tu ne pourras décevoir sexuellement un homme ! Mais, je serai toujours là si tu as besoin d’un cobaye !
Valent1
mortier.valent1@gmail.com
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